Liste des cavités naturelles les plus longues de Loir-et-Cher

Département de Loir-et-Cher.

La liste des cavités naturelles les plus longues du département de Loir-et-Cher recense sous la forme d'un tableau, les cavités souterraines naturelles connues, dont le développement est supérieur à trente mètres.

La communauté spéléologique considère qu'une cavité souterraine naturelle n'existe vraiment qu'à partir du moment où elle est « inventée » c'est-à-dire découverte (ou redécouverte), inventoriée, topographiée et publiée. Bien sûr, la réalité physique d'une cavité naturelle est la plupart du temps bien antérieure à sa découverte par l'homme ; cependant tant qu'elle n'est pas explorée, mesurée et révélée, la cavité naturelle n'appartient pas au domaine de la connaissance partagée.

La liste spéléométrique des plus longues cavités naturelles de Loir-et-Cher (> 30 m) est actualisée fin 2018.

La plus longue cavité répertoriée dans le département de Loir-et-Cher est la rivière souterraine de Parcé à Saint-Georges (cf. ligne 1 du tableau ci-dessous).

Répartition géographique[modifier | modifier le code]

Rivière souterraine de Parcé
Fontaine d'Orchaise
Trou de la Bosse
Grotte du Breuil
Cave au Diable
Grotte de la Grande Bosse
Rivière souterraine des Prés
Voir l’image vierge
Répartition géographique des cavités naturelles de Loir-et-Cher .

Loir-et-Cher (France)[modifier | modifier le code]

Cavités de développement supérieur à 30 mètres[modifier | modifier le code]

7 cavités sont recensées au 31-12-2018.

Tableau : Liste des plus longues cavités souterraines de Loir-et-Cher (France), de développement supérieur à 30 m
La valeur « 0 » pour la dénivelée signifie que cette donnée n'est pas disponible.
Les plus récentes mises à jour sont sur fond jaune.
Réf. Cavités
(autres noms)
Communes Massifs ou zones géographiques Coordonnées
(WGS 84)
Développement (en mètres) Dénivelée (en mètres) Sources ou références Mises à jour
1 Rivière souterraine de Parcé[N 1] Saint-Georges-sur-Cher Pays d'Amboise 47° 19′ 15″ N, 1° 09′ 10″ E +001 710, m +0000, m Spéléométrie de la France[1] 2000-00
2 Fontaine d'Orchaise Valencisse Gâtine tourangelle 47° 35′ 18″ N, 1° 12′ 09″ E +001 175, m +0013, m La Molineuvoise[2] 2000-00
3 Trou de la Bosse[N 1] Morée Petite Beauce 47° 56′ 13″ N, 1° 14′ 30″ E +000745, m +0034, m GRS d'Eure-et-Loir[3] 2000-00
4 Grotte du Breuil Lunay Vendômois +0 00089, m +0000, m Spéléométrie de la France[1] 2000-00
5 Cave au Diable Vendôme Vendômois +0 00086, m +0000, m Spéléométrie de la France[1] 2000-00
6 Grotte de la Grande Bosse Vievy-le-Rayé Petite Beauce 47° 51′ 29″ N, 1° 16′ 27″ E +0 00080, m +0000, m Spéléométrie de la France[1] 2000-00
7 Rivière souterraine des Prés Vallières-les-Grandes Pays d'Amboise +0 00072, m +0000, m Spéléométrie de la France[1] 2000-00

Notes et références[modifier | modifier le code]

wikilien alternatif2

Les coordonnées de Liste des cavités naturelles les plus longues de Loir-et-Cher :

Notes[modifier | modifier le code]

  1. a et b Cavité accessible par un puits artificiel.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Bigot Jean-Yves, « Spéléométrie de la France. Cavités classées par département, par dénivellation et développement. », Spelunca Mémoires n° 27,‎ , p. 160 (ISSN 0249-0544)
  2. « La grotte d'Orchaise », sur lamolineuvoise.fr (consulté le )
  3. « La grotte de la Bosse », sur Groupe de recherches spéléologiques d'Eure-et-Loir (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Jean-Yves Bigot (2004) – Spéléométrie de la France. Cavités classées par département, par dénivellation et développement. Spelunca Mémoires, FFS édit., no 27, 160 pages Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Michel Chassier & Thierry Le Roux (1981) – Loir-et-Cher. in Claude Chabert « Les grandes cavités françaises – Inventaire raisonné », FFS édit., p. 83.
  • Joêl Rodet (1981) - Contribution à l'étude du karst de la craie, l'exemple normand et quelques comparaisons - page 258, lire en ligne [1].

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]