Saint-Vallier-de-Thiey

Saint-Vallier-de-Thiey
Saint-Vallier-de-Thiey
Blason de Saint-Vallier-de-Thiey
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Grasse
Maire
Mandat
Jean-Marc Delia
2020-2026
Code postal 06460
Code commune 06130
Démographie
Gentilé Vallerois
Population
municipale
3 667 hab. (2021 en augmentation de 4 % par rapport à 2015)
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 41′ 59″ nord, 6° 50′ 54″ est
Altitude Min. 460 m
Max. 1 485 m
Superficie 50,68 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Grasse-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Vallier-de-Thiey est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Vallerois. Par décret du , Journal officiel du avec effet au , Saint-Vallier devient Saint-Vallier-de-Thiey.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Entre Alpes et mer (altitude 730 m) sur la route Napoléon (RN 85), au centre d’une région touristique, 29 km de Cannes, 12 km de Grasse (la cité des Parfums), 50 km de Nice et de son aéroport international.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Andon, Le Bar-sur-Loup, Cabris, Caussols, Escragnolles, Grasse, Saint-Cézaire-sur-Siagne et Spéracèdes.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L’ensemble des massifs boisés remarquables, aux points de vue environnemental et paysager, sont couverts par des espaces boisés classés au titre du L.130-1 du Code de l’Urbanisme[1].

Les principaux sommets environnants :

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située sur une zone de sismicité modérée[4].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[5] :

Saint-Vallier-de-Thiey dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 2500 Équivalent-habitants[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 075 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 3,6 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Caussols », sur la commune de Caussols à 6 km à vol d'oiseau[9], est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 271,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 32,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −11,7 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Commune desservie par la Route nationale 85 (France), route nationale 85 depuis Cannes, et la départementale D5 depuis Saint-Cézaire-sur-Siagne.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

La commune a adhéré au syndicat mixte de transports Sillages, autorité organisatrice pour les transports (AOT) pour le périmètre de transport urbain (PTU) de l’agglomération grassoise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté d'agglomération du Pays de Grasse.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Vallier-de-Thiey est une commune rurale[Note 2],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Vallier-de-Thiey, une unité urbaine monocommunale[17] de 3 594 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[22].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (16,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,6 %), zones urbanisées (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), prairies (2,2 %)[23].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Saint Vallier était évêque d'Antibes, il fut martyrisé au IVe siècle par les Wisigoths, lors de leur invasion de la Provence. Le Thiey est la montagne qui domine le village (1 452 m).

Place de l'Apiè, on peut voir le buste de Napoléon rappelant son passage le à son retour de l'île d'Elbe, ainsi que le banc sur lequel il s'est assis.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Budget et fiscalité 2016[modifier | modifier le code]

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :

  • total des produits de fonctionnement : 3 708 000 , soit 1 031  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 3 676 000 , soit 1 022  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 2 805 000 , soit 780  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 1 082 000 , soit 301  par habitant ;
  • endettement : 4 093 000 , soit 1 138  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 13,56 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,81 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 71,58 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 128 [25].

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

L'agriculture, à la base de l’économie locale jusque dans les années 1950, était devenue progressivement un secteur en perte de vitesse. Le PLU s'est attaché d'une part à développer les filières agricoles en protégeant leurs emprises foncières productives en tant que premier soutien aux filières locales de production, dites de circuit court, et d'autre part à accompagner le développement du maraîchage et des truffières. Favoriser toutes les initiatives de commercialisation de l'agriculture de proximité (marché paysan, labellisation locale...).

Parallèlement, le Parc naturel régional des Préalpes d'Azur a organisé un concours « prairies fleuries » pour valoriser les pratiques agricoles[26].

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Hôtels & restaurants,
  • Camping[27].

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Marché Provençal le dimanche dans le Grand Pré.
  • Marchés artisanaux nocturnes en juillet et en août.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
vers 1885   Gaston Court de Fontmichel
(1849-1916)
Républicain Conseiller général de Grasse (1892 → 1898)
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1959 mars 1965 Nicolas Lombard    
mars 1965 1973
(démission)
Jacques Biget SFIO
puis FGDS
Haut fonctionnaire
1973 juin 1995 Émile Félix[29]
(1913-2009)
  Instituteur puis directeur d'école de plein air
juin 1995 mars 2001 Maurice Gustave    
mars 2001 mars 2008 Richard Joy    
mars 2008 En cours Jean-Marc Delia[30] DVD
NC/LC
Directeur informatique
Conseiller général de Saint-Vallier-de-Thiey (2011 → 2015)
1er vice-président de la CA du Pays de Grasse[31]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 3 667 habitants[Note 3], en augmentation de 4 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
538518531601609580576594606
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
593588539501533508509534521
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
529511426311371339329355312
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
3815055759121 5362 2613 0313 1423 478
2017 2021 - - - - - - -
3 5943 667-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[36] :

  • Écoles maternelles et primaires[37],
  • Collège,
  • Lycées à Grasse.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[38] :

  • Maison de Santé Pluridisciplinaire :
    • Médecins, Spécialistes, Dentistes, Echographiste, etc.
  • Pharmacies,
  • Hôpital à Grasse.

Cultes[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Chapelle Saint-Esprit.
Castellaras de la Malle.
« Cabane romaine » de La Gardette.
Patrimoine religieux
  • Église Notre-Dame de l'Assomption : nef du XIIIe siècle de cinq travées ; collatéral de trois travées des XVIe et XVIIe siècles ; clocher du XVIIIe siècle, campanile du XIXe siècle.
  • Chapelle Sainte-Luce : construite en 1562 elle abrite un puits de réputation miraculeuse contre les maux des yeux[40].
  • Chapelle Saint-Esprit : construite en 1635 par les pénitents blancs, elle est vouée à Notre-Dame-de-la-Rouguière[41].
  • Chapelle Sainte Brigitte, monument aux Morts[42] depuis 1925.
  • Chapelle Saint-Pons.
  • Monuments commémoratifs :
    • Tombe du « Grognard » de 1850[43],
    • Monument aux morts[44],[45],
    • Plaque commémorative[46].
Autres lieux et monuments
  • Castellaras de la Malle[47],[48],[49].
  • Bastide d'Arbouin[50].
  • Grand Pré[51].
  • Route Napoléon.
  • Les Mauvans[52].
  • Pierre druidique : curiosité naturelle constituée d'une dalle en équilibre instable sur un autre bloc aux formes tourmentées.
  • Grotte de Baume Obscure[53] : ce véritable réseau souterrain n'a été mis en évidence qu'en 1958 à cause des longs et étroits boyaux d'accès aux salles qui découragèrent les premiers spéléologues. Sur une longueur totale de 1 500 m, la visite ne s'étend que sur un parcours de 700 m, mais descend à 60 m de profondeur. Après un long corridor, à l'origine comblé d'argile, le visiteur découvre dans les neuf salles successives les vastes dômes, les gours cascadants et des multitudes de stalactites filiformes, véritable forêt d'aiguilles parsemant les plafonds. Dans la salle des gours, on admire la couleur particulière de l'eau, mise en valeur par un éclairage approprié, et le sol constitué d'une gigantesque coulée de stalagmite.
  • Grotte des Audides[54] : la grotte était habitée dès l'aube de l'humanité comme l'attestent les outils taillés, fossiles et ossements retrouvés. Six gouffres ont été découverts en 1988. Sur 60 mètres de profondeur - le tiers de ce qui a été exploré -, on y observe le paysage géologique d'un aven en pleine activité de concrétionnement, avec son cours d'eau souterrain.
  • Les cabanes en pierre sèche, anciennement à usage agricole. Le cadastre napoléonien de la commune les désigne sous le même nom – bastidon –, qu'elles soient à voûte d'encorbellement ou à toit de tuiles canal sur chevrons. Le tourisme les pare du nom de bories[55]. Un exemple des plus remarquables est la « cabane romaine », au parement formé d'assises de pierres taillées assemblées à joints vifs[56].
  • Ponadieu : pont naturel résultant du dépôt calcaire d’une source disparue.
  • Dolmen de Verdoline[57], dolmen du Dégoutay, tumuli de la Colle et du Caillassou.
Patrimoine civil
  • Centre radioélectrique du Doublier.
  • ZAC du Pilon : arômes et entreprises diverses.
  • Centre de secours.
  • Centre de formation de jeunes sapeurs pompiers.

Associations et activités[modifier | modifier le code]

Une trentaine d'associations et d'activités sont proposées :

  • Associations sportives : foot, tennis, V.T.T., chasse, boules, randonnées pédestres, spéléologie, équitation, cricket, parapente, etc.
  • Associations culturelles et artistiques : Club des ainés ruraux, Associations de Protection de l'environnement, chorale...
  • Association pour le patrimoine et le maintien des traditions du village[58].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Vallier-de-Thiey Blason
D’argent à saint Vallier, évêque, de carnation bénissant de la main dextre, habillé d’une aube du champ, la chape d’azur doublée de gueules, la mitre aussi d’azur bordée d’or, tenant de la main senestre une crosse du même[59].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • César Ossola, conseiller général de Saint-Vallier, député
  • Jean Ossola, député, ministre, mort accidentellement à Saint-Vallier
  • Napoléon Bonaparte

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Rapport de présentation du PLU : Les choix relatifs à l'environnement et au cadre de vie, page 132
  2. Sommet de Thiey
  3. ZNIEFF Continentale de type 1
  4. Didacticiel de la règlementation parasismique
  5. L'eau dans la commune
  6. Description de la station
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Saint-Vallier-de-Thiey et Caussols », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Caussols », sur la commune de Caussols - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Caussols », sur la commune de Caussols - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Saint-Vallier-de-Thiey », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. Rapport de présentation du PLU
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  24. Les comptes de la commune
  25. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  26. Un concours pour valoriser les pratiques agricoles : le concours prairies fleuries
  27. Camping Le Parc des Arboins
  28. Les maires de Saint-Vallier-de-Thiey, sur Geneawiki
  29. Jackie Dieren, « Le maire honoraire Émile Félix n'est plus », sur grasse.maville.com, Nice-Matin, (consulté le ).
  30. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes (consulté le 20 juin 2008).
  31. [1]
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Établissements d'enseignements
  37. École maternelle et élémentaire
  38. Professionnels et établissements de santé
  39. Paroisse Sainte-Marie des Sources
  40. La Chapelle Sainte Luce
  41. Inventaire du patrimoine religieux
  42. Description
  43. La tombe du Grognard au cimetière
  44. Monument aux Morts
  45. Monument aux Morts, Conflits commémorés : 1914-1918 et 1939-1945
  46. Plaque commémorative, Conflits commémorés 1914-1918 et 1939-1945
  47. « Camp dit Castellaras de la Malle, antiquité », notice no PA00080851, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  48. Paul Sénéquier, Anciens camps retranchés des environs de Grasse, dans Annales de la Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes, 1877, tome 4, p. 141-151 (lire en ligne, et carte des environs de Cannes (voir), plan du castellaras de Malle (voir)
  49. Paul Sénéquier, Anciens camps retranchés des environs de Grasse, dans Annales de la Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes, 1881, tome 7, p. 158-166 (lire en ligne)
  50. « Bastide d'Arbouin », notice no PA00080850, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  51. Village construit au bord d'un grand pré
  52. Notice no PA00080947, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  53. Grotte de la Baume obscure : le Souterroscope
  54. Grottes des Audides parc préhistorique
  55. Réalisations remarquables en pierre sèche : Borie de la Gardette, Borie des Croutils
  56. Une belle ruine : la « cabane romaine » au lieu-dit La Gardette à Saint-Vallier-de-Thiey (Alpes-Maritimes), pierreseche.com, 14 juin 2003.
  57. archeoprovence.
  58. Pastorale & patrimoine
  59. Dominique Cureau, « Terres de Siagne : Saint-Vallier-de-Thiey », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Denis Allemand et Catherine Ungar, La commune de Saint-Vallier-de-Thiey (Alpes-Maritimes), un exemple d'habitat dispersé, in Bastides, bories, hameaux. L'habitat dispersé en Provence, Actes des 2es journées d'histoire régionale de Mouans-Sartoux, 1985, C.A.C.O., 1986, pp. 97–111
  • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
    Saint-Vallier-de-Thiey : Reste de l'enceinte urbaine, Cavagne, p. 1093
  • Bibliographie concernant la commune
  • Daniel Thiéry, Le terroir du Ferrier, commune de Saint-Vallier-de-Thiey (Alpes-Maritimes). Étude des constructions en pierre sèche. 1re partie : étude générale, in Mémoires de l'Institut de préhistoire et d'archéologie des Alpes-Maritimes, t. 32, 1990, pp. 71–87
  • Daniel Thiéry, Le terroir du Ferrier, commune de Saint-Vallier-de-Thiey (Alpes-Maritimes). Étude des constructions en pierre sèche. 2e partie : étude détaillée des constructions, in Mémoires de l'Institut de préhistoire et d'archéologie des Alpes-Maritimes, t. 33, 1991, pp. 59–94
  • Daniel Thiéry, La pierre sèche et le milieu rural dans les textes anciens. Communes de Saint-Vallier et de Saint-Cézaire (Alpes-Maritimes), in Mémoires de l'institut de préhistoire et d'archéologie des Alpes-Maritimes, 1992, t. 34, pp. 3–16
  • Daniel Thiéry, Les 539 clots entourés de muraille de pierre sèche d'après le « rapport sur les clots » de 16653-1655. Dénomination et fonction des constructions en pierre sèche de 1653 à 1817. Saint-Vallier-de-Thiey (Alpes-Maritimes), in Pierre Sèche, La Lettre du CERAV, No 11 ()
  • Daniel Thiéry, Les pierres dressées de Sembre Parri à Saint-Vallier-de-Thiey (Alpes-Maritimes), in L'Architecture vernaculaire, t. 22, 1998
  • Marguerite Hottua, "ROBUR" - 2017
  • Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Menton à Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)
    Saint-Vallier-de-Thiey, p. 890-896
  • "Robur", roman sur l'histoire du village à travers le temps par Marguerite Hottua : https://robur-livre.jimdo.com/
  • Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
  • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
  • Cavités souterraines naturelles : * PACAA2001654 Aven des Goures; * PACAA2001604 Baume des Bramafan; * PACAA2001743 Embut; * PACAA2001690 Aven Philippe N° 2; * PACAA2001606; * Trou des Caché; * PACAA2001659 * Aven des Gros Blocs; * PACAA2001704 Trou des Renards; * PACAA2001589 Aven Abel; * PACAA2001739 Aven; * PACAA2001611 Aven de Castel Abraham N° 2; * PACAA2001615 Aven Christian; * PACAA2001651 Aven de la Gardiore; * PACAA2001619 Aven du Col du Pilon; * PACAA2001669 Aven Lombard

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]