Liste des familles subsistantes de la noblesse française (A à K)

Cette liste des familles subsistantes de la noblesse française rassemble les familles subsistantes qui étaient membres de la noblesse française de l'Ancien Régime avant le , celles qui ont été anoblies et/ou titrées au cours des différents régimes du XIXe siècle, et celles de la noblesse des provinces réunies à la France après 1789 : du comtat Venaissin, du duché de Savoie et du comté de Nice (après 1860).

Cet article recense les familles comptant au moins un membre vivant (homme ou femme) qui, selon les règles de transmission de la noblesse en vigueur en France en 1789, descendent en ligne masculine, naturelle [sans adoption], et légitime [dans le cadre du mariage] d’un auteur en possession de la noblesse française acquise et transmissible ou d’un titre héréditaire d’Empire ou de Restauration, par acte émanant du pouvoir souverain d'un territoire aujourd'hui français[1].

Les familles éteintes en France mais subsistantes à l'étranger sont incluses dans cette liste. A contrario, les familles françaises subsistantes qui tirent leur principe de noblesse d'un souverain étranger (noblesse étrangère), et qui n'ont pas été maintenues ou reconnues nobles en France (r.n.f.) n'y sont pas incluses.

Par ailleurs, signalons que des auteurs[2] expriment toutefois des désaccords sur certaines preuves de noblesse, sur l'expression noblesse d'Empire, sur la notion de noblesse au XIXe siècle et sur la notion de « noblesse inachevée ». Signalons également que cette liste ne tient pas compte des lois françaises de 2009 sur la filiation.

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Nombre de familles et de personnes[modifier | modifier le code]

Le nombre de familles subsistantes de la noblesse française est généralement évalué à un peu plus de 3 000[3]. Pour les personnes les estimations varient de 50 000 ou de 100 000[d 1] à 140 000 individus, ce qui représente environ 0,1 à 0,2 % de la population française.

Pour Régis Valette, il restait 3 092 familles subsistantes de la noblesse française en 2007, dont 2 748 d'Ancien Régime et 344 du XIXe siècle[Note 1].

Le site de l'Association d'entraide de la noblesse française (ANF) donne la liste de quelque 2 425 familles admises en son sein depuis 1933 selon ses critères[6], dont :

  • environ 2 225 familles subsistantes ;
  • environ 180 familles éteintes après leur admission (de 1933 à aujourd'hui) ;
  • environ 20 familles éteintes après 1900 et admises déjà éteintes (inscription à titre historique).

Mentions[modifier | modifier le code]

Certaines familles ont la mention : anoblie (confirmée) ou anoblie (maintenue), ce qui signifie que la famille a été connue comme étant roturière, mais qu'un jugement de confirmation ou de maintenue de noblesse leur a valu anoblissement par prescription. D'autres ont : anoblie (relief), ce qui signifie que des lettres patentes les ont relevées de la dérogeance.

Certaines familles sont dites « d'extraction » alors que leurs preuves de noblesse ne remontent pas jusqu'à l'an 1560 (date minimale de preuves pour la noblesse dite d'extraction, fixée lors des grandes recherches de noblesse en 1666, avec au moins 100 ans de noblesse à prouver).

Titres[modifier | modifier le code]

Ne sont indiqués dans cette liste que les titres dits « authentiques », c'est-à-dire les titres héréditaires fondés sur un acte officiel de création ou de reconnaissance d'un souverain français, et régulièrement transmis à partir du premier titulaire jusqu'à nos jours selon leurs règles particulières de dévolution. En 2007, Régis Valette recensait 182 titres subsistants d'Ancien Régime et 486 du XIXe siècle, soit au total 668 titres réguliers pour 3 092 familles nobles[d 1].

Présentation des entrées[modifier | modifier le code]

Les familles sont répertoriées par ordre alphabétique du premier patronyme, avec dans la mesure du possible :

  • l'origine de leur noblesse (noblesse d'extraction, anoblissement par lettres ou par charge, maintenue de noblesse avec anoblissement en tant que besoin, etc) avec la date des actes/décisions de justice ;
  • en cas de noblesse d'extraction, c'est-à-dire de noblesse officiellement reconnue sans connaître l'acte initial d'anoblissement, la date de l'acte le plus ancien concernant le premier ancêtre connu des membres actuels de la famille ;
  • le titre de noblesse français lorsqu'il est authentique, régulier, et subsistant, c'est-à-dire actuellement en possession de l'aîné des descendants directs en ligne masculine du premier titulaire dudit titre, ledit titre devant avoir été octroyé par lettres patentes par un souverain français ;
  • le lieu d'origine (commune actuelle, nom de la ou des provinces) ;
  • la mention éventuelle de l'adhésion à l'Association d'entraide de la noblesse française (ANF) et l'année d'entrée[7].

Lorsqu'il existe des sources contradictoires, il est alors mentionné : noblesse non consensuelle.

Lorsqu'un titre a été attribué sans anoblissement, comme cela se faisait sous l'Empire comme sous la Restauration (contrairement à l'Ancien Régime où un titre ne pouvait être donné à un roturier, et même s'il est à noter que la Restauration a parfois accordé des titres joints d'un anoblissement[8]), il est mentionné : titre sans anoblissement

La liste des familles classées de L à Z figure dans la seconde partie de cet article.

Liste alphabétique des familles[modifier | modifier le code]

Sommaire :

A[modifier | modifier le code]

Sommaire :

B[modifier | modifier le code]

Sommaire :

C[modifier | modifier le code]

Sommaire :

D[modifier | modifier le code]

  • Dadvisard, parfois Dadvisard de Talairan, secrétaire du roi 1577, capitoul de Toulouse 1677, marquis 1863, Languedoc[a 623],[Jougla 27], ANF (1936).
  • Dalmas (de), extraction 1443, secrétaire du roi 1696, Languedoc, Paris[a 624],[Jougla 28].
  • Damas (de) (branche de Cormaillon), extraction chevaleresque 1315, baron en 1827, Bourgogne[d 27], ANF (1936).
  • Dambrines de Ramécourt, anoblie en 1700, Artois[a 625],[Jougla 29], ANF (2015).
  • Dampierre (de), ancienne extraction 1405, baron-pair en 1827, Picardie[d 27],[203], ANF (1938).
  • Danzel d'Aumont, arrêt du Conseil d'État 1671 puis maintenues 1701 sur preuves de 1543, actes de roture mais écartés par le Conseil d'État[a 626], Picardie, ANF (1976)
  • Darassus (de), trésorier à Montauban 1667, Quercy[réf. nécessaire], ANF (1977).
  • Dargier de Saint-Vaulry (alias Argier de Saint-Vaulry (d')), extraction 1537, Marche[a 627].
  • Daru, capitoul de Toulouse 1769, comte en 1809, Languedoc[a 628], ANF (1953).
  • Dasnières de Veigy (olim Gantelet d'Asnières de Veigy), voir Gantelet d'Asnières de Sales (ci-dessous), anoblie 1628, vérifié 1639[204], naturalisé français par L.P. d', maintenue de Noblesse par L.P. du [205], Vallières en Savoie[a 629], ANF (2007).
  • Dauger, anoblie pour services militaires par L.P. de , Champagne, Normandie[206], ANF (1953).
  • David de Beaufort, secrétaire du roi par L.P. du -1730, Autun en Bourgogne[a 630].
  • David de Sauzéa, secrétaire du roi 1789, en charge le 23 juin 1790, Forez[18] Noblesse non consensuelle.
  • David-Beauregard (de), Écoles militaires, confirmé en 1788, Provence[a 631], ANF (1988).
  • Davy de Virville, extraction[207], Normandie[a 632], ANF (1982).
  • Dax d'Axat (de) et d'Ax de Cessales, anoblie par L.P. du , maintenue en 1668, Languedoc[d 28],[a 633], ANF (1956).
  • Déan de Luigné, secrétaire du roi 1700, Maine[a 634],[LM 100], ANF (1956).
  • Decazes, comte sur majorat 1816, duc de Glücksberg 1818, duc Decazes 1820, Guyenne[a 635], ANF (1967). (titres sans anoblissements)
  • Decouz (De Couz ou De Coux) baron par L.P. du (titre transmissible)[208], Annecy, Savoie[Foras 14],[a 636]. Titre sans anoblissement. ANF (2008).
  • Dein, Empire, baron en 1811, confirmé en 1822, Bretagne[a 637],[LM 101]. Titre sans anoblissement. ANF (1956).
  • Dejean de La Bâtie, secrétaire du roi le [209] (ou 1750), Dauphiné, Nivernais, Vivarais[210],[a 638], ANF (1980).
  • Delamalle, Empire, chevalier 1811, confirmé en 1816, vicomte en 1830 à titre personnel, Paris[a 639]. Titre sans anoblissement. ANF (1980)
  • Delarüe-Caron de Beaumarchais, conseiller secrétaire du roi en la Grande Chancellerie de France le , résigne le , Beaumarchais par décret du , Paris[a 640].
  • Delfau de Pontalba, - et de Belfort, capitoul de Toulouse 1746, baron de Pontalba en 1810, baron de Belfort en 1868, Languedoc[a 641],[211].
  • Delherm de Novital, capitoul de Toulouse 1739, Languedoc[a 642].
  • Delolm de Lalaubie, Restauration, anoblie en 1816, Auvergne (Aurillac)[d 28],[a 643].
  • Delom de Mézerac, famille de haute-bourgeoisie[a 644], maintenue de noblesse par arrêt de la Cour des aides de Montpellier de 1767, Languedoc (Albi)[212], ANF (1954).
  • Delort, capitoul de Toulouse 1718, Languedoc[a 645], ANF (1980).
  • Delpuech de Comeiras, pas de principe de noblesse antérieur à la maintenue de noblesse enregistrée à Montpellier en 1721 et 1725 en faveur de Jean Delpuech (en 1692 qualifié maître Jean del Puech, fils de maître Pierre del Puech) et de 4 de ses frères, Languedoc[a 646], ANF (1977).
  • Demandolx-Dedons (de) (olim Dedons), Parlement de Provence 1554, marquis en 1682, Demandolx, Provence[a 647], ANF (1997).
  • Mont d'Aurensan (de), maintenue en 1716, Bigorre (Bagnères-de-Bigorre)[a 648].
  • Denesvre de Domecy (de), secrétaire du roi près le Parlement de Bourgogne reçu le [213] (ou 1704-1706), Avallon/Domecy-sur-le-Vault en Bourgogne[a 649].
  • Denis du Péage, anoblie en 1769, Flandre[a 650], ANF (1950).
  • Denis de Senneville-Grave, échevin de Paris 1720, Paris[a 651], ANF (1961).
  • Denis de Trobriand, maintenue 1715, Bretagne (Finistère)[a 652],[LM 102], ANF (1981).
  • Denys de Bonnaventure, anoblie en 1668, Touraine, Aunis[a 653], ANF (1987).
  • Desazars de Montgailhard, capitoul de Toulouse 1753, baron en 1810, confirmé en 1864, Languedoc[a 654], ANF (1996).
  • Desbiez de Saint-Juan, avocat-général au parlement de Besançon 1736, baron héréditaire de Saint Juan par Louis XVI en 1786[a 655],[214],[215],[216],[217] (pas de preuves certaines que cette famille soit éteinte).
  • Descantons de Montblanc, comte en 1841, Paris[a 656], ANF (1972). (noblesse non consensuelle).
  • Desclos de La Fonchais, secrétaire du roi 1711, Bretagne[d 29],[a 657], ANF (2021).
  • Desfrançois de Pontchalon (alias des François), secrétaire du roi 1767-1782, Normandie[a 658], ANF (1955).
  • Desfriches Doria, ancienne extraction 1457, Picardie[a 659].
  • Desgrées du Loû, extraction chevaleresque 1385, Bretagne[a 660],[LM 103], ANF (1957).
  • Desjardins de Gérauvilliers, anoblie en 1664, Lorraine[a 661].
  • Desjars de Keranrouë, extraction (aveu en 1586), déboutée et condamnée en 1668 puis maintenue en 1670, Bretagne[a 661], ANF (1992).
  • Desmiers de Chenon, et -Desmier de Ligouyer, ancienne extraction 1406, Angoumois[LM 104], ANF (1956).
  • Desmousseaux de Givré, échevin de Paris 1789, baron en 1810[218], Île-de-France, ANF (1981).
  • Desplaces de Charmasse, secrétaire du roi 1729-1731[réf. nécessaire][219], Autun, Bourgogne, ANF (1951).
  • Desprez de La Morlaye et de La Villetual, reconnu noble en 1746 et 1770[LM 105],[220], ou anoblie (confirmée) en 1770[b 13], et filiation non noble avant ces dates, Bretagne (Rennes)[a 662], ANF (1976).
  • Desrousseaux de Medrano et - de Vandières, anoblie en 1815, Champagne (Sedan)[a 663], ANF (1933).
  • Dessayettes de Clairval et Ayettes de Clerval (des), Cour des aides de Paris 1707-1709, Paris[a 664].
  • Desvernay, secrétaire du roi 1780-1787, Forez[a 665], ANF (1933).
  • Detours, Empire, baron en 1811, confirmé en 1817, Moissac, Quercy[réf. nécessaire], ANF (1973). Titre sans anoblissement.
  • Devaulx de Chambord, anoblie en 1815, Bourbonnais[a 666], ANF (1968).
  • Dianous (de), docteur en droit d'Avignon 1739, baron en 1811, Comtat Venaissin[a 667], ANF (1938). Noblesse non consensuelle en France.
  • Dibart de La Villetanet, ancienne extraction 1460, Bretagne[221], ANF (1962).
  • Didelot, anoblie en 1566, baron en 1811, Lorraine[LM 106], ANF (1945).
  • Diesbach de Belleroche (de), anoblie par le Saint-Empire 1434, honneurs de la Cour, Suisse, Artois[a 668], ANF (1951).
  • Dietrich (de), anoblie en 1768 (branche aînée) et 1761 (branche cadette, seule subsistante), Alsace[a 669], ANF (1939).
  • Dieuleveult (de), anoblie le [b 13], Carhaix puis Tréguier en Bretagne[a 670],[LM 107], ANF (1938).
  • Dillon, r.n.f 1759, extraction chevaleresque 1343, honneurs de la Cour, Irlande, Guyenne[a 671].
  • Dion (de), extraction chevaleresque 1390, honneurs de la Cour, Artois[a 672].
  • Dionis du Séjour, échevin de Paris 1698, secrétaire du roi 1719-1738[b 14], Île-de-France[a 673],[222], ANF (1994).
  • Doë de Maindreville, secrétaire du roi 1691-1719, Champagne[a 674], ANF (1947).
  • Domet de Mont, Chambre des comptes de Dole 1713-1738, Franche-Comté, ANF (2022).
  • Domet de Vorges, Chambre des comptes de Dole 1713-1738 et 1741-1779, parlement de Besançon 1741, Franche-Comté[a 675], ANF (1951).
  • Dompierre d'Hornoy (de), trésorier à Amiens 1720, Picardie[a 676],[223], ANF (1934).
  • Donin de Rosière, secrétaire du roi 1747-1771, Dauphiné[224],[a 677], ANF (1976).
  • Donjon de Saint-Martin, secrétaire du roi 1731-1737, Artois[a 678].
  • Doquin de Saint-Preux, Restauration, anoblie en 1816, Champagne[a 679].
  • Doré-Graslin (olim Doré), secrétaire du roi 1785, en charge le 23 juin 1790, Bretagne[18] Noblesse non consensuelle.
  • Dorlodot (de), extraction 1525, Champagne[a 680], ANF (2016).
  • Doublet de Persan, secrétaire du roi 1670, Champagne, Paris[a 681],[225], ANF (1947).
  • Doudinot de La Boissière, greffier en chef au bureau des finances de Limoges 1740-1755 et 1755-1759, Limousin[a 682], ANF (1977).
  • Douezy et Douëzy d'Ollandon, extraction 1540, Normandie[réf. nécessaire], ANF (1972).
  • Douglas (de), ancienne extraction 1440, maintenue 1668, Écosse, Bourgogne[d 30], ANF (1945)[226].
  • Douhet d'Auzers (de), anoblie 1483, baron d'Auzers 1579, Auvergne[a 683], ANF (1967).
  • Douville de Franssu , et- Douville de Maillefeu (de), secrétaire du roi 1775-1780, Picardie (Abbeville)[réf. nécessaire], ANF (1956).
  • Doynel de La Sausserie, extraction chevaleresque 1364, honneurs de la Cour, Normandie[LM 108], ANF (1957).
  • Drée (de), extraction chevaleresque 1343, marquis en 1767[227], honneurs de la Cour 1782 et 1783, Drée, Bourgogne[a 684], ANF (1967).
  • Dresnay (du), ancienne extraction 1424, honneurs de la Cour, Bretagne (Finistère)[a 685],[228],[LM 109], ANF (1971).
  • Dreuille (de) ANF (1967) et Dreüille Sénecterre (de), ancienne extraction 1404, Bourgogne[a 686].
  • Dreux-Brézé (de), secrétaire du roi 1594, marquis en 1685, honneurs de la Cour, Poitou[a 687], ANF (1940).
  • Drier de Laforte, secrétaire du roi 1720, Dauphiné[229],[a 688].
  • Drouas (de), secrétaire du roi 1628, Bourgogne[a 689], ANF (1939).
  • Drouet de Montgermont, secrétaire du roi 1652, Bretagne[a 690],[LM 110], ANF (1963).
  • Drouilhet de Sigalas, anoblie par L.P. données à Paris en [230] (Chaix d'Est-Ange rapporte que ces lettres ne furent pas visées et qu'elles furent annulées en 1664 puis il cite une fonction anoblissante (1696-1737) et un anoblissement en 1784), vicomte par L.P. du et du sur institution de majorat pour la branche cadette, Agen et Marmande en Guyenne[a 691], ANF (1935).
  • Drouin de Bouville (de), extraction 1518, comte en 1767, Gâtinais[a 692], ANF (1933).
  • Dubois de Hoves de Fosseux olim du Bois de Hoves de Fosseux, ancienne extraction 1491, Fosseux, Flandres/Artois[a 693].
  • Dubois de La Cotardière, anoblie en 1817, Normandie[a 694],[LM 111].
  • Dubois de La Patellière, anoblie en 1817, Bretagne[a 695],[LM 112].
  • Duboys de Labarre, maréchal de camp 1788, brevet de pension le [231], Saint-Amant-de-Boixe en Angoumois[a 696], ANF (2004)[232].
  • Dubuard, olim Marin-Dubuard, Empire, baron en 1811, Île-de-France[a 279], ANF (1959)[233]. Titre sans anoblissement.
  • Duchassaing de Ratevoult, preuves de noblesse pour admission aux Écoles Royales Militaires le [234], Sainte-Alvère, Aquitaine[a 697], ANF (2004)[235].
  • Duchaussoy Delcambre de Champvert, Second Empire, baron en 1864, Paris[a 698]. Titre sans anoblissement.
  • Duchemin de Chasseval, secrétaire du roi 1765-1782, (mort en charge), Orléanais[a 699],[d 31], ANF (1985)[236].
  • Duchesne de Lamotte, secrétaire du roi 1735-1755, Picardie[a 700], ANF (1933).
  • Duclaux de L'Estoille, extraction 1509, Auvergne[a 701],[d 32], ANF (1985).
  • Duclos de Bouillas, capitoul de Toulouse 1748[a 702], ANF (1954). (famille éteinte en ligne masculine).
  • Dudon de Boynet, parlement de Bordeaux 1698, Guyenne[a 703], ANF (1968).
  • Dufaure de Citres, extraction 1522, Vivarais, Velay[réf. nécessaire], ANF (1997).
  • Dufour de Quetteville, anoblie sous le règne de Charles VII (confirmation en 1582), Normandie (Honfleur)[a 704],[b 15], ANF (1988).
  • Dugaigneau de Champvallins, anoblie en 1676, Orléanais[a 705], ANF (2018).
  • Dugas de la Boissonny, secrétaire du roi 1785, en charge le 23 juin 1790, Forez[18] Noblesse non consensuelle.
  • Dugas de La Catonnière, baron en 1816, Saint-Martin-la-Plaine, Forez[a 706]. Titre sans anoblissement.
  • Dugas du Villard, anoblie en 1777, Forez[a 706], ANF (1968).
  • Dugon, (olim d'Hugon), preuves de noblesse 1565, maintenue de noblesse à l'intendance de Bourgogne par Bouchu en 1666, confirmation du titre de comte par L.P. du , Bergerac en Périgord[a 707], ANF (1933).
  • Duhamel (olim Fougeroux), secrétaire du roi 1735, Paris[a 708], ANF (2006).
  • Dujat des Allymes, secrétaire du roi 1739, Bugey, Béarn[d 31].
  • Dulong de Rosnay, Empire, baron en 1813, comte en 1827, Champagne[a 709], ANF (1958). Titre sans anoblissement.
  • Dumon, secrétaire du roi 1717 (mort en charge en 1725), Brie, Provence (Marseille)[237],[d 31].
  • Dunoyer de Noirmont (olim Coffinhal), baron par lettres patentes du , Auvergne[238], ANF (2017). Titre sans anoblissement.
  • Dunoyer de Segonzac, 1787 procès devant le parlement de Toulouse, Quercy[a 710], ANF (1963). Preuve non valide.
  • Dupin de Saint-Cyr (branche cadette de la famille du Pin de La Guérivière, voir à la lettre P), ancienne extraction 1433, Poitou, Limousin, Périgord[a 711], ANF (1995).
  • Dupin des Vastines, anoblie en 1583, Normandie[a 712], ANF (1957).
  • Dupont de Compiègne, anoblie en 1640, Béarn[a 713].
  • Dupont de Dinechin, anoblie en 1756 par décharge de franc-fief, Bourgogne (Charlieu)[d 33],[a 714], ANF (1956). (principe de noblesse contesté par Philippe du Puy de Clinchamps).
  • Duport de Rivoire et - de Loriol, anoblie par lettres de relief en 1655 pour la branche de Loriol et en 1734 par charge de conseiller au parlement de Dombes pour la branche de Rivoire, comte en 1743 pour la branche de Loriol, Bresse (Nantua)[d 34],[a 715], ANF (1980).
  • Dupré de Boulois, anoblie en 1821, Bourgogne[a 716], ANF (1973).
  • Dupuy (olim Dupuy de Ruffieu), secrétaire du roi 1777, en charge le 23 juin 1790, Forez[18] Noblesse non consensuelle.
  • Dupuy de La Grand'Rive, secrétaire du roi 1737, Auvergne[a 717], ANF (1949).
  • Durand, anoblie en 1789, Languedoc[a 718], ANF (1982).
  • Durand et - de Fontmagne, baron en 1816, Roussillon[a 719], ANF (1939). Titre sans anoblissement.
  • Durand de Distroff et - de Villers, anoblie en 1596, Lorraine[a 720], ANF (1942).
  • Durand de Gevigney, maintenue de noblesse en 1702, Franche-Comté[a 721], ANF (1975).
  • Durand de Monestrol et - d'Esquilles, extraction, maintenue 1671, Languedoc[a 722], ANF (1985).
  • Durant de Mareuil, Empire, baron en 1809, Champagne[a 723], ANF (1992). Titre sans anoblissement.
  • Durant de Saint-André, baron en 1847, Champagne[a 723], ANF (1955). Titre sans anoblissement.
  • Durat (de), ancienne extraction 1445, Guyenne, Auvergne[a 724], ANF (1948).
  • Durègne de Launaguet, secrétaire du roi 1720, Béarn, Languedoc[réf. nécessaire], ANF (1962).
  • Durey de Noinville, secrétaire du roi 1683, comte 1827, Bourgogne[réf. nécessaire], ANF (1991).
  • Durfort-Civrac de Lorge (de), extraction chevaleresque 1262, duc de Lorge 1774, honneurs de la Cour, Languedoc, Guyenne, Bretagne[a 725],[LM 113], ANF (1944).
  • Durival (olim Luton), Empire, chevalier en 1810, confirmé en 1817, anoblie en 1827, Calvados, Lorraine[a 726],[d 35],[239].
  • Duroy de Suduiraut et - de Bruignac, Parlement de Bordeaux en 1654, baron en 1863 pour une branche éteinte, Guyenne[réf. nécessaire], ANF (1936).
  • Durye, greffier en chef au bureau des finances de Moulins 1742-1753 et 1753-1775, Bourbonnais[a 727], ANF (1945).
  • Dutheil de La Rochère, ancienne extraction 1467, maintenue en 1667 à Poitiers[240], Poitou (Vienne)[a 728], ANF (1955).
  • Dutour de Salvert-Bellenave, anoblie par charge de secrétaire du roi 1710[241], Riom (Puy de Dôme) en Auvergne[a 729], ANF (2013)[242].
  • Duval de Fraville, Empire, baron en 1820, Champagne[a 730]. Titre sans anoblissement.
  • Duverney ou Verney (Du), trésorier à Grenoble 1746-1771, Dauphiné[243], Roussillon[244],[245], ANF (1997).
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E[modifier | modifier le code]

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F[modifier | modifier le code]

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G[modifier | modifier le code]