Dominique Collignon-Maurin

Dominique Collignon-Maurin
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Dominique Collignon, né Dominique Collignon-Maurin le à Toulouse (Haute-Garonne)[1], est un comédien, auteur, musicien et metteur en scène français.

Il est le fils de la comédienne Mado Maurin et de l'artiste lyrique Georges Collignon[2].

Lors de son enfance et son adolescence, il apparaît dans de nombreuses productions télévisées, séries et téléfilms, et il prête sa voix à des pièces radiophoniques comme ses frères, issus de la troupe des « petits Maurin ».

Parmi ses participations au cinéma, on peut noter La Belle Américaine (1961) de Robert Dhéry, Les Amitiés particulières (1964) de Jean Delannoy, La Bande à Bonnot (1968) de Philippe Fourastié, Neige (1981) de Juliet Berto et Jean-Henri Roger, Les Princes (1983) de Tony Gatlif, Zanzibar (1989) de Christine Pascal ou encore, Lune froide (1991) de Patrick Bouchitey.

Notamment actif dans le doublage de cinéma et d'animation, il incarne régulièrement la voix française de Mark Hamill pour le personnage de Luke Skywalker dans Star Wars[3] ainsi que Dustin Hoffman, Nicolas Cage, Willem Dafoe ou Kevin Kline[4]. Il double également de manière occasionnelle John Travolta, Gary Oldman, John Malkovich James Woods, Roberto Benigni ou encore John Turturro (série Monk). Il multiplie le doublage en français de longs-métrages étrangers populaires, durant les décennies de 1960 à 2020.

Comme évoqué lors d'un sujet qui lui est consacré à la télévision : « Son visage n'est pas connu mais sa voix, elle, est très célèbre »[5].

Très prolifique au sein de l'animation, il participe à de nombreux personnages de l'univers Disney : il incarne notamment la voix d'Arthur « Moustique » Pendragon dans Merlin l'Enchanteur, Hadès dans Hercule, « le Borgne » dans 1001 pattes, « Léon le caméléon » dans Monstres et Cie et « Gill le zancle » dans Le Monde de Nemo. Il est également la voix du baron « Humbert von Gikkingen » dans l'anime Si tu tends l'oreille, celle de « Grug » dans Les Croods ou de encore de « Rat » dans Fantastic Mr. Fox.

Il fonde « la Coline Compagnie » et poursuit une carrière au théâtre, à partir de 1983 où il signe des pièces, des spectacles musicaux ainsi que plusieurs mises-en-scène.

À partir de la décennie 2010, il devient le narrateur des trois derniers livres audios Harry Potter après la mort de Bernard Giraudeau ainsi que des productions audio signées Jo Nesbo.

Biographie[modifier | modifier le code]

Origines, famille d'artistes[modifier | modifier le code]

Mado Maurin se marie une première fois avec le baryton Pierre-Marie Bourdeaux qui devient le père de ses deux premiers enfants[6]. Né en 1947, de deux ans l'aîné de Dominique, son frère Patrick est le fils naturel de l’artiste lyrique et chef d’orchestre Michel Têtard, mort en 1960 à l’âge de trente-cinq ans[7]. À sa naissance, le premier époux de de Mado Maurin, accepte le principe de donner son nom à Patrick, bien que le couple soit séparé[2]. Mado Maurin épouse Georges Collignon, lequel est le père de Dominique, Jean-François et Marie-Véronique[8]. Toutefois, le secret des origines de son frère Patrick est entretenu dans la famille, jusqu'en 1964[9].

Dominique fait ainsi partie d’une famille d'artistes, surnommée dans le métier les « petits Maurin ». La troupe est composée de ses demi-frères[10] Jean-Pierre Maurin (19411996), Yves-Marie Maurin (19442009), Patrick Dewaere (19471982), auxquels s’adjoignent ensuite ses autres demi-frère et sœur Jean-François Vlérick () et Marie-Véronique Maurin (), laquelle utilise le pseudonyme « Marie Wiart » à partir de 1982[11]. Cette troupe familiale collabore à de nombreux films, téléfilms, feuilletons télévisés ainsi qu'à des représentations au théâtre[12] et à la radio[13].

Début de carrière agitée[modifier | modifier le code]

Après que Mado Maurin a épousé Collignon, la tribu de ce qui devient bientôt « les petits Maurin » est constituée[14]. À partir de 1950, tous les enfants adoptent dès lors ce patronyme artistique qui facilite leur placement dans divers spectacles, pièces de théâtre, émissions de télévision, de radio, disques et films de cinéma[15]. À cette époque, les Maurin emménagent dans un grand appartement au 3e étage du 65, rue Sainte-Anne à Paris[16].

Dirigée par l'énergique Mado, la famille baigne à la fois dans un univers de « saltimbanques » et dans une profonde foi catholique[17]. Comme ses frères et sa sœur, il est un enfant de la balle au théâtre, au cinéma, à la télévision et à la radio et travaille depuis son plus jeune âge, entraîné par sa mère Mado Maurin, laquelle a connu elle-même une carrière artistique, comme concertiste et dans l'opérette depuis les années 1930[18].

Durant toute la période de leur enfance, les « petits Maurin » font l'objet d'une instrumentalisation par leur mère Mado ; ainsi par exemple, lorsqu'Emil-Edwin Reinert se prépare à tourner son film Quai de Grenelle en 1950, il la sollicite. Il l'invite à lui présenter Yves-Marie mais il le trouve trop grand. Elle revient le lendemain avec Patrick mais cela ne convient toujours pas. Elle propose dès lors au réalisateur, son dernier né Dominique, lequel fait ainsi ses débuts au cinéma, âgé de 3 ans à peine[19] (il est toutefois non crédité au générique du film).

Enfant, Dominique Collignon-Maurin connaît un certain succès auprès des réalisateurs grâce à sa gouaille, son regard pétillant et son visage espiègle rempli de tâches de rousseur[20].

Dans un ouvrage paru en 1992, le réalisateur Yves Robert estime que « sa famille éduquait les enfants pour être comédiens, qui les négociait très jeunes pour des rôles, qui leur apprenait ça comme on apprend des tours à des petits chiens savants »[21].

Lors de son enfance, pour le film L'Impossible Monsieur Pipelet sorti en 1955, il joue le tout jeune membre d'une famille populaire dans laquelle on retrouve notamment Michel Simon et Louis de Funès.

Jusqu'à la fin de l'adolescence, Dominique entretient un rapport fusionnel avec son frère Patrick (Dewaere) âgé de deux ans de plus que lui ; ils sont inséparables comme des jumeaux, partageant la même chambre à la maison de Gouvernes, en Seine et Marne où ils passent week-ends et vacances, dont une partie des charges est payée par leurs cachets de jeunes comédiens encore mineurs[13]. Ils se retrouvent parfois sur les mêmes tournages et font les 400 coups[22]. Ce lien affectif étroit va unir également Dominique et Patrick à leur petit frère Jean-François durant les années 1960[23].

Ainsi, Dominique relate en 1992 que lors du tournage du film La Route joyeuse qui se déroule à l'été 1956, l'acteur star et réalisateur américain Gene Kelly prend un caillou en pleine tête parce que Patrick, neuf ans, s'amuse à faire des ricochets. Pour les punir, les deux frères sont enfermés dans une chambre d'hôtel, qu'ils mettent à sac en représailles[24].

En 1960, lors de la tournée organisée pour l'opérette L'Auberge du Cheval-Blanc avec notamment Bourvil et Michel Galabru, il est engagé pour jouer le petit Piccolo ; un disque est enregistré lors d'une représentation en public au Théâtre du Châtelet, avec les mêmes interprètes et artistes[25].

Adolescents, lors d'un enregistrement pour la radio aux studios du Poste Parisien, Patrick et Dominique subtilisent les cartons de présence de pointage du personnel et les oblitèrent, mettant la pagaille le lendemain dans l'organisation de l'entreprise. Parfois, sur d'autres plateaux, notamment de télévision, ils font des farces en renversant des bols de chocolat sur le décor[9].

En 1963, sont interprétation dans le téléfilm L'enfance de Thomas Edison réalisé par Jean-Christophe Averty est saluée par la critique, le mettant au niveau de ses confrères comédiens confirmés : « L'interprétation était, comme toujours, très au point, avec Berthe Bovy (l'indulgente grand-mère), Dominique Maurin (déjà remarqué dans L'Auberge de l'Ange gardien), Georges Géret, Jean-Roger Caussimon et Claudine Mauget dans les principaux rôles »[26].

En 1964, lorsque Dominique âgé de 15 ans, apprend par sa mère que Patrick est né d'un autre père, inconnu jusqu'alors, il lui confie cette révélation et dès lors, le futur Dewaere prend ses distances avec la tribu Maurin[27].

Le tout jeune Dominique est profondément marqué par cette révélation qui risque d'abîmer le lien étroit qui existe avec son frère préféré Patrick[28]. Dans un ouvrage paru en 1993, Dominique déclare, concernant sa mère : « Elle qui, pour nous réunir, gardait au fond d'elle la vérité, et nous obligeait au mensonge. Je compris plus tard cette phobie du mensonge qui régnait à la maison. Jusqu'au thème d'une chanson où je me proclamais chercheur de vérité »[29].

Âgé d'une quinzaine d'années, il participe à la distribution du film controversé de 1964, Les Amitiés particulières qui déclenche de nombreuses réactions négatives bien que l’œuvre soit interdite aux moins de 18 ans, lors de sa sortie ; il y incarne le personnage antipathique de Marc de Blajan.

Le 31 mars 1965, sortant de l'appartement familial rue Sainte-Anne à Paris, le jeune Dominique alors âgé de 16 ans, est renversé par une voiture et nécessite plusieurs jours d'hospitalisation[30].

Comme ses frères Jean-Pierre, Yves-Marie et Patrick, le jeune Dominique est inscrit au cours de Raymond Girard, censé les préparer pour le concours d'entrée du Conservatoire. Alors qu'Yves-Marie et Patrick sont recalés, Jean-Pierre et Dominique sont reçus[30]. Leur répétitrice est Gina Manès, ancienne actrice dans le Napoléon d'Abel Gance et partenaire de Louis Jouvet dans La Maison du Maltais de Pierre Chenal. Dominique et Patrick s'entrainent également à apprendre des textes et à les jouer ensemble lors de représentations fictives à la maison, notamment des textes de Jacques Prévert[31].

Mado Maurin, elle-même jouant du piano, tient à ce que Dominique et Patrick apprennent à se servir d'instruments de musique[32].

À la même période, le duo d'enfants montent un numéro musical inspiré de negro spiritual, Patrick à la guitare et Dominique au saxophone. Ils jouent notamment pour l'association La roue tourne, qui intervient lors des entractes au cinéma[33], ce qui leur permet de rencontrer l'énorme vedette de l'époque, Fernandel[34].

Au milieu des années 1960, Dominique parvient à être engagé dans une formation de free jazz où il joue du saxophone[35].

Radio, cinéma, télévision et musique[modifier | modifier le code]

Dès les années 1960, Dominique Collignon-Maurin s'investit régulièrement dans le doublage en français de dessins animés ou de films étrangers. Au début de la décennie 1960, on retrouve sa toute jeune voix notamment dans deux des grands succès de Walt Disney, Les 101 Dalmatiens et surtout Merlin l'Enchanteur ou il incarne la voix du rôle principal, le jeune Arthur.

Il retrouve parfois son frère Patrick Dewaere dans certaines productions, notamment à la télévision, comme en 1964 pour la série feuilleton L'Abonné de la ligne U ou en 1971 pour le téléfilm intitulé Si j'étais vous ou encore le doublage du film loufoque et alternatif La dialectique peut-elle casser des briques ? en 1973, pour lequel ils retrouvent également Yves-Marie Maurin comme partenaire voix.

Au milieu des années 1960, avec son frère Patrick Dewaere, il écume le quartier Saint-Germain-des-Prés, les cafés, terrasses et la côte d'Azur[36].

En 1968, Dominique Maurin interprète un malfrat anarchiste membre de La Bande à Bonnot et pour ce tournage, il donne la réplique notamment à Jacques Brel, Bruno Cremer et Annie Girardot.

En 1969, quelques mois après les événements de mai 1968, il tourne dans la comédie Erotissimo avec Jean Yann et Annie Girardot, dont il joue le jeune frère.

En mars 1970, dans l'émission d'actualité télévisée Panorama de Marcel Bluwal, comme d'autres acteurs parmi lesquels on remarque Michel Piccoli, Anouk Ferjac et Raymond Bussières, Dominique Maurin parle de la profession et de ses difficultés pour vivre de son métier; il est contraint d'accepter toutes les propositions et que ses rôles ont un réel impact sur sa vie personnelle. Il explique ce que représente le métier d'acteur pour lui et pour la société[37].

En 1971, il tourne la comédie On est toujours trop bon avec les femmes avec dans l'un des rôles principaux, Jean-Pierre Marielle et l'actrice Elisabeth Wiener, laquelle a été la compagne de son frère Patrick, deux ans auparavant[38].

Pour la musique, Dominique poursuit ses créations et improvisations free jazz et fonde avec d'autres musiciens en 1975, la formation « Atonal Swing Quartet »[39].

En 1983, il participe au film Rebelote, dans lequel sa mère Mado Maurin, est également à l'affiche. La même année, on le retrouve dans Les Princes avec Gérard Darmon où son personnage fait partie d'une famille de gitans vivant dans une cité HLM.

En 1989, dans le film Zanzibar, son personnage se débat dans l'univers du cinéma français et des difficultés pour produire et réaliser un film.

Pour le film Lune froide en 1991, il retrouve à nouveau un thème dérangeant et un long-métrage dans lequel il croise Jean-François Stévenin, Patrick Bouchitey ou encore Jackie Berroyer.

En 1991, il prête sa voix à une œuvre radiophonique de Bernard Parmegiani intitulée È pericoloso sporgersi[40].

Si ce n'est quelques apparitions comme notamment, dans le film Podium, sorti en 2004, après le film Si tu voyais son cœur de Joan Chemla où il joue un rôle secondaire, Dominique Collignon-Maurin ne tourne plus de longs-métrages et se consacre au théâtre en poursuivant son travail de doublage.

Théâtre[modifier | modifier le code]

Au théâtre, Dominique Maurin est éclectique dans ses rôles mais il peut interpréter des personnages de pièces classiques ou de patrimoine comme La Chatte sur un toit brulant en 1956 d’après Tennessee Williams au Théâtre Antoine, mise en scène par Peter Brook avec Jeanne Moreau, La guerre de Troie n'aura pas lieu de Jean Giraudoux en 1971, mise en scène de Jean Mercure au Théâtre de la Ville puis au festival d'Avignon, Le Roi Lear de William Shakespeare en 2006, mise en scène de Michel Mathieu ou encore Les Possédés d'après Fiodor Dostoïevski en 2009, mise en scène de Chantal Morel au MC2, Théâtre Nanterre-Amandiers ; pour autant, au cours de sa longue carrière théâtrale, il apprécie aussi les auteurs iconoclastes, alternatifs ou la comédie[41].

Au Théâtre de la Vieille-Grille en 1969, alors que la vague du café-théâtre bat son plein à Paris, il partage les planches et coécrit avec Philippe Ogouz, Didier Kaminka et Georges Beller, le spectacle parodique et d'humour Si tu viens chez moi, change au Châtelet, consacré à une critique de la comédie musicale Hair, de la télévision, du show-business et de la vie quotidienne de l'époque[42].

Accompagné de Liliane Léotard, Dominique Maurin délivre en juin 1973, une expérimentation théâtrale et picturale aux Ateliers du « Théâtre national des enfants » qui vient d'être fondé par Jack Lang[43].

En janvier 1974, son interprétation ainsi que celle de ses confrères pour la pièce de Claude Confortès Le Marathon au Théâtre d'Aubervilliers est saluée par la critique : « Les trois acteurs sont prodigieux »[44].

En septembre 1977, il reprend l'un des rôles principaux de la pièce Jean Harlow contre Billy le Kid écrite par Antoine Bourseiller[45].

Pour monter des spectacles vivants et produire les créations de théâtre, il fonde « La Colline Compagnie » en 1983[46].

Il inaugure la mise-en-scène de La Vieille vierge insomniaque en 2018, à la Fonderie théâtre du Mans, espace créé par François Tanguy, pièce tragi-comique dans laquelle il aborde les thèmes qui lui sont chers : religion, famille d'artiste, mensonge, comédie humaine[47].

Le 16 juin 2019, dans le cadre du Salon du livre audio, Dominique Collignon-Maurin donne une lecture publique du dernier tome des aventures de Harry Potter Les Reliques de la mort, place Jean-Jaurès à Montreuil (Seine-Saint-Denis)[48].

En 2022, il donne la pièce Au nom du père, des fils et de la Vierge pas très sainte qu'il a écrite et qu'il met en scène, sur les thèmes similaires qui lui sont chers comme la religion, la famille et la vérité[49].

Engagements professionnels[modifier | modifier le code]

Dominique Colligon-Maurin est membre du Syndicat français des artistes-interprètes et de la fédération du spectacle CGT; lors du 60e Festival d’Avignon en 2006, il s'exprime publiquement pour défendre la profession du cinéma, notamment souligner la précarité Intermittents du spectacle[50]. En septembre 2020, il intervient publiquement au sujet de la situation du doublage en France, dans une situation préoccupante[51].

Théâtre[modifier | modifier le code]

Filmographie[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Longs métrages[modifier | modifier le code]

Courts métrages[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Téléfilms[modifier | modifier le code]

Séries télévisées[modifier | modifier le code]

Discographie[modifier | modifier le code]

Livres audio[modifier | modifier le code]

Œuvres de J. K. Rowling.

Doublage[modifier | modifier le code]

Note : Les dates inscrites en italique correspondent aux sorties initiales des films auxquels Dominique Collignon-Maurin a participé aux redoublages ou aux doublages tardifs.

Cinéma[modifier | modifier le code]

Films[modifier | modifier le code]

Mais aussi :

Films d'animation[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Téléfilms[modifier | modifier le code]

Séries télévisées[modifier | modifier le code]

Série télévisée d'animation[modifier | modifier le code]

Jeux vidéo[modifier | modifier le code]

Sources bibliographiques[modifier | modifier le code]

Ouvrages complémentaires[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Les Gens du cinéma.
  2. a et b Tessier 2007, p. 16.
  3. Lesueur 1992, p. 38.
  4. « L'histoire de l'acteur toulousain Dominique Collignon-Maurin », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. Anissa Harraou, « Le Toulousain Dominique Collignon-Maurin, voix française de Luke Skywalker dans Star Wars », sur France3-Régions,
  6. Carrière 2012, p. 19.
  7. Maurin 2006, p. 211.
  8. Maurin 2006, p. 52.
  9. a et b Loubier 2002, p. 67.
  10. Nés de pères différents
  11. « Marie-Véronique Maurin » (présentation), sur l'Internet Movie Database.
  12. Lesueur 1992, p. 12.
  13. a et b Loubier 2002, p. 42.
  14. Lesueur 1992, p. 14.
  15. Lesueur 1992, p. 16.
  16. Carrière 2012, p. 21.
  17. Maurin 2006, p. 16.
  18. Lesueur 1992, p. 10.
  19. Loubier 2002, p. 44.
  20. Dureau 1985, p. 13.
  21. Lesueur 1992, p. 15.
  22. Tessier 2007, p. 18.
  23. Lesueur 1992, p. 24.
  24. Maurin 2006, p. 67.
  25. « L'Auberge du cheval blanc, spectacle, 1960 », sur data.bnf.fr,
  26. Jacques Siclier, « L'enfance de Thomas Edison », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  27. [vidéo] Patrick Dewaere, l’enfant du siècle, Alexandre Moix ().
  28. Loubier 2002, p. 66.
  29. Maurin 2006, p. 68.
  30. a et b Loubier 2002, p. 80.
  31. Loubier 2002, p. 61.
  32. Loubier 2002, p. 37.
  33. Carrière 2012, p. 95.
  34. Loubier 2002, p. 62.
  35. Lesueur 1992, p. 20.
  36. Lesueur 1992, p. 19.
  37. « Panorama - Piccoli : Les comédiens », sur ina.fr, .
  38. Carrière 2012, p. 32.
  39. Carrière 2012, p. 98.
  40. « È pericoloso sporgersi, de Bernard Parmegiani, 1991 », sur maison-ona.com, .
  41. « L'histoire de l'acteur toulousain Dominique Collignon-Maurin », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. Claude Fléouter, « Les ateliers du Théâtre national des enfants », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  43. Bernard Raffalli, « Les ateliers du Théâtre national des enfants », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. Michel Cournot, « Le Marathon, à Aubervilliers », sur lemonde.fr, .
  45. Colette Godard, « Jean Harlow contre Billy le Kid », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. « La Colline Compagnie », sur collignonmaurin.fr, .
  47. « Le Mans. Du « tragi-grotesque » à la Fonderie. », sur lemans.maville.com, (consulté le ).
  48. Jeanne Cassard, « A Montreuil, la littérature fait entendre sa voix : Le Festival de lecture à voix haute Vox, qui débute ce mardi, accueille cette année le premier Salon du livre audio, du 14 au 16 juin », Le Parisien Libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  49. Marie-José Sirach, « Au nom du père, des fils et de la Vierge pas très sainte : Dominique Collignon-Maurin met en scène une pièce insolite, qui convoque le baroque et la poésie pour révéler l’envers du décor, où chacun est tenu au silence. », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. [vidéo] Rare vidéo sur Dominique Collignon-Maurin (Conférence de presse du Festival à Paris, 2006), Demetra Felina Katz ().
  51. Clément Cusseau, « Doublage en France : une situation "inquiétante" que dénonce l'acteur Dominique Collignon-Maurin », allocine.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  52. Lune Noire sur Vimeo.com
  53. [audio] Dominique Savio, patron des adolescents sur Gallica, consulté le .
  54. L'Auberge du cheval-blanc sur Gallica, consulté le .
  55. (en) « Les Robinson Des Mers Du Sud », sur Discogs (consulté le ).
  56. « Poly et le secret des sept étoiles », sur EncyclopéDisque (consulté le ).
  57. (en) « Peter Et Elliott Le Dragon », sur Discogs (consulté le ).
  58. (en) « Selim S'Évade », sur Discogs, (consulté le ).
  59. Doublage tardif effectué en 2021.
  60. Version Redux de 2001.
  61. http://www.cip-paris.fr/uploads/media/default/0002/17/6229937c28ef38249e8c46ad8967a1398e67cd1e.pdf
  62. Crédité au carton de doublage.
  63. Doublage tardif effectué en 2015 pour sa sortie DVD.
  64. Doublé par James Woods en version originale.
  65. Doublé par Kevin Spacey en version originale.
  66. Doublé par Steve Buscemi en version originale.
  67. a b et c Doublé par Willem Dafoe en version originale.
  68. Doublé par Kevin Kline en version originale.
  69. a et b Doublé par Nicolas Cage en version originale.
  70. Doublé par Gary Oldman en version originale.
  71. Doublage effectué en 1975.
  72. « Planète Jeunesse - Les Osmonds Brothers Jimmy et Jupiter », sur www.planete-jeunesse.com (consulté le )
  73. Interprété par Julian Sands en version originale.
  74. Interprété par Mads Mikkelsen en version originale.

Liens externes[modifier | modifier le code]