Les Pieux

Les Pieux
Les Pieux
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Cotentin
Maire
Mandat
Catherine Bihel
2020-2026
Code postal 50340
Code commune 50402
Démographie
Population
municipale
3 253 hab. (2021 en augmentation de 3,37 % par rapport à 2015)
Densité 213 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 50″ nord, 1° 48′ 24″ ouest
Altitude Min. 5 m
Max. 132 m
Superficie 15,25 km2
Type Commune rurale et littorale
Unité urbaine Les Pieux
(ville isolée)
Aire d'attraction Cherbourg-en-Cotentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Pieux
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.lespieux.fr

Les Pieux est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 3 253 habitants[1]. Chef-lieu du canton parfois appelé « Hague-Sud », Les Pieux a connu ces trente dernières années, en raison de la présence de la centrale nucléaire de Flamanville, à cinq kilomètres, une poussée démographique remarquable (+ 185,7 % entre 1975 et 2006). De ce fait, la commune s'est progressivement transformée en petite ville. La manne financière de l'industrie nucléaire permet aujourd'hui aux Pieux de disposer d'infrastructures (sportives, sociales, routières) largement supérieures à celles des villes de même taille.

Géographie[modifier | modifier le code]

Les Pieux présente différents visages. L'un, rural et typique du bocage normand, occupe la majeure partie de son espace. Sur la « hauteur » se situe le centre-ville, plus communément appelé le Bourg, ainsi que la majeure partie des lotissements, des espaces d'activités (zone artisanale des hauts-vents, parc d'activités en bordure de la route de Cherbourg…), mais aussi les équipements sportifs (haras, piscine couverte, stades, gymnases, tennis…) et commerciaux. Plusieurs dizaines de commerces se situent dans la rue Centrale, et trois supermarchés sont implantés : deux en entrée de ville, le troisième à proximité de la place de la Lande. Le dernier visage des Pieux, plus estival, est celui de la plage de Sciotot. Le développement plus ou moins homogène des constructions nouvelles, très nombreuses, n'altère en rien la beauté de la plage de sable. Depuis celle-ci, très prisée de surfeurs et des baigneurs en été, existe un beau point de vue sur les îles anglo-normandes. La plage, de cinq kilomètres, est délimitée au sud par le cap du Rozel, et au nord par les premiers escarpements de falaises du cap de Flamanville. Par ailleurs, cette plage sert de terrain (à marée basse, quand le terrain est favorable et le vent suffisant) à un club de char à voile implanté localement et ouvert toute l'année.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 913 mm, avec 14,9 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Hague à 17 km à vol d'oiseau[5], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 480,0 mm[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Les Pieux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Elle appartient à l'unité urbaine des Pieux, une unité urbaine monocommunale[11] de 3 223 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cherbourg-en-Cotentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 77 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d'urbanisme le prévoit[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,3 %), zones agricoles hétérogènes (23,4 %), prairies (16,9 %), zones urbanisées (10,4 %), forêts (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %), zones humides côtières (0,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Pieux (de Podiis 1093, de Poiis v. 1190) est issu du vieux français qui procède lui-même du latin podium[20]. Il signifie « la hauteur ». Il a donné les oronymes en Puy au centre et dans le Sud de la France (Puech et Pech en Occitan). Ce toponyme est moins répandu en Normandie que Hougue(t), Hogue, d'origine norroise (haugr). Cela correspond à la topographie, en effet, Les Pieux est l'une des plus hautes communes du Cotentin.

Sciotot est un toponyme d'origine anglo-scandinave composé de l'élément -tot, issu de l'ancien scandinave topt, toft « emplacement bâti, ferme » et un élément Scio- qui représente sans doute un anthroponyme, à savoir Siwold / Sæwold forme anglo-saxonne[21] ou anglo-scandinave correspondant au nom de personne scandinave Sævaldi, peut-être le même personnage qui a donné son nom à Siouville (Seolvilla vers 1200, Syovilla vers 1280) à 10 km. Il existe cependant le nom de personne scandinave SǽulfR / Siólfr[22] qui colle mieux aux formes peu anciennes dont on dispose pour Siouville. Cependant, il n'est pas sûr que ces deux lieux distincts contiennent le nom du même personnage, c'est pourquoi le simple appellatif sær / sjór a été proposé : Sciotot serait « le site, la ferme près de la mer »[23].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Pieux (Les) Blason
Coupé : au 1) d'azur aux deux jumelles d'argent surmontées d'un lion léopardé du même armé et lampassé et couronné d'or, le fouet de la queue de même, au 2) parti au I d'azur aux trois fasces d'argent, au chevron de gueules brochant sur le tout, au II de gueules aux trois croissants d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1974, fut découvert sur un plateau rocheux de la plage de Sciotot les restes d'un site paléolithique[24].

À la période gauloise, le territoire de la commune est vraisemblablement sous le contrôle du peuple des Unelles. En 2019, un habitat gaulois, village[25] ou exploitation agricole d'importance[26], a été mis au jour lors d'une fouille préventive. L'ensemble date des alentours du Ve siècle av. J.-C.

Au XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de Saint-Sauveur-le-Vicomte[27].

À noter que c'est l'abbaye de Saint-Sauveur qui est à l'origine des quatre foires annuelles des Pieux et du marché du vendredi dont les moines percevaient les redevances[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune a fait partie de la communauté de communes des Pieux de 1978 à 2017.

Au , elle rejoint la communauté d'agglomération du Cotentin.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1830 1848 François-Marie Lanchon[29]    
1848 1859 Jean-François Lechevalier    
1860 1869 Armand Lechevalier    
1869 1877 Charles Lequérié    
1878 1904 Albert Bonamy Rép.prog. Conseiller général des Pieux (1889 → 1907)
1904 1909
(décès)
Auguste Poret Rép. Médecin
Conseiller général des Pieux (1907 → 1909)
1909 1923 Henri Gosselin    
1923 1930 Jacques Morin    
1930 1943 Albert Picquenot   Agriculteur
1945 novembre 1966
(décès)
Louis Boisroux MRP Médecin
Conseiller général des Pieux (1945 → 1966)
novembre 1966 mars 1977 René Lescalier DVD Pâtissier
Conseiller général des Pieux (1967 → 1982)
mars 1977 mars 1983 Jean Lécouté DVD Photographe
mars 1983 mars 1989 Pierre Leroy   Agriculteur
mars 1989 juin 1995 Maurice Duval PS Professeur d'anglais en collège
juin 1995 mars 2001 Jean Lécouté DVD Photographe
mars 2001 mars 2014 Bruno Cottebrune DVG Agent EDF
mars 2014[30] mai 2020 Jacques Lepetit DVD Ingénieur de l'industrie nucléaire retraité
Vice-président de la CA du Cotentin
mai 2020[31] En cours Catherine Bihel   Responsable de magasin
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2021, la commune comptait 3 253 habitants[Note 3], en augmentation de 3,37 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3381 3981 5621 6791 7381 7601 6411 6901 626
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4971 5261 3871 4441 4411 4081 4191 3401 358
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3191 3701 3231 2051 1391 1841 1521 1971 063
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 1361 1691 2222 4363 2033 4773 4193 3873 588
2014 2019 2021 - - - - - -
3 1603 2203 253------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie et tourisme[modifier | modifier le code]

Espaces verts en bord de mer.

Un gisement de kaolin fut exploité de la fin du XVIIIe au premier quart du XXe siècle [36]. Il alimentait les manufactures de porcelaine de Valognes, d'Isigny et de Bayeux.

Depuis , Les Pieux forme avec Siouville-Hague et Auderville un groupement de « communes touristiques »[37].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Notre-Dame des Pieux.
Elle est aujourd'hui rattachée à la paroisse Saint-Clair du doyenné de Cherbourg-Hague[40].
  • Croix de chemin dite croix du Siquet du XVIIe siècle, de la Pissoire du XVIIIe siècle, des Martyrs du XVIIe siècle et croix Nourry du XVIIe siècle.
  • Croix de cimetière du XIXe siècle.
  • Manoir de Cailletot des XVIe – XVIIe siècles.
  • Ferme-manoir de Becqueville du XVIIe siècle, Le Saussey, Rouville, L'Hotel Buhot.
  • Sites archéologiques de la Maison des Fées et du Témène découverts au XIXe siècle sur les pentes de la Roche à coucou[39].
  • Table d'orientation. Du belvédère, panorama découvrant une vingtaine d'églises ainsi que les îles de Jersey et Guernesey.

Culture[modifier | modifier le code]

Des structures culturelles existent sur le territoire de la commune :

  • l'espace culturel, zone de la Fosse[41] : salle de 550 m2 à géométrie variable avec scène de 149 m2 et gradins mobiles. Elle peut accueillir 550 personnes assises ou 700 personnes debout en concert, ou 300 personnes en congrès suivi de repas. Son acoustique la destine plutôt à accueillir la musique amplifiée. La salle est gérée par la commune ;
  • la médiathèque Victor-Hugo est un établissement de lecture publique de 700 m2 gérée par la commune des Pieux. Elle propose le prêt de livres, CD, DVD et magazines. En partenariat avec la bibliothèque départementale de la Manche, elle propose également un abonnement à des ressources en ligne[réf. nécessaire] ;
  • l'école de musique, rue des Écoles : trois salles de cours collectifs, une salle de percussions / studio, une salle de MAO, six salles de cours instrumentaux, un studio pour les élèves constituent la partie école. L'auditorium Jacques-Prévert, inclus dans le bâtiment, est une salle en gradins fixes avec banquettes pour 200 personnes assises et une scène de 144 m2. Elle peut accueillir des spectacles de danse, musique, théâtre, mais aussi du cinéma ou des conférences. Son acoustique est idéale pour la musique classique. L'école de musique est gérée par la communauté de communes des Pieux. Son directeur actuel est Donatien Prévot.

La direction de la Culture de la communauté de communes des Pieux édite chaque année Art'Scène, un fascicule regroupant toutes les animations et manifestations culturelles de son territoire[42].

Activités et manifestations[modifier | modifier le code]

La fête de la Saint-Clair a lieu les trois jours du week-end du dimanche le plus proche du . Elle consiste en une petite fête foraine, un marché, une braderie, un feu d'artifice, des concerts et une messe[43].

Le site de Sciotot (plage) possède notamment un centre de char à voile.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 169-170.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 364.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  • Coordonnées, superficie : IGN[44].
  • Altitudes : répertoire géographique des communes[45].
  1. Population municipale 2021.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  5. « Orthodromie entre Les Pieux et La Hague », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station météorologique Cap de la Hague, commune de La Hague - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 des Les Pieux », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  17. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 176.
  21. François de Beaurepaire, op. cit., p. 219
  22. Site de Nordic Names : origine du nom de personne Siólfr (anglais).
  23. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1).
  24. André Hamel, Le Canton des Pieux : 2000 ans de vie, Les Pieux, André Hamel, , 446 p., p. 9.
  25. Une découverte archéologique incroyable dans la Manche : et si l’ancêtre d’Astérix était Manchois ?, Actu.fr, 5 avril 2019.
  26. Âge du fer : un site archéologique exceptionnel découvert dans le Cotentin, Francetv.fr, 9 avril 2019.
  27. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 181-182.
  28. Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 33.
  29. Annuaire du département de la Manche, 12e année, 1840, p. 223.
  30. « Jacques Lepetit, maire des Pieux », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  31. « le nouveau conseil municipal est en place autour de Catherine Bihel », sur actu.fr, La Presse de la Manche (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. M. Hérault, « Notice sur le kaolin des Pieux », Mémoires de la Société d'histoire naturelle de Paris, tome IV, 1828, pp. 194-196 (Lire en ligne)
  37. [PDF] « Préfecture de la Manche - Recueil des actes administratifs - mars 2010 » : page 17.
  38. « Maître-autel, tabernacle, exposition du Saint Sacrement, retable à baldaquin, tableau : La Sainte Trinité, portes », notice no PM50000830, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  39. a et b Gautier 2014, p. 364.
  40. Site du diocèse.
  41. « Espace culturel - Mairie Les Pieux », Mairie Les Pieux,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. Saison musicale.
  43. « La fête Saint-Clair : du Moyen-Âge à nos jours » [PDF], sur cc-lespieux.fr, la communauté de communes des Pieux (consulté le ) (page 9).
  44. « Les Pieux sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ] (archive Wikiwix).
  45. Site de l'IGN.