Quibou

Quibou
Quibou
L'église Saint-Rémi.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Saint-Lô Agglo
Maire
Mandat
Roland Courteille
2020-2026
Code postal 50750
Code commune 50420
Démographie
Gentilé Quibois
Population
municipale
846 hab. (2021 en diminution de 9,32 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 04′ 05″ nord, 1° 12′ 00″ ouest
Altitude Min. 46 m
Max. 114 m
Superficie 17,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Lô
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Lô-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Quibou

Quibou est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 846 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est en pays saint-lois. Situé à 80 mètres d'altitude, son bourg est à 2,5 km à l'ouest de Canisy, à 5,5 km au sud-est de Marigny, à 11 km au sud-ouest de Saint-Lô et à 20 km à l'est de Coutances[1]. Couvrant 1 715 hectares, son territoire était le plus étendu du canton de Canisy.

Le territoire est traversé par la route départementale no 38 reliant Saint-Lô au nord-est à Gavray au sud-ouest. Elle passe au sud du bourg qui y est relié par la D 99 menant à l'ouest à Carantilly et au sud à Saint-Martin-de-Bonfossé. La limite nord est marquée par la D 972 (ancienne route nationale 172) qui relie Coutances à l'ouest à Saint-Lô à l'est. Du bourg, on y accède par la D 399 qui se prolonge au-delà jusqu'à Marigny.

Quibou est dans le bassin de la Vire, par un affluent pour la moitié sud-est, la Joigne, et un sous-affluent pour la moitié nord-ouest, la Terrette (affluent de la Taute). Les cours de l'une et l'autre sont grossis par de courts affluents dont, pour la Joigne, le ruisseau des Bois en limite sud-est et la rivière de Chaussée en limite sud-ouest. Une petite partie nord-ouest est dans le bassin d'un autre affluent de la Taute, le Lozon.

Le point culminant (111 / 114 m) se situe au nord-ouest, au lieu-dit le Mesnil-Don. Le point le plus bas (46 m) correspond à la sortie de la Joigne du territoire, à l'est. La commune est bocagère.

La commune se compose d'un bourg principal (Quibou) et de plusieurs écarts : la Pintelière, la Noraisière, la Bonne Eau, la Chouquerie, la Joignerie, le Buisson, le Bois-Héron, l'Hôtel-Hochu, les Cosnets, la Vauterie, la Grande-Bosquerie, la Petite-Bosquerie, l'Hôtel-Viel, les Hercheries, l'Hôtel Couespel, la Hamonnière, la Coquerie, le Moulin-Vautier, la Guesnonnière, la Fauvelière, l'Hôtel-Noireau, le Foc, la Renondière, l'Hôtel-Drouin, la Forge, le Vage, la Fumelière, la Rainière, le Sault, les Bouillons, les Cinq-Chênes, la Folie, la Voie, la Bazilière, le Hamel, le Moulin-Biard, les Carrières, les Courts Champs, la Bourdonnière, la Huaudière, le Moulin-Lambert, l'Euderie, la Douchardière, la Quellière, le Castillon, la Villette, l'Hôtel-Beaufils, le Cachot, la Cour-Douchin, la Cauvinière, la Conterie, l'Hôtel-Cocagne, la Croix-Lambert, le Mesnil Don, le Vauruel, le Bost, les Martinières, l'Hôtel-Boirot, l'Hôtel-Huault, Saint-Benoît, la Moinerie, Saint-Léger, la Saulnerie, la Joisière, l'Hôtel-Fossard, le Pont à Mazé, la Quesnelle, la Bonhommière, le Grimbert, le Ménage, la Pouchinière, la Tanqueraye, le Feugray, les Fontaines, la Frinvalle, le Grand-Chemin, la Campagne, la Péraudière, le Haut-Val, le Val, le Moulin-Héron, la Grande-Ferronnière, la Petite-Ferronnière, la Croix-au-Doyen, la Goujonnière, la Chevallerie.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 003 mm, avec 14 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cerisy-la-Salle à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 112,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Quibou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (76 %), terres arables (16,3 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), zones urbanisées (1,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme est attesté sous la forme Quiebouc en 1056[16].

Il existe deux hypothèses sur l'origine :

  • Quibou pourrait désigner à l'origine un endroit où « chie le bouc »[17] ;
  • Quibou, de l'anglo-saxon ceap (« marché, bétail », prononcé kiip) et holt (« colline »)[18]. Holt devient hout en normand[19].

Le gentilé est Quibois.

Microtoponymie[modifier | modifier le code]

La moitié des lieux-dits de Quibou sont en Y-ère/-erie, ce sont des habitats relativement tardifs résultant de la forte croissance démographique normande du XIe – XIIIe siècle. Ils désignaient la ferme de la famille Y, fondée sur les nouvelles terres obtenues par les grands défrichements. Les essarts prennent le nom des défricheurs, suivi de la désinence -erie ou -ière[20]. Les autres lieux-dits en (Hôtel / Hamel / Pont )-Y sont des constructions encore plus récentes, ils désignaient un bien de la famille Y.

Histoire[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépendait de la généralité de Caen, de l'élection de Coutances (en 1612/1636, 1677), puis de Saint-Lô (1713), et de la sergenterie de Saint-Gilles[Note 4].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires[21]
Période Identité Étiquette Qualité
1801 1808 Pierre Desfontaines    
1808 1816 Thomas Fontaine    
1816 1830 Pierre Douchin    
1830 1846 Thomas Douchin    
1846 1851 Félix Fontaine    
1851 1865 Philippe Lefèvre    
1865 1878 Théophile Le Rond    
1878 1886 Pierre Cocaigne    
1886 1892 Noël Osmond    
1892 1896 Pierre Herman   Ancien instituteur
1896 1914 Aimable Requier   Cultivateur
1915 1940 Auguste Marie    
1940 1947 Émile Ferey   Cultivateur
1947 1983 Pierre Marie    
1983 1995 Marcel Godard    
1995 1997 Gérard Pican   Agriculteur
1997[22] mars 2014 Évelyne Fabre SE Cadre de santé
mars 2014[23] mai 2020 Christelle Lebedel SE Assistante d'éducation
mai 2020[24] En cours Roland Courteille SE Retraité cadre de la fonction publique territoriale
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[24].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 846 habitants[Note 5], en diminution de 9,32 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Quibou a compté jusqu'à 2 057 habitants en 1831.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8831 8262 0042 0352 0571 9761 8841 8381 712
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6201 5951 5081 3441 3031 2561 2651 2201 163
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1221 1141 0991 0101 0801 0169721 0361 069
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 040995876784809819823830907
2014 2019 2021 - - - - - -
929865846------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Les principales ressources sont :

  • pâturages ;
  • bovins ;
  • entreprise de menuiserie : Izabelle Batiman ;
  • entreprise toiture : Espace Toiture ;
  • entreprises de maraîchage bio : La Ferme du Panier Vert[29], Le Jardin de la Bourdonnière ;
  • brasserie de bière biologique Au Brasseur Quibois.

Commerces[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une boulangerie, d'une épicerie, d'un bar et d'un tabac-presse, marché bio le jeudi, d'un garage automobile.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Rémi[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Rémi.

L'église Saint-Rémi (XIIe – XXe siècle) est un édifice moderne : vitraux de Jean Gaudin, tapisserie et Chemin de croix d'Helen Mai ; une des réussites de la reconstruction d'après 1944 avec des pierres du chœur de la nef et de la tour placée en épi donnent un aspect roman. Elle est labellisé patrimoine du XXe siècle en 2002[30].

L'église Saint-Rémi de Quibou a été en grande partie détruite durant les combats qui sévirent du au  ; seuls restèrent en place les murs de la nef du XIIe siècle et de la chapelle sud, la base du clocher du XIIIe siècle et le porche gothique remanié en 1659. Elle a été reconstruite par les architectes Henri Tougard, élève de Paul Bigot et Yves Cochepain en 1954[21]. Ces derniers ont su tirer parti des éléments restés en place, tout en créant un nouveau chœur au volume extérieur massif qui contraste avec la transparence de la structure intérieure. La reconstruction fut financée par le ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme et la coopérative des églises et édifices religieux sinistrés.

À partir du porche, la nef étroite et sombre s'étend jusqu'au chœur ample et lumineux. Le transept unique est le dernier témoin d'un plan cruciforme abandonné. Au nord, la tour carrée et trapue possède encore sa puissante base ancienne du XIIIe siècle dans laquelle l'autel secondaire a trouvé place. Quatre piles octogonales en ciment armé, ancrées à plusieurs mètres de profondeur, soutiennent une structure en charpente essentée d'ardoise. La sacristie surmontée d'une tribune, au sud, a conservé en partie la maçonnerie de l'ancienne chapelle latérale. C'est le cas également de la nef, dont les murs portent les traces d'un appareil en opus spicatum. Le vaste chœur moderne est fermé par un mur oriental aveugle en pierres apparentes, au sein desquelles courent quelques assises en arête-de-poisson qui rappellent le passé architectural médiéval de l'église. Le vaste sanctuaire est largement éclairé au nord et au sud par des claustras placées à un mètre du sol. La structure et les couleurs de l'autel et du mobilier s'harmonisent parfaitement avec celles de l'architecture intérieure, dont la rigueur est tempérée par le plafond bleu supporté par des solives rouge sombre.

Les architectes ont choisi le parti de conserver et respecter la forme, les matériaux et les éléments du passé, tout en les faisant dialoguer avec une architecture du XXe siècle.

Autres lieux[modifier | modifier le code]

  • Croix de chemin (la croix de l'École (XVIIe siècle), la croix Lambert, la croix au Doyen (XXe siècle), la croix du Pont à Mazé).
  • Calvaire de mission de la Joignerie (1896).
  • Manoir du Gislot (XVIIIe ou début XIXe siècle).
  • Ancien presbytère (XVIIIe siècle).
  • Anciens moulins du Val sur la Joigne.
  • Houx remarquable sur le chemin communal no 2 et bel if du cimetière.

Activités et manifestations[modifier | modifier le code]

  • Une salle polyvalente située sur la départementale en direction de Dangy.
  • Marchés en fête (été et noël)
  • Associations culturelles : Animathèque, Quibou Traditions et Patrimoine, Quibou en Fêtes

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 179.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 477.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. La sergenterie de Saint-Gilles, qui relevait initialement de l'élection de Coutances, fut en grande partie rattachée à l'élection de Saint-Lô à la fin du XVIIe ou au début du XVIIIe siècle.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  6. « Orthodromie entre Quibou et Cerisy-la-Salle », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cerisy La Salle » (commune de Cerisy-la-Salle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Cerisy La Salle » (commune de Cerisy-la-Salle) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  16. « Villages de nos ancêtres - Chantony », sur chantony.fr (consulté le ).
  17. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie, Paris, Éditions Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 148.
  18. Contribution à l'étude des établissements saxons en Normandie Louis Guinet - 1967
  19. Les emprunts gallo-romans au germanique: : Volume 44, Louis Guinet - 1982.
  20. Voir Histoire de la Normandie.
  21. a et b Gautier 2014, p. 477.
  22. « Les derniers vœux du maire Évelyne Fabre », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  23. « Christelle Lebedel élue nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  24. a et b « Municipales à Quibou. Roland Courteille est élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Antoine Desvages, jeune maraîcher bio de 26 ans », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  30. « Église Saint-Rémy », notice no EA50000016, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.