Thonac

Thonac
Thonac
Le château de Losse au bord de la Vézère.
Blason de Thonac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Homme
Maire
Mandat
Christian Garrabos
2020-2026
Code postal 24290
Code commune 24552
Démographie
Population
municipale
262 hab. (2021 en augmentation de 1,95 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 01′ 20″ nord, 1° 07′ 00″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 232 m
Superficie 11,62 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Homme
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Thonac

Thonac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le GR 36 à proximité du manoir de la Vermondie.

La commune de Thonac est située en Périgord noir, à l'est du département de la Dordogne.

Le bourg, traversé par la route départementale (RD) 706, se situe, en distances orthodromiques, six kilomètres au sud-ouest du centre-ville de Montignac-Lascaux et dix-sept kilomètres au nord-nord-ouest de Sarlat-la-Canéda.

La commune est également desservie par les RD 45, 65E et 706E.

Le territoire communal est traversé par le GR 36 sur six kilomètres et demi, celui-ci formant la limite communale sur deux kilomètres et demi, en deux tronçons, face à Montignac-Lascaux et Saint-Léon-sur-Vézère.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Thonac et des communes avoisinantes.

Thonac est limitrophe de cinq autres communes. Au nord-ouest, son territoire est distant d'environ 450 mètres de celui de Plazac.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Thonac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3b-c, date du Coniacien moyen à supérieur, composée de calcaires bioclastiques grossiers et quartzeux jaunes à bryozoaires et gastéropodes, à niveaux gréseux (formation des Eyzies). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 783 - Thenon » et « no 784 - Terrasson » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Carte géologique de Thonac.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 67 mètres et 232 mètres[6],[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 11,62 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 11,36 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Vézère, le Thonac, le ruisseau d'Auberoche, le ruisseau de Fongran et par un petit cours d'eau[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Vézère, d'une longueur totale de 211,2 km, prend sa source en Corrèze dans la commune de Meymac et se jette dans la Dordogne — dont elle est l'un des principaux affluents — en rive droite, à Limeuil, face à Alles-sur-Dordogne[16],[17]. Elle borde la commune de l'est au sud sur trois kilomètres et demi.

Le Thonac, d'une longueur totale de 11,5 km, prend sa source à Bars et se jette dans la Vézère en rive droite sur la commune, face à Sergeac[18],[19]. Il traverse le territoire communal du nord au sud sur huit kilomètres, confluant avec la Vézère au sud-ouest du bourg.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[22]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[23].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 899 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[24]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Thenon à 13 km à vol d'oiseau[25], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[26],[27]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[28].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Thonac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,7 %), prairies (17,7 %), zones agricoles hétérogènes (16,7 %), terres arables (7,2 %), zones urbanisées (2,7 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Thonac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vézère et le Thonac. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1996, 1999, 2001 et 2008[37],[35]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Vézère » approuvé le , pour les crues de la Vézère. La crue historique la plus forte sur le secteur du PPRI pour laquelle des informations sont disponibles est la crue d’octobre 1960. Le débit de pointe de cette crue a été défini à 1 360 m3/s à Montignac, soit une période de retour d’environ 250 ans[38],[39].

Thonac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[40]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[41],[42].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Thonac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[43]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[44]. 35 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[45].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[35].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 6] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[47].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En occitan, la commune porte le nom de Tonac[48].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1602, Jean de Losse, écuyer, seigneur de Bannes, commandant de la garde écossaise, gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi, capitaine du château du Louvre et de la citadelle de Verdun, est inhumé dans l'église de Thonac[49].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[50],[51].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie en 2022.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 mai 2020 Serge Richard PS[52] Colonel en retraite
mai 2020[53] En cours Christian Garrabos SE Retraité

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

En 2023, dans le domaine judiciaire, Thonac relève[54] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[56].

En 2021, la commune comptait 262 habitants[Note 7], en augmentation de 1,95 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
502501511507577556548601613
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
560513520474458494470460415
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
410365358297299286290252226
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
206197226248257240255256256
2021 - - - - - - - -
262--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête communale chaque été, début août, sur un week-end[58].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[59], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 112 personnes, soit 43,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt) a augmenté par rapport à 2010 (onze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,9 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte 32 établissements[60], dont 21 au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et un dans l'industrie[61].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Pierre-ès-Liens de Thonac[70]. Son style laisse penser qu'elle pourrait dater du XIIe siècle comme nombre d'églises du Périgord[71]. Sa façade ouest se compose d'un clocher-mur à quatre baies campanaires (dont trois sont occupées par des cloches) surmonté d'un fronton composé de deux accolades dans lequel se trouve une autre baie, vide[71]. La nef unique est accostée au nord de la sacristie et au sud d'un bas-côté étroit qui pourrait être le vestige de l'édifice initial[71]. Initialement, elle était entourée de son cimetière[71]. Du XVIe siècle au XVIIIe siècle, cinq membres de la famille de Losse ont été inhumées dans cette église[71]. Le , lors de l'office de la Toussaint, la galerie s'effondre faisant chuter les personnes qui s'y étaient installées, sur d'autres personnes en dessous, faisant de nombreux blessés dont deux graves[71]. L'édifice est réparé probablement en 1903, sans reconstruction de la galerie ; il est restauré en 1982, puis en 1993 (pour le clocher-mur)[71]. L'église recèle une statue du XIIIe siècle en bois représentant la Vierge à l'Enfant, classée au titre des monuments historiques depuis 1960[72]. Une autre statue du XVIIe siècle en pierre taillée représentant le même sujet est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1977[73].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Yvon Delbos (1885-1956), homme politique, né à Thonac.
  • Hàm Nghi (1871-1944), empereur d'Annam, enterré au cimetière de Thonac

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Thonac Blason
D'azur à neuf étoiles à six rais d’or ordonnées 3, 3, 2 & 1[74].
Devise
1382 - Thonacum - 2002
Détails
Armes de la famille de Losse.

Confirmé le .

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le Turançon, affluent de rive gauche de la Vézère, n'arrose pas la commune de Thonac, entièrement située en rive droite.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[46].
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Thonac » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Thonac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Thonac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 783 - Thenon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 784 - Terrasson de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Thonac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Thonac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « Confluence Vézère-Dordogne face au Port de Limeuil » sur Géoportail (consulté le 11 septembre 2022)..
  17. Sandre, « la Vézère »
  18. « Confluence Thonac-Vézère au sud-ouest du bourg de Thonac » sur Géoportail (consulté le 11 septembre 2022)..
  19. Sandre, « le Thonac »
  20. « SAGE Vézère-Corrèze », sur gesteau.fr (consulté le ).
  21. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  23. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  35. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Thonac », sur Géorisques (consulté le ).
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  47. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
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