Rivière (Pas-de-Calais)

Rivière
Rivière (Pas-de-Calais)
L'église.
Blason de Rivière
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté urbaine d'Arras
Maire
Mandat
Gabriel Bertein
2020-2026
Code postal 62173
Code commune 62712
Démographie
Gentilé Riviérois
Population
municipale
1 124 hab. (2021 en diminution de 0,18 % par rapport à 2015)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 14′ 00″ nord, 2° 41′ 25″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 131 m
Superficie 11,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-le-Comte
Législatives Première circonscription
Localisation
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Rivière
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Rivière
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Rivière
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Rivière
Liens
Site web https://www.communederiviere.fr

Rivière est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté urbaine d'Arras qui regroupe 46 communes et compte 109 592 habitants en 2020.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située en plein cœur de la campagne à une dizaine de kilomètres au sud-ouest d'Arras, Rivière est un village boisé dans un paysage relativement vallonné, notamment grâce au cours d'eau autour duquel le village s'est construit : le Crinchon, alimenté également par le Carré aux Sources, ce dernier se trouvant très clairement au-dessus du niveau du premier.

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 11,9 km2 ; son altitude varie de 75 à 131 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par la rivière le Crinchon, un affluent en rive-droite de la Scarpe (et donc un sous-affluent de l'Escaut) qui prend sa source à Bailleulmont et se jette dans la rivière Scarpe au niveau de la commune de Saint-Nicolas[2].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[3]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 772 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Une entrée du village.

Typologie[modifier | modifier le code]

Rivière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), zones urbanisées (6,8 %), prairies (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les 5 hameaux de Bellacourt, Bellacordelle, Brétencourt, Grosville-en-Rivière et Le Fermont fusionnent pour former la commune de Rivière en 1789.

Rivière est attestée sous les formesRivieres en 1158, Riveria en 1200, Rivaria en 1209, Riparia en 1242, Le Riviere en 1277, Ripperia en 1294 , Riviere en 1410, Riviers en 1599[17], Groville en Rivierre au XVIIIe siècle[18].
Riviere a le sens ancien de rivage et désignait la maison située sur la rive.

Bellacourt est attestée sous les formes Berlaicurte (1079), Berlaidi curtis (1154), Berlaincort (1203), Bellecort (1250)[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Bellacourt, hameau de Rivière, était le siège d'une seigneurie avant la Révolution française[20].

Le , Pierre Payen, avocat fiscal au Conseil provincial d'Artois, anobli par lettres données à Lisbonne, est seigneur de Bellacourt et d'Hautecloque[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de 2012 à 2016 de la communauté de communes La Porte des Vallées, avant d'intégrer la communauté urbaine d'Arras en 2017.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton d'Avesnes-le-Comte.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Jacques Lamourette    
mars 2008[22]   Jean-Claude Desailly   Réélu pour le mandat 2014-2020[23],[24]
28 mai 2020 En cours
(au 4 avril 2022)
Gabriel Bertein   Ingénieur et cadre technique d'entreprise[25],[26]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 1 124 habitants[Note 4], en diminution de 0,18 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9881 0721 1641 1801 2501 2531 2851 3681 398
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4371 4651 5371 4681 4981 4401 4631 4181 364
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3301 2621 1481 0531 1051 0721 038989965
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
9929639631 1021 1421 1221 1221 1261 131
2018 2021 - - - - - - -
1 1211 124-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 544 hommes pour 577 femmes, soit un taux de 51,47 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
7,9 
75-89 ans
9,5 
20,2 
60-74 ans
20,1 
25,0 
45-59 ans
23,9 
13,4 
30-44 ans
17,2 
13,4 
15-29 ans
13,2 
19,5 
0-14 ans
14,4 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine historique[modifier | modifier le code]

Rivière a deux monuments classés ou inscrits monuments historiques :

  • le château de Grosville, du XVIIIe siècle. Façades et toitures du château ainsi que celles des communs (y compris le pigeonnier) ; portail d'entrée (cad. D 21) : inscription par arrêté du [32] ;
  • l'église Saint-Vaast[33] en calcaire sur soubassement de grès a été reconstruite vers le milieu du XVIIIe siècle, sur une pente raide. Elle n’est pas orientée. Elle est précédée d’un clocher-porche élancé, épaulé de contreforts d’angle jumelés en équerre, est surmonté de la chambre des cloches, soulignée par des pilastres d’ordre dorique. La nef à quatre travées est séparée des bas-côtés plus bas par une rangée d’arcs en plein-cintre supportés par de colonnes doriques appareillées, sur base octogonale. Elle est couverte d’une voûte en pendentifs. La lumière abondante provient des baies à arc segmentaire des bas-côtés, et des hautes fenêtres en plein-cintre du chœur. À l’inverse des bas-côtés qui sont plats, le chœur de deux travées se termine par une profonde abside saillante, épaulée à l’extérieur de deux puissants et hauts contreforts. Endommagée (toiture et parties hautes du clocher) en 1915, elle a été restaurée dans les années vingt, puis en 1985. Les vitraux du chœur (1931) relatent l’histoire de saint Vaast, à qui l’église est consacrée ; ils ont été restaurés en 1985 (Claude Barre, Amiens). Deux autres vitraux doivent être signalés, dans les bas-côtés : à droite (autel de saint Joseph), la fenêtre est dédiée au Sacré-Cœur (Louzier), bénite en 1931, offerte par la famille de Clerck ; à gauche (autel de la Vierge) : Vierge à l’Enfant (carton d’Alain Mongrenier, vitrail de Claude Barre), offerte en 1996 par Madeleine Brachet en souvenir de son père l’ancien maire de Rivière le général Norbert Harduin de Grosville (1879-1973). Classement par arrêté du . Vitrail par Alain Mongrenier (1994).

Et deux lieux recensés à l'Inventaire général du patrimoine culturel :

  • le parc du château de Brétencourt[34] (dit remarquable). L’occupation du site remonte au moins au XIIIe siècle. Depuis, la propriété s’est transmise sans interruption. Jusqu’au XVIIIe siècle existait un château fortifié, au sommet d’une pente qui domine le vallon du Crinchon. Construit autour d’une cour carrée, il était cantonné de tours rondes ; l’accès de faisait par un pont-levis. Bâtie à l’ouest, une aile en calcaire remonte en partie au XVIIIe siècle (1775). L’aile néogothique qui lui est perpendiculaire et le parc paysager sont dus aux travaux entrepris par Paul de Clerck en 1889. La ferme adjacente se distingue par son pigeonnier en calcaire, de plan carré. Le domaine est resté depuis dans la famille[35] ;
  • la sucrerie, brasserie, malterie dite sucrerie Grard, Dujardin et Cie, puis brasserie-malterie Caron du XIXe siècle[36].

Autres lieux[modifier | modifier le code]

  • Le site de Bellacourt. Il se compose de deux mottes séparées d'une centaine de mètres et entre lesquelles se dresse une propriété qui occupe l'emplacement d'un ancien château complètement rasé. La plus grande des deux mottes mesure 28 m de diamètre et 10 m de haut, la plus petite, 8 m de diamètre et 2 m de haut.
La motte la plus grande, construites en matériaux rapportés, a été réutilisée lors de la Première Guerre mondiale. Sous le site trois cavités sont connues : une cave, un réseau de carrières souterraine et un abri creusé à la base de la grande motte[37].
  • La motte de Fermont avec des souterrains, relevée par A. Viré[38].
  • Le bassin des fontaines, dit Carré des sources, à Brétencourt. À mi-hauteur de la butte de Brétencourt et dissimulé par une abondante végétation, il s’agit d’un édifice d’apparence banale, en brique : un réservoir ou citerne à ciel ouvert rectangulaire. Le débit du Crinchon, qui coule à deux cents mètres, étant irrégulier et insuffisant, il a été construit en 1723 par le génie et aux frais du roi (Louis XV), pour récupérer l’eau des sources nécessaire à l’approvisionnement en eau saine de la Ville d’Arras et aux abreuvoirs des casernes de cavalerie. Le bassin a donc une réelle importance, sur les plans militaire, hydraulique et hygiéniste. Le débit des sources se montrant de nouveau capricieux, des puits artésiens ont été forés sans doute à la fin du XVIIIe siècle, et multipliés jusqu’à dix au siècle suivant. L’eau y est d’une grande limpidité. La Ville d’Arras, qui en a assuré l’entretien dès sa construction, a cédé le monument à la commune de Rivière en 1989. Protection : À l’occasion de son troisième centenaire, l’association ABCd’air en a demandé () l’inscription au titre des monuments historiques. L’instruction est en cours.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

De gueules à la barre ondée d'argent accompagnée en chef de deux tours d'or, ouvertes et ajourées du champ, maçonnées de sable, rangées en barre, et en pointe de quatre gerbes de blé d'or ordonnées en orle.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Crinchon (E2010800) » (consulté le )
  3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Rivière et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Arras », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 324.
  18. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 177.
  19. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre.
  20. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 51, lire en ligne.
  21. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 161, lire en ligne.
  22. « Résultats des élections municipales »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  23. « Rivière : un nouveau mandat de maire pour Jean-Claude Desailly », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  25. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  26. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rivière (62712) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  32. « Château de Grosville », notice no PA00108384, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Église Saint-Vaast », notice no PA62000153, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Parc du château de Brétencourt », notice no IA62001079, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  35. Philippe Seydoux, Gentilhommières d’Artois et du Boulonnais, Tome I, Arrageois, Béthunois, Ternois, Paris, Éd. de la Morande, 2006, p.38-40.
  36. « Sucrerie, brasserie… », notice no IA62000354, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 353.
  38. Noël et Stevens 2022, p. 355.
  39. « lavoixdunord.fr/sports/nando-d… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).