Halloy (Pas-de-Calais)

Halloy
Halloy (Pas-de-Calais)
L'église Saint-Éloi.
Blason de Halloy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC des Campagnes de l'Artois
Maire
Mandat
Jean-Louis Cauvet
2020-2026
Code postal 62760
Code commune 62404
Démographie
Gentilé Halloyens
Population
municipale
199 hab. (2021 en diminution de 11,56 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 09′ 30″ nord, 2° 25′ 36″ est
Altitude Min. 115 m
Max. 158 m
Superficie 3,4 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-le-Comte
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Halloy
Géolocalisation sur la carte : France
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Halloy
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Halloy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Halloy

Halloy est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois qui regroupe 96 communes et compte 33 179 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Localisée dans le sud-est du département du Pas-de-Calais et limitrophe du département de la Somme, Halloy est une commune rurale située à 8 km à l'est de la commune de Doullens (Somme).

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes, dont deux dans le département de la Somme :

Communes limitrophes d’Halloy
Grouches-Luchuel
(Somme)
Lucheux
(Somme)
Halloy Pommera
Amplier Orville

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 3,40 km2 ; son altitude varie de 115 à 158 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune, situé dans le bassin Artois-Picardie, est traversé par le Beaurepaire, cours d'eau naturel non navigable de 2,27 km, qui prend sa source dans la commune et finit sa course au niveau de la commune d’Authieule[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 863 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans l'est du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[9].

Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.

Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.

L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[10].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : la vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville, d’une superficie de 2 143 hectares et d'une altitude variant de 65 à 154 mètres. Cette vallée associe des influences thermophiles dans les lisières et sur les pelouses et un caractère psychrophile au niveau des forêts de ravins. Une partie du site est occupée par l’agriculture intensive[11].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Espèces faunistiques et floristiques[modifier | modifier le code]

Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 133 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 19 protégées et 5 menacées[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Halloy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72 %), prairies (20,8 %), zones urbanisées (7,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route départementale D 24 et par la route nationale 25 reliant Amiens à Arras[19].

Transports[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 32 km, au sud-ouest, de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes et actuelles[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Haletum en 1120 ; Haleium en 1143 ; Halei en 1146 ; Hallo vilaris en 1147 ; Alerium en 1150 ; in territorio Halleii vers 1150 ; Halo villaris en 1155 ; Haleel en 1158 ; Haloi en 1175 ; Halloi en 1221 ; Halloy en 1221 ; « cultura de Haloy sitam in territorio de Grandivillare » en 1255 ; Halerum en 1298 ; de Haloy prope Granviler, in villa de Haloy en 1307 ; Halloas en 1340 ; Hallegum, Halloyum en 1350 ; Haloy en 1373[21]; Halloy en 1793 et depuis 1801[1].

Étymologie[modifier | modifier le code]

Du germanique hasal « noisetier » et du suffixe roman collectif -etum , ce qui a dû signifier « ensemble de noisetiers »[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village a été créé par l’abbaye de Lannoy qui possédait ce lieu dès le XIIe siècle. Ce lieu dépendit de Grandvilliers jusqu’au XIVe siècle (voir la forme du nom de la localité de 1255)[21].

Halloy comptait avant la Révolution française, une famille noble portant le nom du village[23]. Jeanne de Halloy, vivant en 1236, était l'épouse d' Ansel de Tramecourt, dit Tranchant, chevalier, seigneur de Tramecourt[23].

Avant la Révolution française, Halloy était le siège d'au moins une seigneurie.

Maximilien de Gosson, seigneur de Halloy, mort au siège de Bergues-Saint-Winoc, lieutenant de la compagnie d'hommes d'armes du duc d'Arschot. Maximilien est le fils de François Gosson, chevalier, capitaine de 200 chevaux et commis par la reine de Hongrie (Marie de Hongrie (1505-1558), au gouvernement de la ville de Lille, pendant l'absence du seigneur de Courrières, alors en ambassade en Angleterre. François de Gosson était fils de Philippe de Gosson, chevalier et de Charlotte de Ghistelle, et frère de Catherine de Gosson, épouse de Michel de Pressy[24].

Jean II de Pressy, fils de Michel, chevalier, seigneur de Halloy, a participé à plusieurs actions militaires. Il est issu du côté maternel de la maison de Halloy dont il est l'héritier par la mort de Maximilien de Gosson, seigneur de Halloy, mort au siège de Bergues-Saint-Winoc, lieutenant de la compagnie d'hommes d'armes du duc d'Arschot. Il a épousé Catherine de Gosson.

Charles de Pressy, fils de Jean II, écuyer, seigneur de Flencques, Halloy, Esterpignie, Ligni, Ambrines, Hondescotte-es-Saint-Nazaire, est fait chevalier par lettres faites à Madrid le 29 décembre 1625. Il a servi dans la compagnie de 300 hauts bourguignons du seigneur de Werp, gouverneur des villes de Maestricht et de Wicq. Puis il a été alfère (porte-drapeau) au tercio (unité militaire) de feu le comte de Solre, avec lequel il a participé au siège de Cambrai, au siège d'Ardres, au siège de Calais, à l'attaque des château et ville de Doullens. En ce lieu, entrant le premier, il a conservé au péril de sa vie le dépôt des munitions. Il a continué de servir en la compagnie du comte de Solre avec 5 ou 6 chevaux à ses frais[24].

Jusqu'à la veille de la Révolution française, Halloy, Amplier et le hameau de Caumesnil ne forment avec Orville qu'une communauté d'habitants. Par décret du , le hameau du Petit-Caumesnil est distrait de la commune d'Orville et rattaché à celle d'Halloy[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton d'Avesnes-le-Comte. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1803, rattachée au canton de Pas-en-Artois[1].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 2008 Daniel Fournier    
mars 2008 25 décembre 2012 Gilbert Desmet   Principal Retraité
Mort en fonction
14 mars 2013[26] 2014[27] Aurélien Desmet   Avocat, fils du précédent.
2014[28] En cours
(au 16 décembre 2022)
Jean-Louis Cauvet   Gendarme à la retraite
Réélu pour le mandat 2020-2026[29],[30],[31]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

Elle administre une école primaire en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 12) et une école élémentaire[32].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[33].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Halloyens[34].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

En 2021, la commune comptait 199 habitants[Note 5], en diminution de 11,56 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
432377396427470456494489504
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
597611601523507439442467423
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
403414390394410376364341330
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
298286259250223209213223236
2014 2019 2021 - - - - - -
228203199------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 110 hommes pour 100 femmes, soit un taux de 52,38 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,0 
8,5 
75-89 ans
14,4 
18,9 
60-74 ans
14,4 
27,4 
45-59 ans
21,6 
15,1 
30-44 ans
21,6 
8,5 
15-29 ans
11,3 
21,7 
0-14 ans
15,5 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Halloy Blason
De sable au lion d'or à senestre; au franc-canton d'argent chargé d'un arbre de sinople[43].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Beaurepaire (E5501870) » (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Halloy et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 310013768 - Vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  20. « Distance entre la commune et la gare d'Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  21. a et b Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 265.
  22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Genève, Droz, , p. 732.
  23. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p.  23, lire en ligne
  24. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 31-32, lire en ligne.
  25. « La commune d’Halloy », sur Les archives départementales du Pas-de-Calais (consulté le ).
  26. « Halloy : Aurélien Desmet succède à son père comme maire : À la suite du décès de Gilbert Desmet le 25 décembre 2012, maire de la commune depuis 2008 et conseiller municipal depuis 1983, des élections municipales complémentaires ont été organisées dans la commune », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. C. Sabathes (CLP), « Bilan des maires - Halloy - Aurélien Desmet: «des travaux à l’église, au cimetière, à la mairie et des illuminations pour les fêtes» : Élu le 14 mars 2013 à la suite du décès de son père alors premier magistrat de la commune, Aurélien Desmet s’est vu propulser pour son premier mandat dans le fauteuil majoral. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
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  30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
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  34. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  40. « Lieux de culte de la commune », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
  41. « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits ou classés au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du ministère de la Culture (consulté le ).
  42. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  43. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).