Saint-Chéron (Essonne)

Saint-Chéron
Saint-Chéron (Essonne)
L’hôtel de ville.
Blason de Saint-Chéron
Blason
Saint-Chéron (Essonne)
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Essonne
Arrondissement Étampes
Intercommunalité Communauté de communes Le Dourdannais en Hurepoix
Maire
Mandat
Jean-Marie Gelé
2020-2026
Code postal 91530
Code commune 91540
Démographie
Gentilé Saint-Chéronnais
Population
municipale
5 220 hab. (2021 en augmentation de 4,03 % par rapport à 2015)
Densité 456 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 33′ 16″ nord, 2° 07′ 27″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 159 m
Superficie 11,44 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Chéron
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dourdan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Chéron
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Saint-Chéron
Liens
Site web saint-cheron.fr

Saint-Chéron[1] (prononcé [sɛ̃ ʃeʁɔ̃] Écouter) est une commune française située dans le département de l'Essonne en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Saint-Chéronnais[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Saint-Chéron est située à trente-huit kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame[3], point zéro des routes de France, vingt-cinq kilomètres au sud-ouest d'Évry[4], quatorze kilomètres au nord-ouest d'Étampes[5], neuf kilomètres au nord-est de Dourdan[6], dix kilomètres au sud-ouest d'Arpajon[7], quinze kilomètres au sud-ouest de Montlhéry[8], dix-huit kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais[9], vingt kilomètres au sud-ouest de Palaiseau[10], vingt-sept kilomètres au sud-ouest de Corbeil-Essonnes[11], trente kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt[12]. Elle est par ailleurs située à cent soixante dix-neuf kilomètres au sud-ouest de Saint-Chéron dans la Marne[13].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La gare de Saint-Chéron.
  • Saint-Évroult, Baville, Mirgaudon, la Petite Beauce, La Tuilerie.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune dispose sur son territoire de la gare de Saint-Chéron desservie par la ligne C du RER d'Île-de-France.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Lavoir de Baville.

La commune est traversée par la rivière l'Orge. Une station de mesure hydrométrique est implantée dans la commune au hameau de Saint-Évroult[14].

Des zones inondables existent, repérées sur le plan local d'urbanisme.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 675 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dourdan à 8 km à vol d'oiseau[17], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 654,2 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Chéron est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[21],[22],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Chéron, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[24] et 6 694 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[25],[26].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[27],[28].

Occupation des sols en 2008.
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 14,8 % 171,07
Espace urbain non construit 9,5 % 109,28
Espace rural 75,8 % 876,07
Source : Iaurif-MOS 2008[29]

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 607, alors qu'il était de 2 423 en 2013 et de 2 021 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 79,5 % étaient des résidences principales, 13,7 % des résidences secondaires et 6,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 62,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 25,3 % des appartements[I 2].

La commune n'est pas assujettie à avoir un pourcentage minimum de logements sociaux en application des dispositions de l'article 55 de la loi SRU de 2000[30]. En 2008, le nombre de logements sociaux de la commune s'élevait à 200 (10,7 % des résidences principales), chiffre stable puisque, 10 ans après, en 2018, ce nombre était de 204, mais en légère baisse relative puisqu'il n'était plus que de 9,8 % des résidences principales, compte tenu de la création de 586 logements sur la période considérée[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Chéron en 2018 en comparaison avec celle de l'Essonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (13,7 %) supérieure à celle du département (1,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 69,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69,2 % en 2013), contre 58,7 % pour l'Essonne et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Saint-Chéron en 2018.
Typologie Saint-Chéron[I 1] Essonne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 79,5 91,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 13,7 1,6 9,7
Logements vacants (en %) 6,8 6,5 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestée sous les formes Sanctus Caraunus[31], Sanctus Cheraunus vers 1103[32], Sanctus Evrodus en 1304[33], Saint-Chéron, Mont-Couronne[31].

D'après l'histoire, ou la légende, la commune aurait été baptisée Saint-Chéron en hommage à un romain dénommé Caronus (devenu Chéron) qui, après de brillantes études à Rome, se convertit au christianisme et vint en Gaule via Marseille pour prêcher la foi chrétienne[34].

La commune fut créée en 1793 avec son nom actuel[35]

Histoire[modifier | modifier le code]

La carrière de Madagascar était dotée d'un réseau de chemin de fer, dont on voit ici la partie basse, et qui permettait de transporter les grès jusqu'à la gare de Saint-Chéron.

Le , meurt à Paris, Claude d'Aubray (1526-1609), âgé de 83 ans, qui était le seigneur et baron de Bruyères-le-Châtel, Saint-Chéron, Mauchamps, Saint-Sulpice, La Repose et Le Coudreau. Il est inhumé en l'église Saint-André-des-Arts, à Paris près de la muraille du chœur. Ses armes sont : "D'argent à trois trèfles de sable, accompagnés d'un croissant de gueules en abîme[36]".

Au XVIIIe siècle, sous le règne de Louis XV, furent inventées les candélabres à huile, invention destinée à éclairer d'une façon plus optimale les rues de Paris[réf. nécessaire]. C'est le cadet d'une famille aristocratique, qui ne voulait pas se soumettre à l'oisiveté, l'abbé Mathérot de Preigney, qui en fut l'ingénieux inventeur. Louis XV en était si satisfait qu'il le récompensa en lui accordant une faveur "religieuse" et le nomma abbé de l'abbaye de Saint-Chéron-lès-Chartre, de l'ordre des augustin, par lettres patentes. L'abbaye fait partie du diocèse de Chartres. En outre, monsieur Adrien-Joseph Le Valois d'Orville en chanta les louanges en un poème écrit en 1746. L'abbé Mathérot de Preigney mourut à Paris en 1758.

Aux XIXe et XXe siècles, la carrière de Madagascar, située entre l'Orge et la Renarde, est exploitée pour ses grès. La dernière grande carrière du Bois-des-Roches ferme en 1945[37]. Entre 1900 et 1914, la carrière employait plus de 450 ouvriers, qui façonnaient notamment des pavés destinés à la voirie[38].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du [39], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement de Palaiseau après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Essonne.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Dourdan-Nord, avant de devenir, lors de la mise en place du département de l'Essonne, le chef-lieu du canton de Saint-Chéron[35]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Dourdan.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre fondateur de la communauté de communes Le Dourdannais en Hurepoix créée fin 2005.

Tendances et résultats politiques[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores
Élections cantonales et départementales, résultats des deuxièmes tours
Élections municipales, résultats des deuxièmes tours
Référendums

Politique locale[modifier | modifier le code]

Compte tenu du nombre de ses habitants, supérieur à 5 000 habitants, la commune est administrée par un conseil municipal de vingt-neuf élus, y compris le maire et ses adjoints[54].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[55],[56]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1894 1902 Charles Gagniere    
1902 1907 Albert de Saulty    
1907 1908 Eugène Roux    
1908 1929 Edmond Vian[57] Radical socialiste Docteur en médecine
Député de Seine-et-Oise (1910 → 1914)
Conseiller général de Dourdan-Nord (1907 → 1930)
1930 1932 Paul Gelin    
1932 1944 Edmond Musmaque    
1944 1944 André Vincentelli    
1944 1944 Marcel Rouault    
1945 1953 Jules Collas    
1953 1965 Hubert Germain[Note 3],[58],[59] UDR Membre des forces françaises libres, compagnon de la Libération
Attaché de direction dans une entreprise de produits chimiques
Ministre (1972 → 1974)
Député de Paris (14e circ) (1962 → 1967, 1968 → 1972 et 1973)
1965 1973 Raymond Lochard    
1973 mars 1983 Pierre Castelnau    
mars 1983 mai 1988 Paul de Bigault de Cazanove   Vice-amiral d’escadre
Décédé en fonction
mai 1988 mars 2008 Jean-Pierre Delaunay RPR puis UMP Retraité
Conseiller général de Saint-Chéron (2001 → 2015)
mars 2008[60] novembre 2017[61] Jocelyne Guidez UDI Sénatrice de l'Essonne (2017 → )
Présidente de la CC Le Dourdannais en Hurepoix (2014 → 2017)
Démissionnaire à la suite de son élection comme sénatrice
novembre 2017[62],[60] En cours
(au 16 octobre 2021)
Jean-Marie Gelé DVD Ancien technicien au CEA
Réélu pour le mandat 2020-2026[63]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Saint-Chéron a développé des associations de jumelage avec :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[66]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[67].

En 2021, la commune comptait 5 220 habitants[Note 4], en augmentation de 4,03 % par rapport à 2015 (Essonne : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1001 2241 1951 1971 1251 0341 0301 0681 071
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0351 0361 0961 0911 1881 4011 4701 6411 854
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9841 9492 0141 8411 9661 8771 8951 9521 964
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 2362 4573 3703 5504 0824 4444 7524 7964 834
2017 2021 - - - - - - -
5 0725 220-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[68].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,5 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 477 hommes pour 2 657 femmes, soit un taux de 51,75 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[69]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,7 
6,5 
75-89 ans
8,2 
14,4 
60-74 ans
14,7 
21,8 
45-59 ans
21,5 
18,4 
30-44 ans
17,9 
18,9 
15-29 ans
17,8 
19,5 
0-14 ans
19,2 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2020 en pourcentage[70]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,3 
75-89 ans
7,1 
12,9 
60-74 ans
13,8 
20,1 
45-59 ans
19,6 
19,9 
30-44 ans
20,1 
19,9 
15-29 ans
18,3 
21,4 
0-14 ans
19,8 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les élèves de Saint-Chéron sont rattachés à l'académie de Versailles. La commune dispose sur son territoire des écoles primaires du Centre et du Pont-de-Bois[71] et du collège du Pont-de-Bois[72].

Santé[modifier | modifier le code]

Culture[modifier | modifier le code]

L'harmonie de Saint-Chéron est présente lors des cérémonies du 8-Mai, 18-Juin et 11-Novembre. Elle participe également à la fête des Trois Vallées et aux Rencontres Musicales[73].

Sports[modifier | modifier le code]

Pour les randonneurs, la commune est traversée par le GR de Pays du Hurepoix, qui relie la vallée de la Bièvre, à celle de l'Essonne, via l'Yvette, l'Orge, et la Juine[74]. Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune.

Autres services publics[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Chéron dispose sur son territoire d'une agence postale[75], d'une brigade de gendarmerie nationale[76] et d'un centre de secours de sapeurs-pompiers volontaires[77].

Lieux de culte[modifier | modifier le code]

La paroisse catholique de Saint-Chéron est rattachée au secteur pastoral de Dourdan et du diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Elle dispose de l'église Saint-Chéron[78].

Médias[modifier | modifier le code]

L'hebdomadaire Le Républicain relate les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d'émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France Centre, IDF1 et Téléssonne intégré à Télif.

Économie[modifier | modifier le code]

Emplois, revenus et niveau de vie[modifier | modifier le code]

En 2006, le revenu fiscal médian par ménage était de 21 800 , ce qui plaçait la commune au 1 520e rang parmi les 30 687 communes de plus de cinquante ménages que compte le pays et au 124e rang départemental[79].

Répartition des emplois par catégories socioprofessionnelles en 2006.
  Agriculteurs Artisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
Employés Ouvriers
Saint-Chéron 0,4 % 8,0 % 15,9 % 25,1 % 30,7 % 19,9 %
Zone d'emploi de Dourdan 0,7 % 6,0 % 18,9 % 28,5 % 26,3 % 19,6 %
Moyenne nationale 2,2 % 6,0 % 15,4 % 24,6 % 28,7 % 23,2 %
Répartition des emplois par secteurs d’activités en 2006.
  Agriculture Industrie Construction Commerce Services aux
entreprises
Services aux
particuliers
Saint-Chéron 0,8 % 7,7 % 6,1 % 16,1 % 8,1 % 13,5 %
Zone d'emploi de Dourdan 1,7 % 10,4 % 7,5 % 11,8 % 21,6 % 6,9 %
Moyenne nationale 3,5 % 15,2 % 6,4 % 13,3 % 13,3 % 7,6 %
Sources : Insee[80],[81],[82]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Chéron.
Le château de Baville.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Différents personnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Saint-Chéron :

Héraldique et logotype[modifier | modifier le code]


Blason de Saint-Chéron.

Les armes de Saint-Chéron se blasonnent : Tranché d'or et de sinople au château d'azur brochant sur le tout.

La commune s'est en outre dotée d'un logotype.

Saint-Chéron dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de l'Essonne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1053 p. (ISBN 2-84234-126-0), « Saint-Chéron », p. 879–882
  • Louis-Richard Vian, Histoire du village de Saint-Chéron : Les institutions féodales et les seigneurs, t. I, Livre d'histoire, , 293 p. (ISBN 978-2-84373-891-3)
  • Louis-Richard Vian, Histoire du village de Saint-Chéron : La topographie et la statistique, t. II, Livre d'histoire, , 439 p. (ISBN 978-2-84373-892-0)
  • Louis-Richard Vian, Histoire du village de Saint-Chéron : Champtiers et objets divers, t. III, Livre d'histoire, (ISBN 978-2-84373-893-7)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • « Saint-Chéron », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. L'esplanade de la mairie porte le nom de ce maire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Chéron » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Chéron - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Chéron - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Essonne » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Fiche de Saint-Chéron dans le Code officiel géographique sur le site de l'Insee. Consulté le 06/08/2012.
  2. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 08/04/2009.
  3. Orthodromie entre Saint-Chéron et Paris sur le site lion1906.com Consulté le 15/11/2012.
  4. Orthodromie entre Saint-Chéron et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 15/11/2012.
  5. Orthodromie entre Saint-Chéron et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 15/11/2012.
  6. Orthodromie entre Saint-Chéron et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 15/11/2012.
  7. Orthodromie entre Saint-Chéron et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 15/11/2012.
  8. Orthodromie entre Saint-Chéron et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 15/11/2012.
  9. Orthodromie entre Saint-Chéron et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 15/11/2012.
  10. Orthodromie entre Saint-Chéron et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 15/11/2012.
  11. Orthodromie entre Saint-Chéron et Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 15/11/2012.
  12. Orthodromie entre Saint-Chéron et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 15/11/2012.
  13. Orthodromie entre Saint-Chéron (91) et Saint-Chéron (51) sur le site lion1906.com Consulté le 15/11/2012.
  14. Fiche de la station hydrométrique de Saint-Chéron sur le site de la banque Hydro EauFrance. Consulté le 01/12/2010.
  15. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  17. « Orthodromie entre Saint-Chéron et Dourdan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Dourdan » (commune de Dourdan) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  19. « Station Météo-France « Dourdan » (commune de Dourdan) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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