Boulevard d'Alsace-Lorraine (Le Perreux-sur-Marne)

Boulevard d'Alsace-Lorraine
Image illustrative de l’article Boulevard d'Alsace-Lorraine (Le Perreux-sur-Marne)
Le boulevard d'Alsace-Lorraine, janvier 2021.
Situation
Coordonnées 48° 51′ 03″ nord, 2° 30′ 14″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Ville Le Perreux-sur-Marne
Début Boulevard de Strasbourg à Nogent-sur-Marne
Fin Boulevard Gallieni à Neuilly-Plaisance
Morphologie
Type Boulevard
Histoire
Anciens noms Route de Paris à Lagny
Géolocalisation sur la carte : Val-de-Marne
(Voir situation sur carte : Val-de-Marne)
Boulevard d'Alsace-Lorraine

Le boulevard d'Alsace-Lorraine est une voie de communication de la ville du Perreux-sur-Marne[1].

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Commençant son parcours au niveau du pont de la ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville et passant au-dessus du tunnel de Nogent-sur-Marne, le boulevard d'Alsace-Lorraine suit tout d'abord la route départementale 86, puis, au rond-point du Général-Leclerc (anciennement rond-point de Plaisance[2]), prend le tracé de la route nationale 34. Il se termine à la limite de Neuilly-Plaisance dans l'axe du boulevard Gallieni (anciennement boulevard de la Marne).

Il est desservi par la gare de Neuilly-Plaisance.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Boulevard d'Alsace-Lorraine, 2021.

Le nom de ce boulevard est un hommage rendu à l'Alsace-Lorraine, cédée par la France à l'Empire allemand en application du traité de Francfort, signé le , puis rendu à la France par le traité de Versailles en 1919.

Historique[modifier | modifier le code]

Rond-point de Plaisance et boulevard d'Alsace-Lorraine, vers 1900.

Le boulevard d'Alsace-Lorraine faisait autrefois partie de la route de Paris à Lagny[3].

Le 25 août 1944, l'équipage d'un fourgon de sapeurs-pompiers intervenant sur un feu à l’épicerie Le Familistère, située au no 152 du boulevard, fut pris dans le combat de FFI et d'une compagnie motorisée de SS en retraite. Deux hommes furent blessés et dix autres déportés. Cinq moururent en déportation ou furent abattus[4],[5].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]