William Brownfield

William Brownfield
Illustration.
William Brownfield en 2008
Fonctions
Secrétaire d'État assistant pour le Trafic de drogue international et le Respect des lois

(6 ans, 8 mois et 20 jours)
Président Barack Obama
Donald Trump
Prédécesseur David Johnson
Successeur Kirsten Madison
Ambassadeur des États-Unis en Colombie

(2 ans, 10 mois et 29 jours)
Prédécesseur William Wood
Successeur Michael McKinley
Ambassadeur des États-Unis au Venezuela

(2 ans, 10 mois et 21 jours)
Prédécesseur Charles Shapiro
Successeur Patrick Duddy
Ambassadeur des États-Unis au Chili

(2 ans, 3 mois et 24 jours)
Prédécesseur Philip Goldberg (intérim)
Successeur Craig Kelly
Biographie
Nom de naissance William Rivington Brownfield
Date de naissance
Lieu de naissance Austin (Texas, États-Unis)
Nationalité Américaine
Diplômé de Université Cornell
Université du Texas à Austin
École nationale de guerre

William R. Brownfield, né en 1952 à Austin au Texas, est le secrétaire d'État assistant des États-Unis pour le Bureau for International Narcotics and Law Enforcement Affairs de 2011 à 2017[1].

Il a auparavant été ambassadeur des États-Unis au Chili, au Venezuela puis en Colombie.

Biographie[modifier | modifier le code]

Ambassadeur en Colombie[modifier | modifier le code]

Il signe le 30 octobre 2009 avec le ministre des affaires étrangères colombien Jaime Bermúdez un accord autorisant l’armée américaine à opérer à partir de sept bases militaires colombiennes. Un document du département américain précise que cet accord s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre d’« un spectre complet d’opérations dans une sous-région critique de notre hémisphère où la sécurité et la stabilité sont sous la constante menace d’insurrections narcoterroristes, de gouvernements antiaméricains, d’une pauvreté endémique et de constants désastres naturels »[2].

Activités au Venezuela[modifier | modifier le code]

Il explique dans une note diplomatique en 2006 que le travail des États-Unis au Venezuela consiste à « renforcer les institutions démocratiques ; pénétrer la base politique du régime ; diviser le chavisme ; protéger les intérêts vitaux des États-Unis ; isoler Chavez internationalement[3]  »

Références[modifier | modifier le code]

  1. (en) « Biographies Archive - United States Department of State », sur United States Department of State (consulté le ).
  2. « Bases militaires américaines en Colombie, un accord « anticonstitutionnel » », sur Le Monde diplomatique,
  3. Ana Otašević, « Changements de régime clés en main », sur Le Monde diplomatique,

Liens externes[modifier | modifier le code]