Éterpigny (Pas-de-Calais)

Éterpigny
Éterpigny (Pas-de-Calais)
La place Michel-de-Warenghien.
Blason de Éterpigny
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC Osartis Marquion
Maire
Mandat
Thomas Meurillon
2020-2026
Code postal 62156
Code commune 62319
Démographie
Gentilé Sterpiniens
Population
municipale
256 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 73 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 15′ 31″ nord, 2° 58′ 50″ est
Altitude Min. 41 m
Max. 67 m
Superficie 3,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brebières
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Éterpigny
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Éterpigny
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Éterpigny
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Éterpigny
Liens
Site web https://www.eterpigny.fr

Éterpigny est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Sterpiniens.

La commune fait partie de la communauté de communes Osartis Marquion qui regroupe 49 communes et compte 42 302 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune, drainée par la Sensée, se situe au sud-est du département du Pas-de-Calais entre Arras (chef-lieu d'arrondissement et aire d'attraction) et Cambrai dans le département du Nord.

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Communes limitrophes d’Éterpigny
Sailly-en-Ostrevent Étaing
Rémy Éterpigny
Haucourt Dury

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par quatre cours d'eau :

  • la rivière la Sensée, d'une longueur de 27,07 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Léger et se jette dans le canal du Nord au niveau de la commune d'Arleux[1] ;
  • le Cojeul, d'une longueur de 25 km, qui prend sa source dans la commune de Douchy-lès-Ayette, se jette dans la Sensée au niveau de la commune[2] ;
  • le fossé des quarante, d'une longueur de 1,45 km, qui prend sa source dans la commune de Rémy et finit sa course dans la commune d'Étaing[3].
  • le ruisseau la Lugy[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 705 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Wancourt à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[11]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[12].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2] : le complexe écologique de la vallée de la Sensée. Cette ZNIEFF de la vallée de la Sensée s’étend sur plus de 20 kilomètres depuis les communes de Remy et Haucourt jusqu’à la confluence de la rivière canalisée avec l’Escaut. Elle forme une longue dépression à fond tourbeux, creusée entre des plateaux aux larges ondulations ; Ostrevent au Nord, bas-Artois au Sud et Cambrésis à l’Est[13].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Éterpigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,1 %), zones urbanisées (8,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,9 %), forêts (2,9 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route départementale D 9[20].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 16 km, à l'est, de la gare d'Arras, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sterpeniæ en 1089 ; Sterpiniiz au XIIe siècle ; Estrepignies en 1269 ; Estierpignies en 1297 ; Esterpignies en 1322 ; Esterpingnies en 1288 ; Strepignies en 1399 ; Stirpigniacum au XIVe siècle ; Estrepaignes en 1515 ; Trepigny en 1699 ; Esterpigny en 1720 ; Éterpigny au XVIIIe siècle[22], Eterpigny en 1793 ; Elerphigny et Éterpigny depuis 1801[23].

Voir Étrépagny.

Histoire[modifier | modifier le code]

Éterpigny était anciennement divisée en trois seigneuries :

(i) celle d'Artois, sur laquelle Saint-Vaast avait des prétentions, appartenait à la famille de Coupigny ; (ii) la seigneurie du péage, avec le manoir féodal, relevait du château d'Arras et fut le patrimoine des seigneurs de Rémy jusqu'en 1668 ; (iii) le fief de Ligny, qui relevait du Cambraisis. En 1789, le château du Péage appartient à Théodore-François de Cornouailles, qui l'a probablement fait reconstruire peu de temps avant la Révolution, comme en témoigne la date « 1786 » figurant sur le pigeonnier en brique, rare vestige d'avant la Première Guerre mondiale. En 1803, le château est acquis par Jacques Vaillant, ancien membre du Conseil d'Artois, député du Tiers en 1789 et membre de l'Assemblée constituante puis du Conseil des Anciens. Jacques Vaillant devient le premier président du conseil général du Pas-de-Calais en 1800. Maire d'Arras (nommé) de 1804 à sa mort en 1813, il reçoit le titre de baron d'Empire. Son gendre Pierre-Mathias Wartelle (1773-1856) lui succède à la mairie d'Arras (jusqu'en 1815) ainsi qu'au château d'Éterpigny et devient lui-même baron d'Empire par réversion du titre de son beau-père. Il prend le nom de Wartelle d'Herlincourt (du nom de l'ancien domaine de sa famille dans le canton de Saint-Pol, confisqué sous la Révolution) et est député du Pas-de-Calais de 1816 à 1824. Éterpigny connaît son apogée de la monarchie de Juillet à la Première Guerre mondiale, grâce à un haras de chevaux boulonnais créé par Léon Wartelle d'Herlincourt (fils du précédent). Élu député bonapartiste en 1846 et président de la Société d'Agriculture du Pas-de-Calais, lui et ses descendants font d'Éterpigny l'élevage de boulonnais le plus connu en France au début du XXe siècle (cf. Les races chevalines françaises et anglaises - comte de Comminges - 1913). Un bâtiment d'écuries de plus de 100 m de long en témoigne encore aujourd'hui. Éterpigny souffre particulièrement de la Première Guerre mondiale et est occupée par les Allemands de 1914 à 1918. Arras, située à 15 km à l'ouest, est reconquise et tenue par les Anglais à compter de la bataille de la Marne en 1914, de sorte que la ligne de front et de bombardements se situe pendant quatre ans à quelques kilomètres d'Éterpigny. Le haras est vidé sur ordre du Kronprinz (fils aîné du Kaiser Guillaume II) et le château incendié par les Allemands en 1917. Ce qui reste du village est presque entièrement détruit pendant l'offensive anglo-canadienne de mars-. Le haras de boulonnais ne se relève pas de la Première Guerre mondiale mais le château est reconstruit par l'architecte Maurice Boutterin de 1923 à 1926 sous la houlette de Léon Wartelle d'Herlincourt (petit-fils du précédent) maire d'Éterpigny pendant et après la guerre.

Le château, racheté en 2016, sera entièrement rénové en un lieu de réception et de chambres d’hôtes sous le nom « Le Clos Barthélémy-Château d’Eterpigny ».

Le village est également reconstruit, selon un plan substantiellement modifié par rapport à celui d'avant-guerre. De 1940 à 1944, le château est de nouveau occupé et sert de logement à des aviateurs allemands affectés à la base aérienne de Vitry-en-Artois.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[23].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes Osartis Marquion.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Brebières. Avant le redécoupage cantonal de 2014, elle était, depuis 1801, rattachée au canton de Vitry-en-Artois[23].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Albert Duquenne    
1989 2008 François Dépret    
mars 2008 2020 Régis Baes LR Retraité agricole
Réélu pour le mandat 2014-2020[24],[25]
26 mai 2020 En cours
(au 19 février 2022)
Thomas Meurillon   Artisan
Réélu pour le mandat 2020-2026[26],[27]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Espaces publics[modifier | modifier le code]

La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[28], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

La commune administre l'école élémentaire « Sensée - Cojeul » en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 37)[29].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[30].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Sterpiniens[31].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 256 habitants[Note 5], en stagnation par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
264272296337380358325296347
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
366317324326303277260270247
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
257233180100130116108119128
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
123119123158202167213219244
2017 2021 - - - - - - -
258256-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 128 hommes pour 130 femmes, soit un taux de 50,39 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,8 
3,1 
75-89 ans
4,6 
21,1 
60-74 ans
18,5 
17,2 
45-59 ans
15,4 
25,0 
30-44 ans
26,2 
13,3 
15-29 ans
13,8 
20,3 
0-14 ans
20,8 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Éterpigny Blason
D'argent à l'arbre de sinople ; au chef du même[38].
Détails
La présence de l'arbre vient de l'hypothèse de l'origine du nom de la localité du latin stirps, qui désigne la souche d'un arbre ; Sterpinium (terrain plein de souches) et qui aurait donné Eterpigny.

Adopté par la municipalité.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Sensée (E1560600 ) » (consulté le )
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cojeul (E1560650) » (consulté le )
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - fossé des quarante (E1560610) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau la Lugy (E1560630) » (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Éterpigny et Wancourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Arras » (commune de Wancourt) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « ZNIEFF 310007249 - Le complexe écologique de la Vallée de la Sensée », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur insee.fr (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  21. « Distance entre la commune et la gare d'Arras », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  22. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  23. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. G. Cs., « Bilan des maires - Eterpigny : de nombreux chantiers de voirie et une réforme scolaire complexe pour les communes rurales, selon Régis Baes : Régis Baes repartira en mars pour un second mandat de maire, « avec une partie, la moitié, de l’équipe actuelle. » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Éterpigny: Régis Baes repart pour un second mandat : Dimanche matin, les habitants pouvaient assister à l’élection du maire et des adjoints dans la salle de la mairie », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  27. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  28. presse), « Vitry-en-Artois : le label Village Patrimoine remis à Dury, Éterpigny et Saudemont », sur La Voix du Nord, (consulté le )
  29. « École de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  30. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  31. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Éterpigny (62319) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  37. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  38. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).