Saint-Louis-de-Montferrand

Saint-Louis-de-Montferrand
Saint-Louis-de-Montferrand
L'hôtel de ville (mars 2014).
Blason de Saint-Louis-de-Montferrand
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Bordeaux Métropole
Maire
Mandat
Josiane Zambon
2020-2026
Code postal 33440
Code commune 33434
Démographie
Gentilé Montferrandais
Population
municipale
2 144 hab. (2021 en diminution de 0,74 % par rapport à 2015)
Densité 199 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 57′ 12″ nord, 0° 32′ 01″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 5 m
Superficie 10,8 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Louis-de-Montferrand
(ville isolée)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Presqu'île
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web saintlouisdemontferrand.fr

Saint-Louis-de-Montferrand est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune de l'extrême nord de l'Entre-deux-Mers, dans la presqu'île formée par la confluence entre la Dordogne et la Garonne et sur la rive droite de celle-ci, Saint-Louis-de-Montferrand est également située au nord-est de l'aire d'attraction de Bordeaux, à 17 km au nord de Bordeaux, chef-lieu du département et d'arrondissement[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes en sont Ambès au nord, Ambarès-et-Lagrave à l'est et Bassens. Sur la rive gauche (ouest) de la Garonne se trouvent Blanquefort au sud-ouest, Parempuyre à l'ouest et Ludon-Médoc au nord-ouest.

Communes limitrophes de Saint-Louis-de-Montferrand[2]
Ludon-Médoc Ambès
               Parempuyre               La Garonne Saint-Louis-de-Montferrand Ambarès-et-Lagrave
Blanquefort Bassens

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 920 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gervais à 9,2 km à vol d'oiseau[6], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Louis-de-Montferrand est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Louis-de-Montferrand, une unité urbaine monocommunale[13] de 2 144 habitants en 2021, constituant une ville isolée[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (27,5 %), eaux continentales[Note 3] (26,2 %), prairies (24,1 %), zones urbanisées (12,1 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), cultures permanentes (3,4 %), forêts (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %), zones humides intérieures (0,2 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

Saint-Louis-de-Montferrand est desservi par 3 routes principales :

Réseau ferroviaire[modifier | modifier le code]

La ligne ferroviaire du Bec d'Ambès traverse la commune sans la desservir.
La gare SNCF la plus proche est celle de La Gorp (Ambarès-et-Lagrave).

Réseau Transports Bordeaux Métropole[modifier | modifier le code]

Saint-Louis-de-Montferrand est actuellement desservie par les lignes TBM suivantes :

  • (Bus) [[|50]] 90 [[|91]] [[|96]]

Dès le 4 septembre 2023[19], la commune sera desservie par les lignes suivantes :

  • (Bus) 29 - 53 - 61

Réseau TransGironde[modifier | modifier le code]

La commune n'est pas desservie.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Louis-de-Montferrand est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, et le risque industriel[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bordeaux, regroupant les 28 communes concernées par un risque de submersion marine ou de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[22]. Les crues significatives qui se sont produites au XXe siècle, avec plus de 6,70 m mesurés au marégraphe de Bordeaux sont celles du (7,05 m, débit de la Garonne de 700 m3/s), du (6,85 m, 1500 à 2 000 m3/s), du (6,84 m, 4 000 m3/s), du (6,77 m, 1 000 m3/s) et du (6,73 m, 2 700 m3/s). Au XXIe siècle, ce sont celles liées à la tempête Xynthia du (6,92 m, 816 m3/s) et du (6,9 m, 2500 à 3 000 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2010[24],[20].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Louis-de-Montferrand.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 84 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 783 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 783 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2005 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[27].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Dans la région de l'Entre-deux-Mers, existent plusieurs villages contenant le mot « Barès » : Ambarès-et-Lagrave et Sainte-Eulalie (qui fut d'Ambarès jusqu'à la fin du XIXe siècle) : est-ce là l'origine des Barès, seigneurs de Montferrand ? La terre de Montferrand (proche de Bassens) fut vendue en 1591 aux jurats de Bordeaux. Le premier nom des Montferrand était Barès : Amanieu de Barès, écuyer et seigneur de Montferrand, nom mentionné dans un acte passé à Bordeaux au palais de l'Ombrière le ou 1243.

En gascon, le nom de la commune est Sent Loís de Mont Ferrand.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le berceau de la famille de Montferrand était la Guyenne ; seigneurs, hauts-justiciers d'une des baronnies les plus importantes du Bordelais et, en cette qualité, admis aux premiers rangs de la noblesse ; on voit les aînés de cette maison, durant plusieurs générations, porter seuls le nom de Barès, suivi aussitôt du qualificatif de Montferrand. Les cadets ne retiennent que ce dernier nom. Mais depuis Bertrand II de Montferrand, allié en 1365 à Rose d'Albret, c'est-à-dire depuis le XIVe siècle, le nom de Barès disparaît pour faire entièrement place à celui de Montferrand. Les dignitaires qui nous sont connus sont les suivants :

  • Amaubin Ier de Barès, seigneur de Montferrand, sénéchal de Lannes, gouverneur du comté de Bigorre (1242-1271), marié à Gaillarde de Castillon.
  • Bertrand II de Montferrand (1354-1410) chevalier banneret allié à Rose d'Albret, fille d'Amanieu d'Albret, seigneur de Langoiran et de Podensac
  • Bertrand III de Montferrand (1409-1435), gouverneur de Marmande allié à Marguerite d'Astarac, puis à Isabeau de Preissac. Seigneur de Langoiran
  • Bertrand IV de Montferrand (1435-1474), conseiller, chambellan du duc de Guyenne et Seigneur de Langoiran, marié vers 1450 à Jeanne de Luxe.
  • Gaston Ier de Montferrand conseiller et chambellan du roi de France, gouverneur de Bourg, sénéchal de Bazadais (1471-1504), seigneur de Langoiran épousa Jeanne de Maingot de Surgères.
  • Pierre Ier de Montferrand (1513-1547) capitaine d'une compagnie d'hommes d'armes, marié vers 1508 à Marie de Carmain et de Foix.
  • Charles II de Montferrand, gouverneur de Bordeaux, seigneur de Langoiran, mort en 1574, épousa sa cousine Marguerite de Montferrand.
  • Guy de Montferrand dit « Langoiran » (frère cadet de Charles II) mort en . Un des chefs du parti protestant en Bordelais et en Périgord.
  • Pierre II de Montferrand, dit de Lesparre, gouverneur de Blaye, décapité à Poitiers en 1454.
  • François IV de Montferrand dit de Lesparre, premier panetier du duc de Guyenne, marié vers 1470 à Yolande Carion.
  • Enfin, parmi les descendants de sainte Jeanne de Lestonnac, il faut citer son propre fils :
  • François IV de Montferrand, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, et capitaine de chevau-légers, allié en 1600 à Marguerite de Cazalis.
  • Et le petit-fils de sainte Jeanne de Lestonnac :
  • Bernard de Montferrand, enseigne des gendarmes de la Reine, marié en 1647 à Delphine de Pontac[28].
  • Et l’arrière-petite-fille de sainte Jeanne de Lestonnac :
  • Marie Christine de Montferrand, épouse du sénéchal du Cubzacais, Jean-Nicolas Escudero de Guiral.

Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune a adopté le nom révolutionnaire de Montferrand[29] en omettant la partie à connotation catholique de son nom.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Saint-Louis-de-Montferrand appartient à l'arrondissement de Bordeaux et au canton de la Presqu'île depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015[30],[31]. Avant cette date, elle faisait partie du canton de Lormont.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription de la Gironde, représentée depuis 2017 par Alain David (PS).

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Saint-Louis-de-Montferrand appartient à Bordeaux Métropole (anciennement Communauté urbaine de Bordeaux). Avec Ambès, elle est la seule commune qui fait partie de la métropole mais pas de l'agglomération de Bordeaux.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[32].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 Marcel Boudy    
mars 1977 Laurent Cousty PS Garagiste retraité
Réélu en 1983
mars 1989[33]
(démission)
Didier Teillac    
[34] Michel Blaise PS  
juin 1995 Gérard Boudy[35] RPR Ingénieur retraité
mars 2001[36] [37] Pierre Soubabère PS Retraité de la SNCF
Réélu en 2008
mars 2014[38]
(réélue en 2020)
En cours Josiane Zambon PS Responsable de gestion
Conseillère métropolitaine déléguée
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Saint-Louis-de-Montferrand sont appelés les Montferrandais[39].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

En 2021, la commune comptait 2 144 habitants[Note 4], en diminution de 0,74 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
981625606693721730686735727
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
694709774804746746822848871
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
832705668673696726731611721
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
9931 1651 0781 3401 8081 8642 0082 0522 092
2018 2021 - - - - - - -
2 1492 144-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Economie et industrie[modifier | modifier le code]

La commune est le siège social et lieu de l'usine-mère du groupe Kapla, depuis sa fondation en 1987 (env. 8 M€ de chiffre d'affaires annuel)[43].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes

Les armes de Saint-Louis-de-Montferrand se blasonnent ainsi :

Tiercé en barre, au premier de gueules à la colombe contournée essorante d'argent tenant dans son bec un rameau d'olivier de sinople, au deuxième d'azur à l'alose d'argent, au troisième d'or à la grappe de raisin de gueules tigée et vrillée de sinople

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • A. Communay, Notice sur la maison de Montferrand, dans Archives historiques du département de la Gironde , 1888, p. VIII-XV, 344-519 (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Distances les plus courtes par la route - La distance orthodromique est de 12,5 km. Données fournies par lion1906.com.
  2. Saint-Louis-de-Montferrand sur Géoportail, consulté le 19 avril 2015.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Louis-de-Montferrand et Saint-Gervais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Saint-Louis-de-Montferrand », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Le réseau TBM à compter du 4 septembre 2023
  20. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Louis-de-Montferrand », sur Géorisques (consulté le ).
  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Bordeaux », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  28. Histoire O.D.N. (Compagnie des Filles de Marie Notre-Dame - Sainte Jeanne de Lestonnac).
  29. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Décret no 2014-192 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Gironde sur le site de Légifrance.
  31. Carte des cantons et communes de la Gironde avant et après le redécoupage de 2014 sur le site du conseil départemental de la Gironde.
  32. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  33. « Saint-Louis-de-Montferrand : L'élection du maire et des adjoints », Sud Ouest,‎ , p. 14
    « M. Didier Teillac a été élu nouveau maire de la commune. ».
  34. « Michel Blaise élu maire », Sud Ouest,‎ , p. 16
    « Il succède à M. Didier Teillac, démissionnaire de sa fonction ».
  35. « L'ancien maire nous a quittés : Gérard Boudy n'est plus », Sud Ouest,‎ , p. 34.
  36. Gilbert Dodogaray, « Saint-Louis-de-Montferrand : Pierre Soubabère élu maire », Sud Ouest,‎ , p. 16.
  37. Dominique Andrieux, « Il ne se représentera pas », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  38. Denis Garreau, « Josiane Zambon s’installe », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  39. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Nicolas César, « Jouets Kapla : retour sur la success story d'une marque basée près de Bordeaux », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  44. « Notice MH du domaine de Margarance », notice no PA00083764, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 17 juillet 2014.
  45. « Notice MH de l'immeuble du Bousquet », notice no PA00083763, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 17 juillet 2014.
  46. « Notice MH du domaine de la Seiglière », notice no PA00083762, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 17 juillet 2014.
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  48. « Église paroissiale Saint-Louis », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).