Saint-Martin-du-Manoir

Saint-Martin-du-Manoir
Saint-Martin-du-Manoir
La mairie
Blason de Saint-Martin-du-Manoir
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité CU Le Havre Seine Métropole
Maire
Mandat
Jean-Luc Fort
2020-2026
Code postal 76290
Code commune 76616
Démographie
Gentilé Saint Martinais
Population
municipale
1 459 hab. (2021 en diminution de 4,89 % par rapport à 2015)
Densité 284 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 59″ nord, 0° 14′ 20″ est
Altitude Min. 12 m
Max. 102 m
Superficie 5,13 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Le Havre
(banlieue)
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Octeville-sur-Mer
Législatives 7e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Liens
Site web http://www.saintmartindumanoir.fr/

Saint-Martin-du-Manoir est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Cette commune est située sur la rive droite de la Seine, à une quinzaine de kilomètres du Havre, dans le canton de Montivilliers.

Saint-Martin-du-Manoir se compose d'un bourg, dans lequel se trouvent les lotissements (Hauts de Saint Martin, Closerie, Ruellette, Résidence du Manoir, Résidence Saint-Martin, le Clos des Pommiers, les Prés verts, la Forge...) et de huit hameaux situés soit sur le plateau, soit en contrebas de celui-ci.

La majeure partie de la population habite le Bourg. C'est là que se trouvent bien entendu la mairie, l'église, les écoles et les installations sportives.

Enitot est le plus proche du centre-bourg, en direction d'Epouville.

On accède à Enéaumare par la route de Manéglise.

Le Mesnil se situe de l'autre côté de la Voie Rapide (D 489). Pour s'y rendre, il est nécessaire d'emprunter le giratoire d'Epouville.

L'Ormel se trouve sur la route de Montivilliers (D 111), entre le cimetière et le giratoire.

Les Cures (ou Escures - selon les historiens l'appellation diffère...), siège d'un ancien château, semble protéger le Bourg, par sa position en pointe, face à Harfleur et Montivilliers.

La Cayenne se trouve en fond de vallée, à proximité de Gournay-en-Caux.

De même, la Côte de Gournay, sur la rive droite de la rivière Saint-Laurent, est limitrophe de ce quartier de Gonfreville.

Enfin, la Vallée s'intercale, toujours sur la rive droite, entre la Cavée, Gainneville et Saint-Laurent-de-Brèvedent.

Pour les plus courageux, il est possible d'effectuer une randonnée visitant l'ensemble de ces hameaux.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 921 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Octeville-sur-Mer à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 790,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-du-Manoir est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine du Havre, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[11] et 235 218 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,2 %), zones urbanisées (14,9 %), forêts (12,1 %), prairies (9,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Manece entre 1028 et 1034 (erreur très probable de copie pour *Manere), Sancti Martini en 1035[17], In parrochia Sancti Martini de Manerio en 1192, 1258 et 1260[18], Manerium en 1337[19], Saint Martin du manoir en 1715[20].

La commune tire son nom de l'église dédiée à saint Martin et du manoir du Col des Moulins, mentionné dès 1035 dans la charte de fondation de l'abbaye de Montivilliers qui avait la commune sous sa juridiction.

Histoire[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-du-Manoir et son église dépendent au début du XIe siècle des Giffard, comtes de Montivilliers ; l'église leur fut retirée dès 1025 au profit de l'abbaye de Fécamp, en 1035 au profit de l'abbaye de Montivilliers, qui possède également des biens (terres, moulins) à Saint-Martin. La seigneurie a appartenu par la suite à différentes familles dont, au XVIe siècle et au XVIIe siècle, la famille de la Rue, et surtout à partir de 1660, la famille très ancienne des Toustain qui comptait plusieurs branches, et notamment celles des Toustain de Frontebosc de Limésy et des Toustain de Richebourg de Saint-Martin-du-Manoir.

Les derniers seigneurs de Saint-Martin furent Gaspard-François (1716-1799) et Charles-Gaspard (1746-1836), tous deux membres de l'académie de Rouen, l'un comme savant, l'autre comme homme de lettres et historien ; tous deux furent emprisonnés sous la Terreur ; le second n'émigra pas et se rallia à l'Empire.

Deux hameaux de Saint-Martin étaient des fiefs à l'époque féodale : Enitot dépendait de la seigneurie de Graville et Ecures relevait des Estouteville, seigneurs de Valmont. Ils ont appartenu à des membres d'une famille anoblie au XVIe siècle et convertie au protestantisme, les Deschamps. Par mariage, Ecures passa au XVIIIe siècle à la famille de Rumare.

Saint-Martin s'est développé sensiblement au XIXe siècle puis au XXe siècle ; la population a stagné après la Seconde Guerre mondiale ; mais, depuis 1970, sous l'effet de la ré-urbanisation (près de trois cents pavillons construits), elle a plus que doublé[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
1875   Pézeril    
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1945 mars 1965 André Mabire[23],[Note 3]    
mars 1965 mars 1971 René Couillard    
mars 1971 mars 1977 Marcel Brin    
mars 1977 mars 1989 Yves Cottin    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989 2001 Christian Mabire[24]    
mars 2001[25] mai 2020[26] Maria-Dolorès Gautier Hurtado[27] UMP Vice-présidente de la CODAH (2014 → 2016)
Vice-présidente de la CU Le Havre Seine Métropole (2017 → 2020)
mai 2020[28],[29] En cours
(au 10 août 2020)
Jean-Luc Fort   Médecin

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 1 459 habitants[Note 4], en diminution de 4,89 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
357400432419417434443501441
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
462508518474475496471518504
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
530526566537545544540602606
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
6156066781 7151 6801 5421 4711 4641 540
2014 2019 2021 - - - - - -
1 5331 4691 459------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Jusqu'au milieu des années 1970, le village était habité par moins de 700 personnes. L'activité principale était essentiellement agricole, avec une vingtaine d'exploitations contre 8 actuellement.

Les écoles de la commune[modifier | modifier le code]

  • École maternelle du Point-du-Jour. Deux enseignantes accueillent cette année[Quand ?] 47 élèves.
  • École Aspirant-Lemonnier. L'école accueille 97 enfants[Quand ?] en primaire répartis en 4 classes de doubles niveaux.

Sécurité[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-du-Manoir est l'une des communes ayant contribué à la création en de la première brigade intercommunale de gardes champêtres issue de la Loi Démocratie de Proximité. Cette brigade implantée sur le territoire de Gainneville assure la protection des biens ruraux et forestiers, la surveillance générale aux côtés de la gendarmerie et la police nationales mais également la veille juridique. Le fonctionnement "autonome" de cette police rurale pilotée par un chef de brigade permet aux communes adhérentes de bénéficier d'un atout majeur beaucoup plus efficace qu'une police municipale aux compétences plus modestes[réf. nécessaire].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifice Saint-Martin.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

La légende de la Pierre Grise[modifier | modifier le code]

Il existe encore de nos jours sur la colline où sont bâtis les châteaux de Colmoulins et d'Escures, derrière la hêtraie de Montivilliers, une grosse pierre grise, sur lequel existe une légende que voici[34],[35] :

"Il y a très longtemps, lorsque le pays était soumis à la féodalité, vivait au manoir du Col des Moulins, qui était alors un château fortifié, un bon et vaillant chevalier nommé Guillaume de Colleville.

Ce seigneur avait une jeune femme dont la beauté avait souvent inspiré les bardes et les trouvères et avait jeté le trouble dans bien des cœurs, notamment dans celui d'un jeune écuyer du nom de Robert.

Ce Robert n'avait jamais eu de sentiments bien chrétiens, mais son amour insensé l'avait rendu capable de tous les crimes. Un jour qu'il se promenait sous les arbres aux environs du château, il fit la rencontre d'un personnage de haute taille, vêtu de noir avec une barbe en pointe et des yeux brillants comme des escarboucles.

" Me connais-tu ? demanda cet homme a Robert.

- Non, répondit l'écuyer..

- Et bien, je suis Satan ! "

Tout autre que Robert se fut enfui a ces mots en faisant un signe de croix mais lui ne bougeait pas de place.

"- Tu es Satan, dit-il, tant mieux, car je comptais sur ton aide.

- Je le sais, c'est pourquoi je suis venu. Écoute : Tu aimes la femme de ton seigneur et maître, et tu rêves jours et nuits aux moyens de la posséder ; je n'y vais pas par quatre chemins pour te le dire, cela te coûtera ton âme.

- Qu'importe, répondit sourdement l'écuyer, il me la faut que dois je faire ?

- M'accompagner à la pierre grise pour signer le pacte."

Le plateau était alors une forêt au centre de laquelle se dressait le dolmen ; deux pierres fichées en terre en supportant une troisième en forme de table, tout à l'entour des chênes gigantesques.

En arrivant là, Satan fit entrer l'écuyer dans une sorte de caveau situé sous la table de pierre, puis il lui présenta une écritoire et un parchemin au bas duquel Robert apposa sa signature.

"- Bien dit le démon, maintenant, prends cette pièce de monnaie ; il te suffira de la faire toucher à la serrure de l'appartement où tu veux pénétrer et tu y trouveras ta maîtresse endormie ; seulement, n'oublies pas de la rapporter ici demain, car tu ne dois t'en servir que la nuit. allons va ; Guillaume de Colleville est en voyage, tu es libre, amuse toi bien, mon fils, ajouta Satan avec un ricanement."

Le misérable rentra au plus vite au château et, la nuit étant venue, il s'approcha à pas de loup de l'oratoire de la noble dame qui dormait d'un profond sommeil. Le lendemain matin, ivre encore de sa criminelle action, il se rendit en toute hâte à la " PIERRE GRISE ". Satan l'attendait appuyé sur le dolmen.

"- Bien, dit le démon en tordant sa barbe pointue, remets la pièce à sa place, tu la reprendras ce soir. Robert pénétra dans le caveau, mais à peine y était-il que Satan donna un grand coup de pied à l'un des côtés du dolmen et l'énorme table s'affaissa brutalement, écrasant sous elle le misérable écuyer.

Puis le démon disparut avec un ricanement sinistre ! Et il y a déjà de bien longues années, en soulevant ce mystérieux bloc de granit on trouva sous la pierre druidique, quelques ossements calcinés et une pièce de monnaie gauloise en alliage d'argent que l'on nomma la " Pièce du diable " et que vous pourrez examiner à votre aise dans le petit musée de la bibliothèque de Montivilliers.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Saint-Martin-du-Manoir

Les armes de la commune de Saint-Martin-du-Manoir se blasonnent ainsi :
Taillé au 1) d’azur à l’épée de saint Martin d’or, posée en fasce, supportant le manteau du même, au 2) d’orangé au chêne arraché d’or ; à la barre ondée d’argent brochant sur la partition.L'écu surmonté d'une couronne murale à trois tours d'argent. [36] Cet écu relate deux faits importants de la vie de saint Martin. Le premier représente le partage de sa tunique avec un pauvre, symbolisé par une épée chargée d'un manteau. Le second est moins connu. Voulant prouver à des païens la nécessité d'abattre un arbre, Saint Martin se plaça sur la trajectoire du tronc. Au dernier coup de hache, l'arbre vacillant, hésita un instant et tomba en sens inverse.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. La rue où se trouve l'église porte le nom de ce maire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Saint-Martin-du-Manoir et Octeville-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Octeville » (commune de Octeville-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Octeville » (commune de Octeville-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 du Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Adigard des Gautries Jean. Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, 8e année, no 3, 1958. Page 159.
  18. Archives de Seine-Maritime 54 H.
  19. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 1415.
  20. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, page 917.
  21. www.furmini.com, « Saint Martin du Manoir Un peu d'histoire sur St Martin du Manoir »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur saintmartindumanoir.fr (consulté le ).
  22. « Les élus de 1880 à nos jours », Histoire, sur saintmartindumanoir.fr (consulté le ).
  23. « Disparition d'Hubert Leprévost »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Album photos et archives d'articles de l'année 2012, sur saintmartindumanoir.fr, (consulté le ).
  24. « A la mairie, l'équipe nouvelle est arrivée », Bulletin municipal, no 16,‎ , p. 5 (lire en ligne [PDF]).
  25. « Le conseil municipal », Bulletin municipal, no 22,‎ , p. 4 (lire en ligne [PDF]).
  26. « Saint-Martin-du-Manoir. Maria-Dolores Gautier-Hurtado : "Il faut savoir s'arrêter" : La maire de Saint-Martin-du-Manoir estime que c'est le moment de passer le flambeau et ne briguera pas un quatrième mandat à la tête de la commune », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Réélue pour le mandat 2014-2020« A Saint-Martin-du-Manoir, un mandat à douze voix près : Le maire sortant, Maria Dolores Gautier Hurtado, est réélu pour un troisième mandat à 50,69 %. », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  28. « Municipales 2020. Jean-Luc Fort tête de liste à Saint-Martin-du-Manoir : Ancien adjoint au maire, Jean-Luc Fort avait démissionné en 2009 tout en restant conseiller municipal. Il s’était ensuite présenté aux Municipales de 2014, manquant de peu l’élection au second tour. Il présente une équipe diversifiée », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Conseiller municipal depuis 2001, il a été adjoint au maire en 2008. « Ne me reconnaissant plus dans le sens et les valeurs que le maire donnait à son mandat, j’ai démissionné de mes fonctions en 2009. Depuis 2009, conformément à mes valeurs, j’ai assumé mes fonctions de conseiller municipal dans une approche d’opposition “ constructive ” ».
  29. « Portrait. Jean-Luc Fort, nouveau maire, au service de Saint-Martin depuis presque 20 ans », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. article lu sur le site des "Écuries de la Pierre Grise", centre équestre situé à la frontière de Saint-Martin-du-Manoir et de Montivilliers
  35. www.furmini.com, « SAINT MARTIN DU MANOIR Un peu d'histoire sur St Martin du Manoir »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur saintmartindumanoir.fr (consulté le ).
  36. GASO - Banque du blason - 76616.