Saint-Étienne-de-Fursac

Saint-Étienne-de-Fursac
Saint-Étienne-de-Fursac
Commanderie de Paulhac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité C.C. de Bénévent-Grand-Bourg
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Michel Monnet
2017-2020
Code postal 23290
Code commune 23192
Démographie
Gentilé Fursacois
Population 790 hab. (2014 en diminution de -6.84 % par rapport à 2009)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 08′ 45″ nord, 1° 30′ 48″ est
Altitude 324 m
Min. 316 m
Max. 471 m
Superficie 31,7 km2
Élections
Départementales Le Grand-Bourg
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Fursac
Localisation
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Saint-Étienne-de-Fursac (Furçac en occitan marchois) est une ancienne commune française située dans le canton du Grand-Bourg, le département de la Creuse et la région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Étienne-de-Fursac et Saint-Pierre-de-Fursac sont des communes jumelles. En effet, leurs chefs-lieux, autrefois nettement séparés, sont aujourd'hui réunis pour ne former qu'un bourg. Pour les locaux, il ne s'agit ni de Saint-Pierre, ni de Saint-Étienne, mais de Fursac. Les deux églises ne sont distantes que d'environ 200 mètres et le même bâtiment accueille les deux mairies reliées par la salle des fêtes, l'horloge extérieure marquant la limite entre les deux communes.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune, au pied du Massif central, est surplombée par le puy de Forêt (442 mètres) à partir duquel s'étend une chaîne avec des pics de 424 mètres à Crépiat et 471 mètres à la limite communale près du Bois-Neuf[1].

Le territoire communal est arrosé par la rivière Gartempe qui est alimentée par le Peyroux dans lequel se jettent les ruisseaux de Crépiat et de Beauvais. Le sol, soit granitique, soit argileux, est imperméable donnant naissance à un ruisseau dans chaque dépression. L'Ardour, affluent de la rive gauche de la Gartempe, traverse aussi le territoire de la commune.

Le sol et le sous-sol sont formés de roches siliceuses avec des granites dans la vallée de la Gartempe et les collines qui la bordent. La vallée du Peyroux est constituée de granulites. Le reste du sol étant composé de gneiss et micaschistes.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Villages, lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Ci après est établie la liste des villages et lieux-dits, de la commune de Saint-Étienne-de-Fursac, avec leur orthographe actuelle suivie, en italique, de la forme la plus ancienne attestée avec sa date :

  • Ansanes, Enzanes, 1689[3]
  • Beauvais, Beauvoix, 1539[4]
  • Belleville, 1540[4]
  • Le Bois-aux-Arrêts, Bosco Ary, 1128[4],[3]
  • La Bussière, La Buxiere, 1694[3]
  • La Chaise, La chieze, 1530[3]
  • Chambette
  • Châtenet, Chastanet, 1539[4]
  • Les Côtes (ancien village)[3]
  • Crépiat, Crespiat, 1539[3],[4]
  • La Gasne, La Gâne, jusqu'en 1902[4] (ancien village)[3]
  • Gaulières (lieu), faisait partie de Saint-Étienne alors que le moulin de Gaulières de Saint-Pierre, aujourd'hui les deux lieux appartiennent à Saint-Pierre-de-Fursac[4]
  • La Grange, jusqu'en 1902[4] (ancien village)[3]
  • Lachérade, La Cheyrade, 1530[3] parfois orthographié en deux mots : La Chérade
  • Lacour, (Dominus de) la Court (prope burgum Salaniaci) , 1321[4]
  • La Lande
  • Laprade, 1737[5] parfois orthographié en deux mots : La Prade
  • Laroberterie, La Robarterie, 1541[4] parfois orthographié en deux mots : La Roberterie
  • La Saunerie, La sounerie, XVe siècle
  • Lascaugiraud, Las Coutz Giraudz, 1530[3]
  • Lasroudeaux, Laroudaud, 1737[5]
  • Laugère, jusqu'en 1902[4] (ancien village),[3]
  • Loeil, Petrus de Oculo, 1457[3]
  • Longvert, Lonvert, 1616[3]
  • Marliannes, Marlhanes, 1539[4]
  • Les Meides, Les Mesdes, 1616[3]
  • Montfromage, Maufromage, Mauformage, 1539[4]
  • Montigoux, Mansus de Montigo, 1248[4]
  • Le Moulin du Temple (La Papeterie)[Note 1], 1892[6]
  • Les Moulines, créé en 1865[3]
  • Les Nadauds, créé en 1911[3]
  • Neuville-Bateau, Neuville, 1539[4]
  • Pallet, Palet, 1737[5]
  • Paulhac, Paoliaco, VIIe siècle[3] était une commune indépendante et une commanderie d'origine templière.
  • Les Pelles (ancien village)[3]
  • Le Petit Neyrat[Note 2], Neyrac, 1539[4]
  • Les Pradeaux, créé après le partage du domaine de Beauvais[3]
  • Le Puy Gerbon, 1892[6]
  • Le Puy-la-Croix, jusqu'en 1892[6] (ancien village)[3]
  • La Rivaille, 1737[5]
  • Les Roches, créé en 1846[3]
  • Serveillannes, Servelhanes, 1539[4]
  • Les Vergnes, Les Viergnes, Las Vergnhas, 1541[4]

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du diocèse de Limoges et de l'ancien archiprêtré de Rancon. Elle faisait partie de la province du Limousin, de la généralité et de la sénéchaussée de Limoges. Durant la Révolution elle s'est renommée Fursac-Libre ou Bas-Fursac, dans le canton révolutionnaire de Le Grand-Bourg, district révolutionnaire de La Souterraine.

Au début de la Révolution, Saint-Étienne-de-Fursac absorbe la commune voisine de Lauzarais[7], puis celle de Paulhac en 1825[7].

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

C'est une ancienne paroisse et seigneurie de l'ordre du Temple puis des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem plus connue sous le nom de commanderie de Paulhac.

L'église de la décollation de Saint-Jean-Baptiste (XIIIe siècle) et la chapelle Saint-Fiacre (XVe siècle) sont les églises de la commanderie.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Saint-Étienne-de-Fursac a eu diverses dénominations au cours du temps : Ferruciaco, Ferrucia, Firruciac (monnaies, VIIe siècle),
Vicaria Firciacense (charte de l'an 960),
Ecclesia sancti Stephani de Furciaco (cartulaire de Bénévent, vers 1090),
Parrochia Sancti Stephani de Fursac (acte de 1250),
Parrochia Furciaci-inferioris (collection Gaignières, tome 186, p. 123, 1264),
Ecclesia beati Stephani de Fursat (cartulaire O. Domina, p. 70 vo, archives de la Haute-Vienne, 1292),
Burgus de Fursaco (Pierre d'Hozier, registre III, généalogie de Chamborant, p. 42, 1457) et,
Fursac (registre de Guarin, 1539-1542).

Selon l'abbé Louis Dubreuil, Fursac tire son étymologie de Forum sacrum, Forsac, Fursac, c'est-à-dire lieu sacré, ville sainte indiquant que Fursac était un centre de dévotion. Il est plus vraisemblable que le nom de Fursac soit d'origine gallo-romaine, formé de la même manière que beaucoup d'autres toponymes avoisinants, de la racine Furs désignant le patronyme d'un homme et du suffixe -acus indiquant que ce dernier est le propriétaire du domaine.

Une autre suggestion prétend que Fursac (fursa) provient de fur (« direction » en germanique) et sa (« cité ») soit la cité des directions (7 directions à Fursac[à définir]) ; même étym. que Fursannes (direction des sannes ou sagnes, des marécages).

Durant la Révolution, la commune porte, de prairial de l'an II à pluviôse de l'an IV, le nom de Fursac-Libre[8] puis, de nivôse de l'an IV à fructidor de l'an IV, celui de Le Bas-Fursac[9].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Député et conseiller général[modifier | modifier le code]

Saint-Étienne-de-Fursac appartenait à la 1re circonscription composée des cantons de Bénévent-l'Abbaye, Bonnat, Bourganeuf, Dun-le-Palestel, Le Grand-Bourg, Guéret-Nord, Guéret-Sud-Est, Guéret-Sud-Ouest, Saint-Vaury et La Souterraine jusqu'aux élections de .

Depuis le redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010, la Creuse ne comporte plus qu'une seule circonscription. Lors des élections législatives françaises de 2012, Michel Vergnier qui était le député (PS) de la 1re circonscription depuis 1997 a été élu député de la Creuse face à Jean Auclair qui était le député (UMP) de la deuxième circonscription.

Le conseiller général du canton du Grand-Bourg est Didier Bardet (PS) depuis 2011.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 1894, Saint-Étienne-de-Fursac n'avait pas de bâtiment dévolu à la fonction de mairie. Le secrétariat était assuré personnellement par le maire, et les réunions des conseillers se tenaient à son domicile où étaient conservés les registres et archives de la commune.

En 1842 la mairie est installée chez la veuve Jabely, cabaretière, et en 1853 l'instituteur devient secrétaire de mairie afin de retirer les registres du cabaret. En 1880 la mairie prend place chez M. Villedieu, au-dessus d'une écurie, dans un bâtiment servant d'auberge et café. En 1885, elle est déplacée chez M. Lafaye, alors maire, à cause des émanations odoriférantes chevalines. En 1891, la famille Rogues vend sa maison, construite vers 1790 par Pierre-Léonard Rogues, à la commune. Après des travaux de transformation, elle devient, en 1894, la mairie et l'école de garçons.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1793 Pierre-Léonard Rogues   avocat
1793 1800 Pierre Dumaine    
1800 1830 Pierre-Léonard Rogues    
1830 1837 Léonard Dubois   chirurgien
1837 1848 Alexis Tanchon   juge de paix
1848 1862 André Rogues    
1862 1865 Adrien Rogues    
1865 1871 Alfred Bernard   notaire
1871 1878 Gustave Vénassier   médecin
1878 1881 Emmanuel Lacoste   commerçant
1881 1887 François Lafaye   commerçant
1887 1896 Elie Clémençaux   notaire
1896 1900 François Mettoux   instituteur
1900 1912 Elie Clémençaux    
1912 1919 François Mettoux    
1919 1925 Eugène Lafaye   charcutier
1925 1945 Louis Dudrut   cultivateur
1945 1971 René Navarre   cultivateur
1971 1989 Louis Jannot DVG cultivateur
1989 2001 Lucien Trimoulet   employé coopérative agricole
2001 2008 Elie Malty   retraité SNCF
2008 En cours Michel Monnet DVD retraité gendarmerie

Élections municipales 2008[modifier | modifier le code]

Deux listes sans étiquette se sont présentées lors du 1er tour des élections municipales le .

Au 1er tour, 5 conseillers de chaque liste ont été élus et un 2e tour a eu lieu le pour élire les 5 conseillers restants. À la suite de ces élections, Michel Monnet a été élu maire de la ville[10].

Démographie[modifier | modifier le code]

Carte postale du village vers 1910.

Les recensements n'existant pas sous l'Ancien Régime, le chanoine Lecler a pu, grâce au nombre de communiants, évaluer, vers 1789, à 2400 le nombre d'habitants sur la paroisse de Saint-Étienne-de-Fursac (76 hab./km²) et à 300 celui de la paroisse de Paulhac.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[12],[Note 3].

En 2014, la commune comptait 790 habitants, en diminution de −6,84 % par rapport à 2009 (Creuse : −2,49 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5281 5761 5401 6471 8431 9501 9452 0152 051
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9982 0292 1402 1172 1702 2942 3802 3392 343
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2272 0671 9681 7891 6301 5771 5281 4161 295
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 2014
1 2481 084882904843816849793790
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[13].)
Histogramme de l'évolution démographique

Équipements et Services[modifier | modifier le code]

Scolarité[modifier | modifier le code]

Il y a une école primaire (école Félix Chevrier) de 4 classes et une école maternelle de 2 classes, elles accueillent aussi les enfants de la commune de Saint-Pierre-de-Fursac qui n'a pas d'école[14]. Pourtant bizarrement, d'après le cadastre elle semble être sur le territoire de Saint-Pierre.

Pour le secondaire, les élèves vont au collège, puis au lycée à La Souterraine.

Poste[modifier | modifier le code]

Le bureau de poste est commun aux deux communes, mais situé sur le territoire de Saint-Étienne.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Saint Étienne de Fursac possède deux églises, l'une dans le bourg :

  • l'église Saint-Étienne, sans vraiment d'unité de style.

l'autre à Paulhac :

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Fontaine-Lavoir à Neuville-Bateau, site restauré en 2012 ;
  • Fontaine souterraine à Paulhac.

galerie de photos[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Philibert de Naillac, fut le 34e grand maître des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de 1396 à sa mort, en 1421, fils de Périchon de Naillac, vicomte de Bridiers, seigneur de Naillac et autres lieux. Admis comme chevalier dans la langue d'Auvergne, il sera successivement commandeur de Paulhac (Saint-Étienne-de-Fursac), et bailli de Lureuil (actuelle Indre) avant 1374. Fait assez exceptionnel, les Hospitaliers du prieuré d'Aquitaine l'éliront à leur tête en 1390, et Naillac quittera ainsi la langue d'Auvergne pour celle de France, dont faisait partie la province d'Aquitaine.
  • Saint Léobon de Salagnac est un ermite né à la fin du Ve siècle à Fursac, dont il est le patron.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • René Labrousse, Saint-Étienne et Saint-Pierre-de-Fursac des origines à nos jours, Guéret, Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, 1981.
  • L'abbé Louis Dubreuil, Sainte Rufine et saint Léobon patrons de Fursac, l'église de Saint-Pierre-de-Fursac, les prieurs-curés de Chambon-Sainte-Croix avec poésies et légendes par François Mettoux, instituteur retraité, Guéret imprimerie-papeterie P. Amiault, place d'armes, 1900.
  • Guide des sentiers de randonnées, Office de Tourisme du Pays des Eaux Vives, Bénévent-l'Abbaye / Le Grand-Bourg, 1997.
  • André Lecler, Dictionnaire topographique, archéologique et historique de la Creuse, Imprimerie-librairie-papeterie-reliure Ve H. Ducourtieux, 7 rue des Arènes, Limoges, 1902. Laffitte reprints, Marseille, réimpression de l'édition de Limoges, 1994 (ISBN 2-7348-0486-7).
  • P. Valadeau, Nouveau dictionnaire historique, géographique & statistique illustré de la Creuse, Les Editions de la Tour G.I.L.E., réédition de l'ouvrage de 1892, 1989 (ISBN 2-87802-009-X).
  • Andrée Louradour, « La commanderie de Paulhac », Mémoires de la Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, t. 36, fasc. 3,‎ , p. 490-502, lire en ligne sur Gallica

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La Papeterie sur les cartes IGN actuelles, autrefois Le Moulin du Temple de Paulhac qui consistait en trois moulins, le premier à seigle, le deuxième à draps et le dernier pour carder les draps (Louradour 1968, p. 494).
  2. Domaine et métairie qui appartenaient jusqu'à la Révolution française à la commanderie de Paulhac (Louradour 1968, p. 494).
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN.
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t et u René Labrousse, Saint-Étienne et Saint-Pierre-de-Fursac des origines à nos jours, Guéret, Société des sciences naturelles et archéologiques de la Creuse, 1981
  4. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r André Lecler, Dictionnaire topographique, archéologique et historique de la Creuse, Imprimerie-librairie-papeterie-reliure Ve H. Ducourtieux, 7 rue des Arènes, Limoges, 1902. Laffitte reprints, Marseille, réimpression de l'édition de Limoges, 1994 (ISBN 2-7348-0486-7).
  5. a b c et d Registres paroissiaux.
  6. a b et c P. Valadeau, Nouveau dictionnaire historique, géographique & statistique illustré de la Creuse, Les Editions de la Tour G.I.L.E., réédition de l'ouvrage de 1892, 1989 (ISBN 2-87802-009-X).
  7. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. Nom avéré en tant que nom révolutionnaire sur Archives départementales de la Creuse, p. 24 à 45.
  9. Nom avéré en tant que nom révolutionnaire sur Archives départementales de la Creuse, p. 45 à 50.
  10. Résultats des élections municipales, Ministère de l'Intérieur.
  11. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  12. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  14. http://www.educreuse23.ac-limoges.fr/ia23/documents%20DIPEM/Classes%20%C3%A9coles%20publiques%20%202012-2013.pdf
  15. Notice no PA00100153, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture