Rue Jules-Saulnier

Rue Jules-Saulnier
Image illustrative de l’article Rue Jules-Saulnier
Au loin, l'immeuble Le Vérone.
Situation
Coordonnées 48° 55′ 32″ nord, 2° 21′ 11″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Ville Saint-Denis
Quartier(s) La Plaine Saint-Denis
Début Boulevard Anatole-France
Fin Avenue du Président-Wilson
Morphologie
Type Rue
Histoire
Création 1988
Anciens noms Route nationale 412
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Rue Jules-Saulnier
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
(Voir situation sur carte : Île-de-France)
Rue Jules-Saulnier
Géolocalisation sur la carte : Seine-Saint-Denis
(Voir situation sur carte : Seine-Saint-Denis)
Rue Jules-Saulnier

La rue Jules-Saulnier est une voie de communication de Saint-Denis.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Cette voie de communication suit le tracé de la route départementale 912.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Cette rue tient son nom de l'architecte Jules Saulnier qui, de 1862 à 1864, construisit sur la Plaine Saint-Denis pour la Maison de droguerie Menier, la Pharmacie centrale de France[1].

Historique[modifier | modifier le code]

Cette rue donne son nom à un quartier au nord-est de La Plaine Saint-Denis, la Plaine Saulnier. Jusque dans les années 1970, cette parcelle était un site de production de gaz, appartenant à Gaz de France, aujourd'hui Engie.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Colombier de la plaine Saint-Denis.
  • Un colombier à l'entrée de la zone d'activité Parc du Colombier[2]. Il a donné son nom au Parc du Colombier, zone d'activité dont il marque l'entrée.
  • La cheminée Menier, haute de 45 mètres et construite en 1862[3].

Ces deux monuments ont été classés à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques[4].

Immeuble Le Vérone[modifier | modifier le code]

L'immeuble de bureaux Le Vérone (anciennement Paristade), datant des années 1980, haut de neuf étages pour une surface de 8700 mètres carrés, présente une architecture en tripode[5]. Il est également accessible par la rue Ambroise-Croizat. Cet immeuble fut le siège du journal L'Humanité[6] Il est réhabilité en 2016 par l'architecte Jean-Michel Wilmotte[7] et la façade décorée d'une résille conçue par le designer Pucci De Rossi[8].

Notes et références[modifier | modifier le code]