Boris Bergmann

Boris Bergmann
Naissance [1]
Paris, Drapeau de la France France
Activité principale
Écrivain
Distinctions
Auteur
Langue d’écriture français
Genres

Œuvres principales

Viens là que je te tue ma belle, Déserteur, Nage Libre

Boris Bergmann, né à Paris le [2], est un écrivain français.

Biographie[modifier | modifier le code]

Son premier roman, Viens là que je te tue ma belle, aux éditions Scali, journal imaginaire d'un jeune adolescent qui découvre la nuit et la transgression à travers le rock and roll, reçoit le prix de Flore du lycéen[2], récompense créée spécialement pour lui par Frédéric Beigbeder et le jury du Prix. Ce roman est adapté en 2012 pour Arte par Jean-Stéphane Sauvaire sous le titre de Punk[3],[4], avec Béatrice Dalle, Paul Bartel, Marie-Ange Casta et Bernie Bonvoisin.

En janvier 2010, il publie son second roman, 1 000 Mensonges, aux éditions Denoël : les confidences d'un menteur qui tombe amoureux.

En août 2016, il sort son troisième roman, Déserteur, aux éditions Calmann-Levy : le récit d'un jeune hacker utilisé par l'armée pour programmer les drones dans la guerre contre le califat. Envoyé en mission dans le désert, il sera forcé de prendre part à des actes terribles qui vont le pousser à s'engager et à se faire face pour la première fois[5].

Il a également collaboré à de nombreuses revues littéraires (La Règle du Jeu[6], Edwarda[7], L'écho d'Orphée, Possession Immédiate[8]) ainsi qu'à divers magazines et journaux.

En septembre 2017, il est admis comme pensionnaire de la Villa Medicis, promotion 2017/2018. Son projet porte sur le fanatisme[9].

En janvier 2018, il sort son quatrième roman, Nage libre : l'histoire d'Issa, jeune d'un Paris populaire, qui va se libérer par la nage, la quête de désirs et d'amitié[10]. Nage Libre reçoit le prix littéraire de la vocation 2018[11] ainsi que le prix Révélation de la Société des Gens de Lettres[12].

Œuvre[modifier | modifier le code]

Romans[modifier | modifier le code]

Nouvelle[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Notice de la BnF
  2. a et b « Boris Bergmann : « À moi de prouver que je ne suis pas un one shot » », sur www.20minutes.fr (consulté le )
  3. Vincent Ostria, « "Punk" : téléfilm frissonnant », sur Les Inrocks, (consulté le ).
  4. « Punk (TV Movie 2012) » (consulté le ).
  5. « "Déserteur" : Boris Bergmann décode la guerre virtuelle », Paris Match,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. « Le Musée imaginaire de l'écrivain Boris Bergmann - La Règle du Jeu », La Règle du Jeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. Edwarda, « N°6 Précision | Edwarda », sur www.edwarda.fr (consulté le ).
  8. « Volume 9 », sur Possession Immédiate (consulté le ).
  9. « Boris Bergmann - pensionnaire Villa Medicis ».
  10. « Fuir la Zone », Livres Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. Christine Barros, « Le Prix littéraire de la vocation couronne Boris Bergmann », ActuaLitté,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. « Le palmarès des prix SGDL Révélation 2018 », sur Livres Hebdo (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]