Servoz

Servoz
Servoz
L'église et le centre du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Bonneville
Intercommunalité Communauté de communes de la vallée de Chamonix-Mont-Blanc
Maire
Mandat
Nicolas Evrard
2020-2026
Code postal 74310
Code commune 74266
Démographie
Gentilé Chirve
Population
municipale
1 082 hab. (2021 en augmentation de 18,12 % par rapport à 2015)
Densité 80 hab./km2
Population
agglomération
60 234 hab.
Géographie
Coordonnées 45° 55′ 57″ nord, 6° 45′ 46″ est
Altitude Min. 758 m
Max. 2 324 m
Superficie 13,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chamonix-Mont-Blanc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Mont-Blanc
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Servoz
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Servoz

Servoz (prononcé en français : [ˈsɛr.vo(z)])[1] est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Le village est resté à l'écart des grands flux touristiques de la région et garde, de ce fait, un aspect rural montagnard sauvegardé.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Servoz vu de Platé
Servoz vue de Platé.

Servoz se situe dans la haute vallée de l'Arve, entre Chamonix-Mont-Blanc et Saint-Gervais-les-Bains. C'est un village qui s'étend au pied du massif de Pormenaz à l'est, de la tête Noire au sud-ouest et du massif du Faucigny au nord.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Passy Rose des vents
N Chamonix-Mont-Blanc
O    Servoz    E
S
Les Houches

Géologie et relief, hydrographie[modifier | modifier le code]

De nombreux hameaux, dont le bourg principal, sont implantés en bordure d'une petite plaine qui marque le fond d'un ancien lac.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat y est de type montagnard.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Train en gare de Servoz
Train en gare de Servoz.

La gare SNCF de Servoz est sur la ligne Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet à Vallorcine.

La commune est desservie à l'année par le réseau Chamonix Bus, dont l'offre de transport s'adapte au fil des saisons (hiver, été et hors saison).

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Servoz est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chamonix-Mont-Blanc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 4 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (41,7 %), forêts (39,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,8 %), prairies (6,4 %), zones urbanisées (4,5 %)[7].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La mention de la paroisse remonte à un document de l'année 1236, avec la forme Syervoz[8]. Au cours des deux siècles suivantes, on trouve les formes Siervu (1374), Sielvoz (1435), Servoz (1443) Servuz (1487) et Serva (1495)[8]. En 1605, la forme Servoz est utilisée[8]. La première mention de la paroisse remonte en 1153 avec l'église Sancti Martini de lacu (ou Saint-Martin du Lac), en 1153[8], un ancien hameau situé en face du village actuel, selon le Régeste genevois[9].

Servoz est une forme locale, avec le suffixe patois -oz, du mot de l'ancien français, selvain, (dérivé du latin silvanus) qui désigne un bois ou « ce qui habite dans les bois »[8].

Traditionnellement, le -oz final du nom des communes savoyardes ne se prononce pas, donnant ainsi « Serve » en français régional.[Note 3]. Toutefois, sous la sphère d'influence de la langue française, on entend de plus en plus dans l'usage local la prononciation impropre avec l'utilisation de toutes les syllabes[13].

En savoyard, le nom de la commune s'écrit Siérvo et se prononce [ˈʃiːr.vo]. Parfois on trouve également l'écriture Sèrvo avec la prononciation [ˈsar.vo] (retranscrite selon la norme API) et « sarvô » (transcrit selon la graphie semi-phonétique de Conflans)[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Maison dans le vieux Servoz.

Au Ve siècle av. J.-C., les Ceutrons s'installent tout près du lac qui à cette époque occupait le bassin de Servoz. Deux siècles plus tard, les Allobroges, peuplade celtique, repoussent les Ceutrons et installent leurs camps sur les Gures, promontoire dominant l'entrée du bassin de Servoz. Avec le temps et l'érosion, le lac disparaît. La borne de la Forclaz-du-Prarion, au col, marque la limite du territoire des Ceutrons et des Allobrogres en 74.

Période médiévale[modifier | modifier le code]

En 1339, une enquête delphinale désigne Servoz sous le nom de mandement Saint-Michel-du-Lac, possession des Seigneurs de Faucigny, et de paroisse Notre-Dame-du-Lac, au sein du diocèse de Genève[15].

En 1355, sous Amédée VI de Savoie le Faucigny est intégré aux États de Savoie et en devient une province. Servoz devient alors Savoyard.

Un passé minier[modifier | modifier le code]

Dès le XVe siècle, et peut être même durant l'antiquité, les richesses minières de l'ensemble de la vallée de Chamonix seront l'objet de recherches. Plomb, cuivre et dans une moindre mesure l'argent, seront donc recherchés. L'alun, bien que son existence fut à plusieurs reprises contestée dans cette partie des Alpes françaises sera recherché au XVe siècle. Plusieurs minéraux du groupe de l'alun ont été trouvés depuis quelques années sur plusieurs sites. Notamment dans les gorges de la Diosaz et aux Montées Pellissier (analyses X sur MEB et observations au MEB)[16].

Servoz est, au XVIIIe siècle, le siège d'une compagnie minière qui exploitait plusieurs filons de cuivre, plomb et argent.

Les travaux d'exploitation étaient situés au sein d'une concession de plus de 63 km2.

Les vestiges de ce passé industriel font partie intégrante du patrimoine archéologique industriel de Servoz et de la Haute vallée de l'Arve. Récemment des travaux ont été entrepris sur les scories de fonderie (analyses XRF et XRD, observations sur section polies au microscope électronique). Les scories sont de plusieurs types : scories écoulées externes, scories internes, scories de fourneau à manche.... Une affiche est présentée aux gorges de la Diosaz (rivière utilisée pour la mise en mouvement des différents ateliers de la fonderie).

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 4], dont une quarantaine dans le village[19],[20]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Situation administrative[modifier | modifier le code]

Anciennement rattachée au syndicat mixte du Pays du Mont-Blanc (regroupant initialement 14 communes), Servoz s'est associée avec Chamonix-Mont-Blanc, Les Houches et Vallorcine pour former, en 2009, la communauté de communes de la vallée de Chamonix Mont-Blanc[22].

Depuis le redécoupage cantonal de 2014, la commune est intégrée au canton du Mont-Blanc, avec Chamonix-Mont-Blanc, Les Contamines-Montjoie, Les Houches, Passy, Saint-Gervais-les-Bains, et Vallorcine. Le bureau centralisateur se trouve à Passy[23]. Avant ce redécoupage, elle appartenait au canton de Chamonix-Mont-Blanc.

La commune fait partie de l'aire urbaine de Chamonix-Mont-Blanc ensemble à Chamonix-Mont-Blanc et Les Houches.

Servoz relève de l'arrondissement de Bonneville et de la sixième circonscription de la Haute-Savoie (créée en 2009).

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1871 1881 Joseph Gabriel Deschamps
(1818-1895)
  Cultivateur au Mont
  1983 Christian Ferrero    
1983 mars 2008 Marie-France Marcos PRG Proviseure, conseillère régionale (1998-2010)
mars 2008 mars 2014 Laure Schmutz DVG ...
mars 2014 En cours Nicolas Evrard DVG Membre de cabinets ministériels
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 1 082 habitants[Note 5], en augmentation de 18,12 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
422430441436616589455453453
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
465478519510495562755568532
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
503503460440479509441426434
1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 -
4356198188959179351 0411 082-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Les gorges de la Diosaz, site classé, sont un objectif de promenade accessible à tous, à travers un sentier entretenu accroché à la paroi, franchissant le torrent, permettant d’approcher les cascades et de pénétrer dans l’étroite fissure de la montagne[31].

Réserves naturelles[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune ne contient aucune réserve naturelle mais trois sont très proches :

ZNIEFF de type I[modifier | modifier le code]

C'est une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I, comprenant notamment :

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune de Servoz bénéficie du label « ville fleurie » avec « 1 fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[32].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le , le financier et escroc Alexandre Stavisky, en fuite, se réfugie à Servoz, villa des Argentières. Trois jours plus tard, il part pour Chamonix où il loue le chalet « Le Vieux Logis ». Il s'y serait suicidé avant de mourir à l'hôpital local le [33].

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le -oz final ne se prononce pas, mais indique que l'accentuation du mot va sur la première syllabe[10],[11],[12].
  4. Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l'Angleterre[17],[18].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Prononciation en français retranscrite selon la norme API.
  2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chamonix-Mont-Blanc », sur insee.fr (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  8. a b c d et e Henry Suter, « Servoz (Servaz) », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  9. Document n°331, publié dans Paul Lullin et Charles Le Fort, Régeste genevois : Répertoire chronologique et analytique des documents imprimés relatifs à l'histoire de la ville et du diocèse de Genève avant l'année 1312, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, , 542 p. (lire en ligne), p. 92, 501, 529.
  10. Henri Dénarié, « Berlioz ne rime pas avec myxomatose », La Voix des Allobroges,‎ (lire en ligne) (Article publié dans le numéro 13 de La Voix des Allobroges, été 2007)
  11. Jean-Baptiste Serron avec Marc Bron, « Comment bien prononcer les noms de nos communes? », L'Essor savoyard,‎ (lire en ligne).
  12. « Toponymie arpitane : les noms en -oz, -az, -ex, -ix », sur Arpitan.com - Fédération internationale de l'arpitan (consulté le ).
  13. Robert Perret, Les panoramas du Mont Blanc, 1929, page V, « Je ne demanderai jamais qu'on abandonne Servoz, accepté par la prononciation paysanne, pour ressusciter Serve qui ne serait plus compris ».
  14. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 15
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
  15. Nicolas Carrier, Entre Genève et Mont-Blanc au XIVe siècle : enquête et contre-enquête dans le Faucigny delphinal de 1339, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, , 401 p. (ISBN 978-2-88442-019-8, OCLC 61715040).
  16. Selon S. Briand, Un patrimoine minier.
  17. Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
  18. Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 163.
  19. Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p., sur books.google.com (lire en ligne), p. 71-72.
  20. Guichonnet 1982, p. 167.
  21. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p., sur books.google.fr (lire en ligne), p. 18.
  22. « La Communauté », sur site de la Communauté de communes Pays du Mont-Blanc (CCPMB) (consulté le ).
  23. « Décret no 2014-185 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie », Légifrance, (consulté en ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Raymond Oursel, Les chemins du sacré : L'art sacré en Savoie, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 393 p. (ISBN 978-2-84206-350-4, lire en ligne), p. 249.
  29. Lucien Guy, « Les anciens châteaux du Faucigny - Château de Saint-Michel (section) », Mémoires & documents, vol. 47,‎ , p. 205-206 (lire en ligne).
  30. « Château Saint-Michel-du-Lac (vers 1290-1300) : origines, ruines et récits » sur le site Culture, Histoire et Patrimoine de Passy - www.histoire-passy-montblanc.fr.
  31. Ouverture de juin à septembre.
  32. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  33. Le Dauphiné, 10 01 2021. L'affaire Stavisky - Suicide à Chamonix, la République vacille.