Bachelor (France)

Bachelor (France)
Lieu Drapeau de la France France
Établissement Établissements d'enseignement supérieur privé, Grands établissements publics, Écoles consulaires
Sélection
Diplômes ou concours requis diplôme
Niveau ou
grade requis
niveau 4 CEC
Diplôme
Durée de la formation 3 ans
Débouchés

En France, le bachelor est un cursus de formation d'enseignement supérieur en trois ans après le baccalauréat, hors du système universitaire. Il n'est ni un diplôme, ni un titre[1],[2].

Or, un certain nombre de grandes écoles publiques et d'écoles de commerce prestigieuses – telles que l'ESCP Business School, Sciences Po, l'École polytechnique ou plus récemment les Arts et Métiers – se sont accaparées ce terme anglo-saxon pour leurs cursus post-baccalauréat, apportant ainsi la confusion au sein du paysage des bachelors en France[3]. Le terme bachelor reste aujourd'hui largement associé aux cursus post-bac des grandes écoles de commerce[4],[5],[6].

Contrairement au diplôme national de licence (DNL), le diplôme délivré à l'issue d'un cursus bachelor, n'est, par défaut, pas reconnu comme un diplôme national par le ministère de l'Enseignement supérieur et ne dispose alors pas systématiquement d'une inscription au RNCP, tenu par le ministère du Travail[1].

Un cursus bachelor peut mener à la délivrance d'un diplôme visé ou certifié par l'État, ou d'un simple diplôme d'établissement sans aucun contrôle de ministère de l'Enseignement supérieur, ni du Travail[1]. En revanche, un cursus dit « bachelor » dispensé au sein d'un établissement public mène généralement à la délivrance d'un diplôme visé, conférant le grade de licence[7],[8],[9].

Le bachelor en France[modifier | modifier le code]

En France, un bachelor délivré par un établissement d'enseignement supérieur public ou privé peut être, dans l'ordre croissant de reconnaissance par l'État :

Le cursus bachelor conférant un grade de licence est principalement délivré par des écoles supérieures de commerce et de grands établissements tels que l'ESCP Business School, Sciences Po[12], l'École polytechnique (l'X)[13] ou les Arts et Métiers[14],[15],[16],[17].

Le nom s'inspire du bachelor’s degree anglo-saxon, et il est dispensé généralement dans des écoles privées[10]. Généralement, les écoles de commerce consulaires comme l'ESCP, l'EM Lyon ou l'EDHEC délivrent, au sein d'un cursus de « bachelor » ou de « BBA », un diplôme conférant le grade de licence[18]. Il n'est pas à confondre avec le diplôme national de licence ou de licence professionnelle. Ce dernier est délivré par les instituts universitaires de technologie (IUT) à compter de la rentrée 2021, qui est intitulé bachelor universitaire de technologie. Ce diplôme est national contrôlé par le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation et non d'un diplôme d'établissement comme les autres bachelors.

Liste non-exhaustive de cursus « bachelor » en établissements publics ou consulaires en France
Académie Titre de la formation Établissement Type d'établissement
Versailles Bachelor of Science[19] École polytechnique Public
Paris Bachelor de Technologie[20] École nationale supérieure d'arts et métiers Public
Paris Bachelor du Collège universitaire[21] Sciences Po Public
Paris Bachelor of Global Engineering CentraleSupélec, Université Paris-Saclay Public
Cergy Bachelor Act CY Cergy Paris Université et ESSEC Public
Versailles Bachelor en Sciences du Management IMT Business School Public
Paris Bachelor in Management[22] ESCP Business School Consulaire (privé à capitaux publics)
Lyon Global Bachelor of Business Administration[23] EM Lyon Business School Consulaire (privé à capitaux publics)
Strasbourg Bachelor Affaires internationales[24] EM Strasbourg Business School Public

Le cursus Bachelor dans les établissements publics et les écoles de commerce[modifier | modifier le code]

Bachelor conférant le grade de licence[modifier | modifier le code]

En France, le bachelor peut conférer le grade de licence depuis 2020[7],[8].

Dans le cadre de la loi de finances pour 2020, le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation annonce en septembre 2019 un renforcement des contrôles des académies sur les formations de l'enseignement supérieur privé. L'objectif étant, selon le ministère, de « valoriser les formations de qualité et de sanctionner les pratiques commerciales trompeuses, en particulier lorsqu’elles induisent les étudiants et leurs familles en erreur sur la nature des diplômes délivrés »[7].

Le , la ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation Frédérique Vidal, annonce que des bachelors de l'enseignement supérieur privé pourront obtenir le grade de licence dès 2020 pour « augmenter la lisibilité pour les jeunes et leurs familles »[8]. Selon la ministre, les établissements privés ayant déjà des diplômes visés par l'État ou ayant le label EESPIG pourront en faire la demande[8]. La Commission des titres d'ingénieur (CTI) sera chargée de l'évaluation des bachelors en ingénierie, la Commission d’évaluation des formations et diplômes de gestion (CEFDG) sera quant à elle chargée d'évaluer les formations en management des écoles de commerces comme les bachelor of business administration (BBA) français. Les autres bachelors seront évalués par Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (HCERES[8]).

En janvier 2021, une première campagne d'évaluation de bachelors a eu lieu : 15 bachelors en management (BBA), évalués par la commission d'évaluation des formations et diplômes de gestion (CEFDG) et 17 en sciences (BSc), évalués par la commission des titres d’ingénieur (CTI) bénéficient du grade de licence, vu comme un « gage de qualité »[25],[26]. Les écoles techniques privées reconnues par l'État bénéficieront à terme du grade de licence pour leurs « diplômes de premier cycle »[27], dont fait partie le bachelor. La prochaine campagne d'évaluation de bachelors aura lieu sur l'année universitaire 2022-2023 et concernera également les écoles privées ne relevant pas des domaines de la gestion et de l'ingénierie[28].

En juin 2021, Thierry Coulhon, président du Haut Conseil de l'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (Hcéres), l'autorité administrative chargé de l'évaluation de l'enseignement supérieur, et notamment de ces bachelors ne relevant pas des domaines de la gestion et de l'ingénierie, précisait avoir ainsi « mis en place une troisième voie de bachelor » pour l'attribution du grade de licence, notamment pour les bachelors d'écoles d'audiovisuel, de design ou de journalisme[28].

Le Bachelor of business administration (BBA) dans les écoles de commerce[modifier | modifier le code]

En France, les bachelor of business administration (BBA) qui confèrent le grade de licence se déroulent généralement en 4 ans.

Il s'agit des Global BBA de l’EM Lyon,de l'Essec, et de Skema, de l’International BBA de l'EDHEC[29], du bachelor en management international et du Bachelor communication digitale et e-business de l’ESC Clermont, du Bachelor business developer de l’ESC Pau, du Bachelor in management (BSc) de l’ESCP, du Bachelor en management international de l’Essca, du Bachelor en management de l’ICN, du Bachelor in international business de l’IÉSEG, du Bachelor of international business administration de Montpellier Business School, du Global bachelor in management et du International BBA de South Champagne Business School Troyes[29].

Ces bachelors doivent être visés par l'État, inclure 50% de docteurs dans les enseignants permanents, avoir une politique de diversité sociale incluant des bourses, de professionnalisation, d'internationalisation et un lien avec les autres établissements d'enseignement supérieur locaux[29].

Le cursus Bachelor dans les établissements privés[modifier | modifier le code]

Bachelor visé par l'État[modifier | modifier le code]

Logo officiel garantissant le visa du ministère de l'Enseignement supérieur sur une formation.

En France, un bachelor ne délivrant pas le grade de Licence peut néanmoins être un diplôme visé par le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation[30]. Le diplôme visé est le palier précédant la délivrance du grade de licence.

Ce visa du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation est une reconnaissance importante puisqu'il officialise le niveau académique d'une formation précise et indique que l'État s'engage sur la qualité de la formation[31].

Parmi les bachelors visés par l'État, on compte le bachelor d'écoles d'audiovisuel telles que l'Institut International de l'Image et du son (3iS) qui délivre un DESTIS[32], celui de l'École supérieure de réalisation audiovisuelle (ESRA) délivrant un DESRA ; le Bachelor of Arts (BA) de l'Institut français de la mode (IFM), école privée membre de l'établissement public Hesam Université, ou encore d'écoles de commerce n'ayant pas encore obtenu le diplôme conférant grade de licence, comme le bachelor de Paris School of Business.

Les écoles et formations visées sont soumises à un contrôle pédagogique en continu. Le contenu des formations, les jurys d'admission et les commissions délivrant les diplômes sont examinés[33].

Bachelor certifié par l'État[modifier | modifier le code]

Logotype officiel garantissant la certification du ministère du Travail, de l'Emploi et de l'Insertion et de l'établissement public France compétences pour une formation.

En France, le bachelor peut également être un titre certifié par le ministère du Travail[34],[35], mais cela n'est pas une reconnaissance, en particulier pour la poursuite d'études, cette certification étant essentiellement à visée professionnalisante[source insuffisante]. Le titre certifié est le palier précédant le passage au diplôme visé (délivrance du visa).

Un bachelor délivrant un titre certifié enregistré au RNCP et reconnu par le Ministère du Travail, de l'Emploi, de la Formation Professionnelle et du Dialogue Social est le premier palier de la reconnaissance d’un diplôme[34].

Parmi les bachelors certifiés par l'État, on compte le bachelor d'écoles de design telles que l'école publique consulaire Gobelins, l'école publique de la Ville de Paris l'École professionnelle supérieure d'arts graphiques (EPSAA), l'École Camondo, Penninghen ou Strate École de Design ; d'écoles de journalisme telles que l'École supérieure de journalisme de Paris, l'Institut européen de journalisme (IEJ) ou l'École W ; ou d'écoles d'audiovisuel telles que le Conservatoire libre du cinéma français (CLCF), le Conservatoire européen d'écriture audiovisuelle (CEEA) ou l'École supérieure d'études cinématographiques (ESEC).

Mais il ne garantit pas son niveau académique comme le fait un diplôme visé ou un diplôme conférant grade de licence accordés par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation[36],[37]. En France, l'enregistrement d'une certification professionnelle par l'État se fait au sein du Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) tenu par l'établissement public France compétences.

Bachelor délivrant un diplôme d'établissement[modifier | modifier le code]

Bachelor délivrant un diplôme d'université (DU)[modifier | modifier le code]

En France, des universités publiques multiplient ces dernières années la création de formations nommées « bachelor », délivrant un diplôme d'université (DU) niveau bac +3 telles que CY Cergy Paris Université, avec un bachelor en « Data Science by Design » délivrant un diplôme d'université ainsi qu'un diplôme national de licence (DNL) en Informatique, un bachelor en « Science forensique » délivrant un diplôme d'université ou encore un bachelor en « Stratégie digitale, Intelligence Artificielle et Design » délivrant également un diplôme d'université (DU) niveau bac +3[38],[39],[40],[41]. Il s'agit d'un diplôme propre à une université française, non reconnu au niveau national, contrairement au diplôme national de licence, de master, de doctorat et visé qui sont des diplômes reconnus par le l'État.

Autres diplômes d'établissements[modifier | modifier le code]

En tant que tel, le bachelor n'est pas un titre reconnu par le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, bien que certaines écoles privées (notamment de commerce) utilisent un vocabulaire opaque pour vendre ces diplômes[42],[43].

Après un bachelor, 58 % des étudiants entrent dans la vie professionnelle, et 40 % poursuivent leurs études[44] (ce qui le différencie du bachelor anglo-saxon, destiné à une insertion professionnelle immédiate[43]). Les étudiants d'un bachelor d'une école de commerce peuvent ainsi poursuivre dans le programme supérieur (souvent appelé « grande école »[45]), qui lui, peut délivrer un diplôme visé par le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation.

Critiques[modifier | modifier le code]

Le coût élevé de la formation, souvent entre 3 000  et 15 000  l'année (contre la quasi-gratuité pour un diplôme de licence), est régulièrement critiqué, accusé de renforcer des inégalités sociales. Le nombre très élevé d'étudiants dans certaines écoles implique aussi une sélection très faible concernant le niveau des étudiants, ainsi qu'un encadrement des élèves très théorique. Selon Jean-Philippe Ammeux, directeur de l'IÉSEG, « Certaines institutions gonflent leurs effectifs pour augmenter leurs ressources »[46].

La qualité très inégale des formations est aussi souvent pointée du doigt : professionnels à la pédagogie inefficace, ou universitaires enseignant en dehors de leur domaine de compétence. Peu de régulations existent pour encadrer ces formations, celles-ci n'étant pas des diplômes nationaux. L'insertion professionnelle peut aussi faire défaut, alors que les recruteurs français continuent de préférer les titulaires d'un diplôme de master. Dans le même temps, certaines de ces formations sont conçues pour que les élèves continuent leurs études dans une autre formation de leur école, et peut ainsi servir à contourner le concours d'entrée[46].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Office national d'information sur les enseignements et les professions, « Les bachelors » Accès libre, sur onisep.fr, (consulté le )
  2. Karine Darmon, « Bachelor : les raisons d’un succès », sur Studyrama.com (consulté le )
  3. « Les bachelors, tremplin vers les programmes grande école d'école de commerce ? », sur L'Etudiant (consulté le )
  4. « Le classement 2023 des bachelors en trois ou quatre ans de Challenges », sur Challenges, (consulté le )
  5. « Quels sont les meilleurs bachelors en management en 2024 ? », sur Le Figaro Etudiant, (consulté le )
  6. Par Gilbert Azoulay Le 8 mars 2024 à 11h00, « Double diplôme, stages… pendant un bachelor, expatriez-vous ! », sur leparisien.fr, (consulté le )
  7. a b et c « Projet de loi de finances 2020 de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation », sur enseignementsup-recherche.gouv.fr, Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, (consulté le )
  8. a b c d et e Le Figaro, « Frédérique Vidal: «Certains bachelors auront le grade licence dès cette année» », sur Le Figaro Etudiant (consulté le )
  9. « Pourquoi le grade de licence est-il important dans le choix d’un Bachelor ? », sur L'Etudiant (consulté le )
  10. a et b Marie-Anne Nourry, « Le bachelor, trublion de l’enseignement supérieur », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  11. « Bachelors « visés », « certifiés »... s’y retrouver dans les différents cursus », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  12. « Programme de Bachelor | Sciences Po Collège universitaire », sur bachelor.html, (consulté le )
  13. « Bachelor of Science », sur programmes.polytechnique.edu (consulté le )
  14. « Les bachelors, la nouvelle machine à cash des grandes écoles ? », sur Les Echos Start, (consulté le )
  15. James Grégoire, « Bachelor : définition, reconnaissance par l'État et liste » Accès libre, sur etudiant.lefigaro.fr, (consulté le )
  16. Fesic, « L’Etat peut désormais accorder le grade de licence aux diplômes Bachelor FESIC – Grandes écoles en contrat EESPIG », (consulté le )
  17. « Attribution du grade de licence aux bachelors: quelles sont les formations concernées? », sur Le Figaro Etudiant, (consulté le )
  18. Wally Bordas, « Qu’est ce qu’un bachelor en France ? », sur Le Figaro (consulté le ).
  19. École polytechnique, « Bachelor of Science » Accès libre, sur polytechnique.edu
  20. « Bachelor de Technologie | Arts et métiers », sur artsetmetiers.fr (consulté le )
  21. « Programme de bachelor », sur Collège universitaire (consulté le )
  22. (en) « Bachelor in Management (BSc) | ESCP Business School », sur escp.eu (consulté le )
  23. « Programmes Bachelor l emlyon business school », sur em-lyon.com (consulté le )
  24. « Bachelor Affaires Internationales - EM Strasbourg Business School », sur www.em-strasbourg.com (consulté le )
  25. « Le grade de licence, une reconnaissance qui clarifie l'offre de bachelor », sur www.letudiant.fr (consulté le )
  26. « Bachelor (Bac+3). Le grade de licence, gage de qualité », sur Le Parisien Etudiant (consulté le )
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  28. a et b « Grade de licence : Hcéres-CEFDG-CTI se coordonnent pour la prochaine campagne d'évaluation », sur www.letudiant.fr (consulté le )
  29. a b et c « Écoles de commerce : à quoi sert le nouveau grade de licence des bachelors et BBA ? », sur L'Étudiant (consulté le )
  30. Wally Bordas, « Qu’est ce qu’un bachelor en France ? », sur lefigaro.fr, (consulté le )
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  39. Marjorie Lefebvre, « Bachelor Science forensique (BSF Cergy) », sur CY Forensic (consulté le )
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  42. Maxime François, « Ecoles de commerce : se retrouver dans le maquis des labels », Le Monde,
  43. a et b Jean-Claude Lewandowski, « Le bachelor, concurrent de la licence », Le Monde,
  44. Benjamin Dusaussoy, « Que faire après un bachelor ? », sur etudiant.lefigaro.fr,
  45. Isabelle Dautresme, « Le bachelor, une alternative aux classes prépas ? », Le Monde,
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