Siège de la Guadeloupe (1703)

Siège de la Guadeloupe

Informations générales
Date 1703
Lieu Guadeloupe, Indes occidentales
Issue Victoire française
Échec du siège
Belligérants
Drapeau du royaume de France Royaume de France Drapeau de l'Angleterre Royaume d'Angleterre
Commandants
Charles Auger Christopher Codrington

Guerre de Succession d'Espagne

Batailles

Campagnes de Flandre et du Rhin

Campagnes d'Italie

Campagnes d'Espagne et de Portugal

Campagnes de Hongrie

Antilles et Amérique du sud

Coordonnées 16° 15′ 00″ nord, 61° 34′ 59″ ouest
Géolocalisation sur la carte : Océan Atlantique
(Voir situation sur carte : Océan Atlantique)
Siège de la Guadeloupe
Géolocalisation sur la carte : Caraïbes
(Voir situation sur carte : Caraïbes)
Siège de la Guadeloupe
Géolocalisation sur la carte : Guadeloupe
(Voir situation sur carte : Guadeloupe)
Siège de la Guadeloupe

Le siège de la Guadeloupe est une tentative avortée de capture de l'île française de la Guadeloupe en 1703 par une force anglaise sous les ordres de Christopher Codrington, pendant la guerre de Succession d'Espagne.

Le 6 mars 1703, les anglais s'emparent de Marie-Galante pour y concentrer sa troupe afin d'attaquer la Guadeloupe. Le gouverneur Auger et Jean-Baptiste Labat[1] en sont informés. Ils forment la 1ère compagnie des nègres, regroupement d'habitants et de militaires, qu'ils regroupent au Fort de Basse-Terre. Le 18 mars, l'escadre anglaise se présente à la Pointe du Vieux-Fort[2].

La défense énergique du gouverneur de l'île, Charles Auger, l'arrivée de renforts en provenance de la Martinique et une pénurie de vivre contraignent les Anglais à lever le siège de l'île le 18 mai.

Pertes[modifier | modifier le code]

Le bourg de Baillif dont la Tour du Père-Labat fut détruit[3].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Annabelle Auberdon, « Archives d'Outre-mer : sur les traces du Père Labat, en Martinique et Guadeloupe », sur La 1ère France TV Info, (consulté le )
  2. « Histoire de sucrerie », sur Marie-Galante Terre d'histoire (consulté le )
  3. « Baillif, une ville riche en histoire », sur Ville Baillif (consulté le )

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]