Trévoux

Trévoux
Trévoux
La mairie de Trévoux.
Blason de Trévoux
Blason
Trévoux
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Bourg-en-Bresse
Intercommunalité Communauté de communes Dombes Saône Vallée
(siège)
Maire
Mandat
Marc Péchoux
2020-2026
Code postal 01600
Code commune 01427
Démographie
Gentilé Trévoltiens
Population
municipale
6 947 hab. (2021)
Densité 1 217 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 56′ 28″ nord, 4° 46′ 30″ est
Altitude Min. 167 m
Max. 256 m
Superficie 5,71 km2
Unité urbaine Lyon
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Trévoux
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.mairie-trevoux.fr

Trévoux est une commune française située dans le département de l'Ain, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont les Trévoltiens et les Trévoltiennes[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La ville est construite sur les pentes raides d'un talus qui descend jusqu'à la rive gauche de la Saône.

Située dans le département de l'Ain, elle est limitrophe de celui du Rhône.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Vue sur la Saône a Trévoux.

La limite sud du territoire communal est formée par une courbe de la Saône.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bourgogne, vallée de la Saône » et « Nord-est du Massif Central »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 764 mm, avec 9,1 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Pommiers à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 778,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records POMMIERS (69) - alt : 315m, lat : 45°57'25"N, lon : 4°41'39"E
Records établis sur la période du 01-04-1987 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1 1,4 4,3 7 10,7 14,3 16,2 15,9 12,3 9 4,6 1,7 8,2
Température moyenne (°C) 3,7 4,9 8,8 12 15,9 19,8 22 21,7 17,4 13 7,6 4,3 12,6
Température maximale moyenne (°C) 6,4 8,4 13,4 17 21,2 25,3 27,7 27,5 22,6 16,9 10,6 6,9 17
Record de froid (°C)
date du record
−11,5
04.01.1993
−12,9
05.02.12
−10,3
01.03.05
−3,9
08.04.03
0,3
05.05.1991
5,6
04.06.01
8
17.07.00
7,2
30.08.1998
3,5
30.09.1995
−3,6
30.10.1997
−9,1
23.11.1998
−11
30.12.1996
−12,9
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
17,8
10.01.15
21,3
24.02.1990
25
22.03.1990
29,4
25.04.07
33,5
25.05.09
38
22.06.03
40,5
31.07.20
40,1
07.08.15
34
14.09.20
28
04.10.11
22,6
03.11.05
19,5
16.12.1989
40,5
2020
Précipitations (mm) 47,3 38,1 45,3 58,4 73,4 70,3 76,3 72,8 70,4 86,2 85,3 54,2 778
Source : « Fiche 69156001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Trévoux est une commune urbaine[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[11] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (63 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (50,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (50,4 %), terres arables (24,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (12,6 %), eaux continentales[Note 3] (7,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %)[16].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 3 334, alors qu'il était de 3 021 en 2013 et de 2 894 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 89,7 % étaient des résidences principales, 1,5 % des résidences secondaires et 8,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 44,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 55,4 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Trévoux en 2018 en comparaison avec celle de l'Ain et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,5 %) inférieure à celle du département (5,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 48 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (47,8 % en 2013), contre 62,4 % pour l'Ain et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Trévoux en 2018.
Typologie Trévoux[I 1] Ain[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 89,7 86,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,5 5,5 9,7
Logements vacants (en %) 8,9 8,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le principal axe routier de Trévoux est l'ex-RN 433 (devenue RD 933) qui traverse le département de Sermoyer au nord à Massieux au sud.

La ville est située à proximité des autoroutes A6 et A46.

Trévoux est desservie par les lignes A13, A19, A84 et A85 des cars de l'Ain.

Les gares SNCF les plus proches sont celles d'Anse et de Quincieux.

Toponymie[modifier | modifier le code]

« Trévoux » est un toponyme d'origine francoprovençale, qui dérive peut être du latin trivium (trois voies), ou de trois voltes (méandres) de la Saône.

Le x final ne se prononce pas. Les toponymes francoprovençaux transcrits sous une forme francisée comportent un x terminal s'ils étaient accentués sur la dernière syllabe (exemple : Chamonix) et un z s'ils étaient accentués sur la syllabe précédente (exemple : La Clusaz).

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 843, le traité de Verdun partage l'empire de Charlemagne. La Saône matérialisera la frontière entre le Royaume de France et l'Empire, où se situe Trévoux. C'est à cette situation frontalière que Trévoux devra son statut politique particulier.

À partir du XIIIe siècle, le péage fluvial établi à Trévoux prend de l'importance, et la ville se dote d'un château fort et d'une enceinte.

Trévoux (Trevos au XIe siècle) appartient du XIIe au XIVe siècle aux sires de Thoire-Villars, dont le dernier, Humbert VII, vend le fief en 1402 à Louis II de Bourbon, qui vient de recevoir les biens et titres d'Édouard II de Beaujeu. La réunion de ses terres constitue alors la souveraineté de Dombes dont Trévoux est la capitale.

C'est en 1308, des environs de Trévoux, que le Dauphin de Viennois assiège pendant huit jours le château de Beauregard (Beauregard)[17].

En 1475, Pierre II de Bourbon (1438-1503) obtient en apanage de son frère Jehan le comté de Clermont, la seigneurie de Beaujolais et la principauté de la Dombes, où il met en place une puissante organisation administrative qui comprend douze châtellenies, dont Trévoux[Note 4].

Un atelier monétaire fonctionna à Trévoux sous la maison de Bourbon et les princes usufruitiers. On suppose que c'est dans le périmètre de la maison des Sires de Villars que s'était installé, à partir de 1414, le premier atelier de fabrication de la monnaie.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Gravure de 1900 représentant deux époques de la ville de Trévoux.
Vues de Trévoux en 1696 et 1900.
Église collégiale de Trévoux avant 1789.

La Dombes demeure la propriété des ducs de Bourbon jusqu'en 1523, date à laquelle le roi François Ier confisque les possessions du connétable de Bourbon pour trahison. Bien que la Dombes soit fief d'Empire et donc hors du royaume, Trévoux est annexé avec le reste des terres des Bourbon. Le roi institue un gouverneur et un parlement. En 1560, au terme d'une transaction entre Charles IX et Louise de Montpensier, sœur du connétable, la Dombes et Trévoux sont restitués aux Bourbon-Montpensier.

À la fin du XVIIe siècle, deux grands princes souverains, Anne-Marie-Louise d'Orléans, dite la Grande Mademoiselle, et son successeur Louis-Auguste de Bourbon, duc du Maine, font édifier deux monuments qui marquent encore aujourd'hui le paysage trévoltien : l'hôpital Montpensier et le palais du Parlement de Dombes.

C'est également à Trévoux qu'un bailliage puis, à partir de 1697, une juridiction d'appel sont mis en place.

Trévoux est aussi aux XVIIe et XVIIIe siècles un centre intellectuel. Son statut d'extraterritorialité attire des libraires et imprimeurs désireux de pouvoir exercer sans trop craindre la censure.

L'imprimerie de Trévoux, fondée en 1603, devient célèbre sous le règne de Louis XIV. Ses directeurs fondent une Académie, dite Société de Trévoux, qui publie les Mémoires pour l'histoire des Sciences et des Beaux-arts, plus communément appelés Journal de Trévoux. Paru entre 1701 et 1775, ce recueil littéraire est fondé et dirigé par des auteurs, pour l'essentiel jésuites parisiens, qui entretiennent par leurs articles philosophiques une longue polémique avec Voltaire et qui combattent violemment les encyclopédistes entre 1745 et 1762[18]. Ils publient également les Mémoires de Trévoux et le Dictionnaire de Trévoux, un des premiers en langue française, qui constitue aujourd'hui encore un ouvrage de référence recherché par les bibliophiles.

Trévoux est aussi connu pour le tréfilage (l'étirage) des métaux précieux, notamment les fils d'or et d'argent utilisés dans l'industrie de la soie lyonnaise. Grâce à son statut particulier, les tireurs d'or qui y viennent pour étirer les fils n'ont pas à payer la taxe sur l'argue royale (machine permettant d'étirer les fils) de Lyon.

L'église de Trévoux construite au XIVe siècle est érigée en collégiale par une bulle d'Adrien VI en 1523[19].

En 1762, la souveraineté de Dombes est définitivement rattachée au royaume de France et perd ses avantages fiscaux et ses particularismes.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1790, à la Révolution, Trévoux devient une commune du département de l'Ain et le chef-lieu d'un district avec quatre cantons.

Le Premier Empire lui donne le rang de sous-préfecture avec une juridiction étendue, jusqu'en 1926 sur sept cantons et cent onze communes.

XIXe siècle
La ville fut desservie par les tramways de l'Ain et leur ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique pour Jassans et Bourg-en-Bresse, qui fonctionna de 1897 à 1936. La ville fut également reliée à Lyon de 1882 à 1938, par la Ligne de Lyon-Croix-Rousse à Trévoux.

Trévoux conserve néanmoins son industrie de l'étirage d'or et d'argent et devient progressivement la capitale mondiale de la fabrication, non plus du produit mais de l'outil, la filière. En 1865, un ouvrier de Trévoux parvient à percer le diamant, le matériau le plus dur connu. L'industrie trévoltienne de la filière en diamant est florissante au XIXe siècle avant de décliner à nouveau avec les progrès techniques, notamment le perçage par laser.

XXe siècle

La ville est une sous-préfecture de l'Ain jusqu'en 1926. De la fin du XIXe siècle jusque dans les années 1950, Trévoux sera un centre important de traitement du diamant.

Lors de la rafle du , quarante-six juifs résidant à Trévoux sont arrêtés parce que juifs et internés à l'école Bichat à Bourg-en-Bresse. René Nodot, délégué du service social des étrangers pour l’Ain et le Jura, réussira à sauver de la déportation plusieurs d'entre eux.

Les Juifs de Trévoux[modifier | modifier le code]

Manuscrit hébreu 114 de la Bibliothèque nationale de France. Les dernières pages indiquent que le manuscrit a été vocalisé par Néthanel de Trévot (Trévoux). Vers 1470-1480.

La ville de Trévoux, capitale du pays de Dombes, a été longuement pourvue d'une synagogue après que les Juifs eurent été chassés des terres de France. Le , le seigneur du lieu permet aux Juifs de continuer à étudier le Talmud comme ils ont accoustumé le temps passé, contrairement à la décision prise à Chambéry en janvier 1417 où les livres des Juifs avaient été saisis, condamnés et brûlés.

Henri de Villars, archevêque de Lyon et seigneur de Trévoux, avait stipulé dans la charte qu'il avait donnée à cette ville en 1300 qu'aucun juif ne devrait être autorisé à s'y installer. Un certain nombre de juifs néanmoins avaient obtenu la permission de s'y établir, moyennant le paiement d'une taxe annuelle de 15 livres.

Bannis de Lyon en 1420, les juifs s'établirent à Trévoux et y formèrent de puissantes confréries, s'occupant principalement de l'étirage de l'or et de l'argent[20]. En 1425, ils furent obligés de contribuer largement à l'emprunt forcé que la ville a dû faire pour la duchesse de Bourbon. Les juifs qui travaillaient l'or et l'argent étaient autorisés à battre monnaie et les gravures étaient fort belles et la frappe était considérable. Lyon ne faisait presque point de lingots pour le trait d'argent, tout venait de Trévoux. Cette industrie faisait vivre à Trévoux plus de 500 personnes qui produisaient jusqu’à 6 000 lingots d'or et pour 160 000 marcs de trait d'argent. Cette industrie était à coup sûr la plus florissante de la ville.

En l'an 1429, les habitants catholiques, jaloux de la prospérité commerciale des juifs, se plaignent à madame Marie de Berry, duchesse de Bourbonnais et dame souveraine des Dombes, et à monsieur Amé de Thalaru archevêque de Lyon, leur prélat, de superstitions que véhiculeraient les juifs dans leurs livres et qui contiendraient des blasphèmes contre la religion chrétienne.

À la demande de l'archevêque, la duchesse de Bourbon a ordonné une enquête, qu'elle a confiée à maître Jean Reux, juge ordinaire du Beaujolais et à maître Jean Namy. juge d'appel du Beaujolais, Jean Chalon, licencié en droit, et à Aymie de Chambéry, juif converti au catholicisme, qui a été chargé d'inspecter les livres hébreux et de traduire les passages répréhensibles. Des perquisitions sont menées. Les livres ayant trait au Talmud sont mis sous clef et les juifs sont sommés de payer chacun vingt-cinq marcs d'argent et de dire vérité sur ce qui leur serait demandé. Un procès fut fait et rapporté au conseil de Madame de Bourbon et il fut fait ordonné aux juifs de quitter la ville de Trévoux. Ainsi furent chassés en 1429 les juifs de la ville de Trévoux et de Dombes[21]. Trois ans plus tard, quelques-uns d'entre eux rentrèrent, mais ils furent de nouveau chassés en 1467, et il y eut une autre expulsion en 1488. Un certain nombre de ces juifs a ensuite pris le nom de «Trabot» ou «Traboto», indiquant leur lieu d'origine[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune, qui avait été chef-lieu de l'arrondissement de Trévoux, est depuis 1926 située dans l'arrondissement de Bourg-en-Bresse du département de l'Ain (département)[23].

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Trévoux[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Trévoux

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Ain[25]..

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Maricourt était le siège de la communauté de communes Saône Vallée, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour créer, le , la communauté de communes Dombes Saône Vallée dont Trévoux est toujours le siège. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[26].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Compte tenu de sa population, le conseil municipal de la ville de Trévoux compte 29 membres, dont le maire et ses adjoints[27].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Au premier tour des élections municipales de 2014 dans l'Ain, la liste DVG menée par le maire sortant Michel Raymond est battue par celle DVD menée par Marc Péchoux, la première obtenant (1 100 voix, 44,19 %) étant devancée par la seconde 1 389 voix (55,81 %) lors d'un scrutin marqué par 37,81 % d'abstention[28]

Au premier tour des élections municipales de 2020 dans l'Ain, la liste (DVD) menée par le maire sortant Marc Péchoux obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 040 voix (53,25 %), devançant celle (DVG) menée par Patrick Charrondiere (913 voix, 46,75 %), lors d'un scrutin marqué par 46,75 % d'abstention[28]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1870 1874 Johannès Erhard Valentin-Smith    
1874 1876 Louis Valentin-Smith    
1876 1881 Claude Marie Diot    
1881 1881 Donat Bollet[29]   Médecin
1881 1883 François Guillot Républicain Conseiller général de Trévoux (1871 → 1883)
1884 1887 Claude Marie Diot    
1887 1901 Donat Bollet[29]   Médecin
Conseiller général de Trévoux (1889 → 1923)
1901 1904 Michel Baratier    
1904 1912 Donat Bollet[29] Républicain démocrate Médecin
Député de l'Ain (1908 → 1912)
Sénateur de l'Ain (1912 → 1923)
Conseiller général de Trévoux (1889 → 1923)
1912 1925 Jules Passaquay Radical Conseiller d'arrondissement
conseiller général de Trévoux (1923 → 1928)
1925 1930 Léon Marie Pey    
1930 1933 Antoine Gallet[30] Rad. ind. Conseiller général de Trévoux (1928 → 1940)
Député de l'Ain (1936 → 1940)
1933 1936 Georges André-Fribourg[31] Radical Professeur agrégé d'histoire
Député de l'Ain (1919 → 1928, 1932 → 1936)
1936 1937 Pierre Molliard    
décembre 1937 1941 Gustave Clavez SFIO  
janvier 1941 1944 Émile Dubuis RPCD Avocat
novembre 1944 1947 Gustave Clavez SFIO Conseiller général de Trévoux (1945 → 1949)
novembre 1947 1971 Émile Dubuis MRP Avocat
Député de l'Ain (3e circ.) (1958 → 1967)
Conseiller général de Trévoux (1949 → 1970)
1971 1989 Michel Vittori UDR puis RPR Comptable, membre du Conseil Économique et Social
Conseiller général de Trévoux (1970 → 1976)
Député-suppléant de Guy de La Verpillière
1989 mars 2014[32],[33] Michel Raymond PS puis DVG Enarque, Inspecteur général des affaires sociales[Note 5]
Président de la CC Saône Vallée (1992 → 2013)
Président de la CC Dombes Saône Vallée (2014 → 2014)
Conseiller régional de Rhône-Alpes (2004 → 2010 et 2011 → 2015)
Président du Parc naturel régional de la Dombes (2013 → ? )
mars 2014[34] En cours
(au 12 novembre 2020)
Marc Péchoux DVD-LR Fonctionnaire
Conseiller départemental de Trévoux (2015 → )
Président de la CC Dombes Saône Vallée (2020 → )
Président l’association des maires de l’Ain (2019 → 2020[35])
Réélu pour le mandat 2020-2026[36]

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune de Trévoux bénéficie du label « ville fleurie » avec « deux fleurs » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[37].

Jumelage[modifier | modifier le code]

La ville est jumelée avec Ribeira de Pena (Portugal)[38].

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 2015, Trévoux dispose de deux complexes écoles maternelles et élémentaires publiques les Corbettes et Poyat ; d'un collège public Jean-Moulin ; d'un complexe école maternelle, primaire et collège privés La Sidoine, d'un lycée général et technologique du Val-de-Saône, et un ITEP (Institut thérapeutique, éducatif et pédagogique) associatif, Arc-en-Ciel.[39]

Santé[modifier | modifier le code]

En 2012, l'hôpital de Trévoux fait partie de la communauté hospitalière de territoire de l'hôpital Nord-Ouest[40].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].

En 2021, la commune comptait 6 947 habitants[Note 6], en augmentation de 2,64 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 6562 5302 7173 0162 5562 5592 6842 5323 071
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 7492 7942 8632 6552 8892 6982 6612 6872 662
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 8212 6243 0722 9413 1223 0933 0042 9613 229
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
3 5944 2314 5834 9826 0926 3926 8526 8126 746
2014 2019 2021 - - - - - -
6 7026 9206 947------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un cinéma et une médiathèque.

La pratique et l’enseignement de la musique sont assurés par l’association Harmonie[44] de Trévoux. Cet orchestre d’harmonie, composé de plus de 50 musiciens est actif sur la commune depuis 200 ans[45] et gère une école de musique de 240 élèves.

Sports[modifier | modifier le code]

  • Un club de football est basé à Trévoux : l'AS Misérieux Trévoux. On peut également citer le club de tennis de table, le Saône Vallée TT. Signalons également le club de rugby "Rugby-Trévoux-Chatillon" issu d'une entente entre les clubs de Trévoux et de Châtillon-sur-Chalaronne. Et la ville compte désormais un club de handball. Elle possède un club de pétanque.
  • Présence de la piscine d'été Les cascades.

Économie[modifier | modifier le code]

À Trévoux se trouve le siège de l'entreprise Tubesca-Comabi, spécialisée dans la fabrication et la commercialisation de solutions d’accès, de travail et de protection en hauteur.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Ruelle Cassecou, au pavage en galets.
Le château et les vestiges du donjon.
Palais du Parlement à Trévoux.

Le centre-ville comporte plusieurs bâtiments (hôpital, ancien Parlement, etc.) et hôtels particuliers des XVIIe – XVIIIe siècles. L'ensemble est dominé par les ruines d'un château fort probablement du tout début du XIVe siècle. À proximité du château se trouvent les restes d'une ancienne porte des fortifications.

  • Le château de Trévoux est situé au sommet de la côtière des Dombes, dominant le bourg et la vallée de la Saône. Il conserve un grand donjon octogonal, haut à l'origine de 28 m et abaissé à 17 m en 1793, de la fin du XIIIe siècle, aux assises alternées de pierres blanches et dorées, ainsi que deux autres tours, datant des années 1350-1360, associées à la tour maîtresse par des courtines constituant la haute-cour du château.
Le château est fondé par les sires de Thoire-Villars afin de protéger un péage que l'empereur germanique Henri VI leur confirme en 1188. En 1243, ils en font hommage à l'Église de Lyon.
Vendu aux Bourbons, en 1410 le duc Jean de Bourbon y établit un atelier monétaire. En 1431, le château résiste à tous les efforts des alliés de Savoie mais la ville est mise à sac et les habitants rançonnés : aux chrétiens qui ne purent se racheter au prix et dans les délais fixés on arracha une dent, aux juifs deux et, de plus, on leur coupa une partie de l'oreille[46].
Le château est ensuite confisqué par François Ier, puis abandonné, et se dégrade jusqu'à son rachat en 1822 par le département.
Outre l'important vestige historique et archéologique qu'il constitue, il permet de profiter d'un panorama sur le val de la Saône, la Dombes, le Beaujolais et les Monts d'Or.
  • L'ancien Palais du parlement de Dombes, avec des décors de la salle d'audience sur le thème de la Justice et de la Paix.
  • L'Hôtel de Fontbleins [47] construit après l'arrêté de 1696 par Balthazar Murgier de Fontbleins et son fils Louis, chevalier, capitaine du régiment de Boulonnais et tous deux conseillers au parlement de Dombes, date qui marque le transfert du siège du parlement à Trévoux, avec obligation pour les magistrats de résider dans la cité. L'édit royal est à l'origine de l'expansion de la ville vers l'est.
  • Le château du Roquet inscrit à l'IGPC[48].
  • Le château de Corcelles.
  • Le château de Fétan.
  • L'apothicairerie de l'hôpital Montpensier : au sein de l'ancien Hôtel Dieu, l'apothicairerie de Trévoux présente au visiteur des boiseries et une collection de pots inscrits à l'inventaire complémentaire des monuments historiques.
  • L'Hôtel du gouverneur des Dombes.
  • La maison Anginieur.
  • La maison Guerrier.
  • La maison des Sires de Villars.
Église, partie arrière, abside et transept.

L'église Saint-Symphorien de style néo-roman a été construite sur le côté est de la place où se trouve le Parlement. Son édification sur l'emplacement de l'ancienne église-forteresse qui défendait la Porte de Lyon, a été réalisée entre 1899 et 1905, sur un terrain en pente. Du fait de ce terrain, elle a coûté plus cher que prévu pour pouvoir stabiliser les fondations. Inachevée, elle ne possède pas de clocher, et ses cloches sont abritées dans l'édicule en bois au flanc du bâtiment. De plus elle est orientée en sens inverse des églises catholiques classiques avec une entrée à l'est et un chevet à l'ouest toujours à cause du terrain fort pentu.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Exposition[modifier | modifier le code]

Filière en diamant.

Une exposition permanente sur la fabrication des filières en diamant, dont Trévoux a été la capitale mondiale[50] jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, est visible à l'office de tourisme de Trévoux Saône Vallée. L'exposition s'inscrit dans le cadre d'une maison bâtie à la Renaissance qui comporte encore des éléments architecturaux des XVe, XVIe et XVIIIe siècles.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Trévoux Blason
D'or à la tour couverte de gueules ouverte, ajourée et maçonnée de sable, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys du champ, chacune senestrée, en pointe, d'un bâton péri aussi de gueules en bande[51].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jolibois, Histoire de la ville et du canton de Trévoux, Lyon, 1853.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. La châtellenie de Trévoux comprenait : Balmont, Fetan, Fourquevaux, Mâchard, Massieux, La Montluéde, Parcieux, Pouilleux, Reyrieux, Le Roquet, La Sidoine, Tanay, Toussieux, Trévoux.
  5. Michel Raymond, inspecteur général des affaires sociales, a occupé différentes fonctions de responsabilité aux ministères des affaires sociales et de l'Outre-Mer, notamment collaborateurs de plusieurs ministres, puis délégué interministériel adjoint au RMI (1988 à 1996
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Trévoux » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Trévoux - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Trévoux - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ain » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé de la commune, sur habitants.fr
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Trévoux et Pommiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pommiers », sur la commune de Pommiers - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pommiers », sur la commune de Pommiers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Alain Kersuzan, Défendre la Bresse et le Bugey - Les châteaux savoyards dans la guerre contre le Dauphiné (1282 - 1355), collection Histoire et Archéologie médiévales no 14, Presses universitaires de Lyon, Lyon, 2005, (ISBN 2-7297-0762-X), p. 40.
  18. Article sur la polémique avec Diderot.
  19. Pierre Lenail, Le Parlement de Dombes, Lyon 1523 à 1696 - Trévoux 1697 à 1771, Bernoux & Cumin (éds), Lyon, 1900, page 87.
  20. Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937
  21. Guillaume Paradin, Mémoire de l'histoire de Lyon, chapitre XCVIII.
  22. Steinschneider, Cat. Bodl. Col. 2052, a donné une liste qui a été complétée par Berliner (voir son Magazin, ii. 16, 96).
  23. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Trévoux », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  26. « communauté de communes Dombes Saône Vallée - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  27. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  28. a et b « Trévoux 01600 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
  29. a b et c « Donat, Auguste, Alexandre Bollet (1851-1923) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  30. « Antoine-Marius Gallet (1877-1958) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  31. « Georges, André, Alexandre André-Fribourg (1887-1948) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  32. « Trévoux : Michel Raymond, maire sortant, candidat pour un 5e mandat », La Voix de l'Ain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Premier magistrat depuis 1989, à l’issue de quatre mandats, Michel Raymond se dit plus que jamais motivé par le travail à accomplir ».
  33. « Michel Raymond est battu à Trévoux », La Voix de l'Ain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pour Marc Péchoux le Président de la Communauté de communes ne doit pas forcément être le Maire de la commune la plus importante. Avec la défaite de Michel Raymond se pose donc la question de la future Présidence de la nouvelle Communauté de communes Dombes Saône Vallée créée en ce début d'année. Et du devenir du projet de Parc Naturel Régional de la Dombes, un projet porté prioritairement par Michel Raymond, et qui ne faisait pas l'unanimité ».
  34. « Marc Pechoux succède à Michel Raymond au poste de maire : Municipales. Le nouveau conseil municipal a pris ses fonctions dimanche matin. Le maire et six adjoints ont été élus », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. A. M., « Maires de l’Ain : Marc Péchoux passe la main à Jean-Yves Flochon », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « Trévoux Marc Péchoux réélu maire », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  38. « Ribeira de Pena jumelée avec Trévoux - Jumelage - Associations - Culture, sport, associations - Mairie de Trévoux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur mairie-trevoux.fr (consulté le ).
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  40. « Trévoux Le centre hospitalier se développe en renforçant ses partenariats », sur leprogres.fr, .
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. « Harmonie de Trevoux Ecole de Musique de Trevoux », sur harmoniedetrevoux.free.fr (consulté le ).
  45. « L'Histoire », sur harmoniedetrevoux.free.fr (consulté le ).
  46. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 28 (cf. Trévoux).
  47. « Monument de Trévoux (01600) - Hôtel de parlementaire dit hôtel de Fontbleins, puis hôtel de voyageurs du Lion d'Or - Actuacity », sur actuacity.com (consulté le ).
  48. « Château du Roquet, puis centre socio-éducatif L'Arc-en-Ciel », notice no IA01000061, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. Myriam Everard, « Deux Hollandaises à Trévoux (1788-1797) : voyage d’agrément ou engagement politique ? », Genre & Histoire, no 9,‎ (ISSN 2102-5886, lire en ligne, consulté le ).
  50. « Filières en diamant de Trévoux - Patrimoine(s) de l'Ain », sur patrimoines.ain.fr (consulté le ).
  51. « Armes de Trévoux »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur labanquedublason2.com.