Saint-Just-en-Chaussée

Saint-Just-en-Chaussée
Saint-Just-en-Chaussée
La mairie et le monument des frères Hauy.
Blason de Saint-Just-en-Chaussée
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau Picard
Maire
Mandat
Bernard Dubouil
2023-2026
Code postal 60130
Code commune 60581
Démographie
Gentilé Saint-Justois, Saint-Justoises
Population
municipale
6 060 hab. (2021 en augmentation de 1,47 % par rapport à 2015)
Densité 413 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 24″ nord, 2° 25′ 54″ est
Altitude Min. 86 m
Max. 172 m
Superficie 14,66 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Just-en-Chaussée
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
(bureau centralisateur)
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Liens
Site web https://saintjustenchaussee.fr/

Saint-Just-en-Chaussée est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Saint-Justois et les Saint-Justoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Just-en-Chaussée est une ville picarde française située à 80 km au nord de Paris, à 28 km à l'est de Beauvais, située dans le département de l'Oise. La ville est une des villes les plus importantes du plateau picard.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Relief, paysage, végétation[modifier | modifier le code]

Le relief de la commune est celui d'un plateau crayeux entrecoupé par une vallée. La commune s'étend sur 14,7 km2 avec une altitude allant de 86 m à 172 m.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans la vallée de l'Arré, affluent de la rive gauche de la Brêche, et donc un sous-affluent de la Seine par l'Oise.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 671 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Just-en-Chaussée est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Just-en-Chaussée, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[10] et 6 583 habitants en 2019, dont elle est ville-centre[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74 %), zones urbanisées (10,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,7 %), forêts (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), prairies (0,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 940, alors qu'il était de 2 871 en 2013 et de 2 570 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 91,9 % étaient des résidences principales, 0,5 % des résidences secondaires et 7,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 52,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 46 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Just-en-Chaussée en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,5 %) inférieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 42,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (42,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Saint-Just-en-Chaussée en 2018.
Typologie Saint-Just-en-Chaussée[I 1] Oise[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 91,9 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,5 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 7,5 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La gare de Saint-Just-en-Chaussée en 2014.

La ville de Saint-Just-en-Chaussée s'est développée à partir de sa position de carrefour routier et de l'arrivée du chemin de fer et de l'industrialisation.

Saint-Just est située au carrefour des anciennes routes nationales RN 38 (La Fère à Beauvais) et RN 16 (Paris - Clermont - Amiens), les actuelles RD 938 et 916.

Au plan ferroviaire, Saint-Just dispose d'une gare sur la Ligne de Paris-Nord à Lille, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et Amiens.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 613, 662, 683, 684, 685, 6304, 6309, 6328 et 6342 du réseau interurbain de l'Oise[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sinomovicus (Xe) ; « est locus antiqua appellatione Sinamovicus » (XIe) ; in villa sancti Justi (1013) ; apud sanctum Justum (1107) ; abbate sancti Justi (1157) ; de Sancto Justo (1164) ; Sanctus Justus (1170) ; sigillum petri abbatis sancti Justi (1190) ; apud sanctum iustum (1194) ; Si Justi Belvacen (1243) ; castellanus de Sancto Justo (1273) ; Saint Just en Biauvoisis (1299) ; Saint Just en Beauvoisins (1302) ; S. Juste en Beauvoisin (1343) ; Sainct Just en Beauvoisis (1369) ; Sainct Just ou pays de Beauvoisis (1492) ; Saint Just en Beauvoisis (1525) ; Saint Just l’abbaye (1575) ; St Just (1667) ; Saint-Just-en-Chaussée (1840)[17].

Saint-Just est un hagiotoponyme qui fait référence à Juste de Beauvais, enfant de neuf ans qui aurait été martyrisé en ces lieux à la fin du IIIe siècle (287).

Avant le IVe siècle, à l'intersection de deux chaussées Brunehaut, sur le territoire des Bellovaques, s'installent quelques maisons formant le village de Sinomovicus (Simonville). Ce nom disparaît, au profit successivement de Saint-Just (en 1015), Saint-Just-en-Beauvaisy, Saint-Just-l'Abbaye, et enfin Saint-Just-en Chaussée[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Un important sanctuaire gaulois enclos d'un fossé large et profond a été édifié sur un point haut du paysage au cours du second âge du fer (450 à 50 avant notre ère) et existait avant et après la guerre des Gaules. Des fondations de bâtiments, des caves et des puits ont été découverts lors de fouilles menées dès les années 1970[19].

Située sur la via Agrippa de l'Océan allant de Lugdunum (Lyon) à Gesoriacum (Boulogne-sur-Mer)[20], l'agglomération gallo-romaine était un point de jonction de deux voies romaines.

En 287, Juste de Beauvais, enfant chrétien âgé de neuf ans, y aurait été décapité par les autorités romaines.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge la ville était fortifiée, elle fut un lieu de villégiature des évêques de Beauvais aux XIIe et XIVe siècles. L'abbaye prémontrée construite en 1119 ainsi que le château des évêques furent tous deux détruits en 1347. L'abbaye reconstruite finira brûlée en 1707.

Le château fortifié de la rue Prévost n'existe plus, cette rue est une ancienne commune rattachée à Saint-Just en 1793.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Durant la terrible guerre de Trente Ans, en 1636, la ville est brûlée et pillée par les Espagnols.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Chemins de fer et industrialisation
La gare de Saint-Just-en-Chaussée au début du XXe siècle.

La gare de Saint-Just-en-Chaussée, ouverte en 1846, était autrefois un carrefour ferroviaire important entre :

De 1891 à 1961, elle était également le cœur de la petite ligne d'intérêt local à voie métrique entre Estrées-Saint-Denis, Froissy et Crèvecœur-le-Grand, exploitée par une compagnie privée, la Compagnie générale de voies ferrées d'intérêt local.

L'arrivée du chemin de fer permit le développement de l'industrie sucrière à Saint-Just, avec la création de la sucrerie en 1873. La construction de cette grande usine à vapeur pour l'entreprise Desjardins et Cie coûta la somme importante de 3 100 000 francs pour la fabrication du sucre de betteraves. Les betteraves étaient traitées dans une râperie adjacente à l'établissement mais, dès 1884, d'autres râperies étaient implantées à Gannes, Lieuvillers, Wacquemoulin et Ravenel. Le jus sucré produit était transmis à Saint-Just par des conduites souterraines. L'entreprise occupait alors 400 salariés pendant les quatre mois de la campagne betteravière. En 1877, elle prend la dénomination de Sucrerie Centrale S.A., puis, en 1898 celle de Piettres Frères. Elle est modernisée en 1900 et 1913, date à laquelle elle est rachetée par la Société des Raffinerie et Sucrerie Say. L'entreprise adjoint en 1951 les activités de fabrique d'engrais et de pâte à papier, avant de fermer en 1978[21].

D'autres entreprises sont créées à Saint-Just-en-Chaussée, tel que la production de métiers à tisser pour la bonneterie par Édouard Tailbouis puis Auguste Bonamy et Léon de Séréville[22].

Première Guerre mondiale

En septembre 1914, dans le cadre de son déplacement pour rejoindre ce qui allait être connu comme le combat de la Rougemare et des Flamants, un commando allemand chargé de faire sauter le pont d'Oissel (Seine-Maritime), traversa le village, à bord de véhicules à moteur, ce qui était alors une nouveauté[réf. nécessaire].

Lors du bombardement du qui visait la gare et les voies ferrées, vers 7 h 45, plusieurs bombes atteignent le café situé au 107 rue de Beauvais (actuelle rue de la Libération). Marie Lory, la tenancière, et sa belle-sœur Eugénie sont tuées, ainsi que deux consommateurs : Charles Lemaire et Émile Lesueur. Trois soldats trouvent également la mort à cette occasion. De nouveaux bombardements se produisent, notamment celui du où 178 obus tombent sur la ville en moins de 24 heures, et durent jusque fin août 1918. Selon l'époque, la ville accueille des réfugiés ou est évacuée de sa population[23],[24].

À la fin de la guerre, en avril 1918, lors des dernières contre-attaques allemandes de l'Opération Michael et de l'Offensive du Printemps, la commune abrita un centre d'évacuation de matériels agricoles français[25],[26].

La sucrerie est utilisée comme poste sanitaire puis devient l’hôpital militaire 15bis,[23].

Saint-Just est libérée le 23 octobre 1918[23]

Durant la guerre, la commune subit des destructions[27]. Des baraquements en bois furent construits pour reloger des sinistrés et certains subsistaient en 2003[28],[29].

La ville a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [30] avec la citation : « Envahie en 1914 et libérée par la victoire de la Marne, s’est trouvée de nouveau après l’offensive allemande de 1918 à quelques kilomètres du front. Nœud important de voies ferrées, a été l’objet de violents et journaliers bombardements par canons, sans cesser de faire preuve du plus beau courage[23] ».

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise (département).

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Saint-Just-en-Chaussée[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur d'un nouveau canton de Saint-Just-en-Chaussée porté de 29 à 84 communes

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise depuis 2012.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Saint-Just-en-Chaussée est la commune la plus peuplée de la communauté de communes du Plateau Picard, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. .

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour de l'élections municipales de 2014 dans l'Oise, la liste UMP menée par le maire sortant Frans Desmedt obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 899 voix (79,89 %, 26 conseillers municipaux élus dont 7 communautaires), devançant très largement celle DVG (PCF) menée par Alain Deflers qui a recueilli 478 voix (20,11 %, 3 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 36,80 % des électeurs se sont abstenus[32].

Lors de l'élections municipales de 2020 dans l'Oise, seule la liste DVD (LR) menée par le maire sortant Frans Desmedt est candidate. Elle recueille donc 100 % des 1 128 suffrages exprimés et est élue en totalité, lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 67,84 % des électeurs se sont abstenus[33].

Après la mort de Frans Desmest, des élections municipales sont organisées le où seule la liste menée par Bernard Dubouil, ancien premier maire-adjoint et maire par intérim, est candidate. Elle recueille donc la totalité des suffrages exprimés, avec 981 voix. Lors de ce scrutin, 73,63% des électeurs se sont abstenus et 5,67 % des votants ont choisis un bulletin blanc ou nul[34].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[35]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
novembre 1792 octobre 1794 Louis Dufour    
octobre 1794 novembre 1794 Pierre Pillon    
novembre 1794 octobre 1795 Pierre Théron    
novembre 1795 mars 1797 Just Victor Emmanuel Théron    
avril 1797   Pierre Étienne François Bailly    
mai 1800 avril 1802 Charles Le Grand    
octobre 1810 janvier 1816 Pierre Bailly    
octobre 1810 janvier 1816 Louis Champy    
février 1816 octobre 1819 Louis Augustin Bouchez    
octobre 1819 juillet 1825 Prix Lefevre    
juillet 1825 juillet 1832 Bernard Isidore Dupuy    
novembre 1832 août 1836 Jean François Legros    
1837 septembre 1849 Juste Antoine Mahieux    
octobre 1849 août 1852 M. Binant    
août 1852 août 1860 Nicolas Marcel Bault    
août 1860 septembre 1870 Victorien Le Grand [36] Centre gauche
puis Tiers-parti
Propriétaire
Haut fonctionnaire, directeur général des Eaux et Forêts (1836 → 1838)
Député de l'Oise (1831 → 1848)
Conseiller général de Saint-Just-en-Chaussée (1833 → 1837, 1841 → 1852 et 1873 → 1877)
Commandeur de la Légion d'honneur
septembre 1870 février 1874 Ernest Mercier    
février 1874 juin 1876 Victorien Le Grand [36] Centre gauche
puis Tiers-parti
Propriétaire
Haut fonctionnaire, directeur général des Eaux et Forêts (1836 → 1838)
Député de l'Oise (1831 → 1848)
Conseiller général de Saint-Just-en-Chaussée (1833 → 1837, 1841 → 1852 et 1873 → 1877)
Commandeur de la Légion d'honneur
juin 1876 avril 1882 Ernest Mercier    
mai 1882 septembre 1883 Gustave Hainsselin[37] Républicain Ingénieur civil

Député de l'Oise (1889 → 1898)
Conseiller général de Saint-Just-en-Chaussée (1883 → 1907)
mai 1884 mai 1900 Alexandre Demont    
mai 1900   Alfred Georges Constancien Baticle    
         
mars 1969[38] mars 1977 Gérard Berton   Directeur d'entreprise de travaux publics
mars 1977[38] mars 2001 Jean-Pierre Braine PS puis
DVG
Instituteur
Député de l'Oise (7e circ.) (1981 → 1986 et 1988 → 2002)
Conseiller général de Saint-Just-en-Chaussée (1973 → 2004)
mars 2001 mai 2023[39] Frans Desmedt[40],[41],[42],[43] RPR[44] puis UMP[45]
puis DVD
Agriculteur[46]
Conseiller général puis départemental de St-Just-en-Chaussée (2004 → 2023)
Vice-président du Conseil départemental de l’Oise (2015 → 2021)
Président de la CC du Plateau Picard (2008 → 2023)
Chevalier de la Légion d'honneur[47]
Mort en fonction
juillet 2023[48] En cours
(au 8 juillet 2023)
Bernard Dubouil   Ancien officier supérieur de l’Armée de l’air
Vice-président de la CC du Plateau Picard
(2023 → )

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

La commune a obtenu en 2019 le label « Ville active et sportive - deux lauriers » du Conseil national des villes actives et sportives ( CNVAS), qui distingue pour trois ans les communes développant des politiques volontaristes afin de promouvoir l’activité physique et sportive, sous toutes ses formes, et accessible au plus grand nombre.

257 collectivités françaises ont ainsi été distingués par 1 à 4 lauriers pour la période 2019-2021[49].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Jumelages[50] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[52].

En 2021, la commune comptait 6 060 habitants[Note 3], en augmentation de 1,47 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8027749541 0201 1201 2041 3641 5221 602
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6421 7451 7421 7422 4732 5422 4882 4052 376
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5152 6872 9072 8732 9173 0132 9702 8493 092
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
3 5753 7224 0634 2574 9275 4985 5165 5225 979
2018 2021 - - - - - - -
6 0336 060-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 925 hommes pour 3 108 femmes, soit un taux de 51,52 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[54]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,8 
5,9 
75-89 ans
10,0 
15,0 
60-74 ans
14,7 
19,7 
45-59 ans
19,1 
19,4 
30-44 ans
17,1 
20,3 
15-29 ans
18,2 
19,4 
0-14 ans
19,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[55]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Les habitants sont appelés les Saint-Justois et les Saint-Justoises.

Économie[modifier | modifier le code]

La commune accueille un important tissu économique à dominante industrielle :

  • DS Smith Kaysersberg (groupe anglais DS Smith, 340 salariés),
  • Mastics pour automobiles : PPG (États-Unis, 180 et 90 salariés),
  • plastiques (Plastique Forme, 150 salariés),
  • électronique AQL (140 salariés),
  • vêtements de sécurité Dispovet (50 salariés, groupe Elf-Total) et gants de protection pour l'armée SFGI (40 salariés).
  • Traitement de déchets industriels et huiles Chimirec-Valrecoise (65 salariés sur le site en 2018[56]), le traitement d'ordures Gurdebeke (25 salariés) à l'ancienne sucrerie,
  • un centre E.Leclerc de 75 emplois.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église.

Saint-Just-en-Chaussée ne compte aucun édifice classé ou inscrit monument historique sur son territoire.

Les monuments notables de Saint-Just sont :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Just-en-Chaussée Blason
De gueules au chevron d'argent, accompagné d'une gourde d'or en pointe et de deux fleurs de lys du même en chef, et au lion passant de sable brochant sur le chevron.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Louis Pihan (Abbé), « Saint-Just-en-Chaussée : étude historique et archéologique », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, Beauvais, Imprimerie départementale de l’Oise, vol. 11,‎ , p. 643-786 (ISSN 1280-5343, lire en ligne)
  • Louis Pihan (Abbé), « Saint-Just-en-Chaussée : étude historique et archéologique (suite) », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, Beauvais, Imprimerie départementale de l’Oise, vol. 12,‎ , p. 5-119, 281-415, 609-667 (ISSN 1280-5343, lire en ligne)
  • J. Rousseau, Saint-Just-en-Chaussée et ses environs, 1893 ; réédition, Paris, Le Livre d'histoire Lorisse, 1988

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

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  39. Juliette Duclos, « Oise : hommages après le décès de Frans Desmedt, « l’élu local, dans ce qu’il y a de plus beau » : Dans la nuit de mardi à mercredi, le maire de Saint-Just-en-Chaussée, Frans Desmedt, est décédé. Les témoignages se multiplient dans le département pour rendre hommage à cet élu, « qui a labouré son canton et son intercommunalité comme aucun autre » », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À 68 ans, Frans Desmedt était engagé dans la politique locale depuis plus de 40 ans. Cet agriculteur qui a intégré l’exploitation familiale de Boutavent est entré au conseil municipal de Saint-Just-en-Chaussée en 1995. Six ans plus tard, il devient maire, un mandat qu’il ne quittera plus. Aux dernières élections municipales, en 2020, il n’avait aucune liste concurrente, l’édile a été réélu avec… 100 % des voix ».
  40. Réélu pour le mandat 2008-2014 : Armand Prin, « Frans Desmedt reste le patron : Auréolé de son succès magistral dès le 1er tour des municipales, Frans Desmedt entame un nouveau mandat. », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283,‎ , p. 8.
  41. Sylvie Molines, « Frans Desmedt, maire de Saint-Just-en-Chaissée : « je vis mon mandat à fond » : Frans Desmedt, maire Divers droite, dresse le bilan de son action à mi-mandat. Aux engagements électoraux, l'élu a rajouté de nouveaux projets », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. Céline Sol, « Saint-Just-en-Chaussée / Frans Desmedt : « J’ai réalisé 150 % de ce que j’avais prévu », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Lundi 2 décembre 2019, le maire-sortant de Saint-Just-en-Chaussée organisait une conférence de presse pour annoncer officiellement qu’il sera candidat à sa propre succession ».
  43. Réélu pour le mandatr 2020-2026Raphael Nappey, « Frans Desmedt entame un quatrième mandat à Saint-Just-en-Chaussée : Sans surprise, Frans Desmedt a été plébiscité samedi lors du premier conseil municipal », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Une mandature commencée en 2001 dont la prolongation ne faisait pas l’ombre d’un doute. Desmedt menait en effet la seule liste présentée, et élue, au premier tour du 15 mars ».
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