Chambellay

Chambellay
Chambellay
L'église Saint-Aubin.
Blason de Chambellay
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Segré
Intercommunalité Communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou
Maire
Mandat
Jean Pagis
2020-2026
Code postal 49220
Code commune 49064
Démographie
Gentilé Cambolitains
Population
municipale
397 hab. (2021 en augmentation de 4,75 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 41′ 28″ nord, 0° 40′ 56″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 76 m
Superficie 12,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tiercé
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Chambellay est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.

La commune fait partie de la communauté de communes de la région du Lion-d'Angers ainsi que du syndicat mixte Pays du Haut-Anjou Segréen.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Chambellay se situe à 10 km du Lion-d'Angers, à 15 km de Segré, à 16 km de Château-Gontier et à 30 km d'Angers.

La commune s'étend de part et d'autre de la Mayenne, sur une superficie de 1 286 hectares. Elle est parcourue par quelques ruisseaux : celui du Grand Saulaie, limite nord de la commune, celui du Maudeux et celui de la Baconne. Le bois des Défais et le parc du château de Bois-Montbourcher constituent les zones boisées de ce territoire. La commune est principalement parcourue par la N 162[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Coudray à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 718,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chambellay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,7 %), prairies (37,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), forêts (4,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

La ville s'appelait Cambriliacus Villa à la fin de l'Antiquité, Angerii de Camberliaco au XIe siècle[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, la seigneurie de Chambellay relève du château d'Angers, de Candé, du Ménil et de Marigné. Elle appartient jusqu'au XIIIe siècle à la famille du même nom, passe ensuite entre les mains de la famille de Montalais (du XIVe siècle au début du XVIIIe siècle) avant d'être cédée en 1710 à la famille de Racapé, puis aux d'Héliand d'Ampoigné et enfin par alliance aux Juigné du Parvis[15].

Sous l'Ancien Régime, Chambellay dépend de l'élection et des aides d'Angers[15].

Pendant la Première Guerre mondiale, 33 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, deux habitants sont tués[16].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1801 F.Brillet    
1801 1808 Vignais    
1808 1818 Comte Louis d'Andigné de Mayneuf   Magistrat, président du Conseil général de Maine-et-Loire
1818 1830 Comte des Haies de Cry    
1830 1838 J.B.Journeil    
1838 avril 1848 René Valin    
avril 1848 août 1848 Thorel   Médecin
août 1848 1865 Michel Lavenier    
1865 1878 Adolphe Bordillon    
1878 1881 Marquis Ernest de Charnacé    
1881   Vicomte Daniel de Charnacé    
         
août 1942 septembre 1942 J.B.Boivin    
septembre 1942 1968 Comte Bertrand de Charnacé    
1968 1977 Maurice Boisramé    
1977 1983 Louis Chrétien    
1983 2001 Henri Vannier   Retraité
2001 2008 Bernard Deumié   Inspecteur général du Tourisme
Président de la CC Région du Lion-d'Angers (2001-2008)
mars 2008 mars 2014 Denis Placet   Enseignant
mars 2014 En cours
(au 26 mai 2020)
Jean Pagis[17],[18]    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes de la région du Lion-d'Angers[19], elle-même membre du syndicat mixte Pays de l'Anjou bleu, Pays segréen.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2021, la commune comptait 397 habitants[Note 3], en augmentation de 4,75 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
696555563566740772814851821
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
838888809761753704713720654
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
657646649573523537536606488
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
425368283320268299299296344
2015 2020 2021 - - - - - -
379394397------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 197 hommes pour 203 femmes, soit un taux de 50,75 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,5 
5,2 
75-89 ans
5,5 
15,5 
60-74 ans
12,5 
17,0 
45-59 ans
17,5 
17,5 
30-44 ans
20,0 
14,4 
15-29 ans
14,5 
29,9 
0-14 ans
28,5 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2020 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
6,9 
75-89 ans
9,4 
16 
60-74 ans
16,8 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,3 
30-44 ans
17,5 
18,7 
15-29 ans
17,6 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Sur 39 établissements présents sur la commune à fin 2010, 44 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 5 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 33 % de celui du commerce et des services et 10 % du secteur de l'administration et de la santé[26].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château du Bois-Montbourcher
  • Église Saint-Aubin[27] (avec les toiles d'Adeline Neveux (1912-1987)
    Architectes : Alfred Tessier et Prosper Lemesle (cambolitain de naissance). L'église remplace une église romane qui contenait de très belles peintures murales. La reconstruction est confiée en 1858 à Tessier. Les travaux sont menés jusqu'en 1861 sous la direction de Prosper Lemesle. En 1911, la flèche fait l'objet de consolidations. Quinze toiles marouflées murales d'Adeline Neveux y sont installées en 1941 et montrent des scènes de l'Ancien et du Nouveau Testament[28].
    L'église est en croix latine ; elle possède un clocher-porche hors-œuvre en façade. Le clocher est en pierre à trois étages couronnés d'une flèche polygonale. La nef unique est composée de cinq travées voûtées d'ogives en brique, d'une travée de chœur et d'une abside à cinq pans. L'église est éclairée par des baies à deux lancettes excepté les pignons des bras du transept percés de roses. Des peintures de Hippolyte Fournier (en particulier une œuvre intitulée La Foi, classée MH en 2021, située au fond de la nef) et de l'Angevin René Rabault viennent compléter le décor.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

XVIIIe – XIXe siècle[modifier | modifier le code]

  • Louis-Gabriel-Auguste d'Andigné de Mayneuf (1763-1839), magistrat et homme politique: conseiller au Parlement de Bretagne (1788-1790), président du Conseil général de Maine-et-Loire (1807-1809, 1818-1819, 1822-1823, 1825-1827,1829-1831), maire de Chambellay (1808-1818), député de Maine-et-Loire (1815-1827), Premier président de la Cour royale d'Angers (1824-1830), chevalier de la Légion d'honneur.
  • Toussaint Grille (1766-1850), collectionneur d'ouvrages et d'antiquités angevines : avant de devenir directeur de la bibliothèque municipale d'Angers (1805-1837), il avait été curé assermenté de Chambellay (1792-1793). Son neveu, François Grille (1782-1853), qui lui succéda comme bibliothécaire de la ville d'Angers, fréquentait le salon que Rosalie Barbot (1771-1863), la tante de Prosper Barbot (cf. infra), tenait cour Saint-Aubin à Angers.
  • Emmanuel Dambray (1785-1868), conseiller d'État, homme politique : conseiller général de la Seine-Inférieure, pair de France (1815-1830), député de la Mayenne (1849-1851), il était le fils de Charles Dambray, chancelier de France de Louis XVIII, président de la Chambre des pairs (1814-1829), ministre de la Justice et garde des Sceaux (1814-1815, 1816-1818).
  • Prosper Barbot (1798-1878), artiste-peintre paysagiste et orientaliste : compagnon de Camille Corot en Italie (1824-1828), récompensé d'une médaille d'or au Salon de 1827, peignant ensuite en Algérie (1842) et en Égypte (1844-1846).
  • marquis Guy de Charnacé (1825-1909), écrivain et musicologue : il se marie en 1849 à Claire d'Agoult (1830-1912), fille de Marie d'Agoult (1805-1876), en littérature Daniel Stern, du salon littéraire de laquelle il était devenu un habitué après avoir rencontré Honoré de Balzac à Dresde dans le salon de la comtesse Hanska.

XXe – XXIe siècle[modifier | modifier le code]

  • Alfred Bour(1882-1973), avocat au Barreau de Paris puis administrateur de biens, homme politique, journaliste. En 1935, il a hérité avec son épouse, née Caroline Leroux (1884-1947) et nièce de Georges Le Chatelier (1857-1935) décédé sans enfant, de la propriété du Verger, sise aujourd'hui 8 route de Saint-Martin à Chambellay, voisine de celle des Soulez-Larivière auxquels Alfred Bour était par ailleurs lié par sa sœur Adèle, épouse d'Émile Soulez. Un de ses fils, Louis Bour (1909-1998), publia en 1977 un livre sur son père: Alfred Bour, une vie, une époque, où figurent de nombreux souvenirs de sa vie à Chambellay, dont le récit de ses dernières années en Anjou.
  • Jean-Claude Brialy (1933-2007), il a réalisé son premier film, Églantine, l'histoire de la vente d'une maison de famille inspirée de la vente de la maison de ses grands-parents paternels sise à Chambellay, rue du Commerce. En 1979, il demeure à Chambellay pendant le tournage d'un autre de ses films "les Malheurs de Sophie" (tourné au château de la Lorie, situé à La Chapelle-sur-Oudon près de Segré). Deux livres : Le ruisseau des singes (2000) et J'ai oublié de vous dire (2004), y évoquent plus les moments de son enfance passés à Chambellay.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Chambellay
  • Description : D’argent à trois chevrons de gueules.[29]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 622-624.
  • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 1 (A-C), Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd., p. 582-583.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Présentation de la commune de Chambellay », notice no IA49009758, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, notice du , par Viviane Manase et Claire Steimer (Région Pays de la Loire Inventaire général, Conseil général de Maine-et-Loire Service de l'Inventaire du patrimoine).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Chambellay et Coudray », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Coudray », sur la commune de Coudray - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Coudray », sur la commune de Coudray - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 49.
  15. a et b Port 1965, p. 623.
  16. Port 1965, p. 622.
  17. « Liste des maires élus en 2014 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la Préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
  18. « Chambellay. Jean Pagis réélu pour un second mandat de maire », sur Ouest-France, (consulté le ).
  19. Insee, Composition de l'EPCI de la Région du Lion d'Angers (244900585), consulté le 14 décembre 2013.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chambellay (49064) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  26. Insee, Statistiques locales du territoire de Chambellay (49), consultées le 16 décembre 2012.
  27. Notice no IA49009798, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Adelyne Neveux », sur Chambellay (consulté le ).
  29. C’est aussi le blason des villes de Machecoul (Loire-Atlantique) et d’Haroué (Meurthe-et-Moselle).