Liste d'attentats de la guerre du Mali

Lors de la guerre du Mali, à la suite de l'intervention militaire étrangère de 2013, les jihadistes, et en particulier les insurgés du MUJAO, lancent à partir de , une série d'attentat-suicide contre les forces de la MISMA, de l'armée française et du MNLA.

Liste d'attentats[modifier | modifier le code]

2013[modifier | modifier le code]

  • Le , lors du deuxième combat de Gao, un pick-up du MUJAO, chargé d'explosif et conduit par deux kamikazes fonce sur les troupes françaises, il est cependant détruit par les tirs des forces spéciales avant d'atteindre sa cible[1].
  • Le , un kamikaze du MUJAO se fait exploser à Gao, à proximité de soldats maliens, l'un d'entre eux est légèrement blessé. C'est le premier attentat-suicide de l'histoire du Mali[2].
  • Le , un deuxième kamikaze du MUJAO explose à Gao sans faire de victime[3].
  • Le , à Kidal, un véhicule piégé explose à près de cinq cents mètres d'un camp militaire. Celui-ci regroupe des militaires français et tchadiens. Le bilan fait état de deux blessés et un tué (le conducteur du véhicule). L'attentat est revendiqué par le MUJAO[4].
  • Le , attentat d'In Khalil ; deux kamikazes du MUJAO se font exploser avec leur véhicule à In Khalil. Trois combattants du MNLA sont tués, quatre autres grièvement blessés et trois véhicules détruits[5].
  • Le , 2e attentat de Kidal ; un kamikaze fait exploser son véhicule à un poste de contrôle. 7 combattants du MNLA sont tués dans l'explosion[6]. L'attaque est revendiquée par le MUJAO, sans donner plus de détails[7].
  • Le , lors du premier combat de Tombouctou, une attaque d'un groupe de rebelles du MUJAO commence par l'envoi d'une voiture piégée conduite par un kamikaze sur l'aéroport de Tombouctou, trois soldats maliens sont blessés, dont un mortellement[8].
  • Le , lors du deuxième combat de Tombouctou, une cinquantaine de combattants d'Al-Qaïda au Maghreb islamique, dont plusieurs sont munis de ceintures explosives, effectuent une attaque sur Tombouctou. Le combat commence par l'attentat-suicide d'un kamikaze qui blesse un soldat malien. Quelques heures plus tard, un kamikaze prend en otage un civil nigérian près de la banque, il fait exploser sa charge lors de l'intervention de l'armée malienne, tuant avec lui le civil. Selon un officier malien, deux autres kamikazes se font exploser sans pouvoir atteindre de militaire[9],[10],[11].
  • Le , 3e attentat de Kidal, un kamikaze se fait exploser dans un échoppe lors du passage de soldats tchadiens. Quatre soldats tchadiens sont tués, trois sont blessés, ainsi que cinq civils. L'attentat aurait été commis par un homme du MUJAO[12],[13],[14].
  • Le , attentat d'Hamakouladji ; une patrouille de militaires maliens est attaquée par trois ou cinq kamikazes. Alors qu'un motocycliste est arrêté pour un contrôle d'identité, un véhicule 4X4 chargé d'explosifs fonce sur le groupe. Les passagers du véhicule commencent par ouvrir le feu sur les soldats tandis que le jihadiste sur scooter se fait exploser le premier. Deux soldats maliens sont tués et quatre ou huit sont blessés[15],[16],[17].
  • Le , attentats de Gossi et Ménaka ; l'armée nigérienne est visée à Ménaka par un kamikaze. Une voiture piégée entre dans le camp militaire. Selon le récit d'une source militaire nigérienne à l'AFP : « Vers 5 heures locales, un kamikaze à bord d'une voiture a forcé l'entrée de notre camp militaire à Ménaka. Nous avons fait usage de nos armes, le kamikaze s'est fait exploser. Il est mort, mais nous n'avons pas de victimes dans nos rangs »[18],[19]. Une deuxième attaque a lieu le même jour le même jour à Gossi contre l'armée malienne. Trois kamikazes à pied attaquent un barrage. Ils se font exploser devant les militaires, ou bien sont abattus par les soldats maliens. Trois kamikazes sont tués sur le coup, un quatrième meurt de ses blessures. Deux soldats maliens sont également blessés[18],[19].
  • Le , à Kidal, un kamikaze tente d'assassiner un colonel du MNLA, il se fait exploser devant sa maison mais ne fait qu'un blessé[20].
  • Le , attentat de Tombouctou ; quatre kamikazes conduisant un véhicule piégé se font exploser devant une caserne, deux civils sont tués et six militaires blessés[21],[22]. L'attentat est revendiqué par AQMI[23].
  • Le , à Kidal, selon des militaires maliens, un kamikaze se tue accidentellement, sans faire de victimes, en faisant une fausse manipulation avec sa ceinture explosive dans un entrepôt abandonné[24]. Cependant, d'après le gouverneur de Kidal, il semble plus probable que les fortes chaleurs aient provoqué accidentellement une explosion dans un dépôt de munitions, car aucun corps n'a été retrouvé[25].
  • Le , Attentat de Tessalit, deux Casques bleus tchadiens de la MINUSMA et cinq djihadistes sont tués lors d'une attaque-suicide revendiquée par Sultan Ould Bady[26].
  • Le , sept djihadistes sont repérés par des soldats français à Ménaka, près d'un camp où 500 à 700 soldats nigériens et 24 soldats français sont présents. L'un d'eux se fait exploser sans faire de victimes et les autres prennent la fuite[27],[28],[29].
  • Le , 3e attentat de Kidal, deux Casques bleus sénégalais sont tués par un kamikaze[30]. L'attaque est revendiquée par Sultan Ould Bady[31].

2014[modifier | modifier le code]

  • Le , attentat d'Aguel'hoc, quatre Casques bleus tchadiens sont tués par un kamikaze conduisant un véhicule piégé[32].
  • Le en fin d'après-midi, un pick-up piégé conduit par un kamikaze attaque une patrouille blindée française près d'Almoustarat, entre Bourem et Anéfis. Sept soldats français sont blessés dans l'explosion, dont un mortellement et deux autres grièvement[33],[34]. Le colonel Jaron déclare : « Un véhicule s’est approché à vive allure, on a ouvert le feu, ce qui a permis de stopper le véhicule à 10 mètres de là où nous étions, mais le terroriste a activé sa charge explosive »[35]. L'attaque est revendiquée le par Al-Mourabitoune[36],[37].
  • Le , à Ber, deux soldats burkinabè sont tués et quatre autres blessés par l'explosion d'un pick-up conduit par deux kamikazes[38],[39],[40].
  • Le , à Bourem, un jeune kamikaze se fait exploser accidentellement sans faire de victimes[41].

2015[modifier | modifier le code]

  • Le , à Kidal, la base de la MINUSMA est attaquée par un camion-suicide et des djihadistes armés, mais les Casques bleus tchadiens repoussent l'attaque, quelques assaillants sont tués, un militaire tchadien est tué et un autre blessé[42],[43].
  • Le , attentat de Bamako ; un commando de deux hommes ouvre le feu dans un bar-restaurant-boîte de nuit, tuant cinq personnes, dont trois Maliens, un Français et un Belge, et faisant huit blessés. L'attaque est revendiquée par Al-Mourabitoune[44],[45],[46].
  • Le , à Ansongo, l'explosion d'un véhicule piégé conduit par un kamikaze blesse neuf Casques bleus nigériens, dont deux sérieusement, tue trois civils et en blesse sept autres[47],[48]. L'attaque est revendiquée par Al-Mourabitoune[49].
  • Le , attentat du Radisson Blu de Bamako : deux djihadistes attaquent un hôtel à Bamako, ils tuent 19 civils et un gendarme avant d'être abattus par les forces spéciales françaises et maliennes. L'attaque est revendiquée par Al-Mourabitoune, avec le soutien d'AQMI [50].

2016[modifier | modifier le code]

  • Le , à Kidal, une pluie de roquettes s'abat sur le camp de la MINUSMA et un véhicule conduit par un kamikaze mauritanien se fait exploser, sept soldats guinéens sont tués, dont une femme, et 35 autres casques bleus sont blessés. L'attaque est revendiquée par Ansar Dine[51],[52],[53],[54],[55],[56],[57],[58],[59].
  • Le , en soirée, à Gao, un attentat multi-sites est perpétré par AQMI. Un véhicule piégé explose à l'entrée d'un camp secondaire de la MINUSMA tuant une sentinelle chinoise. Dans les minutes qui suivent, une villa abritant un Britannique civil travaillant pour la MINUSMA est attaquée mais l'intéressé ne s'y trouve pas. Un camp abritant une société de spécialistes en déminage travaillant pour le compte de l'UNMAS est également attaqué par un commando armé. Parmi la douzaine d'Occidentaux présents, un Français est mortellement blessé[60],[61],[62].
  • Le , à Tombouctou, un kamikaze est tué, soit par les tirs de Casques bleus suédois, ou bien à cause de l'explosion limitée d'une ceinture explosive défaillante[63],[64].
  • Le , un kamikaze se fait exploser avec un véhicule piégé près de l'aéroport de Gao, mais sans faire de victimes. L'attaque est revendiquée par la katiba Al-Mourabitoune d'AQMI[65].

2017[modifier | modifier le code]

  • Le , attentat de Gao : un kamikaze se fait exploser dans un camp militaire à Gao, au milieu de combattants des groupes armés de la CMA et de la Plateforme, qui s'étaient réunis pour mener des patrouilles mixtes dans le cadre du Mécanisme opérationnel de coordination (MOC), convenu lors de l'accord d'Alger. Revendiqué par AQMI, l'attentat fait 54 morts et une centaine de blessés, soit le bilan de plus lourd de l'histoire du Mali[66],[67].
  • Le , attentat de Kangaba : un centre de villégiature est attaqué près de Bamako : trois civils, deux militaires et quatre terroristes sont tués dans cet attentat revendiqué par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans[68].

2018[modifier | modifier le code]

  • Le  : un kamikaze au volant d'un véhicule piégé attaque un convoi de l'armée française entre Idelimane et Ménaka : trois soldats sont blessés[69]. L'attaque est revendiquée par l'État islamique dans le Grand Sahara[70].
  • Le  : le quartier-général du G5 Sahel à Sévaré est attaqué par un commando de six djihadistes. Deux des assaillants sont tués, dont un kamikaze au volant d'un véhicule piégé, ainsi que deux soldats et un civil[71],[72],[73]. Onze membres de la Force conjointe du G5 Sahel sont blessés : 5 Tchadiens, 4 Nigériens et 2 Maliens[74].
Un VBCI en feu à Gao le 1er juillet 2018 après une attaque.
  • Le  : un kamikaze au volant d'un véhicule piégé se fait exploser contre une patrouille franco-malienne à Gao. Quatre civils maliens sont tués et 23 blessés. Quatre soldats français sont également blessés et un VBCI est endommagé[75],[76],[77]. L'attaque est revendiquée par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans[78].
Le lendemain de l'attentat du 12 novembre 2018.

2019[modifier | modifier le code]

  • Le  : l'explosion d'un cadavre piégé fait 17 morts et 15 blessés parmi des civils[86].
  • Le , un VBIED conduit par trois kamikazes explose à l'entrée de la base française de Gao. Au moins deux soldats français et cinq soldats estoniens sont blessés[87],[88],[89].

2023[modifier | modifier le code]

  • Le , un camp de l'armée malienne est attaquée par au moins deux véhicules piégés. Aucun bilan n'est communiqué par le gouvernement malien. L'attaque est revendiquée par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans[90].

Liens internes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Jean-Paul Mari, « MALI. L'acte 2 de la guerre », Le Nouvel Observateur, .
  2. 20 Minutes avec AFP, « Mali: Un kamikaze s'est fait exploser à proximité de soldats maliens à Gao », 20 Minutes, .
  3. « Mali : un commando islamiste ouvre le feu au centre de Gao »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Libération.
  4. L'Obs avec AFP, « Mali: le Mujao affirme avoir commis un "attentat" à Kidal », .
  5. AFP, « Le Point : Un attentat suicide fait au moins cinq morts au Mali », Libération,
  6. « Attentat kamikaze contre le MNLA à Kidal »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), MNLAMOV.
  7. « Exclusif : premières images de l’attentat-suicide à Kidal », France 24, .
  8. « Attentat de Tombouctou: la menace terroriste perdure au Mali », RFI, .
  9. « Au Mali, Tombouctou replonge dans la terreur d'attaques islamistes », Le Monde, .
  10. AFP, « Mali: violents affrontements entre armées et djihadistes infiltrés à Tombouctou », L'Express, .
  11. « Mali: fin des combats entre l'armée malienne et les terroristes à Tombouctou »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), CRI.
  12. « Deux à trois soldats tchadiens tués dans un nouvel attentat-suicide au Mali »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), APA news.
  13. « Attentat à Kidal : 3 soldats tchadiens tués et au moins 4 grièvement blessés », VOA, .
  14. AFP, « Guerre au Mali : décès d'un quatrième soldat tchadien après l'attentat de Kidal », Jeune Afrique, .
  15. « Mali: cinq personnes sont tuées lors d'un affrontement au nord de Gao »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), 98,5fm Montréal.
  16. « Des soldats maliens tués dans un attentat », BBC, .
  17. « Les jihadistes continuent de viser Gao », Libération,
  18. a et b Le Monde avec AP, AFP et Reuters, « Mali : attentats-suicides dans le nord, 5 kamikazes tués », .
  19. a et b « Mali : des attaques de kamikazes blessent deux soldats maliens », Le Parisien, .
  20. « Mali: attentat-suicide dans la maison d'un chef du MNLA à Kidal », RFI, .
  21. « Mali : attentat-suicide meurtrier contre un camp de l’armée à Tombouctou », RFI, .
  22. « Mali : deux civils tués et six soldats blessés dans un attentat suicide », Le Parisien, .
  23. « Mali : Aqmi revendique l'attentat suicide à Tombouctou (média mauritanien) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), RFI.
  24. « Mali : tentative avortée d'attaque suicide à Kidal, le kamikaze tué », Le Parisien, .
  25. « Mali: situation tendue à Kidal après des échanges de tirs entre l'armée et le MNLA », RFI, .
  26. AFP, « Mali: nouvelle attaque jihadiste meurtrière, les soldats tchadiens visés »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  27. « Mali : attentat-suicide raté près de soldats français »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), TF1.
  28. AFP, « Mali: attentat-suicide près d'une position française », L'Express, .
  29. « Mali : attentat-suicide près d'une position française au Nord », RFI, .
  30. « Mali: attentat meurtrier à Kidal contre des forces de la Minusma », RFI, .
  31. « Mali : l'attentat contre les soldats de l'ONU revendiqué par un jihadiste du MUJAO », Le Parisien, .
  32. « Mali: quatre soldats de la Minusma tués dans un attentat à Aguelhok », RFI, .
  33. « Ministère de la Défense : Mali : décès d’un soldat français »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  34. AFP, « AFP : Un soldat français tué au Mali », Libération, .
  35. « Un soldat français tué au Mali dans une attaque suicide », Reuters, .
  36. Alakhbar, « Nord du Mali: El-Mourabitoune revendique l’attentat suicide contre l'armée française », sur malijet.com, .
  37. « Mali: le groupe de Belmokhtar revendique l’attentat qui a tué un soldat français », Libération,
  38. AFP, « Nord du Mali: deux soldats burkinabè tués, 4 blessés dans un attentat suicide », Jeune Afrique, .
  39. « Mali: attaque meurtrière contre les forces burkinabè de l'ONU », RFI, .
  40. « Nord du Mali: attaques répétées contre les forces de la Minusma », RFI, .
  41. AFP, « Attentat manqué dans le Nord, l’auteur tué par sa bombe », .
  42. « Mali: attaque terroriste contre la Minusma à Kidal », RFI, .
  43. Le Monde avec AFP, « : Mali : un casque bleu tué dans une attaque contre le camp de l'ONU à Kidal », .
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  46. « Un groupe islamiste revendique l'attentat de Bamako », Le Figaro, .
  47. « Neuf Casques bleus blessés, trois civils tués et sept blessés lors d’une attaque suicide à Ansongo », MINUSMA, .
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  49. « Mali: El-Mourabitoune revendique l’attaque d'Asongo (Enregistrement audio) », Alakhbar, .
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  66. Christophe Châtelot, « Au Mali, les djihadistes ont attaqué un symbole du processus de paix », Le Monde, .
  67. Baba Ahmed, Mali : le bilan de l’attentat contre le camp militaire de Gao revu à la baisse, Jeune Afrique, 24 février 2017.
  68. Jeune Afrique avec AFP, « Mali : l’organisation jihadiste d’Iyad Ag Ghali revendique l’attaque de Kangaba », .
  69. Le Point avec AFP, « Mali : 3 soldats français blessés dans un attentat », .
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  75. AFP, « Attaque "terroriste" au Mali contre des soldats français pendant le sommet de l'UA en Mauritanie », L'Express, .
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  78. France 24 avec AFP et Reuters, « Mali : le GSIM revendique l'attaque contre l'opération Barkhane à Gao », .
  79. Le Monde avec AFP, « Au Mali, trois civils tués dans un attentat-suicide contre un sous-traitant de l’ONU », .
  80. « Mali: au moins 3 morts dans un attentat à la voiture piégée à Gao », RFI, .
  81. « Gao : Le JNIM revendique l’attentat-suicide d’hier soir », Kibaru, .
  82. « Attentat-suicide de Gao : Le JNIM diffuse l’image du kamikaze », Kibaru, .
  83. « Rapport du Secrétaire général sur la situation au Mali » [PDF], Nations unies, , p. 8.
  84. « Mali: des blessés dans une attaque contre un camp de formation militaire », RFI, .
  85. Mohamed Salaha, « Mali : le JNIM revendique l’attaque contre un camp militaire à Koulikoro », Nord Sud Journal, .
  86. Le Figaro avec AFP, « Mali: 17 civils tués par l'explosion d'un cadavre piégé », .
  87. AFP, « Mali : trois blessés dans une attaque au véhicule piégé à l’entrée de la base française de Gao », Jeune Afrique, .
  88. Pilippe Chapleau, « Cinq soldats estoniens et au moins deux Français blessés lors de l'attaque contre le camp de Gao », Lignes de défense, .
  89. « Mali: attaque au véhicule piégé à l’entrée de la base française de Gao », RFI, .
  90. Mali : une attaque suicide vise un camp militaire à Gao, Libération avec AFP, 8 septembre 2023.