Concile de Paris

Le concile de Paris peut se référer entre autres à :

IVe siècle[modifier | modifier le code]

VIe siècle[modifier | modifier le code]

VIIe siècle[modifier | modifier le code]

  • Concile de Paris (614) (6e concile) : concile dit général[5], tenu en l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, aujourd'hui église Sainte-Geneviève, tenu du 10 octobre au 18 octobre, sur la discipline 15 décrets dont l'évêque de Paris qui obtient la juridiction exclusive sur les clercs de son diocèse
  • Concile de Paris (653) (7e concile)  : sous Clovis II

IXe siècle[modifier | modifier le code]

  • Concile de Paris (825) (8e concile) : sous Louis le Pieux, pour la question du culte des images[7]
  • Concile de Paris (829) (9e concile) : tenu en juin, par les évêques de quatre provinces, qui publièrent trois séries de canons en vue de sauver l'Église et l'État, à la suite des désordres engendrés du fait de la mort de Charlemagne, et pour approbation du partage des biens entre l'évêque et le chapitre[8]
  • Concile de Paris (846) (10e concile) : (846)[5] , tenu en février
  • Concile de Paris (851) (11e concile) : (851)[5]dit le 9e

XIe siècle[modifier | modifier le code]

XIIe siècle[modifier | modifier le code]

XIIIe siècle[modifier | modifier le code]

XIVe siècle[modifier | modifier le code]

XVe siècle[modifier | modifier le code]

XVIe siècle[modifier | modifier le code]

XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

  • Concile de Paris (1801) :
  • Concile de Paris (1811) : tenu le 17 juin 1811, il était convoqué par Napoléon pour envisager le transfert de l'institution canonique du pape à l'archevêque métropolitain, les prélats décident de soumettre leurs décisions à l'approbation de Pie VII en captivité depuis 1806, en présence de 95 prélats, dont 42 italiens, sous la présidence imposée par l'empereur du cardinal de Joseph Fesch (1763-1839), son oncle, archevêque de Lyon. Partagé entre deux loyalisme: envers le pape et envers l'empereur, aucune conclusion n'est arrêtée. Le 14 juillet Napoléon menace le pape de le faire déposer canoniquement, s'il poursuit s'il poursuit sa politique.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pons Augustin Alletz, abbé Filsjean, chanoine de la cathédrale de Saint-Claude, Dictionnaires des Conciles, chez Gauthier frères et Cie, Paris, 1829, 559 p.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. S. Hilaire, Fragmentum XI, n. 1-4, dans P. L., t. X, col. 710 ; Mansi, Amplissima collectio, t. III, c. 358 ; Munieh, Concilia Galliae, p. 32-34.Dans Gabriel Le Bras, Synodes et conciles parisiens, dans : Revue d'histoire de l'Église de France, t.50, n°147, 1964, pp.35-46
  2. Gabriel Le Bras, op. cit.
  3. Hommes de Dieu et fonctionnaires du roi : en Gaule du Nord du Ve au IXe siècle, Presses universitaires du Septentrion, (ISBN 2859395512, lire en ligne)
  4. Augustin Thierry, Récits des temps mérovingiens, Paris, Éditions Bartillat, , p. 63.
  5. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad ae et af Alletz et Filsjean, op. cit.
  6. Dictionnaire historiques des auteurs ecclésiastiques, t.IV, chez la Vv Bessiat, Lyon, 1767, p.19/328.p.
  7. Dans Gabriel Le Bras, op. cit.
  8. Hefele-Leclercq, Histoire des conciles, t. IV, p. 60-72. L'importance du concile de 829 a été bien marquée par L. Halphen, Charlemagne et l'Empire carolingien (Paris, 1947), p. 263-267. Dans Gabriel Le Bras, op. cit.
  9. 52.Hefele-Leclercq, op. cit., t. V, p. 111. Références citées dans : Gabriel Le Bras, op. cit.
  10. Louis-François Guérin, Manuel de l'histoire des conciles..., Paris, 1846.
  11. M. et Chr. Dickson, Le cardinal de Courson. Sa vie (Archives d'hist. doctrinale et littér. du moyen âge, IX, 1934), p. 61-142.
  12. Gabriel Le Bras, op. cit. le donne comme un synode