Pihen-lès-Guînes

Pihen-lès-Guînes
Pihen-lès-Guînes
La mairie.
Blason de Pihen-lès-Guînes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Calais
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Calais Terres et Mers
Maire
Mandat
Jean-Luc Marot
2020-2026
Code postal 62340
Code commune 62657
Démographie
Gentilé Pihenois
Population
municipale
516 hab. (2021 en augmentation de 8,4 % par rapport à 2015)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 52′ 20″ nord, 1° 47′ 15″ est
Altitude Min. 23 m
Max. 121 m
Superficie 9,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Calais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Calais-1
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Pihen-lès-Guînes
Liens
Site web pihen-les-guines.fr

Pihen-lès-Guînes est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 9,25 km2 ; son altitude varie de 23 à 121 mètres[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 918 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Licques à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 138,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée de la commune.

Typologie[modifier | modifier le code]

Pihen-lès-Guînes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,3 %), prairies (3,9 %), zones urbanisées (2,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Transports[modifier | modifier le code]

Pihen-lès-Guînes est desservie par la ligne 13 du réseau Imag'in. La commune dispose également d'une halte ferroviaire desservie par des trains assurant des relations entre Calais et Boulogne-sur-Mer.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Pithem et Pitham (1084), Pihem (1164), Pithen et Pitheem (XIIe siècle), Dihem in Ghisnesio ou Pihem (1254), Piehem (1273), Pichem ou Pithem (XIIIe siècle), Pihen juxta Guisnes (XVe siècle), Phiem (v. 1512), Pitham, Pittam et Pyham (1556), Pihan (1583)[14].

Le nom de Pihen apparaît pour la première fois dans la charte de fondation de l'abbaye d'Andres en 1084, sous la forme Pithem, du germanique pit « puits » + heim « habitation, village », devenu Pihen par amuïssement du "T". On écrit -hen dans le Calaisis et le Boulonnais, -hem ailleurs. Pihem (près de Wizernes) est le même mot que Pihen, ce qui entraîna de nombreuses erreurs dans l'acheminement du courrier et amena la commune à modifier son nom en Pihen-lès-Guînes en 1923 :

La préposition « lès » permet de signifier la proximité d'un lieu géographique par rapport à un autre lieu. En règle générale, il s'agit d'une localité qui tient à se situer par rapport à une ville voisine plus grande. La commune de Pihen indique qu'elle se situe près de Guînes.

Histoire[modifier | modifier le code]

Il n'est pas douteux que le village soit très ancien. On aurait retrouvé des sépultures remontant à l'époque du haut Moyen Âge, notamment des sépultures en forme de sarcophages et des squelettes reposant directement sur la craie. Des tuiles très épaisses, façonnées à la main, ont été à plusieurs reprises remontées à la surface d'un champ par le soc d'une charrue. Témoins de temps beaucoup plus reculés, des défenses de mammouth et un crâne de rhinocéros furent mis au jour lors de la construction de la route départementale.

À noter « l'étoile itinéraire » que constitue le centre du village où viennent aboutir sept chemins, dont plusieurs remontent au Moyen Âge. La commune est traversée de part en part sur un axe est-ouest par une voie antique que l'on considère comme romaine, branche dérivée, à Guînes, de la Leulène (ou chemin de Leulingue) qui va en droite ligne de Thérouanne à Sangatte. Cette branche dérivée de voie romaine relie Guînes à Wissant qui était un port d'embarquement vers l'Angleterre très fréquenté au Moyen Âge. Ce chemin est une portion de la via Francigena, chemin de pèlerinage qui reliait Canterbury à Rome dont Sigéric, archevêque de Canterbury de 989 à 994 fait la plus ancienne description en 990 lors de son retour de Rome. Cet itinéraire, en 80 étapes d'environ 20 km, est connu par un manuscrit. C'est sur la base de cet itinéraire, plus anciennement attesté même que celui de Compostelle, qu'a été balisé l'itinéraire actuel.

Au Moyen Âge, Pihen fit partie du comté de Guînes. Arnould IV d'Ardres, seigneur d'Ardres, construit vers 1150, un château à Colewide, sur le territoire actuel de la commune, et y fait construire une chapelle. Le château sera détruit en 1214[15].

Puis la commune demeura aux Anglais de 1347 à 1558, comme toutes les paroisses du Calaisis. Après la libération par François, deuxième duc de Guise, en 1558, Pihen fait partie du pays reconquis : après le départ des colons anglais établis depuis la capitulation de Calais en 1347 et l'expulsion des propriétaires français, il faut répartir les terres entre leurs nouveaux propriétaires. En 1560, on compte onze propriétaires sur une surface de 1 307 mesures environ pour quinze propriétaires en 1585 se partageant environ 2 000 mesures (actuellement 925 hectares).

Les tribulations de Pihen n'étaient pas terminées pour autant. À cette époque, les rois de France et d'Espagne étant en guerre, le territoire de Pihen était dans la zone des combats, les Espagnols venant de la Flandre voisine qui était alors en leur possession. Un jour on était aux Français et le lendemain on pouvait se retrouver Espagnol. Ce qui fut le cas de 1596 à 1598. L'ancienne église, du XIIIe siècle, en fit les frais puisqu'elle fut incendiée à cette époque.

Pendant la première guerre mondiale, Guînes est le siège en 1917-1918 d'un commandement d'étapes, c'est-à-dire un élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front. Pihen en dépend et a à ce titre accueilli des troupes sur la commune[16].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Calais du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération Grand Calais Terres et Mers.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Calais-1.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1983 Jean-Charles Level    
1983 1995 Pascal Potterie    
1995 2001 Thierry Calais    
mars 2001 2008 Christian Drincqbier    
mars 2008 En cours
(au 2 avril 2022)
Jean-Luc Marot   Ancien employé
Élu pour le mandat 2008-2014
Réélu pour le mandat 2014-2020[17],[18],[19],[20]
Réélu pour le mandat 2020-2026[21],[22]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Espaces publics[modifier | modifier le code]

La commune est labellisée « 1 fleur » au concours des villes et villages fleuris[23].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 516 habitants[Note 3], en augmentation de 8,4 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
381387417476512512502485488
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
463423455431420402486474514
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
543488555534403366391358365
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
367349309357413394477489462
2017 2021 - - - - - - -
499516-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 260 hommes pour 238 femmes, soit un taux de 52,21 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,7 
2,3 
75-89 ans
5,8 
15,7 
60-74 ans
16,6 
22,3 
45-59 ans
17,6 
20,0 
30-44 ans
23,9 
18,1 
15-29 ans
13,4 
20,9 
0-14 ans
21,0 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église.

L'église était anciennement placée sous le vocable de la Nativité-de la-Sainte-Vierge.

De l'édifice du XIIIe siècle ne subsiste plus que le chœur. De forme polygonale à trois pans, il est éclairé par des fenêtres à lancette. Ses voûtes à nervures sont supportées par des colonnes dont le fût très mince est accolé aux angles de la construction et surmontés de chapiteaux qui forment crochets. Les murs sont en craie taillée, sur les angles du chevet s'appliquent des contreforts peu saillants dont la base se perd dans les soubassements de l'église.

D'après les notes de l'abbé Daniel Haigneré (historiographe du Pas-de-Calais du XIXe siècle), une tour se trouvant entre le chœur et la nef présentait des arcades romanes dans sa partie basse. Cette tour n'existe plus. La nef a été reconstruite vers le milieu du XIXe siècle. Un clocher qui fait porche la précède. Celui-ci abrite deux cloches qui portent des inscriptions relatives à leur baptême.

Grosse cloche : Eugénie, 1836, bénite par Mr Lattaignant, curé de Pihen. Parrain : Roger, baron de Colbert de Castel Hill. Marraine : Eugénie Podevin, née Devin des Ervilles. Mr Adolphe Podevin-Carpentier étant maire de Pihen.

Petite cloche : Augustine-Georgina, 1888, bénite par Mr Gallais, curé doyen de Guînes. Parrain : M. Georges Van Robais. Marraine : Augustine Mollien Devin des Ervilles. Mr Eugène Rémy étant curé et M. Ferréol, maire.

La croix de fer surmontant le clocher est cantonnée par des spirales donnant la date de 1826

Les notes de l'abbé Haigneré signalent plusieurs épitaphes anciennes dont celle sur une dalle en pierre bleue de Marquise dans le pavage de la basse église portant le nom de Bernard Cannet, marchand à Boulogne-sur-Mer, décédé le . En 1970, la réfection du dallage du chœur, une pierre tombale très bien conservée a été mise à jour portant le nom d'Adrien le Roy, décédé le .

L'ancien cimetière, qui entourait l'église, compte plusieurs pierres tombales anciennes en pierre grise de Marquise, ainsi celles d'Alexandre-Roger de Colbert de Castel Hill, décédé au château de la Rocherie le et de François de Reynaud d'Arnaud.

Le nouveau cimetière, transféré depuis assez longtemps, est situé à quelques distances dans l'ancien Courtil des Rois. La croix du cimetière fut érigée le par Alphonse de Guizelin et sa femme Louise de Montbrun.

Le monument aux morts.
  • Le château d'Alenthun
  • Le manoir du Beauregard
  • Le château de la Rocherie
  • Le château de la Quennevacherie
  • L'ancien moulin

Situé sur la hauteur, sur la route de Bonningues-lès-Calais existe toujours une tour ruinée qui autrefois était un moulin à vent. Ce moulin construit en brique de sable sur fondation de pierre de Landrethun date de 1839. Certaines anciennes cartes postales lui donnent le nom de « moulin Lay » ou « moulin Lay-Tristam ». Près de l'entrée tournée vers Calais une niche datée de 1879, encore visible, abritait une statue en bois peint représentant saint Donat (l'iconographie de ce saint le représente avec des cheveux et une barbe semblables à ceux du Christ, les bras à l'horizontale (tendus en avant), la main droite tenant un glaive, pointe en l'air.

Il s'agissait d'un moulin de type tour, celui-ci a généralement un corps fixe en pierre ou en brique, surmonté d'une toiture pouvant pivoter, seule, sur 360°. Elle supporte les ailes et abrite le rouet et la lanterne. Pour mettre les ailes face au vent, l'arrière du moulin est équipé d'une guivre (queue) descendant jusqu'au sol à la disposition du meunier. Des cartes postales anciennes montrent que les ailes sont de type flamand : les ailes sont dissymétriques, chacune d'elles peut atteindre jusqu'à 12 mètres, créant une envergure de 24 ou 25 mètres. Le côté droit est équipé de planches inclinées formant le bord étroit de l'aile, le côté gauche se compose d'un quadrillage de barreaux et de lattes.

  • Cimetière du Commonwealth britannique
  • La gare de Pihen.
  • Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Pihen-lès-Guînes Blason
De gueules à l'aigle d'argent, surmontée d'une couronne de baron du même.
Détails
Armes d'un supposé « baron de Pihen », même si la commune montre une couronne de vicomte et non de baron.
Adopté par la municipalité en 1992.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Pihen-lès-Guînes et Licques », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Licques » (commune de Licques) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Licques » (commune de Licques) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Calais », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 297.
  15. Abbé D. Haigneré, Dictionnaire topographique de la France, comprenant les noms de lieux anciens et modernes : arrondissement de Boulogne-sur-Mer, 1881, p. 96, lire en ligne.
  16. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  17. BE. B. (CLP), « Municipales à Pihen-lès-Guînes : le maire sortant et son équipe unis pour l’intérêt communal : Poursuivre le travail entrepris, voilà la devise de ralliement de Jean-Luc Marot, le maire sortant et de son équipe qui se lancent, pour l’instant en cavaliers seuls puisqu’aucune liste d’opposition ne s’est encore fait connaître dans la bataille des municipales de mars prochain », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. B. B. (CLP), « Pihen-lès-Guînes : Jean-Luc Marot, le maire sortant, est réélu : Jean-Luc Marot, le maire sortant, n’avait guère de souci à se faire. Au nombre de onze, tous les sièges à pourvoir au sein du conseil municipal ont été remportés dès le premier tour par l’ensemble des élus sortants », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  20. BE. B. (CLP), « Notre série «projets des maires»: à Pihen-lès-Guînes, priorité à la rénovation de la mairie et à l’enfouissement des réseaux : Comme elle l’a fait avec les bilans des maires avant les élections, « La Voix du Nord » propose une série consacrée cette fois à leurs projets. Quels engagements ? Quels grands chantiers ? Quelles priorités ? Les réponses de Jean-Luc Marot, maire de Pihen-lès-Guînes », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  23. « label de la commune », sur concours des villes et villages fleuris (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pihen-lès-Guînes (62657) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).