Rama X

Rama X
Illustration.
Le roi Rama X en 2017.
Titre
Roi de Thaïlande
En fonction depuis le [1]
(7 ans, 6 mois et 12 jours)
Couronnement
Régent Prem Tinsulanonda (2016)
Premier ministre Prayut Chan-o-cha
Srettha Thavisin
Prédécesseur Rama IX
Prince héritier de Thaïlande

(44 ans, 4 mois et 3 jours)
Monarque Rama IX
Prédécesseur Bhumibol Adulyadej
Successeur Dipangkorn Rasmijoti (présomptif)
Biographie
Dynastie Chakri
Nom de naissance Vajiralongkorn
Date de naissance (71 ans)
Lieu de naissance Amphorn Sathan au Domaine royal de Dusit, Bangkok (Thaïlande)
Nationalité thaïlandaise
Père Rama IX
Mère Sirikit Kitiyakara
Fratrie Ubolratana Rajakanya
Sirindhorn
Conjoint Soamsavali Kitiyakara
(1977-1991)
Yuvadhida Polpraserth
(1994-1996)
Srirasmi Akharaphongpreecha
(2001-2014)
Suthida Tidjai
(depuis 2019)

Niramon Aunprom
(2019, depuis 2020)
Enfants Princesse Bajrakitiyabha
Enfants avec le 2e conjoint Princesse Sirivannavari Nariratana
Enfants avec le 3e conjoint Prince Dipangkorn Rasmijoti
Héritier Dipangkorn Rasmijoti (présomptif)
Religion Bouddhisme theravāda
Résidence Palais Chitralada (Bangkok)

Signature de Rama X

Rama X
Monarques de Thaïlande

Vajiralongkorn (en thaï : วชิราลงกรณ /wat͡ɕʰíraːloŋkɔːn/ ou RTGS : Vachiralongkon), né le à Bangkok, est roi de Thaïlande, sous le nom de Rama X, depuis le .

Membre de la dynastie Chakri, qui règne depuis 1782, il est le seul fils parmi les quatre enfants du roi Bhumibol Adulyadej (Rama IX), mort après 70 ans de règne. À 64 ans, Vajiralongkorn est le plus vieux souverain de la dynastie Chakri à accéder au trône.

Jeunesse et éducation[modifier | modifier le code]

Vajiralongkorn est né au Hall résidentiel « Amphorn Sathan » à Bangkok en 1952. Il est le fils aîné du roi Bhumibol Adulyadej, qui règne sous le nom de Rama IX, et de la reine Sirikit Kitiyakara. À sa naissance, son père occupe le trône de Thaïlande depuis six ans.

Il effectue sa scolarité primaire dans sa ville natale avant de poursuivre ses études secondaires dans une école privée britannique, Millfield School dans le Somerset, puis dans une université de Sydney.

En 1972, alors qu'il a 20 ans, son père le désigne comme l'héritier du trône.

Il reçoit par la suite une formation militaire au collège militaire royal de Duntroon à Canberra, puis fait des études artistiques à Bangkok et est diplômé.

Famille et vie privée[modifier | modifier le code]

En janvier 1977, le prince épouse la princesse Soamsavali Kitiyakara, une cousine germaine du côté de sa mère, la reine Sirikit. Ce mariage est toutefois malheureux et les deux époux se séparent rapidement mais refusent de divorcer. Le couple a une fille, qui porte le prédicat d'altesse royale : la princesse Bajrakitiyabha Mahidol (née en 1978).

Vajiralongkorn vit alors maritalement avec une actrice, Yuvadhida Polpraserth, qui lui donne cinq enfants, princes et princesses portant le prédicat d'altesse sérénissime :

  1. Juthawachara Mahidol (né en 1979) ;
  2. Vacharaesorn Mahidol (né en 1981) ;
  3. Chakriwat Mahidol (né en 1983) ;
  4. Vatcharawee Mahidol (né en 1985) ;
  5. Busya Nambejra Mahidol, rebaptisée Chakkrityabha Mahidol puis Sirivannavari Mahidol, titrée princesse Sirivannavari Nariratana (née en 1987).

En 1991, le prince divorce finalement de sa première épouse et se remarie avec Yuvadhida, un acte désapprouvé par la reine. Mais de nouveau, l'union est un échec et les époux s'entendent mal. En 1996, la princesse s'enfuit au Royaume-Uni avec trois de ses enfants, ce qui permet au prince de l'accuser d'adultère avec un maréchal de l'air. Après cet incident, il obtient le divorce et récupère ses enfants.

En 2001, à 49 ans, Vajiralongkorn épouse en troisièmes noces Srirasmi Akharaphongpreecha. Toutefois, ce mariage reste secret jusqu'à la naissance de leur enfant qui jouit du prédicat d'altesse royale : le prince Dipangkorn Rasmijoti (né en 2005), premier dans l'ordre de succession.

En décembre 2014, le prince divorce de sa troisième épouse[2].

Le , soit 3 jours avant son couronnement, il épouse en quatrièmes noces Suthida Tidjai (née le ) qu'il fréquentait depuis plusieurs années, ancienne hôtesse de l'air affectée par la suite au service de protection du souverain et qu'il avait lui-même nommée générale entre-temps[3],[4]. Celle-ci devient alors la nouvelle reine consort de Thaïlande[5].

Le , il épouse en cinquième noces Sineenat Bilaskalayani (née roturière Niramon Aunprom le ). Elle devient Chao Khun Phra, soit « noble consort royale » (aussi traduit par « noble concubine »), une coutume de polygamie qui avait disparu à la cour royale depuis 1921 avec le roi Rama VI[6]. Cependant, le , Vajiralongkorn répudie celle-ci, officiellement accusée de « déloyauté envers le roi », selon un communiqué royal, et d'avoir « agi contre la position de la reine » Suthida « en vue de servir ses propres ambitions ». Elle est alors déchue de son rang de concubine officielle et perd l'ensemble de ses titres militaires et toutes ses décorations[7]. Celle-ci passe neuf mois en prison et est libérée le . Elle retrouve alors sa position de concubine auprès du roi, et par la même occasion ses titres de noblesse et militaires[8].

Avec une fortune personnelle de 66 milliards de dollars, Rama X est le monarque le plus riche du monde[9].

Carrière militaire[modifier | modifier le code]

Vajiralongkorn dans un Northrop F-5 Freedom Fighter de la Force aérienne royale thaïlandaise, en 1985.

Vajiralongkorn effectue une carrière dans l'armée thaïlandaise. Il devient pilote de chasse ainsi que d'hélicoptère et participe à de nombreuses manœuvres militaires. Il sert aussi épisodiquement dans les armées de l'air américaine, britannique et australienne.

Il connaît même son baptême du feu lors de quelques combats dans le nord du pays et à la frontière cambodgienne contre les forces des Khmers rouges.

Dans le même temps, Vajiralongkorn est admis au grade de général dans l'armée de l'air puis prend le commandement du régiment des gardes du corps de son père.

En 1978, il interrompt sa carrière militaire afin de devenir moine bouddhiste le temps d'une saison.

Il est par la suite nommé général de l'armée royale et amiral de la flotte thaïlandaise.

Rôle politique croissant[modifier | modifier le code]

Le prince Vajiralongkorn avec Paul Wolfowitz, secrétaire adjoint de la Défense des États-Unis, au Pentagone, 2003.

Au début des années 2000, le prince héritier est proche du Premier ministre Thaksin Shinawatra[10],[11], avec lequel il a été accusé d'entretenir des liens financiers. Thaksin est finalement renversé par le coup d'État de septembre 2006, mais ces accointances rendent le prince suspect aux yeux des militaires et déplaisent fortement aux Chemises jaunes royalistes.

Dans la deuxième moitié de la décennie, le prince Vajiralongkorn occupe une place officielle de plus en plus importante du fait de la vieillesse de son père.

Il remplace ainsi fréquemment son père lors de visites et cérémonies officielles. Il inaugure à sa place les Jeux d'Asie du Sud-Est de 2007 à Nakhon Ratchasima. Le , il préside la cérémonie d'ouverture du nouveau Parlement. En décembre de la même année, il prononce pour la première fois avec sa sœur Maha Chakri Sirindhorn le traditionnel discours pour l'anniversaire du roi, indisponible pour cause de maladie. Le prince se fait discret au début des années 2010 mais le déclin de l'état de santé de son père le contraint à des apparitions un peu plus fréquentes[12].

En décembre 2014, il se sépare officiellement de sa troisième épouse, la princesse Srirasmi, dont plusieurs parents seraient impliqués dans une grave affaire de corruption. Les suspects seraient emprisonnés pour crime de lèse-majesté. Le contexte de ce divorce est cependant mal connu du fait de la censure exercée par la junte militaire au pouvoir depuis le coup d’État de mai 2014[13].

Controverses et impopularité[modifier | modifier le code]

Le prince fait aussi l'objet de nombreuses attaques de la part d'opposants au régime, dont certains ont été condamnés pour crime de lèse-majesté. L'écrivain australien Harry Nicolaides (en) est ainsi condamné en janvier 2009 à trois ans de prison pour s'être inspiré d'un épisode controversé de la vie du prince dans l'un de ses romans[14]. Ses opposants se comptent également dans les rangs des royalistes conservateurs, qui espèrent que Rama IX n'en fasse pas son héritier[11].

En juillet 2007, de nombreuses rumeurs infondées annoncent la mort du prince héritier, qui souffrirait d'une grave maladie. Ces bruits, bien qu'erronés, créent une polémique concernant l'opacité qui entoure les membres de la famille royale.

La popularité du prince est bien moins importante que celle des autres membres de la famille royale. Réputé pour ses mariages ratés, mais également pour sa boulimie sexuelle et ses nombreuses maîtresses, pour son excentricité (il a nommé chef d’état-major de l’Armée de l’air son chien Fufu[15])[16] ou encore son instabilité et ses humeurs colériques, il incarne pour ses détracteurs un manque total de vertu bouddhique, incompatible avec la fonction royale, protectrice de la religion majoritaire du pays[11].

Son manque d’engagement envers son pays est également pointé du doigt. Pendant de longues années Vajiralongkorn séjourne en effet en Allemagne[17] et semble se désintéresser des affaires publiques, comme le révèle Wikileaks en 2010[18]. Nombre de Thaïlandais ne souhaitent pas le voir accéder au trône, lui préférant sa sœur cadette la princesse Sirindhorn[11],[19].

Roi de Thaïlande[modifier | modifier le code]

Mort de Rama IX, régence et accession au trône[modifier | modifier le code]

Portrait du roi Rama X en 2016.

Le , son père le roi Rama IX meurt à l'âge de 88 ans après une longue maladie et un règne de plus de 70 ans. Le Premier ministre et chef de la junte, Prayut Chan-o-cha, annonce que son gouvernement « procédera à la succession » en faveur du prince héritier et un deuil d'un an est proclamé, mais, fait inédit[20], le prince Vajiralongkorn demande du temps pour prendre son deuil et se décider à accéder au trône[21]. En attendant sa décision, le général Prem Tinsulanonda, président du conseil privé du roi, assume la régence[22]. Finalement, il est annoncé de source militaire que le prince héritier deviendra roi le [23].

Le commence le processus parlementaire au cours duquel l'Assemblée nationale législative invite le prince héritier à monter sur le trône. Selon la procédure en vigueur, ce dernier devra faire savoir s’il accepte cet appel, avant d’être proclamé souverain[24]. Maha Vajiralongkorn est finalement proclamé roi sous le nom dynastique de Rama X le . Son couronnement, initialement prévu pour , est finalement repoussé à une date indéterminée[25]. Durant la période de transition, il montre peu d'enthousiasme à assumer cette tâche, passant plus de temps dans sa propriété allemande, achetée dix millions d'euros le long du lac de Starnberg[20].

Autoritarisme et couronnement[modifier | modifier le code]

En juin 2017, une centaine de personnes sont incarcérées pour « lèse-majesté », y compris un adolescent de 14 ans. Un homme est condamné à 35 ans de prison pour des critiques exprimées contre le roi sur Facebook[26]. Deux militants républicains réfugiés au Laos sont assassinés en [27].

Il fait en sorte de renforcer son autorité en restructurant des unités clés de l’armée et plaçant les richesses de la monarchie sous son contrôle direct[7].

Couronnement du roi Rama X début mai 2019 (B.E. 2562).

Son couronnement a lieu le au cours de cérémonies qui se prolongent pendant trois jours[28],[29].

Le , les cinq membres du groupe de musique contestataire Faiyen[30] arrivent à l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle en provenance du Laos. Inquiets de la possible répression policière qu'ils pourraient subir s'il revenaient en Thaïlande, ils demandent l'asile politique à la France. Depuis le coup d’État militaire de mai 2014 et l'avènement de Rama X qui utilise à discrétion le prétexte de crime de lèse-majesté, de nombreux dissidents politiques ont été emprisonnés ou ont fui le pays[31].

Opposants à la monarchie thaïlandaise manifestant à Paris le 18 octobre 2020.

Pandémie de Covid-19[modifier | modifier le code]

Pendant la pandémie de Covid-19, il suscite la polémique en partant se confiner durant plusieurs semaines dans un hôtel de luxe à Garmisch-Partenkirchen, en Allemagne, avec un harem personnel d'une vingtaine de jeunes femmes[32],[33],[34],[35].

Manifestations de 2020[modifier | modifier le code]

En , des manifestations émaillées de tensions avec les forces de l'ordre éclatent à Bangkok. Les manifestants, principalement des étudiants dans un premier temps, réclament la fin de la monarchie constitutionnelle en place dans le pays depuis 1932, et veulent « mettre un terme à la répression diligentée par l’armée avec la caution de la monarchie » et « questionner la responsabilité du roi », jugé trop autoritaire et entouré de généraux ultra-royalistes. Les manifestants jugent que la monarchie devient trop excessive, et exigent un « retour à la démocratie ». Les manifestations s'intensifient au mois d'août[36],[37].

Succession future[modifier | modifier le code]

Le prince Dipangkorn, fils du roi, qui est issu d'une union ultérieure, est destiné à succéder à son père, mais il n'a pas le titre de prince héritier de Thaïlande. En effet, la loi de succession de 1924 précise que « le titre de prince héritier est conféré au premier-né du roi et de son épouse royale », or le divorce de ses parents en 2014 retire à sa mère cette qualité. Sa position reste donc incertaine, mais c'est bien lui qui devrait succéder au roi si ce dernier venait à disparaître.

Décorations[modifier | modifier le code]

Nationales[modifier | modifier le code]

Étrangères[modifier | modifier le code]

Ascendance[modifier | modifier le code]

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
16. Mongkut (Rama IV)
 
 
 
 
 
 
 
8. Chulalongkorn (Rama V)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
17. Debsirindra
 
 
 
 
 
 
 
4. Mahidol Adulyadej, prince de Songkhla
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
18. Mongkut (Rama IV) (= 16)
 
 
 
 
 
 
 
9. Savang Vadhana
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
19. Piam Sucharitakul
 
 
 
 
 
 
 
2. Bhumibol Adulyadej (Rama IX)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
20. Chum Chukramol
 
 
 
 
 
 
 
10. Chu Chukramol
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
5. Srinagarindra
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
11. Kham Chukramol
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
23. Pha
 
 
 
 
 
 
 
1. Vajiralongkorn (Rama X)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
24. Chulalongkorn (Rama V) (= 8)
 
 
 
 
 
 
 
12. Kitiyakara Voralaksana, prince de Chanthaburi
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
25. Uam Bisalayabutra
 
 
 
 
 
 
 
6. Nakkhatra Mangkala Kitiyakara, prince de Chanthaburi
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
26. Devan Uthaivongse, prince Devavongse Varoprakarn
 
 
 
 
 
 
 
13. Apsarasaman Devakula
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
27. Yai Sucharitakul
 
 
 
 
 
 
 
3. Sirikit Kitiyakara
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
28. Sai Sanidvongs
 
 
 
 
 
 
 
14. Sadan Sanidvongs
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
29. Khian Sasisamit
 
 
 
 
 
 
 
7. Bua Sanidvongs
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
30. Ruai Bunyathon
 
 
 
 
 
 
 
15. Bang Bunyathon
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
31. Wae Na Bangxang
 
 
 
 
 
 

Titres et honneurs[modifier | modifier le code]

Titulature[modifier | modifier le code]

  • -  : Son Altesse royale le prince héritier ;
  • depuis le  : Sa Majesté le roi.

Sources[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. New King for Thailand as Crown Prince, Vajiralongkorn, Ascends to Throne, The New York Times, 1er décembre 2016.
  2. Marie-Pierre Gröndahl, « Srirasmi, l'épouse de l'héritier du trône de Thaïlande a été répudiée pour comportement extravagant », Paris Match, semaine du 29 janvier au 4 février 2015, pages 96-97.
  3. Noblesse et royautés, 1er mai 2019.
  4. Article sur le site Parismatch.com.
  5. Bangkok Post, « Monarchie. La Thaïlande a une nouvelle reine », sur courrierinternational.com, Courrier International,
  6. (en) Rama X names fist royal consort in almost one century sur le site Khaosodenglish.com.
  7. a et b AFP, « Thaïlande: le roi enlève tous ses titres à sa concubine, jugée «déloyale» », sur Le Journal de Montréal (consulté le )
  8. Nicolas Fontaine, « La maitresse du roi de Thaïlande retrouve son titre de concubine royale », sur histoiresroyales.fr, (consulté le )
  9. Prisma Média, « Le roi de Thaïlande riche de 54 milliards d'euros grâce à un décret despotique - Gala », sur Gala.fr, (consulté le )
  10. Courrier International.com.
  11. a b c et d Anatole Perrot, « Ceux qui osent défier le roi », Le Nouvel Observateur, no 2583,‎ (lire en ligne)
  12. Liberation.fr.
  13. Les Echos.fr.
  14. Hns-info.net.
  15. Christophe Bourdoiseau, « Le roi de Thaïlande refait des vagues en Allemagne », sur liberation.fr, Libération,
  16. Hamish McDonald, « THAÏLANDE. La famille royale, ses chiens et ses intrigues », sur courrierinternational.com, Courrier international,
  17. Catherine Gouëset, « Thaïlande: le côté obscur de Maha Vajiralongkorn, héritier du roi défunt », L'Express,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. (en) Mike Wooldridge, « 'Thai concerns about royal heir' », sur bbc.com, BBC News, (consulté le ).
  19. Economist.com.
  20. a et b Jean-Marc Gonin, « Maha Vajiralongkorn, roi de Thaïlande malgré lui », Le Figaro Magazine,‎ , p. 22-23 (lire en ligne).
  21. Harold Thibault, « Thaïlande : la transition est incertaine après la mort du roi Bhumibol », sur Le Monde, (consulté le ).
  22. « Thaïlande : le recueillement et des questions après la mort du roi », sur Radio France internationale, (consulté le ).
  23. « Thailand's crown prince to be confirmed king on 1 December », sur BBC, .
  24. « En Thaïlande, le Parlement va inviter le nouveau roi à monter sur le trône », sur Le Monde, .
  25. « Rama X, l'inquiétant nouveau roi de Thaïlande », sur Le Monde (consulté le )
  26. « Thaïlande : 35 ans de prison pour avoir critiqué la monarchie sur Facebook », sur secoursrouge.org.
  27. « Thaïlande : le crime de lèse-majesté pourchassé jusqu’au Laos », sur Libération.fr,
  28. The Nation (Thailand), « Monarchie. La Thaïlande couronne son nouveau roi », sur courrierinternational.com, Courrier International,
  29. « En Thaïlande, le couronnement du roi Vajiralongkorn, monarque imprévisible et politique », sur Le Monde, (consulté le ).
  30. (en) Thisrupt, « Yam Faiyen: Escape to France », sur thisrupt.co,
  31. (en) Faiyen anti-monarchy musicians seek asylum in Paris sur le site Khaosodenenglish.com.
  32. Courrier international, « Scandale. Le roi de Thaïlande se confine dans un hôtel de Bavière avec son harem », sur courrierinternational.com, Courrier International,
  33. Wassila Belhacine, « Les Thaïlandais en colère contre le roi Rama X », sur la-croix.com, La Croix,
  34. (en) Oliver Moody, « Thais protest as king takes holiday amid coronavirus crisis », sur thetimes.co.uk, The Times,
  35. Coronavirus en Thaïlande : le roi se confine avec un harem de 20 femmes dans un hôtel de luxe RTL, 30 mars 2020
  36. « Thaïlande : comprendre la colère des jeunes générations », sur ouest-france.fr, (consulté le )
  37. « Thaïlande : des milliers de manifestants dans la rue contre le gouvernement », sur laprovence.com, (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]