Chronologie de Caen

Blason de la ville de Caen

Cette chronologie de Caen recense les grands événements qui ont marqué l'histoire de la ville française de Caen, en Normandie, et de sa proche couronne.

Antiquité et Haut Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Naissance de la ville de Caen (XIe siècle)[modifier | modifier le code]

« La ville qui s'appelle Cathim (Caen), sur la rivière Orne, de part et d'autre, avec ses églises, ses vignes, ses prés, ses moulins, avec le marché, le tonlieu et le port, et toutes ses dépendances »

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Développement de la cité ducale à l'intérieur de ses remparts (XIIe siècle)[modifier | modifier le code]

Épanouissement de la ville désormais française (XIIIe et XIVe siècles)[modifier | modifier le code]

La ville dans la Guerre de Cent Ans (XVe siècle)[modifier | modifier le code]

La Renaissance[modifier | modifier le code]

Le renouveau après la guerre (XVe et XVIe siècles)[modifier | modifier le code]

Les Guerres de religion et le début de la Contre-Réforme (XVIe siècle)[modifier | modifier le code]

Du Grand Siècle au Siècle des Lumières (XVIIe et XVIIIe siècles)[modifier | modifier le code]

La Contre-Réforme et les premières grandes opérations d'urbanisme (XVIIe siècle)[modifier | modifier le code]

La ville au Siècle des Lumières (XVIIIe siècle)[modifier | modifier le code]

La Révolution française[modifier | modifier le code]

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Du Premier Empire à la Restauration[modifier | modifier le code]

De la monarchie de Juillet au Second Empire[modifier | modifier le code]

2 avril 1846 : les corps des religieuses du Bon-Sauveur sont transférés du cimetière Saint-Ouen vers le nouveau cimetière du Bon-Sauveur

  • 1847 : destruction du Moulin Saint-Pierre
  • Avril 1848 : des arbres de la Liberté sont plantés place Saint-Pierre et à la Maladrerie
  • 3 mai 1848 : fondation du comptoir national d'escompte de Caen[32]
  • 1848 : ouverture du Bassin Saint-Pierre
  • 1849 : du 11 mai au 18 septembre, épidémie de choléra, 91 décès[26]
  • 1er avril 1853 : tremblement de terre de 10 à 12 secondes[33]
  • 6 septembre 1853 : ouverture de la ligne du télégraphe avec Paris
  • 1854 : épidémie de choléra
  • 1854 : application à Caen du décret-loi du 26 mars 1852 relatif aux rues de Paris[34]
  • 1855 : fermeture des Halles de la Boucherie (emplacement du magasin Séphora) ; transfert des abattoirs à Vaucelles
  • 1855 : la ligne Mantes-le-Jolie - Lisieux est prolongée jusqu'à la gare provisoire établie à Mondeville)
  • 1855 : fondation du musée de la Société française d'archéologie dans l'ancienne chapelle du collège du Mont[35]
  • Février 1856 : début du transport public avec un service de deux lignes d'omnibus à traction hippomobile[36].
  • 1857 : achèvement d'un réseau complet de distribution d'eau[37]
  • 23 août 1857 : inauguration du Canal de Caen à la mer par Napoléon III et l'Impératrice Eugénie
  • Septembre 1857 : mise en service de la gare de Caen, inaugurée officiellement par Napoléon III et l'Impératrice Eugénie le 4 août 1858
  • Années 1860 : déclin de la dentellerie (Blonde de Caen)
  • À partir de 1860 : suppression du quartier insalubre de la foire ; des équipements publics le remplace (bains-douches, gendarmerie construit de 1857 à 1862, école)
  • 1860 : ouverture du premier grand magasin de Caen, la Maison de Magron (actuel Monoprix)
  • 1862-1864 : la Noë et une grande partie des Odon sont couvertes ; destruction du pont Saint-Pierre ; création du boulevard Saint-Pierre (actuels boulevards Maréchal Leclerc et des Alliés)
  • 28 août 1862 : décret autorisant la création de magasins généraux et d'une salle des ventes[38]
  • 1864 : l'église Saint-Gilles, dont le chœur a été démoli en 1863, perd son statut d'église paroissiale au profit de l'abbatiale de la Trinité ; La Trinité prend alors le nom de Saint-Gilles
  • 2 novembre 1866 : bénédiction du cimetière de Vaucelles (premières inhumations dans ce cimetière dès 1862)
  • 1866 : épidémie de choléra du 26 décembre 1865 au 31 janvier 1866, 178 décès[26]
  • 1869 : construction de l'église Saint-Gerbold à Venoix (alors commune indépendante)

La Troisième République[modifier | modifier le code]

De la Belle Époque[modifier | modifier le code]

L'entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

  • XXe siècle : déclin de l'exploitation de la pierre de Caen concurrencée par nouveaux produits, notamment le béton
  • 1914-1918 : transformation de bâtiments en hôpitaux militaires
  • 12 décembre 1914 : fin des travaux de la caserne d’artillerie (ancien quartier Claude Decaen) ; elle sert de caserne aux soldats belges pendant la guerre
  • 1917 : création des Chantiers navals de Blainville, remplaçant ceux de Caen fondés en 1826
  • 1918 : l'épidémie de grippe espagnole fait plus de 900 morts
  • 26 septembre 1918 : constitution officielle de la région économique (ancêtre des régions actuelles) de Basse-Normandie
  • 15 novembre 1918 : le conseil municipal rebaptise la route de Ouistreham en avenue Georges Clemenceau[60]
  • 18 novembre 1918 : création de la société immobilière et foncière Caen-Extension chargée, entre autres, de l'urbanisation de la rive droite[61]
  • 1919 : création de l'Office Municipal d'Habitation à bon marché ; construction des cités Georges Clemenceau, Guynemer et de la Haie Vigné
  • Mars 1920 : la veuve d'Arthur Le Duc fait don à la ville de la statue de Bertrand Du Guesclin ; elle est installée au milieu de la place Saint-Martin
  • 1920 : construction de la clinique Saint-Martin[N 24]
  • 1921-1922 : démolition de l'ancien Hospice Saint-Louis
  • 1922 : comblement du Canal Robert
  • 20 juillet 1924 : ouverture du stade Hélitas sur une ancienne décharge
  • 1925 : ouverture d'un centre de lutte contre le cancer
  • 17 mai 1925 : inauguration du vélodrome du Stade de Venoix
  • 1926 : ouverture par les Salésiens de l'Institut Professionnel Monseigneur Lemonnier (actuel Institut Lemonnier) à la Pigacière
  • 28 octobre 1928 : inauguration de la Maison des Étudiants
  • Années 1930 : mouvement d'urbanisation
  • 25 septembre 1931 : inauguration de la Grande Brasserie Chandivert, construite dans le jardin de l'hôtel de Than, par les Établissements Chandivert, installé dans l'hôtel Renaissance depuis 1852, et le cinéma Majestic ; le grand bâtiment Art déco comprend une brasserie et une salle de cinéma (actuel Pathé Lumière)
  • 1931-1932 : grands travaux d'assainissement
    • Première station d'épuration (1931)
    • Couverture de la rigole alimentaire, place Courtonne (dernier vestige de l'Odon)
    • Comblement des bras d'eau restés à ciel ouvert
    • Construction d'un réseau général d'égouts
    • Édification d'une station de traitement des eaux
  • 10 juillet 1932 : inauguration du nouvel Hôtel des Postes de style Art déco par le Président Lebrun
  • 1er août 1932 : mise en place de la première ligne d'autobus entre le quartier de la Demi-Lune et celui de l'hôpital Clemenceau[62]
  • 21 juillet 1933 : première foire-exposition de Caen
  • Fin 1934 : fermeture définitive des chantiers navals de Blainville
  • 1935 : début du goudronnage des principales rues
  • 1935 : reconstruction totale de la Gare de l'État par Henri Pacon ; démolition des grandes halles et création des verrières sur les façades du bâtiment des voyageurs
  • 8-11 juin 1936 : importantes manifestations ouvrières dans l'agglomération (Caen, Mondeville, Colombelles, Blainville)[63]
  • 1937-1938 : évolution des modes de transport

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

  • 1940-1944 : Occupation par les forces allemandes
    • 18 juin 1940 : Caen est déclarée ville ouverte ; les premiers Allemands entrent dans la ville
    • 25 juillet 1941 : bombardement de la Gare de l'État par la Royal air force (15 bombes incendiaires, 2 tués)
    • 20 septembre 1941 : première audience de la section spéciale de Caen[65]
    • 2 mars 1942 : bombardement de la gare de l'État ; Vaucelles et la rue d'Auge sont touchés
    • Mai 1942 : ouverture rue Saint-Jean d'un bureau de placement pour les travailleurs volontaires
    • 10 février 1943 : important bombardement de la gare ; les bords de l'Orne, Vaucelles et la Demi-Lune sont touchés (10 morts, 39 blessés et plus de 100 maisons sinistrées)
    • avril-mai 1943 : intensification de la fréquence des bombardements sur le quartier de la gare (13, 17, 20 avril ; 30 mai)
    • avril 1944 : quatre bombardements sur le quartier de la gare (11, 13, 17, 30 avril)
  • Juin-juillet 1944 : bombardements et libération progressive de la ville
    • 7 juin : incapables de prendre la ville comme il était prévu, les Alliés bombardent une première fois la cité ; les quartiers Saint-Jean, Saint-Gilles, du Vaugueux et les alentours du boulevard des Alliés sont gravement touchés ; les Caennais trouvent refugent dans les anciennes carrières ou dans l'Abbaye aux Hommes
    • 8 juin : bombardement par des pièces de marine
    • 12 juin : la flèche de l'église Saint-Pierre est détruite par un obus
    • 15 juin : le théâtre est entièrement détruit par un incendie
    • 7 juillet : nouveau bombardement ; destruction de l'église Saint-Julien, du couvent des Bénédictines, du Temple Protestant, de l'Université et de ce qu'il restait de l'Hôtel de ville
    • 9 juillet : libération de la rive gauche de l'Orne
    • 18 juillet : tirs d'artillerie sur la rive droite ; Vaucelles et les villages de la périphérie sont rasés
    • 19 juillet : libération totale de la ville

La ville contemporaine[modifier | modifier le code]

La Reconstruction[modifier | modifier le code]

Les Trente Glorieuses et la récession : l'émergence de l'agglomération caennaise[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Exhumé lors des fouilles de l'abbaye aux Hommes en 1974, il est aujourd'hui exposé au rez-de-chaussée de la salle des Gardes.
  2. Les fouilles aux alentours du site ont permis de mettre en évidence l'occupation de ce territoire à l'époque gallo-romaine et au haut Moyen Âge.
  3. Les vestiges de ce village, mis au jour entre 1979 et 1981, sont aujourd'hui visibles à proximité du musée d'initiation à la nature.
  4. Le culte de Saint-Martinl fut très vivace tout au long du Moyen Âge. L'évêque de Tours fut l'un des principales évangélisateurs de l'Ouest de la France où il créa un premier réseau de paroisses rurales.
  5. Cette église, dévastée en 1562 par les Protestants et laissée à l'abandon à partir 1793 fut en grande partie détruite en 1838 pour construire une usine à gaz, puis en 1944 pendant la bataille de Caen ; seul le chœur subsiste aujourd'hui [1]
  6. Leur mariage avait été prohibé par Léon IX pour cause de trop grande consanguinité.
  7. En 1206, l’abbé d’Ardenne est élu abbé général de l’ordre des chanoines réguliers de Prémontré.
  8. Cette grande salle voûtée de 120 mètres sur 31 a été détruite avec le reste de l'Hôtel-Dieu en 1830
  9. Le Couvent des Cordeliers, à l'exception de la chapelle, a été détruit en 1944 ; le site est aujourd'hui occupé par la Clinique de la Miséricorde
  10. Les vestiges des remparts que l'on voit aujourd'hui datent de cette époque.
  11. L'Université de Caen fut, jusqu'à la fondation de l'Université de Rouen en 1966, la seule université de Normandie.
  12. Les États de Normandie se réunirent pour la dernière fois en 1655.
  13. En 1515, une Ordonnance royale de François Ier transforma l'Échiquier de Normandie en Parlement de Normandie.
  14. Les chanoines s'installèrent alors dans la chapelle Sainte-Anne voisine, dont il reste une porte du XIIe siècle à décor de frettes crénelées. L'église, agrandie au XVIIIe siècle, est désaffectée depuis la Révolution française.
  15. Ce prieuré était situé dans la paroisse Saint-Ouen de Villers, d'où le nom de la place Villers ; une portion de la rue Caponière actuelle s'appelait jusqu'en 1889 rue des Capucins.
  16. Ce bâtiment fut ainsi surnommé car il ressemblait à un pâté
  17. Ce château est occupée depuis les années 1980 par l'école de musique.
  18. Les canadiens s'y installèrent dans le château, le 19 juillet 1944. Le 10 août, à la suite d'une erreur de l'aviation américaine, le château fut entièrement détruit.
  19. L'ancien tracé de l'Orne se retrouve encore aujourd'hui dans les limites administratives entre les communes de Caen, Mondeville et Hérouville-Saint-Clair.
  20. Le cimetière des Quatre Nations doit son nom au fait que l’on y inhumait des personnes ayant vécu sur les quatre paroisses environnantes (Notre-Dame, Saint-Sauveur, Saint-Martin et Saint-Julien).
  21. Ce barrage-passerelle fut remplacé par une passerelle sans barrage réservée à la circulation piétonne en 1926 ; cette passerelle fut elle-même détruite en 1944.
  22. En octobre 1961, cette statue a été déplacée une nouvelle fois ; elle est désormais érigée sur la Place Saint-Sauveur.
  23. Ce bâtiment a été détruit en 1928 agrandir le Stade Hélitas.
  24. Le Centre Hospitalier Privé Saint-Martin a déménagé dans de nouveaux locaux à la Folie-Couvrechef à la fin des années 1990.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Service éditorial et publications électroniques et Cyril Masset (Institut de Recherche et d'Histoire des Textes), « Chartes originales antérieures à 1121 conservées en France », sur cn-telma.fr, (consulté le ).
  2. Amable-Guillaume-Prosper Brugière Barante, Histoire des ducs de Bourgogne de la maison de Valois, 1364-1477, Furne et Cie, Paris, 1843, 6e ed. [(fr) texte intégral (page consultée le 29 mai 2008)]
  3. Amédée de Bourmont, « La Foire du Pré à Caen. », Bibliothèque de l'École des chartes, no 41,‎ , p. 157-158 (lire en ligne)
  4. Pierre Carel, Histoire de la ville de Caen depuis Philippe-Auguste jusqu'à Charles IX, Paris, Champion, 1886, p. 227 [lire en ligne (page consultée le 23 septembre 2010)]
  5. Siège du château de Caen par Louis XIII: épisode de la guerre civile de 1620 de Léon Puiseux
  6. a et b Journal d'un bourgeois de Caen 1652-1733 [(fr) texte intégral (page consultée le 29 mai 2008)]
  7. Solange Guilleminot, « La justice d'Ancien Régime au XVIIe siècle : 11 000 cas dans le Présidial de Caen » dans Histoire, économie et société, 1988, vol. 7, no 7-2, p. 203 [lire en ligne (page consultée le 24 septembre 2010)]
  8. Georges le Vard, « Hôtel le Valois d'Escoville », Bulletin de la société des antiquaires de Normandie, Caen, vol. XXXIII,‎ , p. 74
  9. Alfred Campion, « Note sur l’école de dressage et d’équitation de Caen », L'Annuaire des cinq départements de l'ancienne Normandie, Caen, Le Blanc-Hardel, vol. 41,‎
  10. Octave Lignier, « Essai sur l'histoire du jardin des plantes de Caen », Bulletin de la société linnéenne de Normandie, Caen, E. Lanier, 5e série, vol. 8,‎ , p. 56
  11. Pascal Liévaux et Hélène Rousteau-Chambon (dir.), Jacques V Gabriel et les architectes de la façade atlantique : Actes du colloque de Nantes du 26-28 septembre 2002, Paris, Éditions Picard, , « Les architectes du roi et l'architecture communale des villes atlantiques », p. 179-181
  12. Georges Dubosc, « Les Tremblements de terre en Normandie », Journal de Rouen,‎
  13. Robert Patry, Une ville de province : Caen pendant la Révolution de 1789, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, 1983, pp. 207–208
  14. Charles-Hippolyte Pouthas, « L'École centrale du Calvados – Organisation et fonctionnement depuis l'ouverture de l'École jusqu'à la fin de l'an X (1796-1802) », dans les Mémoires de l'Académie nationale des sciences, arts et belles-lettres de Caen, Caen, Henri Delesques, 1912, p. 269 [lire en ligne]
  15. Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements et avis du Conseil d'État, 1826, t. 12, p. 502 [lire en ligne]
  16. Jean-Baptiste Duvergier, Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlemens et avis du Conseil d'État de 1788 à 1824, Paris A. Guyot, Bousquet, 1834-1845, Tome 15, 2e édition, p. 87 [lire en ligne]
  17. Exposition en ligne sur le site de la ville de Caen : Émeute à Caen en 1812
  18. Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements et avis du Conseil d'État, 1828, t. 28, p. 343 [lire en ligne]
  19. Ibid., 1828, t. 23, p. 334 [lire en ligne]
  20. Ibid., 1828, t. 23, p. 357 [lire en ligne]
  21. Ibid., 1822, t. 24, p. 120 [lire en ligne]
  22. Octave Lignier, op. cit., p. 104
  23. Victor Amand Toussaint, Indicateur complet de la ville de Caen, guide des étrangers, contenant les adresses de tous les habitans, et précédé d'une notice historique sur Caen et ses monumens, Caen, A. Avonde, 1836 p. 84 [lire en ligne]
  24. Grégoire-Jacques Lange, Éphémérides normandes, Caen, Imprimerie de Bonneserre, 1833, tome 1, p. 72
  25. Ibid., pp. 145–147
  26. a b et c « Les épidémies cholériques à Caen », Le bonhomme normand,‎
  27. Site de la Société française d'archéologie
  28. Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements et avis du Conseil d'État, 1890, p. 137 [lire en ligne]
  29. Ibid., 1837, t. 37, p. 218 [lire en ligne]
  30. Ibid., 1841, p. 495 [lire en ligne]
  31. Pierre Coftier, « La colonie agricole et industrielle Saint-Gilles de Caen » dans le catalogue de l'exposition Enfances normandes 1760 – 1960, Conseil général du Calvados, 23 juin – 30 septembre 2007, pp. 24–26
  32. Ibid., 1848, pp. 409–410 [lire en ligne]
  33. « Informations », L'Ordre et la Liberté,‎
  34. Revue générale d administration, Paris, Berger-Levrault et Cie, septembre-décembre 1883, p. 262 [lire en ligne]
  35. Guillaume-Stanislas Trébutien, Caen, son histoire, ses monuments, son commerce et ses environs, guide du touriste, Caen, F. Le Blanc-Hardel, 1870 ; Brionne, le Portulan, Manoir de Saint-Pierre-de-Salerne, 1970, pp. 303–304
  36. L'Ordre et la Liberté, édition du 26 février 1856
  37. idib., p. 331
  38. Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements et avis du Conseil d'État, 1862, pp. 419–420 [lire en ligne]
  39. Le bonhomme normand du 15 octobre 1874
  40. « Édilité », Le bonhomme normand,‎
  41. « Voyage du président de la République », Le bonhomme normand,‎
  42. « L'expulsion des Recollets », Le bonhomme normand,‎
  43. Ibid., 1881, p. 330 [lire en ligne]
  44. Supplément à L'Ouest-Éclair - édition de Caen, 22 avril 1922
  45. « Les bêtises municipales », Le bonhomme normand,‎
  46. « Il est enlevé », Le bonhomme normand,‎
  47. « Le lawn-tennis club de Caen », Le journal de Caen,‎
  48. « Programme des fêtes avec ministre » dans Le bonhomme normand, 30e année, no 22, 1er au 7 juin 1894
  49. « Au conseil municipal », Journal de Caen,‎
  50. « Les omnibus-tramways », Journal de Caen,‎
  51. Véronique Lesbaudits, « Les débuts du cinéma dans le Calvados (1895-1914) », Annales de Normandie, 1993, vol. 43, no 3, p. 202
  52. « Le téléphone de Caen : inauguration du réseau bas-normand », Journal de Caen,‎
  53. « Les fêtes caennaises », Journal de Caen,‎
  54. « Bourse du travail », Journal de Caen,‎
  55. Revue générale d'administration, Paris, Berger-Levrault et Cie, janvier-avril 1905, p. 376 [lire en ligne]
  56. « 60e anniversaire dy syndicat d'initiative de Caen », Le mois à Caen, no 61,‎
  57. Véronique Lesbaudits, op. cit., p. 211
  58. « Le nouveau barrage », L'Ouest-Éclair - édition de Caen,‎
  59. « Le collège de jeunes filles », Ouest Éclair - édition de Caen,‎ (lire en ligne)
  60. « Au conseil municipal », L'Ouest-Éclair - édition de Caen,‎ (lire en ligne)
  61. « Caen-extension », L'Ouest-Éclair - édition de Caen,‎ (lire en ligne)
  62. « L'inauguration du nouveau service d'autobus », L'Ouest-Éclair - édition de Caen,‎ (lire en ligne)
  63. Ginette Lemarchand, « Juin 1936 à Caen » dans Le Mouvement social, Paris, les Éditions ouvrières, juillet-septembre 1936, no 56, pp. 75–85 [lire en ligne]
  64. « La nouvelle utilisation de la place Courtonne », L'Ouest-Éclair - édition de Caen,‎ (lire en ligne)
  65. Yves Lecouturier, « La section spéciale de Caen (1941-1944) », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, no 28,‎ , p. 107-114 (lire en ligne)
  66. « Université de Caen », notice no PA14000102, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  67. « Ancienne chambre de commerce et d'industrie », notice no PA14000032, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  68. « Entreprise Legallais : historique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur entreprise-legallais.com.
  69. « Église Saint-Julien », notice no PA14000061, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  70. « PA14000055 », notice no merimee, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  71. « Réservoir ou château d'eau de la Guérinière », notice no PA14000087, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  72. « Chapelle du Bon Sauveur », notice no PA14000064, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  73. « Église du Sacré-cœur de la Guérinière », notice no PA14000051, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  74. « Le viaduc de la Cavée a été inauguré samedi », Caen 7 jours,‎
  75. « 1965, une grande année pour Caen », Caen 7 jours,‎
  76. « Treize maires de l'agglomération caennaise s'associent », Caen 7 jours,‎
  77. a et b « La voix est libre : Mai 68 à Caen », France 3 Basse-Normandie, samedi 24 mai 2008
  78. « Le mont de piété de Caen fermera ses portes le 1er janvier 1969 », Caen 7 jours,‎
  79. « Histoire de la Comédie de Caen »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur comediedecaen.com, Comédie de Caen.
  80. « Le drugstore Saint-Pierre ouvre ses portes samedi », Caen 7 jours,‎
  81. « Caen en sens unique », Liberté de Normandie,‎
  82. « Le grand district urbain de Caen est né hier entre le groupe des huit », Liberté - Le Bonhomme libre,‎
  83. « Une page se tourne sur l'histoire de Caen...la gare routière avait 43 ans », Liberté-Le Bonhomme normand,‎
  84. Bulletin du conseil municipal, séance du 23 mars 2008 [lire en ligne] [PDF]

Voir aussi[modifier | modifier le code]