1603 en philosophie

L’année 1603 a été marquée, en philosophie, par les événements suivants :

Événements[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

  • Althusius : Politica methodice digesta et exemplis sacris et profanis illustrata, cui in fine adjuncta est Oratio panegyrica de utilitate, necessitate et antiquitate scholarum (« La Politique, exposée de façon méthodique, et illustrée par des exemples sacrés et profanes... », édition révisée et augmentée en 1610 et en 1614). Les idées exprimées dans cet ouvrage font de lui le père du fédéralisme moderne et de la souveraineté populaire, qu'il s'est efforcé de concilier, dans sa multiplicité[1], avec le pouvoir du souverain.
  • Scipion Dupleix : La Physique ou science naturelle divisée en huit livres, Paris, Sonnius, 1603.

Naissances[modifier | modifier le code]

Décès[modifier | modifier le code]

  • à Rome : Andrea Cesalpino (Andreas Caesalpinus en latin et André Césalpin en français), né le à Arezzo en Toscane, philosophe, médecin, naturaliste et botaniste italien.
  •  : Francesco Buonamici (né en 1533) était un médecin, écrivain et philosophe florentin de la seconde moitié du XVIe siècle.
  • à Paris : Pierre Charron (né en 1541 à Paris), théologien, un philosophe, un orateur et un moraliste du XVIe siècle.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Pour Althusius, ladite souveraineté ne réside pas dans le peuple comme somme d'individus, mais en tant qu'ensemble organique de communautés et de corps.

Voir aussi[modifier | modifier le code]