Mus (Gard)

Mus
Mus (Gard)
La mairie de Mus
Blason de Mus
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté de communes Rhôny Vistre Vidourle
Maire
Mandat
Patrick Benezech
2020-2026
Code postal 30121
Code commune 30185
Démographie
Gentilé Mussois
Population
municipale
1 542 hab. (2021 en augmentation de 10,7 % par rapport à 2015)
Densité 593 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 44′ 27″ nord, 4° 12′ 05″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 68 m
Superficie 2,6 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Vergèze
(banlieue)
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vauvert
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Mus
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Mus
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Mus
Liens
Site web mairie-mus.fr

Mus (prononcer mu:s) est une commune française située dans le sud du département du Gard en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le canal d'irrigation du Bas-Rhône Languedoc.

Mus est une commune urbaine qui compte 1 542 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine de Vergèze et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Mussois ou Mussoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Mus
Calvisson
Aigues-Vives Mus Vergèze
Codognan

Hydrographie et relief[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 664 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 2,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gallargues-le-Montueux à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 674,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[7],[8],[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mus est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[I 1],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vergèze, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[I 2] et 9 021 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 5],[I 6].

Mus est l'une des 75 communes membres du schéma de cohérence territoriale (SCOT) du Sud du Gard et fait également partie des 34 communes du Pays vidourle près de la Camargue.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (58,1 %), zones urbanisées (32,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %), forêts (2,9 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Mus est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le canal du Bas-Rhône Languedoc. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1994, 2005 et 2021[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mus.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 585 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 585 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[18].

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestée sous la forme Murs en 1060.

Provençal Mus, du roman Murs, du bas latin Murus, Muri[20].

Les habitants s'appellent les Mussois et Mussoises.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Les premières traces d'habitation dans les environs de la commune sont celles des Romains. Des vestiges de thermes ont été retrouvés non loin du village de Mus et il semblerait qu'une petite communauté de Romains s'installe et forme une sorte de hameau appelé plus tard Patarin. Un évènement inconnu poussent les habitants de Patarin à quitter leurs demeures pour venir se réfugier sur la colline qui domine l'endroit, certainement pour se protéger de certaines attaques. Un nouveau village est donc formé sur la colline et des murs de protection furent construits.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, les murs de protection furent fortifiés pour protéger encore mieux la population qui grandissait et peut-être même des menaces arabes. C’est d’ailleurs de cette fortification que la ville tient son nom. Elle fut d’abord appelée Murs puis, progressivement, par déformation de la langue, son nom s’est transformé pour devenir ce qu’il est aujourd’hui : Mus.

Par la suite les murs ne furent pas entretenus et les fortifications disparurent petit à petit. Il reste cependant quelques vestiges de cette muraille et lorsqu’on se promène dans les ruelles du village ancien, on peut avoir à passer sous l’une des nombreuses portes qui existent encore.

Le village est mentionné Murs, villa in Valle-Anagia en 1060 dans le cartulaire du chapitre cathédral de Notre-Dame de Nîmes et en 1094 dans le cartulaire de l'abbaye de Psalmodie[21].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2017 Vivette Lopez LR Secrétaire de mairie
Auditrice IHEDN
Vice-présidente de la communauté de communes Rhôny Vistre Vidourle (2008-2017)
Sénatrice du Gard (depuis 2014)
2017 2020 Gérard Duplan DVD Vice-Président de la Communauté de communes Rhôny Vistre Vidourle
2020 En cours Patrick Benezech DVG  
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

En 2021, la commune comptait 1 542 habitants[Note 3], en augmentation de 10,7 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
350403482511546596562556536
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
555541590547522426465502488
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
478457392344341325317264318
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3133824065657681 0491 1761 3241 397
2021 - - - - - - - -
1 542--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Chaque année, le village organise une Fête votive. La jeunesse mussoise, accompagnée des moins jeunes, se rassemble pour faire la fête. Avec ses abrivados, ses bandidos, ses encieros et ses courses de nuit, la fête à Mus est un évènement de la période estivale en Petite Camargue.

Festival de Musique de Mus : depuis 2008, en avril et en octobre, l'association Musica Domitia et l'ensemble "Les Chambristes", organisent un festival sur 3 ou 4 jours. Ces soirées et concerts de midi sont dédiés principalement à la musique de chambre et, en octobre, plus particulièrement au piano. https://www.festivaldemus.com/

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 584 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 1 491 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 460 [I 7] (20 020  dans le département[I 8]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 7,5 % 6,2 % 8,1 %
Département[I 10] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 914 personnes, parmi lesquelles on compte 74,9 % d'actifs (66,8 % ayant un emploi et 8,1 % de chômeurs) et 25,1 % d'inactifs[Note 5],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 153 emplois en 2018, contre 126 en 2013 et 103 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 616, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,8 %[I 13].

Sur ces 616 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 99 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 87,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,1 % les transports en commun, 4,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

117 établissements[Note 6] sont implantés à Mus au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 117 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
5 4,3 % (7,9 %)
Construction 28 23,9 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
38 32,5 % (30 %)
Information et communication 1 0,9 % (2,2 %)
Activités financières et d'assurance 4 3,4 % (3 %)
Activités immobilières 2 1,7 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
15 12,8 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
18 15,4 % (13,5 %)
Autres activités de services 6 5,1 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32,5 % du nombre total d'établissements de la commune (38 sur les 117 entreprises implantées à Mus), contre 30 % au niveau départemental[I 17].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[26] :

  • Confort Developpement Energies - CDE, travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation (517 k€)
  • Bine-Export, commerce de gros (commerce interentreprises) alimentaire non spécialisé (40 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

1988 2000 2010 2020
Exploitations 22 12 10 5
SAU[Note 8] (ha) 203 227 159 93

La commune est dans la « Plaine Viticole », une petite région agricole occupant le sud-est du département du Gard[27]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 10] (22 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 93 ha[29],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Beffroi communal : clocher de l'église.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Jean-Baptiste de Mus : le clocher a été surélevé en 1898 afin d'abriter une sorte de campanile avec cloche à l'air libre surmontée d'un chapeau en zinc sonnant les heures.
  • Temple protestant de Mus de style néo classique du début du XIXe siècle.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine environnemental[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
De sinople aux trois barres de sables, au chat-huant d'argent becqué et membré d'or, au canton senestre chargé d'une angemme aussi d'or[réf. nécessaire].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  8. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[28].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Vergèze » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Mus » (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Mus » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Mus » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Mus » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Mus et Gallargues-le-Montueux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Gallargues-le-Montueux » (commune de Gallargues-le-Montueux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Gallargues-le-Montueux » (commune de Gallargues-le-Montueux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Mus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  8. « Liste des ZNIEFF de la commune de Mus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune de Mus », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Mus », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Mus », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 388, t. 2
  21. Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 148
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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