Liste des commanderies templières en Auvergne

Cette liste recense les anciennes commanderies et maisons de l'Ordre du Temple dans la région Auvergne.

La région Auvergne

Faits marquants et Histoire[modifier | modifier le code]

Le blason de la région d'Auvergne
Le blason de la région d'Auvergne

Installés en Auvergne vers 1175, les Templiers auraient compté jusqu'à soixante dix-sept commanderies.

En 1293, un compte du bailli royal Jean de Trie mentionne quatorze commanderies de Templiers en Auvergne[1] dont cinq concernent l'actuel Puy-de-Dôme : «la Fulhosa» (La Fouilhouze), « Parinhac » (Pérignat, Larodde), « la Turreta » (Yssac-la-Tourette), « la Rauzeira » (La Ronzière), « Monti-Ferrandi (Montferrand) ». Dans cet état, vingt-trois commanderies de l'Hôpital sont également citées dont dix pour le même département. Il est à souligner que ce compte ne révèle qu'une petite partie des établissements recensés dans les sources.

Commanderies[modifier | modifier le code]

 : Cet édifice a été classé au titre des monuments historiques.

Commanderie Commune actuelle Observations
La Bastide Saint-Germain-Lembron De preceptore de la Bastida (1293) [2],[3]
Prend ensuite le nom de commanderie de Sainte-Anne (Hospitaliers)[4],[N 1]
Belvezet Saint-Jean-Lachalm [5]
Beugnet Chassenard [6]
Beugney et la paroisse de Chassenard faisaient partie d'une enclave bourguignonne en Bourbonnais[7].
Bessamorel Bessamorel [8], (1985)[9]
Carlat Carlat [10],[11],[12]
Celles Celles [10],[13], (1990)[14]
De preceptore de Cellis (1293) [2],[3]
Chambon Cohade [15]
Chantoin Bains [5]
Chaynat Ludesse De preceptore de Chanac (1293)[2],[3]
Domus Templi de Chanac, Chanat (procès)[16]
Dône Saint-Simon (Cantal) [17]
La Foulhouze Culhat Dite aussi La Fouilhouze
(la) : de preceptore de la Fulhosa (1293)[2]
Domus Templi de Folhose, de Folhosa (procès)[18],[19],[20],[21]
La Garde-Roussillon Lieutadès De preceptore de la Garda (1293) [2],[3]
Lamaids Lamaids Située dans le Berry (diocèse de Bourges)[22]
Domus Templi de las Maiz Bituricensis diocesis, domus predicte de las Mayhez, preceptor de las Maiez (procès)
Preceptor de Laz Maitz
(Hospitaliers, 1374-75)
[23]
Église Saint-Jean-Baptiste
La Marche Charroux De preceptore de la Marcha (1293) [2],[3]
Montferrand Clermont-Ferrand De preceptore de Montisferrandi (1293) [2],[3],[24]
Montfort Arches De preceptore de Montfort (1293) [2],[3]
Annexe de la commanderie de Celles?[N 2]
Montredon Bellevue-la-Montagne Magister de Mont-Redont (1213)
Domus militiæ Templi de Monte Rotunde (1293)
[25]
Palluet Saint-Pourçain-sur-Sioule [26]
De preceptore de Paluel, Palluel (1293)[2],[3]
Pérignat Larodde [27]
Domus Templi de Payrinhat (c.1202)
De Preceptore de Parinhac (1293)
[2]
Preceptor de Pontisveteris, Ysde et Payrnehac (Hospitaliers, 1374-75)[28]

Cette commanderie ne se situait pas à Pérignat-lès-Sarliève ni à Pérignat-sur-Allier[N 3]
Le Puy Le Puy-en-Velay Domus Milicie templi de Podio, Domus Militiæ Templi Aniciensis [5],[29] (1978)[30],[N 4]
La Ronzière Chadeleuf De preceptore de la Ranzeira (1293) [2],[3]
La Tourette Yssac-la-Tourette [31]
De preceptore de Turreta (1293)[2],[3]
« Vichac » Vichy (?) [Emplacement inconnu][N 5]
De preceptore de Vichac (1293)[2],[3]
Ydes Ydes [10], (1862)[32]
De preceptore de Isda (1293)[2],[3]
Localisation en Auvergne
(Liens vers les articles correspondants)

Autres possessions[modifier | modifier le code]

Les possessions templières mentionnées ci-dessous ne sont pas identifiées de façon certaine comme des commanderies, mais plutôt des maisons du temple de rang inférieur ou des terres dépendantes des commanderies:

Possession Ville actuelle (à ou près de) Observations
Aulnat Aulnat
/ Pont-du-Château
[33]
Le Temple d'Aulnat au temps des hospitaliers[34]
Guillelmus preceptor grangie Templi Alniaci (1231)[35]
Auriac Val d'Arcomie
(Faverolles)
Une partie donnée aux templiers de Celles, l'autre aux hospitaliers de Montchamp par la famille de Châteauneuf[36]
Badailhac Badailhac Alleu dépendant de la commanderie de Carlat, don du comte Henri Ier de Rodez (1219)[37]
Brioude, Sainte-Bonnette de Brioude [38]
Domus de sancte Bonite (1277), maison du Temple ou Hôpital de Brioude (1317) qui dépendait de la commanderie du Chambon[39]
Fareyroles Leotoing Maison templière de Fareyroles [40]
Præceptor de Ferreyrolas (1295)
Freycenet Saint-Jean-de-Nay Dépendance de la commanderie du Puy, Grange ?[41]
Domus militie Templi de Fraissenet (1281)
Jabrun Jabrun Paroisse qui dépendait de la commanderie de La Garde-Roussillon[42]
Pleinecombe (Le Luguet)[N 6] Anzat-le-Luguet Origine templière d'après Laurent d'Agostino. Pas de chapelle à cette époque donc probablement une métairie[43]. On retrouve ensuite cette propriété parmi les membres de Sainte-Anne-La-Bastide (XIVe siècle) puis parmi ceux de Chanonat (XVIIIe siècle).
Pontenat Thiel-sur-Acolin Domus Templi de Poncenay, diocèse d'Autun et archiprêtré de Moulins (XIVe siècle)[44]
La Sauvetat Landos Maison du Temple appartenant à la commanderie du Puy[45]
Domus de la Salvetat (1270)
Tallende-le-Majeur Tallende à l'extérieur du bourg sur l'autre rive de la Monne[46]
Au XIXe siècle, on voyait encore les ruines d'un château leur ayant appartenu
Tempel Bonnac Don de la maison de Rochefort[N 7] aux Templiers[47]

Possessions douteuses ou à vérifier[modifier | modifier le code]

  • L'Hôpital d'Albinhac[42] (Mansus Hospitalis de Albinhaco), commune de Saint-Paul-des-Landes[N 8]
  • La maison du Temple de Billom[N 9] : D'après Ambroise Tardieu, la commanderie des Templiers fut supprimée en 1309 et donnée aux chanoines de Saint-Antoine de Monferrand puis aux Hospitaliers qui en firent un membre de Courtesserre[54],[55]. Alexandre Bruel indique également une origine templière[56]. Ce n'est pas l'opinion des historiens actuels qui donnent une origine hospitalière[57].
  • La maison du Temple de Bourdelles, commune de Saint-Georges-de-Mons[58]: Opinion d'Ambroise Tardieu[59] mais pour Auguste Chassaing, Bourdelles qui est devenue un membre de la commanderie de Chanonat après la dévolution se trouvait dans la paroisse de Chappes[60] (peut-être confondu avec Chapdes) et pour Léopold Niepce, ce serait « Chapiers » (Saint-Germain-Lembron)[61] bien qu'il mentionne Saint-Georges-de-Mons ailleurs dans son ouvrage en citant Tardieu[62]. Aucun de ces auteurs n'apporte la preuve de l'origine templière de Bourdelles. Dans son article paru dans la revue de la Bibliothèque de l'Ecole des Chartes[63], Johan Picot a enfin apporté la preuve de l'existence de la maison du Temple de Bourdeilles. Attestée en 1229 (« inter duas vias que ducunt ad domum Templi de Bordelas »), 1232 (« et inter campum domus Templi de Bordellas »), 1242, 1251, 1252, 1263, 1271, etc.[24], cette demeure templière se situait sur la commune de Saint-Beauzire (63)[64].
  • La Maison du Temple de Busset, dans le département de l'Allier qui n'aurait pas été dévolue aux Hospitaliers, usurpée ou cédée à la maison de Vichy[65]
  • Commanderie de Chanonat, commune de Chanonat[66],[67]
  • La maison du Temple de Langeac en Haute-Loire[68],[N 10]
  • La Salvetat, commune de Saint-Mamet-la-Salvetat[N 11]

Ordre de Saint-Jean de Jérusalem[modifier | modifier le code]

Avant la dévolution des biens de l'ordre du Temple, les Hospitaliers possédaient déjà en Auvergne (langue d'Auvergne) au moins vingt-six maisons (domus Hospitalis) recensées en 1293[1]:

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Après la dévolution, il s'agit de la commanderie de Sainte-Anne dite la Bastide, membre de la commanderie de Chanonat. Ne pas confondre cette ancienne commanderie avec la commanderie de Sainte-Anne en Poitou (Haute-Vienne, commune de Sainte-Anne-Saint-Priest) qui quant à elle est d'origine hospitalière, déjà mentionnée comme tel en 1288.
  2. Montfort apparait dans les comptes du bailli Jean de Tri mais pas au cours du procès. Annexe de la commanderie de Celles ?
  3. cf. Laurent d'Agostino dans Nicole Bériou (dir. et rédacteur), Philippe Josserand (dir.) et al. (préf. Anthony Luttrel & Alain Demurger), Prier et combattre : Dictionnaire européen des ordres militaires au Moyen Âge, Fayard, , 1029 p. (ISBN 978-2-2136-2720-5, présentation en ligne): Carte des ordres militaires en Auvergne au début du XIVe siècle. Léopold Niepce, le Grand Prieuré d'Auvergne et Roger & Anne-Marie Sève, Le procès des Templiers d'Auvergne indiquent à tort Pérignat à proximité d'Aubière.
  4. Ne pas confondre avec la commanderie de Saint-Jean-la-Chevalerie du Puy-en-Velay qui existait déjà à l'époque des templiers et à laquelle furent dévolus les biens de l'ordre du Temple au Puy-en-Velay.
  5. La commanderie de « Vichac » est mentionnée en 1293 mais cette maison n'est pas citée au cours du procès de l'ordre du Temple. Pour Roger & Anne-Marie Sève, il s'agit probablement de Vichy dans l'Allier. D'autres auteurs (tel Andy Pinoteau) mentionnent Busset comme chef-lieu supposé de cette commanderie. Peut-être une dépendance de la commanderie dite de Vichac si celle-ci se trouvait bien à Vichy mais certainement pas le siège de la commanderie compte tenu de la distance qui les séparent. En l'état actuel des recherches, aucune certitude sur sa localisation.
  6. Toponyme disparu. Il s'agit du lieu-dit Le Temple au nord du Luguet entre La Fourneix et Trémeuge (visible uniquement sur les anciennes cartes de l'État-Major (1820-1866) disponible sur Geoportail.
  7. Il s'agit des Rochefort d'Aurouze, famille de Rochefort d'Ally.
  8. Hyppolyte Bouffet donne une origine templière avec la chapelle Notre-Dame d'Albinhac et le frère Berard Bonhomme, commandeur en 1307[42] mais il s'agit du commandeur de la maison du Temple d'Albinhac (ou Aubignac) dans l'Aveyron puisque du diocèse de Rodez (Domus Templi de Albinhaco, Ruthenensis diocesis)[48],[49],[50]. De plus la mention « Hospitalis » n'est pas équivoque et cette maison ne semble pas avoir été dévolue aux Hospitaliers.
  9. Si maison du Temple de Billom il y a eu, elle se trouvait au lieu-dit Le Gros Turluron à l'ouest de Billom en direction de Tinlhat[51]: « Les cinq territoires des Crozes, du Monteillet, de la Prade, de Césardi et d'Escudiol sont très voisins du grand Turluron qui, autrefois était une forteresse appartenant aux chevaliers du Temple. L'habitation du commandeur était situé rue Saint-Loup. »[52]. Si on se fit à cet article, Il y a eu une « maison du Temple de Turluron près Billom ». Cependant,elle n'est pas mentionnée dans ce livre terrier qui ne concerne que la période des Hospitaliers et contient des actes entre 1456 et 1586. De plus, « Humbaud, prieur de Cunlhat cède le prieuré de Turluron près de Billom à Guy de la Tour, évêque de Clermont en octobre 1261 »[53]. Ce prieuré non localisé se trouvait peut-être au lieu-dit Le Petit Turluron et les templiers au Gros Turluron?
  10. Pas de sources pour cette assertion. On ne trouve pas mention d'une maison du Temple de ce nom et elle n'apparait pas non plus chez les Hospitaliers avant la dévolution. Attention au titre de cet ouvrage car elle ne faisait pas partie du diocèse du Puy mais de Celui de Saint-Flour créé en 1317. A. Chassaing dans Dictionnaire topographique du département de la Haute-Loire se trompe de date pour la mention de la praepositura de Lengiaco, c'est 1293 et non 1290 et il s'agit d'une prévôté (cf. le Spicilegium Brivatense du même auteur, 1886, p. 199: de prepositura Langiaci pro prima medietate). Cette information ayant été corrompue en « Praeceptoria de Lengiaco, 1290 (spicilegium Brive) » par des sources plus récentes (web). Première mention avérée en 1338 (terrier) puis en 1350 avec pour commandeur Etienne de Montaigu (le futur maréchal des Hospitaliers?). Elle devient par la suite un membre de la commanderie de Montchamp.
  11. La Salvetat au sud-ouest d'Aurillac dans le Cantal n'a rien à voir avec La Sauvetat-Rossille dans le Puy-de-Dôme d'origine hospitalière, ni avec La Sauvetat, commune de Landos en Haute-Loire. C'est cette dernière qui est d'origine templière alors qu'on ne trouve pas mention de La Salvetat dans le Cantal avant 1374/75 lorsqu'elle est administrée par un commandeur commun avec les commanderies de Carlat et de Celles donc à l'époque des Hospitaliers. La Salvetat d'Aurillac (salvitatis auril., telle qu'elle apparait en 1374/75) fut donnée aux bénédictins de Conques en 1019 par les seigneurs de Calmon d’Olt-Saint Santin. Elle passe ensuite aux Hospitaliers à une date qui reste à déterminer.
  12. « de preceptore de Pallihac » mentionnée parmi les maisons de l'Hôpital. Augustin Chassaing proposait Pauliat, commune de Saint-Étienne-de-Fursac (p. 702) mais à moins qu'il y ait une confusion entre les maisons hospitalières et templières dans cette liste, il ne peut pas s'agir de la commanderie de Paulhac située dans la Creuse et qui est d'origine templière. La première mention certaine de la maison hospitalière de Pallier remonte à 1374-75[69] (preceptor de Palhers)[70].

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Augustin Chassaing, Spicilegium Brivatense : recueil de documents historiques relatifs au Brivadois et à l'Auvergne, Impr. nationale (Paris), , p. 212 (199-214, N°84), lire en ligne sur Gallica
    Ce document contient la liste des commanderies templières et hospitalières à cette date en Auvergne, p. 212-213
  2. a b c d e f g h i j k l m et n Augustin Chassaing, Spicilegium Brivatense : recueil de documents historiques relatifs au Brivadois et à l'Auvergne, Impr. nationale (Paris), , p. 212, lire en ligne sur Gallica
    « De preceptoribus milicie Templi et domorum Alvernie » : Comptes du bailli Jean de Tri qui mentionne les commandeurs de la chevalerie du Temple et leurs maisons en Auvergne en 1293. 14 commanderies.
  3. a b c d e f g h i j k et l Sève 1986, p. 26-27
  4. Gabriel Fournier, Les villages fortifiés et leur évolution : Contribution à l'histoire du village en Auvergne et sur ses marges, Albedia, (ISBN 978-2-9529812-9-3, lire en ligne), p. 438-440
  5. a b et c Alain Demurger, Les Templiers, une chevalerie chrétienne au Moyen Âge, Paris, Seuil, coll. « Points Histoire », (1re éd. 2005), 664 p., poche (ISBN 978-2-7578-1122-1)
  6. Pierre-Frédéric Philippon, Les ordres religieux militaires dans le Bourbonnais et le Berry méridional, mémoire de master 2 de université Blaise Pascal sous la direction de Damien Carraz et Jean-Luc Fray, tome 2, 2011, p.68-69 ; Pierre-Frédéric Philippon, Les Templiers et les Hospitaliers à Beugnet, histoire d'un chef-lieu de commanderie, à paraître.
  7. Louis Sorin de Bonne, « Attaque de la commanderie de Beugnay en 1378 », Bulletin de la société d'émulation et des beaux-arts du Bourbonnais, t. VIII, no 1,‎ , p. 21-22, lire en ligne sur Gallica
  8. Guy de Courtin et Marguerite Gonon, Chartes du Forez antérieures au XIVe siècle : Les dîmes en Forez, vol. 15, (présentation en ligne)« En 1294, dîme des prêtres de Bas à valprivas, indivise avec le commandeur de Bessamorel. »
  9. Notice no PA00092601, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  10. a b et c Églises romanes de Haute-Auvergne: Région d'Aurillac, Tome I sur Google Livres, Pierre Moulier, Éditions Créer, 2000.
  11. L'Ordre des Templiers: petite encyclopédie sur Google Livres, Ivy-Stevan Guiho, Éditions l'Harmattan, 2009.
  12. Guide de la France templière sur Google Livres, Alain Lameyre, Éditions Tchou, 1975.
  13. Églises romanes de Haute-Auvergne: Région de Saint-Flour, Tome III sur Google Livres, Pierre Moulier, Éditions Créer, 2001.
  14. Notice no PA00093482, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  15. Bouffet 1914, p. 97, lire en ligne sur Gallica
  16. Sève 1986, p. 165, 223
  17. Jean-Baptiste de Ribier, Dictionnaire statistique et historique du département du Cantal, vol. 5, Aurillac, Imprimerie Picut, (lire en ligne), p. 373
    Assertion sur l'origine templière non vérifiable car les sources primaires ne sont pas indiquées. Niepce considère également Saint-Jean-de-Donne comme templière tout comme Roger Sève dans Le procès des Templiers d'Auvergne bien qu'il n'ait pas trouvé mention de cette maison.
  18. Amédée Trudon des Ormes, « Listes des maisons et de quelques dignitaires de l'ordre du Temple, en Syrie, en Chypre et en France. d'après les pièces du procès », dans Charles-Jean-Melchior de Vogüé, Revue de l'Orient latin, vol. VII., Paris, Ernest Leroux, (réimpr. 1964) (ISSN 2017-716X, lire en ligne), p. 552-553
  19. (la) Jules Michelet, Le procès des Templiers, vol. 2, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Documents inédits sur l'histoire de France », , 540 p. (lire en ligne), p. 121, 136, 147, 242, 244, lire en ligne sur Gallica
  20. Ambroise Tardieu, Histoire de la ville de Clermont-Ferrand, Lafitte, (1re éd. 1870), 1234 p. (lire en ligne), p. 47
  21. Roger & Anne-Marie Sève, Le procès des templiers d'Auvergne, Éd. du CTHS, , 322 p. (présentation en ligne), p. 278
  22. « Carte du Diocèse de Bourges (sud-est) par Sanson, Guillaume (1633-1703). », sur www.cartocassini.org (consulté le )
  23. Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte - Langue d'Auvergne, t. I, (lire en ligne), p. 197 (H. 244.)
    Ce document comptable permet de connaître le nom des principales commanderies de la langue d'Auvergne au XIVe siècle (1374-75). « In Bituria: Buxerie et Vallisfranchie ; Corsageti ; de Laz Maitz ; ... ».
  24. a et b Johan Picot, « L’inventaire des biens de la commanderie du temple de Montferrand en Basse Auvergne (vers 1308) », Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 174,‎ 2018-2019, p. 107-157.
  25. Augustin Chassaing et Antoine Jacotin, Dictionnaire topographique du département de la Haute-Loire, E. Leroux, , p. 190, lire en ligne sur Gallica
  26. M. Teulet, Layette du trésor des Chartes, tome 2, p.319.
  27. Laurent d'Agostino, Les ordres militaires dans les anciens diocèses de Clermont et de Saint-Flour au Moyen Âge : Le Temple et l'Hôpital de Saint- Jean de Jérusalem du XIIe au XVe siècle (Mémoire de maîtrise), Université Blaise-Pascal Clermont-Ferrand II,  ; Laurent d'Agostino, Templiers et Hospitaliers en Auvergne au Moyen-Âge : suite, univ. de Clermont-Ferrand (thèses),
    En 1293, le commandeur de la maison du Temple de « Parinhac » figure dans les compte du bailli royal Jean de Trie.
  28. Guigue 1895, p. 197 (H. 244.)
    Pontiveteris = Commanderie de Pontvieux (Tauves) d'origine hospitalière, Ysde = Commanderie d'Ydes dans le Cantal qui est d'origine templière.
  29. Auguste Chassaing, Cartulaire des Templiers du Puy-en-Velay, H. Champion, , xxxv + 93 (lire en ligne)
  30. Notice no PA00092746, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  31. René Bouscayrol, « La commanderie de La Tourette », in "Les Amitiés Riomoises et Auvergnates", pp.1-7, n°21, avril 1968.
  32. Notice no IA15000234, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  33. Emmanuel Grélois, « Une histoire ecclésiastique de Montferrand au XIIe siècle », dans Les lieux de culte dans les agglomérations secondaires antiques et petites villes médiévales dans le Massif central, coll. « Siècles, 48 », (lire en ligne), note 14
  34. Léopold Niepce - Le Grand-Prieuré d'Auvergne - Lyon, 1883
  35. (la) Émile-Guillaume Léonard, Gallicarum militiae Templi domorum earumque praeceptorum series secundum apographa, in Bibliotheca nationali asservata, Paris, E. Champion, , xv-259 (présentation en ligne)
  36. Bouffet 1914, p. 122.
  37. Bouffet 1914, p. 92.
  38. Bouffet 1914, p. 97.
  39. Pierre Cubizolles, Le diocèse du Puy-en-Velay des origines à nos jours, Éditions CREER, , 525 p. (ISBN 978-2-84819-030-3, présentation en ligne), p. 177
  40. Site officiel de l'association des amis de la maison templière de Fareyroles, consulté le 11/08/15.
  41. Chassaing 1882, p. xi, 61-62 (doc. 38
  42. a b et c Bouffet 1914, p. 93.
  43. Laurent d'Agostino, « Un établissement des hospitaliers de Saint-Jean : la commanderie de Chauliac (Le Broc. Puy-de-Dôme). », dans Châteaux du Moyen Âge, de l'étude à la valorisation : Auvergne, Velay et autres exemples régionaux : actes du colloque du Puy-en-Velay, 3-5 juin 2004, , 226 p. (ISBN 978-2-9516-5810-3, présentation en ligne), p. 15, 29
  44. Anatole de Charmasse, Cartulaire de l'évêché d'Autun connu sous le nom de Cartulaire rouge publié d'après un manuscrit du XIIIe siècle, suivi d'une carte et d'un pouillé de l'ancien diocèse d'Autun d'après un manuscrit du XIVe siècle, , p. 375,433, lire en ligne sur Gallica
    On trouve ensuite un commandeur hospitalier de Coulanges et Pontenat (Colongiis et Pontenay) en 1374/75.
  45. Chassaing 1882, p. xiv, 51-52 (doc. 31-32
  46. Gabriel Fournier, « Tallende », dans Les villages fortifiés et leur évolution, , 2e éd., 720 p. (ISBN 978-2-9529-8129-3, lire en ligne)
  47. Bouffet 1914, p. 91,122.
  48. Alain Demurger, Le peuple templier, CNRS, , 604 p. (ISBN 978-2-2711-2976-5, présentation en ligne)
    Information contradictoire, Alain Demurger cite Albinhac dans l'index alors qu'il mentionne Aubignac dans la description relative au frère Bertrand / Bernard Bonhomme, commandeur en 1307 et avant.
  49. Trudon des Ormes 1899, p. 565.
  50. (la) Jules Michelet (préf. Jean Favier), Le procès des Templiers, vol. 2, Paris, Éditions du C.T.H.S, (1re éd. 1841-51), (2 vol.) XVI+681 / VI+540 (ISBN 978-2-7355-0161-8, présentation en ligne), p. 162
    (la): Frater Bernardus Boni Hominis preceptor domus Templi de Albinhaco Ruthenensis diocesis.
  51. André Pairault, Billom, cité médiévale. Des origines au XXe siècle (1re éd. 1983), 160 p. (présentation en ligne), p. 66
  52. Dr Dourif, « Le Terrier de la Confrérie du Saint-Esprit de la paroisse de Saint-Saturnin à Billom », Bulletin historique et scientifique de l'Auvergne,‎ , p. 218-219 (lire en ligne)
  53. Thomas Areal, « Une petite ville de basse Auvergne. Billom et ses lieux de culte au Moyen Âge », Siècles, vol. 48,‎ , note 10 (lire en ligne, consulté le )
  54. Ambroise Tardieu, Grand Dictionnaire historique du Département du Puy-de-Dôme,
  55. Pierre-Francois Aleil, Histoire des communes du Puy-Dôme, Howarth, (présentation en ligne), p. 173
  56. Bruel 1882, p. 107.
  57. Histoire et archéologie de l'ordre militaire des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem : recueil de mémoires et documents sur le Forez, Société de la Diana, , 380 p. (présentation en ligne), p. 85, 100
  58. Bruel 1882, p. 214.
  59. Tardieu 1877.
  60. Augustin Chassaing, Cartulaire des Hospitaliers (ordre de Saint-Jean de Jérusalem) du Velay, (lire en ligne), p. 200 (doc. 99)
  61. Léopold Niepce, Le Grand-Prieuré d'Auvergne : Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, Lyon, Librairie Générale Henri Geors, , XI-352 p. (OCLC 422251418, présentation en ligne), p. 296
  62. Niepce 1883, p. 226.
  63. Johan PICOT, « « L’inventaire des biens de la commanderie du Temple de Montferrand en basse Auvergne (vers 1308) », Bibliothèque de l’École des chartes, t. 174, 2018-2019, p. 107-157. », Bibliothèque de l’École des chartes,‎ 2018-2019, p. 107-157
  64. Johan Picot, « L’inventaire des biens de la commanderie du Temple de Montferrand en basse Auvergne (vers 1308) », Bibliothèque de l’École des chartes, t. 174, 2018-2019, p. 148, note 111 : "Pour la localisation du temple de Bourdeilles, on consultera avec profit une charte conservée dans le fonds de l’abbaye de Beaumont qui situe Bordelas dans l’environnement de Saint-Beauzire, de Chappes et du puy Chany. Arch. dép. Puy-de-Dôme, 50 H 41, pièce 64 : « viam qua itur de Poy Chani ad ecclesiam Sancti Baudelii » ; « viam qua itur de Templo de Bordelas versus Chapas » (avril 1251)".
  65. E. Vignat, « Les Seigneurs d'Avor en Berry », Revue historique, nobilaire et géographique, 3e série, t. 2,‎ , p. 135-136 (lire en ligne)
  66. [1], Groupe international d'Études templières ; il faudrait confirmer par une autre source
  67. voir les analyses contradictoires et les différentes sources citées concernant la commanderie de Chanonat
  68. Pierre Cubizolles, Le diocèse du Puy-en-Velay des origines à nos jours, Éditions CREER, , 525 p. (présentation en ligne), p. 178
  69. Jean-Marie Allard, « Templiers et Hospitaliers dans la Creuse: Une esquisse historique dans Les commanderies de la Creuse au Moyen Âge. Aperçu historique et architectural », Mémoires de la Société des sciences naturelles, archéologiques et historiques de la Creuse, t. 50,‎ , p. 136 (127-168) (lire en ligne)
  70. Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte -Langue d'Auvergne , t. I, (lire en ligne), p. 197 (H. 244.)
    Ce document comptable permet de connaître le nom des principales commanderies de la langue d'Auvergne au XIVe siècle.
  71. Jean-Marie Allard, « Templiers et Hospitaliers en Limousin au Moyen Âge. État de la recherche et nouvelles considérations. », Revue Mabillon, no 14,‎ , p. 62-63, 80-81 (carte) (lire en ligne) [PDF]
    Ne pas confondre avec la Commanderie du Chambon (Charente) mentionnée également dans cet article.