Pas-en-Artois

Pas-en-Artois
Pas-en-Artois
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC des Campagnes de l'Artois
Maire
Mandat
Arnaud Douchet
2020-2026
Code postal 62760
Code commune 62649
Démographie
Population
municipale
759 hab. (2021 en diminution de 3,8 % par rapport à 2015)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 09′ 20″ nord, 2° 29′ 24″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 158 m
Superficie 10,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-le-Comte
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Pas-en-Artois
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Pas-en-Artois
Liens
Site web https://pasenartois.fr/

Pas-en-Artois [pa ɑ̃.n‿aʁtwa] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois qui regroupe 96 communes et compte 33 179 habitants en 2019.

La famille de Pas de Feuquières, éteinte en 1770, porte son nom.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Panorama du bourg.

Pas-en-Artois est un bourg situé dans un territoire très rural de l'Artois, dans la vallée de la Quilliene.

Il se situe à 12 kilomètres de Doullens, 26 d'Arras, 34 d'Amiens et 82 de Lille.

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de neuf communes, dont deux dans le département de la Somme :

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Quilliene et une petite écluse régulatrice.

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est drainée par trois cours d'eau :

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans l'est du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[5].

Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.

Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.

L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 821 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : la vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville, d’une superficie de 2 143 hectares et d'une altitude variant de 65 à 154 mètres. Cette vallée associe des influences thermophiles dans les lisières et sur les pelouses et un caractère psychrophile au niveau des forêts de ravins. Une partie du site est occupée par l’agriculture intensive[13].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

La rue d'En-Bas.

Typologie[modifier | modifier le code]

Pas-en-Artois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,6 %), forêts (24,9 %), prairies (10 %), zones urbanisées (4,5 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 380, alors qu'il était de 376 en 2013 et de 362 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 87,8 % étaient des résidences principales, 2,4 % des résidences secondaires et 9,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,7 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Pas-en-Artois en 2018 en comparaison avec celle du Pas-de-Calais et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,4 %) inférieure à celle du département (6,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 64,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (66,5 % en 2013), contre 57,8 % pour le Pas-de-Calais et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Pas-en-Artois en 2018.
Typologie Pas-en-Artois[I 1] Pas-de-Calais[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 87,8 86 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,4 6,4 9,7
Logements vacants (en %) 9,8 7,6 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Pas en 1072 ; Paz en 1137 ; Passus en 1229 ; Passum en 1295 ; Pas-en-Arthoys en 1476 ; Pas-en-Artois en 1734[20].

Du latin passus (« pas, enjambée, passage »).

L'Artois est un pays traditionnel de France et une province du royaume sous l’Ancien Régime, ayant pour capitale Arras, aujourd’hui inclus principalement dans le département du Pas-de-Calais.

Histoire[modifier | modifier le code]

Pas-en Artois était une paroisse dépendant du comté de Saint-Pol-sur-Ternoise. Une seigneurie y est connue depuis 1095, mais elle existait probablement depuis le début du XIe siècle[21]. Le seigneur de Pas est un des pairs du comté de Saint-Pol[21].

Avant la Révolution française, existait sur Pas un fief nommé Le Fetel lequel était le siège d'une seigneurie[22].

Pas-en-Artois était en 1769 le siège d'une châtellenie dont dépendait notamment Famechon[23].

Jean-Antoine-Joseph de Fourmestraux (1726-1805) est seigneur d'Holbecq et de Pas-en-Artois au XVIIIe siècle. Né en 1726 de Louis-Joseph de Fourmestraux, chevalier, seigneur d'Hancardrie (sur Ennetières-en-Weppes), trésorier de France au bureau des finances de la généralité de Lille, garde-scel, et de Marie-Virginie Poulle, il est rewart (chargé de la la police) à Lille et capitaine d'infanterie. Il épouse en 1751 Barbe-Ernestine-Françoise de Lafonteyne, fille de Louis-Séraphin de Lafonteyne, seigneur de Canicourt, trésorier de France et de Marie-Madelaine Beuvet. Il meurt en 1805.

Louis-Joseph de Fourmestraux (1758-1833), seigneur de Pas-en-Artois, fils de Jean-Antoine-Joseph, épouse en 1802, Charlotte-Hyacinthe Lespagnol de Grimbry, sœur de Charles-Hyacinthe-Joseph Lespagnol de Grimbry, homme politique, maire de Wasquehal. Elle meurt à Lille le [24].

Le village a abrité pendant la Première Guerre mondiale un cantonnement de soldats britanniques

Durant la Seconde Guerre mondiale, le bourg a été bombardé. Des trous de bombes sont encore visibles[3].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois.

Elle était depuis 1802 le chef-lieu du canton de Pas-en-Artois[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Avesnes-le-Comte

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Pas-en-Artois était membre de la communauté de communes du canton de Pas-en-Artois un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre fin 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans un premier temps, cette petite intercommunalité fsuisonne avec la communauté de communes des villages solidaires, formant le la communauté de communes des Deux Sources, puis, dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette seconde intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes des Campagnes de l'Artois dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1811   Louis Alexandre Joseph Defourmestreaux    
Les données manquantes sont à compléter.
1989 juillet 2020 François Lefel[26],[27]   Cafetier
juillet 2020[28],[29] En cours
(au 23 février 2022)
Arnaud Douchet   Pompier

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

La bibliothèque municipale.

Espaces publics[modifier | modifier le code]

La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[30], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un groupe scolaire public, « La Kilienne », de deux classes maternelles et 4 classes primaire. Les enfants sont également scolarisés dans l'école privée « La Providence » qui dispose de trois classes, de la maternelle au primaire.

Ils poursuivent leurs études au Collège « Marguerite-Berger », qui accueille environ 400 élèves demi-pensionnaires ou externes[31].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 759 habitants[Note 4], en diminution de 3,8 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8601 056996910888834824907898
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
931906900847818812803851802
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
689717682756702652695940764
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
859913959948925938826810807
2017 2021 - - - - - - -
762759-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 372 hommes pour 390 femmes, soit un taux de 51,18 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,3 
10,3 
75-89 ans
15,0 
16,3 
60-74 ans
19,4 
22,6 
45-59 ans
19,8 
16,9 
30-44 ans
16,3 
17,4 
15-29 ans
11,5 
15,7 
0-14 ans
16,7 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château du XVIIIe siècle, installé sur le versant sud de la colline du Châtelet. Cette propriété privée ne se visite pas.
  • L’église Saint-Martin : son clocher est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [37]. L’église est inscrite en totalité par arrêté du [38].
  • Le monument aux morts[39].
  • Le long du village, sur les berges de la Quilienne passe un sentier de randonnée sentier de petite randonnée PR. Par ailleurs, le circuit Village Patrimoine présente six points d'intérêts dans les rues de la commune.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Pas-en-Artois Blason
De gueules au lion d'argent armé de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Pas-en-Artois » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Pas-en-Artois - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Pas-en-Artois - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Pas-de-Calais » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Beaucamp (E5500630) » (consulté le )
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Quilliene (E5500600 ) » (consulté le )
  3. a et b Claire Decraene, « DPas-en-Artois : la Petite Suisse du Pays d'Artois », Découvrir, sur arraspaysdartois.com (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - les Moulins (E5501930 ) » (consulté le )
  5. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  6. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Pas-en-Artois et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « ZNIEFF 310013768 - Vallée de la Quillienne, ses vallons adjacents et bois d'Orville », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 290.
  21. a et b P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 976, lire en ligne.
  22. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 120, lire en ligne.
  23. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 104, lire en ligne
  24. Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 74-75.
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  27. N. A., « Pas-en-Artois, le bilan du maire: « j’ai six ans pour préparer le passage de témoin » : Pour son cinquième et dernier mandat, François Lefel entend mener à bien le projet de regroupement pédagogique concentré (RPC) et piloter, avec le SMIROM, la création d’une déchetterie qui ouvrirait ses portes en septembre 2015. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Pas-en-Artois : Arnaud Douchet élu maire s’entoure de quatre adjoints : Samedi, Arnaud Douchet a enfilé l’écharpe tricolore et succède ainsi à François Lefel. Une passation de pouvoirs placée sous le signe de l’hommage », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Pas-en-Artois : pompier et maire, une vie 1000 % dédiée au service des autres : Elu depuis 2014, Arnaud Douchet succède cette année à François Lefel dans le fauteuil majoral. Les dossiers qui lui incombe,t ne sont pas des moindres, qu'il mènera à la tête d'une équipe pour moitié renouvelée », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Huit «Village patrimoine» en Pays d’Artois | La Gazette Nord-Pas de Calais », sur gazettenpdc.fr (consulté le ).
  31. « Les écoles, le collège », Les services, sur pasenartois.fr (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pas-en-Artois (62649) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  37. Bases de données Ministère de la culture.
  38. « Liste des immeubles protégés au titre des monuments historiques en 2020 », sur Légifrance (consulté le ).
  39. « Pas-en-Artois (62760) », sur monumentsmorts.univ-lille.fr, Les monuments aux morts - France - Belgique - Autres pays, (consulté le ).