Fresville

Fresville
Fresville
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Jocelyne Levavasseur
2020-2026
Code postal 50310
Code commune 50194
Démographie
Gentilé Fresvillais
Population
municipale
374 hab. (2021 en augmentation de 3,31 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 23″ nord, 1° 21′ 22″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 36 m
Superficie 13,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valognes
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Fresville
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Fresville
Géolocalisation sur la carte : Manche
Voir sur la carte topographique de la Manche
Fresville
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Fresville

Fresville (prononcé [fʁɛvil] ou [fʁevil][1]) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 374 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Un géosite est aménagé dans la carrière de Fresville[3]. Les contraintes compressives liées à l’orogenèse alpine, à la fin du Mésozoïque et au Cénozoïque, se traduisent par un pendage d’environ 5 degrés vers le sud-est[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[6]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont à 12 km à vol d'oiseau[8], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 890,0 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fresville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,4 %), terres arables (28,8 %), zones agricoles hétérogènes (16,7 %), zones urbanisées (2,3 %), eaux continentales[Note 3] (1,8 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Freevilla vers 1080, Fredevilla vers 1135, Freevilla vers 1190, Freville en 1238[18], Fraevilla sans date.

Le toponyme est issu d'un anthroponyme germanique tel que Freso[19], hypothèse abandonnée aujourd'hui car elle contredit les formes anciennes qu'Albert Dauzat ignorait. Son explication se base sur le s apparu tardivement dans la graphie pour noter é [e]. Ernest Nègre quant à lui, cite Fredo[20] et René Lepelley, Frido[1], emprunté à François de Beaurepaire, et qui convient moins bien. En revanche Jean Renaud propose le nom de personne norrois Freði, dont le [ð] s'est déjà amuï en 1080. Il est tout à fait conforme à cette mention ancienne et la localisation de Fresville dans la zone de diffusion de la toponymie norroise. On peut noter également que les nombreux Fréville de Normandie (exemple : Fréville et Fréville à Fontaine-la-Mallet) ont des formes anciennes différentes des Fréville et Fresville situés ailleurs.

L'ancien français vile est employé dans son sens originel de « domaine rural » issu du gallo-roman VILLA, lui-même de la locution latine villa rustica.

Le gentilé est Fresvillais.

Microtoponymie
  • Sausetour, lieu-dit de Fresville, est attesté sous la forme Sauxetorp à la fin du XIIe siècle[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Il fut découvert sur le territoire communal qui se situait sur une voie romaine[22], des médailles romaines, ainsi que des grands et petits fourneaux[23].

Les premiers seigneurs de Fresville étaient de la famille d'Harcourt. Selon Masseville, un seigneur de Fresville participa en 1066 à la bataille d'Hastings[22], bien que son nom ne figure pas sur la liste de Dives. Cependant il paraît certain que la famille de Fresville a figuré en Normandie et en Angleterre. Au XIIe siècle, un Roger de Fresville, cité comme vicomte du Cotentin, renonça en présence de l'évêque de Coutances, Algare, aux droits qu'il s'était attribuer au détriment des religieux de Saint-Sauveur[24].

Plusieurs membres de Fresville sont comptés parmi les bienfaiteurs des abbayes de Montebourg et de Saint-Sauveur-le-Vicomte[24].

Le village de Fresville est un ancien lieu de pèlerinage pour saint Sulpice.

Au XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de Saint-Sauveur-le-Vicomte[25].

On comptait à Fresville deux fiefs principaux : celui d'Auvers-en-Fresville et celui de Thère. Le premier était la possession de la famille de Mathan. Louis-Guillaume de Mathan, abbé commendataire de l'abbaye de la Croix-Saint-Leufroy, mort en 1769, était seigneur et patron de Fresville. En 1789, le fief était entre les mains de Louis de Mathan, marquis de Mathan, lieutenant du roi des ville et château de Caen, capitaine des grenadiers au régiment des Gardes-Françoise, maréchal des camps et armées du roi. Le second fief principal était la possession de la famille de Bois-André. En 1789, il était entre les mains de Jacques-Henri de Bois-André, capitaine de dragons à la suite du régiment Colonel-Général[24].

Richard de Folligny, curé de Carantilly, est dit en 1504, tenir du roi la terre de Folligny à « gage plège » tenue par une franche et noble vavassorie dont le chef est assis en la paroisse de Folligny. Il tenait aussi un franc fief de Haubert au Mesnil-Villeman avec manoir et colombier, ainsi que le moulin de Dragueville, et un huitième de fief de haubert en la paroisse de Fresville, à gage plège, mais sans manoir[26].

Lors de la bataille de Normandie, le village est libéré le par le 325e régiment glider d'infanterie (en)[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Circonscriptions administratives avant la Révolution[modifier | modifier le code]

La paroisse de Fresville relevait de la généralité de Caen, de l'élection de Carentan et de la sergenterie de Pont-l'Abbé[24].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1989[28] mai 2020 Rolande Brécy DVD Conseillère générale
mai 2020[29] En cours Jocelyne Levavasseur SE Retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[29].

Démographie[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien régime[modifier | modifier le code]

En 1722, la paroisse compte 160 feux imposables, et 168 en 1765[24].

Depuis la Révolution[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 374 habitants[Note 4], en augmentation de 3,31 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Fresville a compté jusqu'à 869 habitants en 1821.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
756672775869837858864846814
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
770757776685716690712642647
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
607585594528598594594651582
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
557469395351314325361370371
2014 2019 2021 - - - - - -
362370374------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[34].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La chapelle Sainte-Sulpice, située dans le cimetière de l'église Saint-Martin.
  • Église Saint-Martin des XIIe – XVIIIe siècles, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [35]. La nef est d'époque romane alors que le chœur et le transept sont gothiques ; le clocher en bâtière du XVIe est extrêmement accentué. Elle abrite un groupe sculpté (statue équestre) Charité de saint Martin du XVe dans le mur du chœur, un chasublier du XVIIIe, un maitre-autel et retable du XVIIIe, un autel secondaire et retable du XVIIIe, une poutre de gloire du XVIIIe, classés au titre objet[36], une verrière des XIXe et XXe siècles dont l'un des vitraux est dédié à Albert Le Nordez qui fut vicaire à Fresville, des fonts baptismaux gothiques ainsi que le mécanisme de l'ancienne horloge (1834).
  • If funéraire du cimetière.
  • Chapelle Saint-Sulpice du XVIe siècle et mobilier des XVIIIe et XIXe siècles, avec pèlerinage à Saint-Sulpice et Saint-Hermès, croix du Trappiste, croix de la Mission (1860).
  • Trace de voie romaine.
  • Manoir de la Cour de Vauville des XVe – XVIe siècles, remanié au XVIIe siècle[37] : logis rectangulaire, deux tours circulaires. Le logis principal est haut de deux étages sous un toit à forte penture. L'un des bâtiments qui n'a qu'un unique rez-de-chaussée s'éclaire par des fenêtres avec linteaux droits.
  • Château de Grainville du XVIIIe siècle : bâti près du hameau de la gare qui portait comme nom « Esteinvei » (le gué de pierre) et qui permettait le franchissement du Merderet, cette demeure de la fin du XVIIIe siècle à fait suite à un manoir du XVIe siècle. Occupé par des religieuses lors de la Seconde Guerre mondiale, la ferme manable ne fut pas réquisitionné par les Allemands[38].
  • Château des Poteries des XVIIIe – XIXe siècles. La demeure est élevé en 1874 sur l'emplacement d'un manoir rasé au XVIIIe siècle, reprenant les mêmes disposition et en gommant toutes traces extérieures de l'ancien édifice[39]. Maurice Belliard (1897-1977), né à Éroudeville, chevalier de la Légion d'honneur, fut éleveur au château des Poteries et maire de Fresville[40]. Il abrite un musée Espace Temps de l'horlogerie.
  • Château de Tamerville du XVIIIe siècle.
  • Château de Magneville du XVIe siècle.
  • Château de Cussy du XVIIe siècle.
  • Manoir du Hesnay du XVIIe siècle.
  • La Valette.
  • Le Val.
  • Boisandré.
  • Fours à chaux.
  • Voie de la Liberté (route nationale 13).

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-François Duval (1751-1800), cultivateur, homme politique, député de la Manche de 1791 à 1792, né et mort à Fresville.
  • Guillaume Gréard (XVIIIe siècle), né à Fresville, poète célèbre pour une Dissertation sur la comète de 1730.
  • François-Adrien-Marie André de Boisandré (1859-1910), journaliste antisémite, est né et inhumé à Fresville.
  • Michel Yver de La Vigne-Bernard (Fresville, 1907 - 1979), sénateur.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 87.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 211.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 129.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. « Présentation du géosite », sur Université de Caen.
  4. « Déformations tectoniques », sur Université de Caen.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  8. « Orthodromie entre Fresville et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Ste Marie du Mo » (commune de Sainte-Marie-du-Mont) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  18. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425).
  19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , p. 304b.
  20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 934.
  21. Georges Bernage, « Les Vikings du Sarnes », Vikland, la revue du Cotentin, no 5,‎ avril-mai-juin 2013, p. 9 (ISSN 0224-7992).
  22. a et b Delattre, 2002, p. 87.
  23. Jean-Yves Cuquemelle, Montebourg et le pays Cassin, Éditions Heimdal, , 92 p., p. 87.
  24. a b c d et e Cuquemelle 1982, p. 88.
  25. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 181-182.
  26. Michel Viel, « Grandeur et décadence d'un Domaine rural du Cotentin - La Seigneurie du Quesnay à Valognes », Revue de la Manche, t. 37, no 146,‎ , p. 10 (ISBN 979-1-0937-0115-8).
  27. « Fresville (50 Manche) La Libération », sur normandie44lamemoire.com, 1944 la bataille de Normandie, la mémoire (consulté le ).
  28. « La remise de six médailles communales », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. a et b « Municipales à Fresville. Jocelyne Levavasseur est la nouvelle maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
  35. « Église », notice no PA00132896, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Œuvres mobilières classées à Fresville.
  37. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 129.
  38. Girard et Lecœur 2005, p. 245.
  39. Girard et Lecœur 2005, p. 274.
  40. Gautier 2014, p. 195.