Vélizy-Villacoublay

Vélizy-Villacoublay
Vélizy-Villacoublay
L'hôtel de ville.
Blason de Vélizy-Villacoublay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Versailles
Intercommunalité CA Versailles Grand Parc
Maire
Mandat
Pascal Thévenot
2020-2026
Code postal 78140
Code commune 78640
Démographie
Gentilé Véliziens
Population
municipale
22 713 hab. (2021 en augmentation de 7,7 % par rapport à 2015)
Densité 2 543 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 03″ nord, 2° 11′ 21″ est
Altitude Min. 102 m
Max. 179 m
Superficie 8,93 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Versailles-2
Législatives 2e circonscription des Yvelines
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Vélizy-Villacoublay
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Vélizy-Villacoublay
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Voir sur la carte topographique des Yvelines
Vélizy-Villacoublay
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Vélizy-Villacoublay
Liens
Site web http://www.velizy-villacoublay.fr

Vélizy-Villacoublay est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France, à trois kilomètres à l'est de Versailles.

Ville industrielle, accueillant de nombreux sièges sociaux d'entreprise, elle constitue la partie nord du pôle scientifique et technologique Paris-Saclay, en cours d'aménagement depuis 2010.

Depuis le , elle fait partie de Versailles Grand Parc. Ses habitants sont appelés les Véliziens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Position de Vélizy-Villacoublay dans les Yvelines.

À vol d'oiseau, la commune est située à 14,9 kilomètres au sud-ouest de Paris[1] et à 3,5 kilomètres à l'est de Versailles[2].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 893 hectares ; l'altitude varie entre 102 et 179 mètres[3].

La commune est située sur un plateau dominant Paris et bénéficie donc d’une altitude privilégiée, ce qui lui permet de ne pas ou peu souffrir des possibles inondations lors des fortes pluies, l’eau se déversant en aval dans la cuvette de Chaville.

Environ 313 hectares de forêt domaniale (domaine forestier de Meudon) couvrent une partie du territoire de la commune et offrent aux Véliziens de grands espaces de verdure naturels. De plus Vélizy possède plus de 65 hectares d’espaces verts.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 681 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Toussus-le-Noble à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Vélizy se situe à une quinzaine de kilomètres de Paris intra-muros et à une quinzaine de minutes de trajet en voiture en passant par la N 118. La commune est desservie par l'A86, par la RN 118 et la RN 12. À partir de 2024, la commune devrait être desservie par un nouvel échangeur de l'A86 au niveau de Vélizy 2[10].

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Un tram de la ligne T6 sur l'avenue de l'Europe.

La ville est desservie par :

Projets de développement du réseau[modifier | modifier le code]

La ville souhaite améliorer l’accès à son territoire. Pour délester le trafic sur les axes structurants (A86 et N 118), un nouvel échangeur organisant le franchissement de l’autoroute est en construction ; ce projet devrait aboutir en 2024.

Le , le maire de la ville, Pascal Thévenot, envisage la création d'un téléphérique entre le pont de Sèvres et la commune afin de désengorger la RN 118 ; ce sont 5 000 à 6 000 voyageurs par heure et par sens qui pourront être transportés[11].

Pistes cyclables[modifier | modifier le code]

En parallèle à cette amélioration de la circulation automobile, la commune n’oublie pas les circulations douces et poursuit le développement de son réseau cyclable initié il y a plusieurs années. Ainsi ce sont près de 20 pistes cyclables (mixtes avec les piétons ou exclusivement réservées aux cyclistes) qui ont été ou vont être aménagées sur la ville, pour permettre une continuité du nord au sud et de l’est à l’ouest. Ce projet de circulation « propre » est dynamisé par l’arrivée du tramway dont le tracé sera en grande partie longé par des pistes cyclables : avenues Louis-Breguet, de l’Europe et Morane-Saulnier notamment. Les bandes et pistes existantes ainsi que celle des communes avoisinantes comme celle de la RD 53 qui relie Vélizy à Chaville et Jouy-en-Josas seront reliées.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vélizy-Villacoublay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[15] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 20,5 % 184
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 27,3 % 245
Réseaux routiers et ferroviaires et espaces associés 3,7 % 33
Aéroports 13,2 % 118
Équipements sportifs et de loisirs 1,2 % 11
Forêts de feuillus 34,1 % 306
Source : Corine Land Cover[20]

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Il y a sept quartiers d'habitation : Mozart, le Clos, le Mail, Louvois, la Pointe Ouest , Happy Vélizy et Vélizy-le-Bas (avec l'Ursine et le Bocage) jouxtant la commune de Chaville.

Logement[modifier | modifier le code]

En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 8 856, alors qu'il était de 8 839 en 1999[a 1].

Parmi ces logements, 94,5 % étaient des résidences principales, 1 % des résidences secondaires et 4,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 17,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 81,2 % des appartements[a 2].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 47,6 %, en hausse par rapport à 1999 (43,6 %). La part de logements HLM loués vides n'était plus que de 18,8 % contre 29,7 % en 1999, leur nombre ayant beaucoup diminué depuis 1999 : 1 574 en 2009 contre 2 510 en 1999[a 3].

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

La commune, consciente du besoin en logements a initié, depuis 2007, plusieurs grands projets d’aménagement et de construction. D’ici 2014, près de 1 700 logements sont ainsi prévus d’être construits dont 700 logements destinés aux étudiants et jeunes actifs. La plupart d’entre eux est issue du programme local de l’habitat (PLH) de la commune, couvrant la période 2011-2016. Cette transformation de la commune s’effectue avec une double préoccupation : contenir la pression et les prix de l’immobilier tout en préservant la qualité du cadre de vie. L’objectif du PLH est d’atteindre une population de 25 000 habitants en 2016. Les programmes immobiliers (Carré d’Alcyon, Villa Azur, Galilée, Alizé…), et le réaménagement de quartiers, comme celui de Louvois ou Europe, traduisent cette ambition.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Pour Vélizy

Vileriacum en 829[21], Villesoblen en 1169, Vilesi en 1226[22], Vilisiacum en 1238[23], Villesis en 1241[24], Velisi en 1276.

Nom possible d’un domaine gallo-romain appelé *Vilitiacum qui aurait donné Vélizy[25].

Un lieu-dit : Urcines, rappelle une paroisse disparue, s'étendant sur le plateau[25]. Attesté sous la forme Orsinne en 1559[26].

Pour Villacoublay (Villacoublay sera accolé à Vélizy en 1937.)

Villes-Coble[22], Villa Escoblen au XIIe siècle[27], Villa Escobleu au XIIe siècle[22], Villescoublain au XIVe siècle[27], Villacoublai au xve siècle[28].

Villa Escoblen, cité au XIIe siècle, était une ferme sans importance[21]. Ledesmallus, chevalier de Vilescoblen, aurait vendu à l’évêque de Paris une propriété sise à l’emplacement de l’actuel Villacoublay[28].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les dates importantes de l’histoire de Vélizy-Villacoublay[modifier | modifier le code]

Le hameau de Vélizy et l'étang de Villacoublay sur la planche de l'atlas de Trudaine consacrée à Versailles, XVIIIe siècle (Archives nationales).

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Autrefois Vélizy n'était qu'un simple hameau du village d'Ursine, village qui était au milieu des bois. Ursine, ou Ursines, fut érigé en paroisse au XIIIe siècle[29].

Le territoire était formé de trois seigneuries distinctes, Vélizy, Villacoublay et Ursine, mentionnées à partir du XIe siècle, qui, au Moyen Âge, étaient les propriétés de l'Hôtel-Dieu de Notre-Dame de Paris. C'est ensuite la famille Louvois, déjà propriétaire des seigneuries de Chaville et de Meudon, qui acquiert progressivement ces territoires.

En 1674, lorsque Louvois eut acheté la seigneurie de Chaville, il fit transporter l'église, qui était à Ursine, à Vélizy. L'archevêque de Paris avait autorisé cette translation parce que cette église était située dans un endroit bas et marécageux, qu'elle était en ruines et que l'air malsain du presbytère faisait « que les curés y vivaient peu »[29]. À la place de la vieille église d'Ursine, Louvois fit creuser un étang pour alimenter son parc de Chaville.

Si l'été Ursine était un lieu de villégiature agréable, frais et verdoyant, situé au milieu de territoires de chasse il en était autrement en hiver, ou le lieu, avec ses pluies, ses froids, ses brouillards humides et malsains qui se dégageaient des marécages n'en faisait plus un séjour agréable et salubre. Ainsi après la Saint-Denis, le 3 octobre, le seigneur, sa suite et bon nombre des habitants avaient déjà déserté la vallée pour aller s'établir sur le haut de la colline, à Vélizy. C'est ainsi qu'Ursines s'est dépeuplé et s'est vu transplanté à Vélizy. Le rond-point d'Ursine est le souvenir du village à l'origine de Vélizy-Villacoublay[29].
Ces domaines sont entrés dans le domaine royal progressivement à partir du XVIIe siècle et à la fin du XVIIIe siècle pour celui de Vélizy.

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

C’est à Vélizy, le , que le général Exelmans, à la tête des dragons, culbuta deux régiments de hussards prussiens qu'il chassa jusqu'à Rocquencourt, où ils furent complètement détruits par des détachements de l’armée française. À la suite de ces combats, les gardes nationaux de la contrée ayant pris les armes et tiré sur les cavaliers prussiens, le lendemain les troupes prussiennes, en représailles, brûlèrent presque complètement le village et le pillèrent, ce qui lui fit donner le surnom de Petit Moscou[30],[31],[32].

Pendant le siège de Paris, durant la guerre de 1870, les Prussiens utilisent la cour de la ferme Rabourdin[33] comme parc d'artillerie. C'est également à proximité de cette ferme qu'eut lieu, le 19 septembre 1870, la première bataille de Châtillon et l'épisode sanglant de la Grange Dame Rose où quelques zouaves ont lutté contre une nombreuse troupe ennemie et ont été massacrés après une résistance opiniâtre.

Début du XXe siècle[modifier | modifier le code]

1936 : à la suite de la création de l'armée de l'air en 1934, l'aérodrome est renommé base aérienne 107 Villacoublay.

1937 : L’aérodrome de Villacoublay a pris une telle importance au niveau international que le conseil municipal de Vélizy décide, le , que le nom de Villacoublay soit réuni à celui de Vélizy et que la commune prenne le nom de « Vélizy-Villacoublay ». Le a lieu la "Fête de l'air", un grand meeting aérien qui préfigure le salon du Bourget d'après-guerre.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

La base aérienne 107 Villacoublay est bombardée à plusieurs reprises durant la guerre.

Le lors de l'invasion allemande, la Luftwaffe bombarde la base de l'armée de l'air. Deux cents bombes sont larguées par vagues successives en 35 minutes. On dénombre 9 morts, 26 blessés et 17 avions endommagés ou détruits. De plus, quelques maisons du village, qui pâtit alors pour la première fois de sa proximité avec la base militaire, sont touchées, mais les fermes restent intactes.

Le , les Allemands entrent à Vélizy-Villacoublay et réquisitionnent les bâtiments publics, la mairie, les groupes scolaires Ferdinand-Buisson et Jean-Macé ainsi que les fermes de la commune. Ils exigent aussi la collaboration des habitants sans pour autant l’obtenir. Les rapports entre les habitants et les occupants seront froids voire inexistants jusqu’à la libération de la ville en .

De à la base aérienne est utilisée par la Luftwaffe allemande, et devient une cible importante pour les Alliés, surtout les Américains qui se donnent pour objectif de détruire la piste et les hangars :

  • Le le bombardement américain neutralise la piste, mais Le Clos et Vélizy-Village sont grièvement touchés, bilan : 34 morts, 106 blessés dont 46 graves et plus de 200 maisons endommagées ou détruites.
  • Le et le le bombardement touche aussi la grande ferme de Villacoublay, principale réserve de vivres du village.

De nombreux cratères, témoins de ces bombardements, sont encore visibles en forêt de Meudon, dans la partie nord du plateau de Vélizy.

Le les Allemands évacuent la base. Vélizy est libérée par les forces alliées le .

Après-guerre[modifier | modifier le code]

1952 : la Ville est récompensée de sa loyauté pendant la Seconde Guerre mondiale par une citation à l’ordre de la Nation, assortie de l’attribution de la Croix de guerre avec étoile d’argent.

1957 : par délibération du conseil municipal du Villacoublay adopte de nouvelles armes (voir Héraldique) : un écu à la française, « d'azur à deux vols d'argent en forme de V posés l'un au-dessus de l'autre, accompagnés en chef d'une étoile et en pointe de deux quintefeuilles et entre chacun des vols, de deux épis de blé tigés et feuillés posés l'un en bande, l'autre en barre, le tout d'or ». Ces armoiries évoquent la double vocation de la ville, agricole (les épis de blé) et aéronautique (les ailes, l’étoile qui guide les aviateurs). De plus, les deux V évoquent le double nom de la commune : Vélizy-Villacoublay.

1962 : Sous l’impulsion de Robert Wagner (maire de Vélizy-Villacoublay de 1953-1988 et qui avait déjà initié la construction d’une centaine de pavillons entre 1957 et 1958) la construction d’une première tranche de 2000 logements d’un grand ensemble immobilier est lancée, elle annonce une véritable ville nouvelle.

1965 : Construction d’une caserne des compagnies républicaines de sécurité (CRS), elle héberge aujourd’hui en tant que direction zonale Paris - Île-de-France les groupements no 1 et no 61 de CRS.

1972 : ouverture du centre commercial régional Vélizy 2.

1974 : achèvement des grands ensembles immobiliers de la ville et inauguration de la nouvelle mairie en présence de Jacques Chirac, Premier ministre.

1991 : création de l’Institut universitaire de technologie (IUT) de Vélizy, composante de l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines. Il propose des formations professionnelles qui délivrent un diplôme universitaire et technologique (DUT) et des licences professionnelles. Ces formations sont dispensées dans les domaines des technologies industrielles et tertiaires (industrie, commerce, services).

2002 : livraison du centre culturel de Vélizy-Villacoublay : « l’Onde » conçue par l’architecte Claude Vasconi. Ce centre compte notamment en son sein une école de musique, une école de danse et une salle de spectacle et un théâtre de 670 places.

2011 : Implantation de l’Institut des sciences et techniques des Yvelines (ISTY), délivrant deux diplômes reconnus par la commission des titres d’ingénieurs (CTI) en informatique et mécatronique.

 : Date de mise en service du tramway T6 , nouvelle ligne allant de Châtillon à Viroflay en passant par Vélizy-Villacoublay.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du [34], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et son arrondissement de Versailles, après un transfert administratif effectif au .

Pour l'élection des députés, la ville fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription des Yvelines.

Elle faisait partie de 1801 à 1967 du canton de Versailles-Sud du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place des Yvelines, elle est rattachée en 1967 au canton de Viroflay avant de devenir en 1976 le chef-lieu du canton de Vélizy-Villacoublay[35]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Versailles-2.

Vélizy-Villacoublay relève des tribunal d'instance, tribunal de grande instance, cour d'appel de Versailles, tribunal pour enfants, conseil de prud'hommes, tribunal de commerce, tribunal administratif, et de la cour administrative d'appel de Versailles[36].

Conseil municipal de Vélizy-Villacoublay (mandature 2020-2026).
Liste Tendance Président Effectif Statut
« Façonnons Vélizy pour l'avenir » SL Pascal Thévenot 29 Majorité
« Vélizy-Villacoublay 2020 » DVD Didier Blanchard 3 Opposition
« Vélizy Ecologiste et Solidaire » DVG Hugues Orsolin 3 Opposition

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Le , la ville rejoint la communauté d'agglomération Grand Paris Seine Ouest[37],[38] (GPSO), dont les autres communes sont situées dans les Hauts-de-Seine.

Le , en conséquence des élections municipales de 2014[39] et des règles et contraintes induites par la création de la métropole du Grand Paris auxquelles la ville souhaite échapper[40],[41], Vélizy-Villacoublay a quitté GPSO[42]. Vélizy devient une commune isolée en 2015 et pourrait rejoindre la communauté d'agglomération Versailles Grand Parc en 2016[43].

Le , la commune intègre donc la communauté d'agglomération Versailles Grand Parc.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Depuis 1953, cinq maires se sont succédé :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1953 avril 1988 Robert Wagner[44] UNR
puis UDR
puis RPR
Ingénieur
Député de Seine-et-Oise (6e circ.) (1958 → 1967)
Député des Yvelines (6e circ.) (1967 → 1986)
Député des Yvelines (1986 → 1988)
Conseiller général du canton de Vélizy-Villacoublay (1976 → 1988)
Décédé en fonction
avril 1988 mars 1990[45] Antoine Trani RPR Déclaré inéligible par le Conseil d'Etat le
mars 1990[46] septembre 2004[47] Raymond Loisel RPR puis UMP Démissionnaire
septembre 2004[48] avril 2014 Joël Loison UMP Directeur commercial retraité
Conseiller général du canton de Vélizy-Villacoublay (2005 → 2015)
avril 2014[49] En cours
(au 13 août 2021)
Pascal Thévenot UMPLR
puis Libres ![50]
Ingénieur informatique
Député des Yvelines (2e circ.) (2016 → 2017)
Réélu pour le mandat 2020-2026[51],[52]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

La commune participe au concours des villes et villages fleuris et, en 2013, est classée quatre fleurs depuis 2003[53].

En 2010, la commune de Vélizy-Villacoublay a obtenu le label « Ville Internet @@@ »[54].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Au , Vélizy-Villacoublay est jumelée avec :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[55],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 22 713 habitants[Note 4], en augmentation de 7,7 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
168130158200151197213221207
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
178178185206261236227273268
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2302944381 4872 2463 6734 1753 7736 075
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6 40215 47122 61122 43020 72520 34220 03020 71121 517
2021 - - - - - - - -
22 713--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[56].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 11 330 hommes pour 11 319 femmes, soit un taux de 50,02 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[57]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,2 
6,0 
75-89 ans
9,2 
10,3 
60-74 ans
14,5 
19,2 
45-59 ans
18,8 
22,4 
30-44 ans
21,1 
22,5 
15-29 ans
17,8 
19,3 
0-14 ans
17,4 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[58]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Vélizy-Villacoublay est située dans l'académie de Versailles.

Établissements scolaires[modifier | modifier le code]

La commune administre cinq écoles maternelles et sept écoles élémentaires communales[59].

Le département gère deux collèges (Maryse-Bastié et Saint-Exupéry)[60]. Le lycée le plus proche est situé à Versailles.

Vie universitaire[modifier | modifier le code]

Situé en face du centre commercial Vélizy 2, le Pôle universitaire technologique de Vélizy-Villacoublay (appartenant à l'Université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines) regroupe :

Le pôle est constitué de bâtiments administratifs (comportant les laboratoires LISV, LISP et PRISM), d'un parc informatique composé d'une trentaine de salles, d'un bâtiment d'études (deux amphithéâtres et quatre étages de salles de travaux dirigés), et d'un restaurant administré par le centre régional des œuvres universitaires et scolaires (CROUS).

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

  • Les Echos est le magazine municipal mensuel[61].

Cultes[modifier | modifier le code]

Les Véliziens disposent de lieux de culte :

  • catholique : le territoire de la commune dépend de la paroisse Saint-Jean-Baptiste - Saint-Denis au sein du doyenné Versailles-Sud du diocèse de Versailles[62].
  • israëlite : synagogue de Versailles.
  • arménien : église apostolique arménienne de Chaville.
  • orthodoxe : église Notre-Dame-Souveraine de Chaville.
  • protestant : église protestante de France de Vélizy-Villacoublay.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 39 599 , ce qui plaçait Vélizy-Villacoublay au 2 695e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[63].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 17 056 personnes, parmi lesquelles on comptait 78,4 % d'actifs dont 73,9 % ayant un emploi et 4,6 % de chômeurs[a 4].

On comptait 6 567 emplois dans la zone d'emploi, contre 38 997 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 9 785, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 5] était de 409,5 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offrait quatre emplois par habitant actif[a 5].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Au , Vélizy-Villacoublay comptait 1 898 établissements : 3 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 88 dans l'industrie, 141 dans la construction, 1 459 dans le commerce-transports-services divers et 207 étaient relatifs au secteur administratif[a 6].

En 2011, 145 entreprises ont été créées à Vélizy-Villacoublay[a 7], dont 92 par des autoentrepreneurs[a 8].

Ces emplois sont principalement localisés dans la « zone d'emplois » INOVEL Parc qui jouxte la base aérienne 107 Villacoublay et les centres commerciaux Westfield Vélizy 2, L’Usine mode et maison, Art de vivre. Les entreprises les plus importantes sont :

Au , Vélizy-Villacoublay comptait quatre hôtels pour un total de 530 chambres : un de niveau « 1 étoile », un de niveau « 2 étoiles » et deux de niveau « 4 étoiles »[a 9].

Inovel Parc[modifier | modifier le code]

En parallèle à l’aménagement des quartiers d’habitation, la ville accueille le pôle d’affaires d’envergure Inovel Parc. Il représente une des plus fortes concentrations d’entreprises de l’Ouest parisien. Environ 1 000 entreprises emploient plus de 45 000 salariés, répartis dans des activités économiques diversifiées, notamment les filières technologiques comme l’informatique, les télécommunications, l’automobile et l’aéronautique. Vélizy-Villacoublay regroupe 5 % de la recherche et du développement privé en France. Ce pôle d’innovation possède aussi un réseau relationnel actif de dirigeants au sein de plusieurs associations inter-entreprises (grandes entreprises, PME, DRH…).

L’arrivée récente d'entreprises (Thales, Inéo ou Carmat, Dassault-Systèmes, Altran…) et la construction de nouveaux programmes immobiliers d’entreprise (siège d’Eiffage France, New Vélizy…) accélèrent l’évolution d’Inovel Parc.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune ne contient aucun bâtiment ni objet recensé dans l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[64]. On peut toutefois mentionner :

  • l'église Saint-Denis a été transportée d'Ursine en 1674 : son tympan est superbement orné des armoiries (dont trois lézards et trois étoiles d'or) de la famille Le Tellier de Louvois [65]
  • l'église Saint-Jean-Baptiste (de style moderne) ;
  • la caserne de CRS ;
  • le musée des CRS, situé sur le site des CRS no 1 et no 61 ;
  • le centre culturel de l'Onde. Ce dernier bâtiment, conçu par l'architecte Claude Vasconi, a été livré en décembre 2002 et comprend une salle de 670 places, une salle pluridisciplinaire de 200 places, deux grandes salles de danse, une salle de répétition d'orchestre, douze studios, quatre salles de classe, un studio d'enregistrement et un studio pour percussions.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Vélizy et les médias[modifier | modifier le code]

Vélizy 2 est le lieu initial d'émission de la radio libre RFM en 1981.

Villacoublay est le lieu principal de l'intrigue de la série d'animation française Clémentine destinée aux enfants et diffusée à la télévision sur Antenne 2 dans les années 1980.

En 2005, Vélizy est le lieu de tournage du film TV L'Évangile selon Aîmé avec comme acteur principal : Isaach de Bankolé, et en 2011 celui de quelques scènes du film Une pure affaire d'Alexandre Coffre.

Vélizy-Villacoublay, et plus précisément le centre commercial Vélizy 2, est l'un des lieux de tournage de l’émission Belle toute nue.

Durant l'été 2013, certaines scènes de la série Fais pas ci, fais pas ça saison 6 sont tournées dans différents lieux de Vélizy.

Au cours de l'été 2015, l'acteur et réalisateur Yvan Attal a tourné quelques scènes de son dernier long-métrage : Ils sont partout avec Charlotte Gainsbourg, Dany Boon, Benoît Poelvoorde, François Damiens.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, devise et logotype[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Le blason de la commune a été défini par la commission héraldique de la préfecture de Seine-et-Oise, en 1943.


Armes de Vélizy-Villacoublay

Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :

D'azur à deux vols d'argent en forme de V posés l'un au-dessus de l'autre, accompagnés en chef d'une étoile et en pointe de deux quintefeuilles et entre chacun des vols, de deux épis de blé tigés et feuillés posés l'un en bande, l'autre en barre, le tout d'or.

Logotype[modifier | modifier le code]

Logotype de Vélizy-Villacoublay adopté en 2009

La municipalité le définit ainsi :

L'articulation autour du nom de « Ville de Vélizy-Villacoublay » et sa forme circulaire traduisent un mouvement dynamique, reflet de la vie économique, culturelle et sportive locales. À l’image de la Ville, ce logotype véhicule cinq dimensions : l’esprit de convivialité qui anime ses quartiers, le dynamisme de son tissu économique avec plus de 45 000 emplois. Mais aussi son audace créative et technologique, son art de vivre entre habitat moderne et domaine forestier et sa volonté de s’inscrire dans des projets ambitieux… Cercles de compétences, de services, d’ami(e)s, ils expriment à la fois l’alliance, la diversité des activités et les multiples univers fédérés par Vélizy-Villacoublay. Son aura et son rayonnement… au-delà et par-delà la Ville..

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

Références[modifier | modifier le code]

Insee[modifier | modifier le code]

  1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
  2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  5. EMP T5 - Emploi et activité.
  6. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
  7. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
  8. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.
  9. TOU T1 - Nombre et capacité des hôtels selon le nombre d'étoiles.

Autres références[modifier | modifier le code]

  1. « Orthodromie entre "Vélizy-Villacoublay" et "Paris" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. « Orthodromie entre "Vélizy-Villacoublay" et "Versailles" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
  3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Vélizy-Villacoublay et Toussus-le-Noble », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Toussus Le Noble » (commune de Toussus-le-Noble) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Toussus Le Noble » (commune de Toussus-le-Noble) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. Laurent Mauron, « Vélizy-Villacoublay : un nouvel échangeur sur l’A86 en 2021 », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. Un projet de téléphérique entre le pont de Sèvres et Vélizy, sur le site lesnouvelles.fr, consulté le 24 janvier 2015.
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine - définition », sur Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  21. a et b Michel Roblin, Le terroir de Paris aux époques gallo-romaine et franque
  22. a b et c TOPONYMES DE NOTRE RÉGION, Alain GUYOT, Bulletin no 4, année 1999
  23. Guy Marie Claise, Dictionnaire de Seine et Oise.
  24. O1 3856, 1. 2, A. N.
  25. a et b Revue de l'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise, Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Académie de Versailles, des Yvelines et de l'Ile-de-France, L. Bernard (Versailles), H. Champion (Paris), 1899-1976, page 28.
  26. Archives Nationales (O 1 3855 1. 2)
  27. a et b Le terroir de Paris aux époques gallo-romaine et franque, Michel Roblin, page 80.
  28. a et b Sylvie Langevin, Vélizy-Villacoublay, de l’origine à demain, (ISBN 978-2-9511096-0-5).
  29. a b et c Monographie communale de Vélizy
  30. Monographie communale de Vélizy-Villacoublay page 9
  31. Vélizy-Villacoublay sur leparisien.fr
  32. Histoire de la ville
  33. Nom du propriétaire de l'époque
  34. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  35. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur annuaires.justice.gouv.fr (consulté le ).
  37. « Arrêté interpréfectoral DAJAL 1 n° 2013-001 du 6 mars 2013 portant adhésion de la commune de Vélizy-Villacoublay à la communauté d’agglomération Grand Paris Seine Ouest » [PDF], Recueil des actes administratifs, Préfecture des Hauts de Seine (consulté le ).
  38. « Vélizy-Villacoublay et Marnes-la-Coquette rejoignent Grand Paris Seine Ouest », GPSO, (consulté le ).
  39. Laurent Mauron, « L'intercommunalité provoque un imbroglio juridique », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne).
  40. « GPSO et Vélizy divorcent », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne).
  41. « Retrait de la Commune de Vélizy-Villacoublay de la Communauté d’agglomération Grand Paris Seine Ouest » [PDF], Extrait des délibérations du conseil municipal d'Issy-les-Moulineaux du 25 septembre 2014 (consulté le ), p. 2.
  42. « Arrêté interpréfectoral DAJAL 1 n° 2014-036 du 23 décembre 2014 portant retrait de la commune de Vélizy-Villacoublay de la communauté d’agglomération Grand Paris Seine Ouest » [PDF], (consulté le ).
  43. « L'intégration dans Versailles Grand Parc attendra 2016 », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ .
  44. « Robert Wagner : un nouveau regard sur Vélizy-Villacoublay », Un peu d'histoire, sur velizy-villacoublay.fr (consulté le ).
  45. Gaëtane Bossaert, « La grande famille se déchire », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne)
    « Figure aussi sur sa liste Antoine Trani, l'ancien maire de Vélizy invalidé en 1990. ».
  46. « M. Loisel (RPR), nouveau maire de Vélizy », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ) « M. Raymond Loisel, premier adjoint au maire de Vélizy-Villacoublay, M. Antoine Trani (RPR), déclaré inéligible par le Conseil d'Etat le 21 février en raison de son statut professionnel d'« entrepreneur de services municipaux » (le Monde du 23 février ), a été élu maire jeudi 8 mars, à l'issue d'un conseil municipal très agité. M. Loisel a obtenu vingt-cinq voix, six étant allées au socialiste, M. Gérard Desseigne, qui s'était porté " candidat par principe ", et quatre au dissident du RPR, M. Henri Maingreaud ».
  47. « Le maire, Raymond Loisel, démissionne », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne) « Raymond Loisel, maire (UMP) depuis quatorze ans, a annoncé sa démission de son mandat de maire. Il restera toutefois conseiller municipal. « Compte tenu de mon âge, 75 ans, de mon état physique, j'ai pensé que le moment était venu et qu'il était sage de laisser la place à quelqu'un de plus jeune. Je suis fatigué », indique l'élu ».
  48. « Joël Loison élu nouveau maire de Vélizy », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne).
  49. Florie Cedolin, « Pascal Thévenot élu maire de Vélizy : A l'issue du second tour des municipales, Pascal Thévenot a été élu maire de Vélizy avec 49,83% des voix. », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pascal Thévenot (UMP) a été élu maire de Vélizy avec 49,83% des voix, face à Joël Loison (DVD) rassemblant 37,08% des voix et Amroze Adjuward (PS) 13,07% ».
  50. Laurent Mauron, « Municipales à Vélizy-Villacoublay : Pascal Thévenot en piste pour un deuxième mandat : Le maire sortant (Libres !) entend poursuivre l’aménagement de la ville sur le modèle de Louvois. », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  51. Laurent Mauron, « Municipales à Vélizy : le maire (DVD) croit en sa bonne étoile : Pascal Thévenot, qui l’avait emporté lors d’une triangulaire en 2014, espère un scrutin plus facile cette année. Il aura face à lui une liste de gauche, une plutôt centriste et une très à droite. », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ce n'est pas toujours facile de rééditer un premier succès mais Pascal Thévenot, le maire LR sortant de Vélizy-Villacoublay, qui termine son premier mandat, croit en son étoile pour conserver le fauteuil de maire en mars prochain (…) Côté politique, ce très proche de Valérie Pécresse s'affiche chez Libres !, la formation de la présidente de la région, et a reçu le soutien d'Ensemble pour les Yvelines, le groupe parrainé par Pierre Bédier, président (LR) du conseil départemental. En revanche, il ne veut pas entendre parler de la République en Marche (…) Têtes de liste : Pascal Thévenot (Libres !), Didier Blanchard (SE), Yasmine Benzelmat (DVD), Hugues Orsolin (EELV) ».
  52. Florie Cedolin, « Vélizy-Villacoublay : Pascal Thévenot reconduit dans ses fonctions de maire : Lundi 25 mai s'est tenu le conseil municipal d'installation à Vélizy-Villacoublay (Yvelines). Sans surprise, Pascal Thévenot a été réélu dans ses fonctions de maire », 78 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  53. « Velizy villacoublay », sur villes-et-villages-fleuris.com (consulté le ).
  54. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 18/12/2009.
  55. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  56. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  57. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vélizy-Villacoublay (78640) », (consulté le ).
  58. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  59. « Yvelines (78), Vélizy-Villacoublay, écoles », sur education.gouv.fr (consulté le ).
  60. « Yvelines (78), Vélizy-Villacoublay, collèges », sur education.gouv.fr (consulté le ).
  61. « Publications- Ville de Vélizy-Villacoublay », sur velizy-villacoublay.fr (consulté le ).
  62. « Paroisse de Vélizy-Villacoublay », sur diocèse de Versailles (consulté le ).
  63. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur insee.fr (consulté le ).
  64. « Vélizy-Villacoublay », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  65. « L'église Saint-Denis de Vélizy-Villacoublay ».

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Henri Lacoste, Vélizy-villacoublay. son histoire, sa forêt et ses étangs, ses chasses royales, La Gutenberg, , 77 p.
  • Sylvie Langevin, Vélizy-Villacoublay, de l’origine à demain, Vélizy-Villacoublay, Éditions Lieux-Dits, , 175 p. (ISBN 978-2-9511096-0-5)
  • Valérie Parent, Vélizy-Villacoublay, éd. Alan Sutton, coll. « Mémoire en images », (ISBN 978-2-84253-671-8)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]