Mas-Blanc-des-Alpilles

Mas-Blanc-des-Alpilles
Mas-Blanc-des-Alpilles
Blason de Mas-Blanc-des-Alpilles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Arles
Intercommunalité Communauté de communes Vallée des Baux-Alpilles
Maire
Mandat
Laurent Geslin
2020-2026
Code postal 13103
Code commune 13057
Démographie
Gentilé Masblancais
Population
municipale
513 hab. (2021 en diminution de 0,97 % par rapport à 2015)
Densité 327 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 47′ 24″ nord, 4° 45′ 28″ est
Altitude 15 m
Min. 9 m
Max. 65 m
Superficie 1,57 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Rémy-de-Provence
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Rémy-de-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Salon-de-Provence-1
Législatives Seizième circonscription
Localisation
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Mas-Blanc-des-Alpilles

Mas-Blanc-des-Alpilles est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Masblancais[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Mas-Blanc-des-Alpilles est la plus petite commune de Provence. L'accès se fait par la RD 99, entre Saint-Étienne-du-Grès (à l'ouest) et Saint-Rémy-de-Provence (à l'est).

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Vigueirat.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 658 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 2,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tarascon », sur la commune de Tarascon à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 15,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 643,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 43 °C, atteinte le ; la température minimale est de −7,7 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Le mistral[modifier | modifier le code]

Le mistral y souffle violemment du nord ou du nord-ouest, particulièrement en hiver et au printemps. Le mistral souffle fortement 100 jours par an en moyenne et faiblement 83 jours, ce qui ne laisse que 182 jours sans vent par an[9].

On distingue deux types de mistral : le « mistral blanc », qui dégage le ciel en totalité et accentue la luminosité, et le « mistral noir », plus rare, qui est accompagné de pluie.

Données météorologiques[modifier | modifier le code]

Mas-Blanc-des-Alpilles n'ayant pas de station météo, la plus proche est celle de Saint-Rémy-de-Provence[10].

Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1971-2000  :

Relevé météorologique de Saint-Rémy-de-Provence
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 3 3,6 6 8,4 12,2 15,9 18,6 18,3 15 11,5 6,4 4,3 10,3
Température moyenne (°C) 7 8 11 13,4 17,6 21,6 24,6 24,1 20,2 15,7 10,4 7,9 15,1
Température maximale moyenne (°C) 11 12,4 16 18,5 23 27,3 30,6 30 25,5 20 14,4 11,5 20
Précipitations (mm) 55,6 33,3 23 48,8 36,2 31,3 26,5 34,2 65,6 69,5 57,8 41,3 523,1
Source : Relevé météo de Saint-Rémy-de-Provence[11]
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
11
3
55,6
 
 
 
12,4
3,6
33,3
 
 
 
16
6
23
 
 
 
18,5
8,4
48,8
 
 
 
23
12,2
36,2
 
 
 
27,3
15,9
31,3
 
 
 
30,6
18,6
26,5
 
 
 
30
18,3
34,2
 
 
 
25,5
15
65,6
 
 
 
20
11,5
69,5
 
 
 
14,4
6,4
57,8
 
 
 
11,5
4,3
41,3
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mas-Blanc-des-Alpilles est une commune rurale[Note 2],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Rémy-de-Provence, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[15] et 12 885 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Rémy-de-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,5 %), zones urbanisées (27,9 %), forêts (16,4 %), terres arables (3,2 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Lors de la seconde partie du premier âge du Fer (VIIe – VIe siècles av. J.-C.), la population, jusqu'alors essentiellement nomade, se sédentarise et se met à construire en dur. Le castrum se structure à la manière d'un village avec ses rues et ses maisons adossées[21]. Le processus d'installation permanente est à mettre en parallèle avec l'intensification des échanges économiques avec les commerçants méditerranéens[21]. En échange de produits de luxe, les habitants des Alpilles produisent des céréales et passent d'une état d'autarcie à une véritable économie d'échange[21].

Au cours des siècles suivants, la population des Alpilles diminue de façon conséquente : le comptoir grec d'Arles attire de nombreux habitants venus de toute la région[21].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Renaissance[modifier | modifier le code]

Période moderne[modifier | modifier le code]

Le premier "maire" de la commune date certainement de la création, par Louis XIV, en 1692, de l'Office de Maire[22], ayant pour les fonctions d'officier d'état civil. Le village ne devient, malgré tout, commune que 100 ans plus tard, en 1793.

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Mairie de Mas-Blanc-des-Alpilles.

De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.

De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII () revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.

Du à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.

De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.

Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal à la suite de son élection au suffrage universel.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945 mars 1971 Louis Gognon    
mars 1971 juin 1995 Pierre Limberton    
juin 1995 mars 2008 Uliano Babski    
mars 2008 En cours Laurent Geslin DVD Contremaître
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Mas-Blanc-des-Alpilles est une des dix communes de la communauté de communes Vallée des Baux-Alpilles.

Fiscalité[modifier | modifier le code]

L'imposition des ménages et des entreprises à Mas-Blanc-des-Alpilles en 2009[23]
Taxe Part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale
Taxe d'habitation (TH) 11,94 % 0,00 % 9,19 % 0,00 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 16,69 % 0,00 % 10,85 % 2,36 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 56,88 % 0,00 % 9,80 % 8,85 %
Taxe professionnelle (TP) 0,00 % 15,56 % 7,08 % 3,84 %

La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[24]).

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 513 habitants[Note 4], en diminution de 0,97 % par rapport à 2015 (Bouches-du-Rhône : +2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
13010110390118111118121118
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
119131120107125221139122131
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
134134132136152158136175131
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
134136139248348372476506508
2018 2021 - - - - - - -
507513-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Mas-Blanc-des-Alpilles

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

D'azur à un mât de vaisseau d'argent.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 19 438 , ce qui plaçait Mas-Blanc-des-Alpilles au 7 599e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[29].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Le vin de pays des Alpilles est un vin de pays de zone, au nord des Bouches-du-Rhône qui a vocation à labelliser, après dégustation, les vins ne pouvant postuler à l'appellation d'origine. Jusqu'en 2000, il portait le nom de vin de pays de la Petite Crau. La production est d'environ 6 000 hectolitres par an. Son vignoble, installé sur un plateau caillouteux, est limité, au nord, par la Durance et au sud, par les Alpilles[30].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Hormis l'agriculture, l'économie la plus facilement identifiable autour du massif des Alpilles est liée au tourisme. Même les producteurs viticoles et oléicoles semblent tenir compte du développement du tourisme et de plus en plus de domaines proposent de la dégustation, voir dans certains cas de véritables cours d'initiation à l'œnologie.

On peut considérer trois principales sortes de tourisme dans les Alpilles. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche (les Baux-de-Provence, Glanum, etc.) ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le massif et ses environs.

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Pour le sport nous avons fabriqué un parc de jeu (basket, foot...) et aussi un terrain de cross.

Santé[modifier | modifier le code]

Environnement[modifier | modifier le code]

Le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés est assuré dans le cadre des missions de la communauté de communes Vallée des Baux-Alpilles[31].

Chapelle Saint-Lambert.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Habitants de Mas-Blanc-des-Alpilles », sur habitants.fr.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Mas-Blanc-des-Alpilles et Tarascon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Tarascon », sur la commune de Tarascon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Tarascon », sur la commune de Tarascon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Le climat », in Les Alpilles, encyclopédie d'une montagne provençale, H. Bruneton, éd. Les Alpes de Lumière, Forcalquier, 2009, p. 23-24.
  10. « Station météo la plus proche : Saint-Rémy-de-Provence », MSN Météo.
  11. « Relevé météo de Saint-Rémy-de-Provence », MSN Météo.
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Saint-Rémy-de-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a b c et d Y. Marcadal, « Les oppida des Alpilles », in Les Alpilles, op. cit, p. 146.
  22. Histoire de la commune de Mas-Blanc-des-Alpilles
  23. « Impôts locaux à Mas-Blanc-des-Alpilles », taxes.com.
  24. Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl », sur site de l'Insee (consulté le ).
  30. Louis Menjucq, président de l'ANIVIT (sous la direction de), Vins de pays de France,  éd. Romain Pages, Saint-Cloud, 1991, (ISBN 2908878151), p. 86.
  31. http://www.aspic.interieur.gouv.fr/Aspic2/asvixGroupementHTML.php?idGrpt=74&style=doc&x=1288173399
  32. « PA00081381 », notice no PA00081381
  33. Michel Savalli, « Liste des édifices cultuels de notre Unité Pastorale Sainte Marthe », sur paroisse-de-tarascon.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Les Alpilles. Encyclopédie d'une montagne provençale, divers auteurs, éd. Les Alpes de Lumière, Forcalquier, 2009, (ISBN 978-2906162976).
  • « Les Alpilles et la Montagnette », Carte archéologique de la Gaule, t. 13/2, 1999, p. 203-207, (ISBN 978-2877540599).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]