Saint Privat en Périgord

Saint Privat en Périgord
Saint Privat en Périgord
Le château de la Meynardie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Saint-Aulaye
Maire
Mandat
Pascale Roussie-Nadal
2020-2026
Code postal 24410
Code commune 24490
Démographie
Population
municipale
1 120 hab. (2021)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 13′ 35″ nord, 0° 12′ 57″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 137 m
Superficie 44,04 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montpon-Ménestérol
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web saint-privat-en-perigord.fr

Saint Privat en Périgord est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle a été créée le sous le statut de commune nouvelle et regroupe les anciennes communes de Festalemps, Saint-Antoine-Cumond et Saint-Privat-des-Prés.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

La commune nouvelle regroupe les communes de Festalemps, Saint-Antoine-Cumond et Saint-Privat-des-Prés, qui deviennent des communes déléguées le [1]. Son chef-lieu se situe à Saint-Privat-des-Prés.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Saint Privat en Périgord est limitrophe de neuf autres communes.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint Privat en Périgord est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[2].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 757 - Ribérac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[Carte 1],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Saint Privat en Périgord.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 35 mètres et 137 mètres[5].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [6]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[7]. La commune est dans le Ribéracois, une région naturelle possédant un relief vallonné avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculpté par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulés de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnés de la Dordogne[8],[9].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 44,04 km2[10],[Note 2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Dronne, la Rizonne, le ruisseau de Muret, le ruisseau de Font Clarou, le ruisseau de Pontet, la Bauronne et divers petits cours d'eau[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de 30 km de longueur totale[14],[15],[16],[Carte 2].

La Dronne, d'une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l'Isle — dont elle est le principal affluent — à Coutras en Gironde, au lieu-dit la Fourchée, face à la commune de Sablons[Carte 3],[17]. Elle borde la commune sur près de trois kilomètres au nord et au nord-ouest, en deux tronçons, face à Laprade et Aubeterre-sur-Dronne.

La Rizonne, d'une longueur totale de 26,73 km, prend sa source dans la commune de Saint-Vincent-de-Connezac et se jette dans la Dronne en rive gauche en limite de Saint Aulaye-Puymangou et de Bonnes, un kilomètre et demi au nord du centre bourg de Saint-Aulaye[18],[19]. Elle borde le territoire communal au sud sur huit kilomètres et demi dont sept kilomètres et demi servent de limite naturelle face à La Jemaye-Ponteyraud, Saint-Vincent-Jalmoutiers et Saint Aulaye-Puymangou.

Autre affluent de rive gauche de la Dronne, le ruisseau de Muret arrose la commune du nord-est au nord sur quatre kilomètres, dont 500 mètres en limite de Chassaignes.

Deux affluents de rive droite de la Rizonne, le ruisseau de Font Clarou et le ruisseau du Pontet, prennent leur source dans l'est de la commune qu’ils traversent du nord vers le sud sur respectivement, plus de deux kilomètres et demi et plus de trois kilomètres.

Affluent de rive gauche de la Rizonne, la Bauronne sert de limite communale sur plus de 200 mètres dans le sud-est, face à Saint-Vincent-Jalmoutiers.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[20]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [21].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 4].


Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[22]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[23].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 885 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[24]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint Aulaye-Puymangou à 7 km à vol d'oiseau[25], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 854,8 mm[26],[27]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[28].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint Privat en Périgord est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Outre les bourgs de Festalemps, Saint-Antoine-Cumond et Saint-Privat-des-Prés proprement dits, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits détaillés sur cet article, sur celui-ci et sur celui-là.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint Privat en Périgord est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dronne et la Rizonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1999 et 2014[36],[34].

Saint Privat en Périgord est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[37]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[38],[39].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint Privat en Périgord.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[40]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[41]. 59 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[42]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[43].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[34].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Créée au , la commune porte le nom de « Saint Privat en Périgord », sans trait d'union entre les mots, comme le confirme le Code officiel géographique[44].

Son nom correspond à celui de l'ancienne commune de Saint-Privat-des-Prés mentionnée en l'an 1180 sous la forme Sanctus Privatus, qui se réfère à saint Privat, évêque de Mende au IIIe siècle[45]. La seconde partie du nom, le Périgord, est celui de l'ancienne province (et ancien comté) dont le nom est souvent accolé à celui du département de la Dordogne souvent pour des raisons touristiques.

Histoire[modifier | modifier le code]

Saint Privat en Périgord est une commune nouvelle créée le pour une prise d'effet au [46].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune de Saint Privat en Périgord dépend de l'arrondissement de Périgueux[47].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Montpon-Ménestérol[47] et de la 3e circonscription législative[48].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

À sa création en 2017, elle fait partie de la communauté de communes du Pays de Saint-Aulaye[47].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Pendant une période courant jusqu'au prochain renouvellement des conseils municipaux (prévu en 2020), le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des anciennes communes[46] (quinze pour Saint-Privat-des-Prés, et onze pour chacune des deux autres ex-communes, soit un total de trente-sept). Le maire de la nouvelle commune est élu début 2017. Les maires des anciennes communes deviennent maires délégués de celles-ci.

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux auraient dû être élus en 2020[49]. Cependant, s'agissant du premier renouvellement du conseil municipal d'une commune nouvelle, le nombre de conseillers élus est celui de la strate supérieure[50], soit dix-neuf[51].

Communes fondatrices[modifier | modifier le code]

Liste des communes déléguées
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Saint-Privat-des-Prés
(siège)
24490 CC du Pays de Saint Aulaye 19,63 530 (2016) 27
Festalemps 24178 CC du Pays de Saint Aulaye 12,27 249 (2016) 20
Saint-Antoine-Cumond 24368 CC du Pays de Saint Aulaye 12,14 357 (2016) 29

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2017[52]
(réélue en mai 2020[53])
En cours Pascale Roussie-Nadal SE Fonctionnaire de collectivité territoriale,
ex-maire de Saint-Privat-des-Prés

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[54].

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint Privat en Périgord relève[55] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 1 120 habitants[Note 6], en diminution de 2,86 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
2015 2020 2021
1 1531 1161 120
(Sources : Insee à partir de 2015[56].)

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2016, sur le territoire correspondant à Saint Privat en Périgord dans sa configuration de 2017, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans[57], les actifs représentaient 417 personnes, soit 36,7 % de la population municipale. Il y avait 62 chômeurs, soit un taux de chômage de cette population active de 14,9 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , sur ce même territoire, il y avait 139 établissements[58], dont 60 au niveau des commerces, transports ou services, 36 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, 21 dans la construction, 12 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et 10 dans l'industrie[59].

Entreprises[modifier | modifier le code]

Dans le secteur industriel, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Allsun » (travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation) implantée à Saint Privat en Périgord se classe en 37e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 6 836 k€[60].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Il convient de se reporter aux articles consacrés aux anciennes communes fusionnées.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
  3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, l'Astier, bras de rive droite de la Dronne, n'arrose pas la commune de Saint Privat en Périgord située en rive gauche de la rivière.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. « Carte géologique de Saint Privat en Périgord » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  2. « Réseau hydrographique de Saint Privat en Périgord » sur Géoportail (consulté le 2 avril 2023)..
  3. « Confluence Dronne-Isle à la Fourchée » sur Géoportail (consulté le 2 avril 2023)..
  4. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Commune de Saint Privat en Périgord (24490) », sur le Code officiel géographique de l'Insee (consulté le ).
  2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  3. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint Privat en Périgord », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 757 - Ribérac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  6. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  7. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Repères géographiques du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Portrait du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint Privat en Périgord », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  14. « Fiche communale de Festalemps », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Saint-Antoine-Cumond », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « Fiche communale de Saint-Privat-des-Prés », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  17. Sandre, « la Dronne »
  18. « Confluence Rizonne-Dronne au nord-est du lieu-dit Labinaud » sur Géoportail (consulté le 2 avril 2023)..
  19. Sandre, « la Rizonne ».
  20. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  21. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  23. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  28. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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