Azienda generale italiana petroli

Azienda generale italiana petroli
logo de Azienda generale italiana petroli
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Création Voir et modifier les données sur Wikidata
Disparition Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateurs Gouvernement MussoliniVoir et modifier les données sur Wikidata
Forme juridique Société par actions de droit italienVoir et modifier les données sur Wikidata
Siège social RomeVoir et modifier les données sur Wikidata
Actionnaires Eni (100 %)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activité Industrie pétrolièreVoir et modifier les données sur Wikidata
Produits Essence, gazole, gaz de pétrole liquéfié, fioul, automotive lubricant (d), bitume et graisseVoir et modifier les données sur Wikidata
Société mère EniVoir et modifier les données sur Wikidata
Filiales AgipGas (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
TVA européenne IT01136161005Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.agip.eni.itVoir et modifier les données sur Wikidata
Société suivante Enilive (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

L'Azienda generale italiana petroli (Agip) est une entreprise fondée par l’État italien en 1926. À l'époque, elle est chargée de construire des raffineries pour traiter du brut importé d'Iraq, son rôle est de fournir en quantité des combustibles liquides à la marine et à l'aviation. Aujourd'hui, c'est une marque du groupe italien ENI, l'une des plus grandes sociétés pétrolières au monde.

Histoire[modifier | modifier le code]

Identité visuelle[modifier | modifier le code]

Cane a sei zempe”, un chien à six pattes crachant une flamme, est le logo et emblème d'Agip. Le slogan qui sert de signature à l'entreprise, est “Cane a sei zampe, fedele amico d’ell’uomo a quattro ruote”, ce qui veut dire “chien à six pattes, ami fidèle de l’homme à quatre roues”. Ce logo a été dessiné par Luigi Broggini en 1952, et est partagé avec ENI, la société mère[1].

Galerie[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Rossano Candrini / Jean-Paul Orjebin, « Enzo Ferrari , un « Padrone » bienveillant », www.classiccourses.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]