Union nationale de l'espérance

Union nationale de l'espérance
(es) Unidad Nacional de la Esperanza
Image illustrative de l’article Union nationale de l'espérance
Logotype officiel.
Présentation
Présidente Sandra Torres
Fondation
Siège 8 Calle 5-15 Zona 9,
Guatemala
Positionnement Attrape-tout[1]
Centre gauche[2] à droite[3]

Historique :
Gauche à centre gauche

Idéologie Conservatisme social[4]
Social-libéralisme

Historique :
Social-démocratie
Gauche chrétienne
Pluralisme
Populisme de gauche

Affiliation internationale Internationale socialiste
Couleurs Vert
Site web www.une.org.gtVoir et modifier les données sur Wikidata
Représentation
Députés
28  /  158
Parlement centraméricain
6  /  20

L'Union nationale de l'espérance (en espagnol : Unidad Nacional de la Esperanza, abrégé en UNE) est un parti politique guatémaltèque, historiquement classé au centre gauche et aujourd'hui au centre droit de l'échiquier politique.

Historique[modifier | modifier le code]

Álvaro Colom, figure de l'UNE et président de la république du Guatemala de 2008 à 2012.

À sa création en 2002, l'Union nationale de l'espérance est un parti de gauche se réclamant de la social-démocratie et du christianisme social.

Pour l'élection présidentielle de 2007, l'UNE soutient la candidature d'Álvaro Colom, battu au second tour de la précédente élection présidentielle. Álvaro Colom est finalement élu président de la République, tandis que José Rafael Espada devient vice-président.

En 2015 et 2019, Sandra Torres, ancienne épouse d'Álvaro Colom, se présente sans succès à la présidence du pays avec le soutien de l'UNE. Elle oriente progressivement le parti au centre. Elle est à nouveau candidate en 2023[5].

Affiliation[modifier | modifier le code]

Cette formation est membre de l'Internationale socialiste et membre associé de la COPPPAL.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Caroline Protat, « Avec Sandra Torres, le Guatemala se recentre », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. (en) Lorena Arroyo et Evelyn Boche Ventura, « Center-left leading in Guatemala election marked by voter anger over corruption », El País,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. (es) Redacción El Comercio Perú, « Por qué la Corte de Constitucionalidad de Guatemala ordenó no oficializar los resultados de las elecciones », El Comercio, NOTICIAS EL COMERCIO PERÚ,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. (es) Elsa Coronado, « La reinvención de Sandra Torres: de la socialdemocracia al conservadurismo », sur www.plazapublica.com.gt (consulté le ).
  5. « Présidentielle au Guatemala: Sandra Torres et Bernardo Arevalo en tête du premier tour », sur RFI, (consulté le )