Bavelincourt

Bavelincourt
Bavelincourt
L'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC du Territoire Nord Picardie
Maire
Mandat
Alain Jumelle
2020-2026
Code postal 80260
Code commune 80056
Démographie
Gentilé Bavelincourtois
Population
municipale
96 hab. (2021 en diminution de 23,81 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 59′ 14″ nord, 2° 27′ 19″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 128 m
Superficie 7,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Corbie
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Bavelincourt
Liens
Site web https://bavelincourt.fr

Bavelincourt est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Bavelincourt
Hérissart et
Rubempré
Contay
Beaucourt-sur-l'Hallue Bavelincourt
Béhencourt

Description[modifier | modifier le code]

Bavelincourt est un village périurbain picard de l'Amienois de la vallée de l'Hallue et du plateau qui la surplombe, situé à 16 km au nord-est d'Amiens, 14 km à l'ouest d'Albert et à 20 km au sud-est de Doullens. Il est desservi par le tracé de l'ancienne route nationale 319 (actuelle RD 919).

Le territoire communal est structuré par la vallée de l'Hallue, qui se ramifie en plusieurs petits vallons. Au-dessous des terres glaises, il existait à la fin du XIXe siècle une nappe phréatique qui alimentait alors les puits des habitations[1].

En 2022, la localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France (ligne no 736)[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le sud du territoire communal est drainé par les bras de l'Hallue, un affluent du fleuve côtier picard la Somme.

Il existait autrefois un moulin sur l'Hallue. Ses ouvrages hydrauliques ont été détruits en 2019 afin de recréer la libre circulation des espèces piscicoles qui migrent de l’aval vers l’amont de la rivière et le transit sédimentaire[3]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 745 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Présentation[modifier | modifier le code]

Bavelincourt s'organise le long d'une rue longeant l'Hallue, la RD 115 : sur cet axe donnent la plupart des fermes et des maisons, ainsi que la mairie, l'école, l'église et le château. Le village se poursuit par l'écart d'Esbart le long d'un axe très sinueux, à son carrefour avec la route d'Amiens à Contay (RD 919). Tous les édifices s'échelonnent le long de l'Hallue, selon un tissu architectural très lâche, où les bâtiments sont entourés de pâtures et de jardins[10].

Un écart[Note 1] isolé est constitué par la Ferme d'Alger[10].

Typologie[modifier | modifier le code]

Bavelincourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83 %), prairies (7,5 %), forêts (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du lieu est attesté depuis le XIIe siècle, sous la forme de Bavelainecort en 1148[10]

Comme pour les autres villages en « -court », le nom de la localité viendrait du nom d'un des « propriétaires » des lieux, apport germanique du VIe siècle[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire

Un menhir d'époque indéterminée, se trouve à l'est du territoire, sur la colline qui surplombe le village[10]. Des carrières de grès ont été exploitées au site dit Le Cochon, dont l'une à l'époque protohistorique, entre l'âge du bronze (2300-800 avant notre ère) et La Tène (ou second âge du fer, entre 475 et 25 avant notre ère). Son exploitation a été pousruivie au haut Moyen-Âge (entre 550 et 650)[18].

Antiquité

Des armes de pierre et des poteries gallo-romaines ont été trouvées sur le territoire.

Moyen-Âge

Bavelincourt était au Moyen Âge le siège d'une seigneurie, dont les premiers détenteurs portaient le nom (Hessselin de Bavelincourt, 1212), avant que le fief ne passe à la famille de Fouquesolles. À cette époque existaient deux écarts aujourd'hui disparus : le Francmoulin abritant une ferme appartenant à l'abbaye de Corbie et qui aurait été détruite avant 1669, ainsi que le hameau d'Agnicourt (mentionné dès le XIIe siècle) et qui constituait une seigneurie autonome. Une troisième seigneurie relevant de celle de Bavelincourt était attachée au hameau d'Esbart[10].

Guerre franco-allemande de 1870

Le , au cours de la bataille de l'Hallue, des combats ont eu lieu à Bavelincourt. Ils ont causé des dommages à l'église, qui nécessitent la réparation de la voûte ainsi que le remplacement des entraits et poinçons de la charpente remplacés par des tirants métalliques[19].

La mairie, initialement construite comme salle d'école, date de 1841. Les autres principaux édifice de la commune sont de la fin du XIXe siècle : l'église, reconstruite en 1853-1854, l'école, construite en 1880 — ce qui a permis d'utiliser l'édifice de 1841 comme mairie[20] — et le "château" (grande maison de notable, 1893)[10].

En 1899, on comptait deux hameaux dans la commune[1] :

  • Esbart, distant de 1 km, 7 habitants.
  • Ferme d'Alger, éloignée de 2 500 m, 5 habitants.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Villers-Bocage[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Corbie

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Somme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Bavelincourt était membre de la communauté de communes Bocage Hallue, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Territoire Nord Picardie dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 2 décembre 2020)
Alain Jumelle   Réélu pour le mandat 2020-2026[22],[23],[24]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 96 habitants[Note 4], en diminution de 23,81 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
210189219233233260258286303
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
285235241210207211188156145
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1371251087992891006565
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
638781677485109112133
2017 2021 - - - - - - -
10696-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le village n'a plus d'école. La compétence scolaire est gérée par la communauté de communes.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Bavelincourt, la Pierre d'Oblicamp.
  • Pierre d'Oblicamp : Au nord du bois de Bavelincourt, au milieu des terres et offrant un vaste panorama sur la vallée de l'Hallue, se dresse un menhir au profil de tête de cheval, connu sous le nom de Pierre d'Oblicamp. Ce mégalithe de 2,40 m de hauteur, de 2,25 m dans sa plus grande largeur et s'enfonçant de 1,25 m dans le sol, est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis le 5 janvier 1970.
  • Église Saint-Sulpice, construite ex nihilo en 1854. Des blocs calcaires et des grès de l'église antérieure, édifice modeste à campenard (1762) entouré de son cimetière et situé en bordure de l'Hallue, ont été réemployés pour le parement intérieur. Le nouvel édifice est bâti en brique sur un soubassement de grès, hormis la façade, ainsi que la corniche, le bandeau et les pilastres décorant les murs latéraux qui sont en craie. La façade de style néo-classique est ornée de deux frontons triangulaires. L'intérieur est très sobrement décoré, à l'exception de la voûte peinte du cul-de-four de l'abside représentant la colombe du Saint-Esprit dans un ciel azuré. C'est la dernière église construite en style néo-classique dans le canton de Villers-Bocage.
Le devis de construction de 1853 mentionnait :
« L'église aura 21,20 m de long sur 8,60 m de large hors œuvre, le sol intérieur sera élevé de 40 cm au-dessus du terrain, les murs auront 7 mètres de haut, du pavé au-dessus de la corniche, et leur épaisseur sera de 60 cm.
La maçonnerie sera en moellons pour les fondations, en moellons recouverts de briques pour les soubassements, un cordon en pierre au-dessus du soubassement formera un retrait de cinq centimètres. Les murs à partir de ce retrait, auront un parement extérieur en briques et intérieur en vieilles pierres et briques par assises alternatives, une frise en pierre extérieure et intérieure. Huit pilastres en pierre de 7,30 m de hauteur, feront des saillies de 11 centimètres. Les murs seront percés d'une porte latérale, d'une porte de sacristie et de huit croisées de 3 m de haut. La façade orientée au sud, sera réalisée en pierre de taille prise dans les carrières du pays, à l'extérieur et, en briques et vieilles pierres à l'intérieur. La couverture sera en ardoises »[28],[19]
  • Château d'Esbart. La demeure actuelle reprend les murs de l'ancien château, qui pourrait remonter à l'époque médiévale[29].
  • Cimetière communal, situé autrefois autour de l'ancienne église et déplacé en 1899 au lieu-dit Le Calvaire, et qui comprend un carré militaire britannique ainsi qu'une tombe militaire de 1870[30].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • François Ansart Histoire des églises de la vallée de l'Hallue Bibliothèque municipale d'Amiens Louis-Aragon, cote 18568 Pic 6318.

Liens internes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Un écart, plus petit qu'un hameau, correspond à un lieu isolé, une maison ou une ferme sans aucun voisin
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Notice communale de 1899 par M. Carton. Archives départementales de la Somme
  2. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  3. Cédric Merlo, « Aux petits soins pour la rivière Hallue à Bavelincourt et Querrieu : Des travaux ont lieu dans le cadre de la restauration de la continuité écologique des bassins versants de la Somme », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Bavelincourt et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. a b c d e et f Judith Förstel, Sandrine Platerier, « Le canton de Villers-Bocage : le territoire de la commune de Bavelincourt : Dossier IA80000266 réalisé en 1998 », sur Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, éditions Bonneton, 232 p., novembre 2000, p. 71 à p. 80, (ISBN 978-2-862-53265-3).
  18. « L'extraction du grès à Bavelincourt, Somme », Actualités de l'Inrap, sur inrap.fr, 1/6/2015 mis à jour le 10/5/2016 (consulté le ).
  19. a et b Judith Förstel, Sandrine Platerier, « Église paroissiale Saint-Sulpice de Bavelincourt : Dossier IA80000227 », sur Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  20. Judith Förstel, Sandrine Platerier, « Ancienne école puis mairie de Bavelincourt : Dossier IA80000228 », sur Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Réélu pour le mandat 2008- 2014 : « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  23. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  24. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Archives départementales de la Somme. Série 99 O.
  29. Judith Förstel, Sandrine Platerier, « Château des Esbarts à Bavelincourt : Dossier IA80000239 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  30. Judith Förstel, Sandrine Platerier, « Cimetière de Bavelincourt : Dossier IA80000242 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  31. Judith Förstel, Sandrine Platerier, « Chapelle funéraire des familles Gourdin et Bouquet : Dossier IA80000243 inclus dans Cimetière de Bavelincourt », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
  32. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».