Lichans-Sunhar

Lichans-Sunhar
Lichans-Sunhar
Le bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Monique Elgoyhen
2020-2026
Code postal 64470
Code commune 64340
Démographie
Gentilé Lexanztar
Population
municipale
85 hab. (2021 en augmentation de 6,25 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 05′ 38″ nord, 0° 52′ 20″ ouest
Altitude Min. 232 m
Max. 589 m
Superficie 3,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Lichans-Sunhar

Lichans-Sunhar [liʃɑ̃s synaʁ] est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Lexanztar[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Lichans-Sunhar se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 64 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 31 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture, et à 18 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Laguinge-Restoue (0,6 km), Etchebar (2,0 km), Haux (2,6 km), Tardets-Sorholus (2,8 km), Licq-Athérey (2,9 km), Alçay-Alçabéhéty-Sunharette (2,9 km), Alos-Sibas-Abense (2,9 km), Camou-Cihigue (3,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Lichans-Sunhar fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9],[10]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[11]. Elle se divise en Arbaille, Basse-Soule et Haute-Soule, dont fait partie la commune.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lichans-Sunhar.

La commune est drainée par le ruisseau Elgalarena et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[13],[Carte 1].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et basque[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 526 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Licq-Athérey à 3 km à vol d'oiseau[17], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 528,1 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le Saison (cours d'eau) »[22], d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[23],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[24],[Carte 3] : les « hêtraies et landes de la confluence des gaves de Larrau et de Saint-Engrace » (5 156,66 ha), couvrant 7 communes du département[25] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[24],[Carte 4] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[26].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lichans-Sunhar est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[27],[28],[29]. La commune est en outre hors attraction des villes[30],[31].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,4 %), forêts (26,2 %), prairies (20,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,6 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Trois quartiers composent la commune de Lichans-Sunhar[33] :

Lichans
  • Kharrika ;
Sunhar
  • Kharrika,
  • Arrolaltea (Arola sur les cartes IGN).
L'église de Lichans.
Lichans, stèle discoïdale.
Fronton à Lichans.
L'église de Sunhar ; au sommet, une stèle discoïdale est visible.
Stèles discoïdales au cimetière de Sunhar.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lichans-Sunhar est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992 et 2009[36],[34].

Lichans-Sunhar est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[37]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[38],[39].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[40]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[41].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lichans-Sunhar.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[42]. 80,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[43].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[45].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le toponyme Lichans apparaît sous les formes Lixans (1385[46], collection Duchesne volume CXIV[47]),

Lissans et Lixantz (respectivement 1475[46] et 1480[46], contrats d'Ohix[48]), Lexans et Saint-André de Lichans (respectivement 1608[46] et 1678[46], insinuations du diocèse d'Oloron[49]).

Graphie basque[modifier | modifier le code]

Son nom basque actuel est Lexantzü-Zunharre[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune a été créée le [50] par la réunion des communes de Lichans et de Sunhar.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2014 Jean-Pierre Libilbéhéty    
2014 En cours Monique Elgoyhen EHBAI[51]  

En 2017, le candidat NPA Philippe Poutou est arrivé en tête du scrutin dans la Commune, c'est la seule où cela est arrivé. En 2022, il fait son meilleur score dans cette commune mais arrive troisième derrière Jean-Luc Mélenchon et Jean Lassalle.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de six structures intercommunales[52] :

  • la communauté de communes de Soule-Xiberoa ;
  • le SIGOM ;
  • le SIVOM du canton de Tardets ;
  • le SIVU chargé du tourisme en Haute-Soule et Barétous ;
  • le syndicat d'assainissement du pays de Soule ;
  • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[54].

En 2021, la commune comptait 85 habitants[Note 10], en augmentation de 6,25 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
196178190192232229302309303
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
250233222239257259253225226
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
212205178156177170162152132
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
10510783839380767567
2015 2020 2021 - - - - - -
808685------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (élevage et pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Dans le bourg de Sunhar se trouve une église[57], datant du XIe siècle, possédant un clocher-mur dit trinitaire ou souletin, c'est-à-dire que la crête du mur, percé de baies où tintent les cloches, s'achève par trois grandes pointes à peu près d'égale hauteur, figurant la Trinité[58].

Église du Sunhar, autel.
Église de Sunhar, Vierge avec Enfant.

Équipements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[44].
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Lichans-Sunhar » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Lichans-Sunhar », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Lichans-Sunhar », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Lichans-Sunhar », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. a b et c « Métadonnées de la commune de Lichans-Sunhar », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Lichans-Sunhar et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Lichans-Sunhar et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. Stephan Georg, « Distance entre Lichans-Sunhar et Mauléon-Licharre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Lichans-Sunhar », sur villorama.com (consulté le ).
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
  8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
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  10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  11. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
  12. Carte IGN sous Géoportail
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  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  19. « Station Météo-France « Licq-Atherey » (commune de Licq-Athérey) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  49. Manuscrits du XVIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
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  56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  57. Communauté de communes Soule-Xiberoa - Fiche sur Lichans-Sunhar
  58. Philippe Veyrin, Les Basques, page 241 - Arthaud, 20 décembre 1975 (ISBN 2700300386).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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