Gourdon (Alpes-Maritimes)

Gourdon
Gourdon (Alpes-Maritimes)
Gourdon
Blason de Gourdon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Sophia Antipolis
Maire
Mandat
Eric Mele
2020-2026
Code postal 06620
Code commune 06068
Démographie
Gentilé Gourdonnais
Population
municipale
368 hab. (2021 en diminution de 7,07 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 43′ 16″ nord, 6° 58′ 45″ est
Altitude Min. 157 m
Max. 1 335 m
Superficie 22,53 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valbonne
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Gourdon
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Gourdon

Gourdon est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Gourdonnais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village de Gourdon est perché sur un pic vertigineux de 760 m et surplombe la vallée du Loup. Cet emplacement lui a valu le surnom de « Nid d'Aigle ». Il fait partie des 159 plus beaux villages de France et possède deux fleurs au Concours des villes et villages fleuris.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Commune membre du Parc naturel régional des Préalpes d'Azur.

Village surplombant la vallée du Loup[1] et les Gorges du Loup[2].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone de sismicité moyenne[3].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau traversant la commune[4] :

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 149 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 2,9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caussols », sur la commune de Caussols à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 271,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 32,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −11,7 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

  • Route départementale 6 depuis Le Bar-sur-Loup, et D3 depuis Châteauneuf-Grasse.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté d'agglomération de Sophia Antipolis.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Plan local d'urbanisme et PLUi[13].

Typologie[modifier | modifier le code]

Gourdon est une commune rurale[Note 2],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[17] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième de France en nombre d'habitants, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (60,3 %), forêts (27,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %), prairies (1,4 %), zones urbanisées (0,9 %)[22].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Beaucoup de gens pensent que Gourdon, anciennement écrit Gordon, vient du celtique, "gor" signifiant grand et "dun" ou "duno" colline ou forteresse. Cette toponymie se retrouve ailleurs en France, dans le nord de l'Espagne avec des variations de Gordon, Gordo, Gordoncillo, et dans les pays celtiques tels que le Pays de Galles, l'Écosse et l'Irlande.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village de Gourdon, par son positionnement stratégique, s'est avéré, depuis des millénaires, un lieu de défense exceptionnel. De ce passé militaire, il ne reste plus que les vestiges d'un camp romain avec double enceinte et oppidum, et les imposants remparts qui protègent le côté nord de la place. La porte romane qui garantissait l'accès au village a été détruite au début du XXe siècle. Le château médiéval est ouvert aux visiteurs depuis 1950.

Certains historiens pensent que l'emplacement actuel du village n'était occupé que par le château. Le village aurait été situé à 2 km, près de la chapelle Saint-Vincent où il y a encore des ruines.

Le lieu est cité une première fois en 1035 sous le nom de « Gordone ». Le château reconstruit par les comtes de Provence au XIIe siècle sur les soubassements de celui construit aux IXe et Xe siècles. Il resta leur possession jusqu'en 1235. Le comte Raimond Bérenger en fit don. Il est devenu la propriété de la maison de Grasse de Bar le .

La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Puis, Aix se soumet en , ce qui précipite le ralliement des carlistes, dont le seigneur de Gourdon, Hélion de Villeneuve. Alors qu’il soutenait Charles de Duras depuis plusieurs années, il rejoint avec ses deux frères seigneurs de Barrême et Roquebrune le camp angevin et obtient un « chapitre de paix » de Marie de Châtillon le et prête hommage à Louis II d'Anjou, âgé de dix ans[23]. La seigneurie passa en 1389, par mariage, aux Villeneuve-Flayosc.

En 1469, Louis de Villeneuve reçoit l'hommage des habitants du village. En 1495, le roi Charles VII confirme les privilèges de la seigneurie. Par mariage le château passa à la famille de Borriglione d'Aspremont en 1550.

Pendant les guerres de religion, en 1584, Henri-Charles de Grasse, seigneur de Canaux, résista aux Ligueurs.

En 1598, les Aspremont vendirent la seigneurie au Grassois Louis Lombard pour 12 000 écus. Louis de Lombard fit alors démolir l'ancien château et entreprit sa reconstruction en 1610. La chapelle castrale devient à cette date l'église paroissiale. Un second étage est ajouté au château en 1653. Le seigneur de Gourdon se maria avec Gabrielle de Grimaldi en 1654.

Pendant la Révolution, le châtelain, Jean-Paul 1er de Lombard, ayant des idées libérales, n'émigre pas. Le château n'est pas dévasté, seules les tours sont réduites d'un étage et le donjon est abattu.

En 1815, les troupes autrichiennes endommagent le château.

Entre 1809 et 1820, Jean-Paul II de Lombard est le maire de Gourdon. À sa mort, en 1820, un lointain neveu, le marquis de Villeneuve-Bargemon, hérita du château. Il le laissa à l'abandon.

La reine Victoria a rendu visite à Gourdon le . Elle a laissé son nom à la place d'où on a une vue panoramique sur le littoral, près de l'église.

Un éboulement rocheux s'est produit le pendant la construction de la route des gorges du Loup tuant 17 personnes. Jusqu'à la fin de la construction de la route, tous les transports devaient se faire à dos de bêtes sur les deux chemins muletiers qui conduisaient au village.

Le matin du , au cours d'un voyage présidentiel de quatre jours dans les Alpes-Maritimes et le Var, le président de la République Armand Fallières, accompagné entre autres, de Georges Clemenceau, alors président du Conseil, se rendent au village et visitent le château[24].

Le château est acheté en 1918 par une Américaine, Miss Norris, qui s'est attachée à le reconstituer dans son état d'origine[25].

Les troupes allemandes se retranchèrent dans Gourdon le mais le village est libéré presque sans combat le 21. Le , les Allemands font sauter le viaduc des Chemins de fer de Provence à Pont-du-Loup.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1947   Henri Barbot    
1968 1995 Jean Chiroleu    
mars 1995 En cours Eric Mele [27] DVD
puis Horizons[28]
Commerçant

Budget et fiscalité 2019[modifier | modifier le code]

La mairie.

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[29] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 673 000 , soit 4 215  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 1 551 000 , soit 3 907  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 536 000 , soit 1 350  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 1 620 000 , soit 409  par habitant ;
  • endettement : 539 000 , soit 1 356  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 8,84 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 5,53 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 23,76 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 040 [30].

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[31].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 368 habitants[Note 3], en diminution de 7,07 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
280231223254264250244228231
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
218230222200200168187295212
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
268214206205196201205186209
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
216242254231294379437413387
2021 - - - - - - - -
368--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[36] :

  • École maternelle à Le Bar-sur-Loup,
  • École primaire[37],
  • Collèges à Grasse, Le Rouret,
  • Lycées à Grasse.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[38] :

  • Médecins au Rouret, Opio, Grasse,
  • Pharmacies au Rouret, Grasse,
  • Hôpitaux au Rouret, Grasse.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Les Collines d'Aliénor[40].
  • La Source Parfumée[41].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Le village fait partie de l’association Les Plus Beaux Villages de France[42].

  • Restaurants[43].
  • Gîtes ruraux, chambres d'hôtes[44].

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Ses commerces artisanaux et traditionnels[45].
  • Commerces et servics de proximité[46].
  • Verrerie d'art, verrerie soufflée[47].
  • Distillerie[48].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le chemin du Paradis.
  • Bas Montet oriental[49] et Haut Montet[50].
  • Le site troglodyte[51].
  • Le château de Gourdon, un château féodal du IXe siècle qui comprend un musée médiéval, un musée des Arts Décoratifs et des jardins classiques dessinés par André Le Nôtre. Domaine privé, aujourd'hui ni le jardin ni le château ne sont accessibles au public.
  • Son panorama exceptionnel.
  • Le chemin du Paradis, ancien chemin muletier, qui monte du Bar-sur-Loup à Gourdon, sur 500 mètres de dénivelé.
  • La forteresse, ancienne habitation troglodyte située sur le plateau de Cavillore dominant Gourdon[52].
  • Le musée historique et de la peinture naïve[53].
  • La fontaine à l'entrée du village, datant de 1852. Elle est dédiée à la mémoire de Jean-Louis Cavalier qui avait légué 20 000 francs pour la construction d'une fontaine publique par son testament du [54].
  • Lavoir de 1871[55].

Patrimoine religieux :

  • L'église Notre-Dame[56], ancienne chapelle castrale romane du XIIe siècle, devenue église paroissiale en 1610. Elle n'a été consacrée que le .
  • La chapelle Saint-Vincent. Elle a été construite aux XIe et XIIe siècles[57]. On trouve autour des vestiges d'habitations. Des fresques ont été peintes en 1960 par André Torre, peintre grassois[58].
  • La petite chapelle Saint-Pons[59] qui a été restaurée au début du XXe siècle et bénie en 1926.
  • La chapelle Saint-Ambroise[60] qui aurait fait partie d'un prieuré. Il ne reste plus que des ruines.
  • Monument aux morts[61] : Conflits commémorés Guerres franco-allemande de 1914-1918 - 1939-1945.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Gourdon
Blason de Gourdon Blason
D'or à la muraille de gueules soutenant un lion de sable[62].
Détails
La muraille rappelle la position perchée du village. Le lion reprend celui des armoiries de la famille de Grasse qui a eu la seigneurie entre 1235 et 1389.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Géographie, reliefs
  2. Les Gorges du Loup
  3. Didacticiel de la réglementation parasismique
  4. L'eu dans le bassin Rhône-Méditerranée
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Gourdon et Caussols », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Caussols », sur la commune de Caussols - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Caussols », sur la commune de Caussols - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  12. Réseau Envibus
  13. PLUi
  14. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur insee.fr (consulté le ).
  18. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 408 (note 33).
  24. H.F., « Le Voyage Présidentiel », La Lanterne,‎ (lire en ligne)
  25. Château de Gourdon. Motivation de la protection
  26. Document du Syndicat d'initiative de Gourdon
  27. Annuaire des mairies des Alpes Maritimes, EIP, p. 48 (ISBN 9782352581055) [lire en ligne]
  28. « Comités municipaux », sur Horizons Le parti (consulté le ).
  29. Les comptes de la commune
  30. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  31. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Gourdon, consultée le 26 octobre 2017
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Établissements d'enseignements
  37. École primaire
  38. Professionnels et établissements de santé
  39. Paroisse Saint-Antoine-de-Padoue
  40. Les Collines d'Aliénor
  41. La Source Parfumée
  42. L’association Les Plus Beaux Villages de France
  43. Restaurants à Gourdon
  44. Hébergements à Gourdon
  45. Gourdon, sur Provence 7
  46. Commerces et servics de proximité
  47. Verrerie d'Art de Gourdon
  48. Distillerie du Saut-du-Loup
  49. Bas Montet oriental, sur patrimages.culture.gouv.fr/siteArcheo/
  50. Haut Montet
  51. Le site troglodyte de Gourdon
  52. Plateau de Cavillore
  53. Collection d'art naïf du château de Gourdon
  54. La fontaine dédiée à J.L. Cavalier
  55. Lavoir de 1871, sur petit-patrimoine.com/
  56. L'église Notre-Dame
  57. Église Saint-Vincent
  58. Église Saint-Vincent
  59. Chapelle St Pons de Gourdon, sur petit-patrimoine.com/
  60. La chapelle abandonnée de Saint-Ambroise, par Claude Salicis
  61. Monument aux morts
  62. Dominique Cureau, « Communauté d'agglomération Sophia Antipolis. 1 : Gourdon », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]