Saint-Just-en-Brie

Saint-Just-en-Brie
Saint-Just-en-Brie
La mairie (les Bruyères).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes de la Brie nangissienne
Maire
Mandat
Sébastien Dromigny
2020-2026
Code postal 77370
Code commune 77416
Démographie
Population
municipale
255 hab. (2021 en augmentation de 8,05 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 36′ 50″ nord, 3° 07′ 02″ est
Altitude Min. 123 m
Max. 154 m
Superficie 7,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nangis
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Just-en-Brie

Saint-Just-en-Brie est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village est situé à 19 km au nord-ouest de Provins et à 14 km au nord-est de Nangis.

Localisation de la commune de Saint-Just-en-Brie dans le département de Seine-et-Marne

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Saint-Just-en-Brie.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

  • le ruisseau l’ Yvron, long de 30,07 km[1], affluent de l'Yerres en rive gauche ;
    • le ru de Vallière[2], long de 12,52 km, et ;
    • le fossé 01 du Bois du Chatel, 4,42 km[3], affluents de l’Yvron ;
      • le fossé 01 des Bouleaux, 1,06 km[4], qui conflue avec le fossé 01 du Bois du Chatel.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 5,01 km[5].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[6].

La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[8].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 729 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Grandpuits-Bailly-Carrois à 11 km à vol d'oiseau[11], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 704,0 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Saint-Just-en-Brie comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1],[15],[Carte 1], la « forêt domaniale de Jouy » (1 956,57 ha), couvrant 7 communes du département[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Just-en-Brie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[17],[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 37 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[22] dont Les Bruyères (siège de la mairie), le Plessis-Hainaut, les Guilverts.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,7% ), forêts (16,1% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,2 %)[23].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[24],[25],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Planification[modifier | modifier le code]

La commune disposait en 2019 d'une carte communale approuvée[26].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 108 dont 100 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.)[Note 5].

Parmi ces logements, 82,1 % étaient des résidences principales, 12,2 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 92 % contre 5,7 % de locataires et 2,3 % logés gratuitement[27].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Sancti Justi capella in pago Meledunensi vers 700[28] ; Sanctus Justus versus Pruvinum en 1188[29] ; Sanctus Justus en 1249[30] ; La seigneurie de Saint Just en 1783[31] ; Saint-Just-en-Brie depuis le .

Du saint éponyme.

La Brie est une région naturelle située entre les vallées de la Marne, de l'Orge, de la Seine et la côte d'Île-de-France.

Histoire[modifier | modifier le code]

La seigneurie du Plessis-Hénault, aujourd'hui hameau de la commune, est la propriété de la famille de La Rama.

Les de La Rama conservent la seigneurie du début du XVIe à la fin du XVIIe siècle. Charles de La Rama, entré dans l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem en 1531, deviendra prieur d'Aquitaine. Il avait été écarté de la charge de prieur de France, malgré son élection, sans doute pour des raisons politiques. Il meurt après 1592.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 août 2001 Michel Dromigny DVD  
septembre 2001 mars 2008 Jacqueline Luche    
mars 2008 En cours Sébastien Dromigny[32]   Agriculteur

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [33],[34].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la commune de Saint-Just-en-Brie ne dispose pas d'assainissement collectif[35],[36].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[37]. La communauté de communes de la Brie nangissienne (CCBN) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l'entreprise Veolia, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2021[35],[38].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [35],[39],[40].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[42].

En 2021, la commune comptait 255 habitants[Note 6], en augmentation de 8,05 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
162182173183221223228240219
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
224229240230204185194197169
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
173174164159160162164190172
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
131967183140196251237238
2021 - - - - - - - -
255--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2017, le nombre de ménages fiscaux était de 94, représentant 268 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 22 700 euros[45].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 30, occupant 129 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 73,1 % contre un taux de chômage de 6,9 %. Les 20 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 12 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4 % de retraités ou préretraités et 4 % pour les autres inactifs[46].

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 21 dont 7 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 9 dans la construction, 2 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration et, 3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien[47].

En 2019, 2 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont une individuelle.

Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[48].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Saint-Just-en-Brie est dans la petite région agricole dénommée la « Brie centrale », une partie de la Brie autour de Mormant[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[49].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[50]. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations augmenter et passer de 5 en 1988 à 6 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 149 ha en 1988 à 141 ha en 2010[49]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Saint-Just-en-Brie, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Saint-Just-en-Brie entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[49],[Note 8]
Nombre d’exploitations (u) 5 4 6
Travail (UTA) 13 11 11
Surface agricole utilisée (ha) 747 711 847
Cultures[51]
Terres labourables (ha) 740 709 826
Céréales (ha) 547 460 494
dont blé tendre (ha) 358 302 395
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 180 115 s
Tournesol (ha) s s
Colza et navette (ha) s s 38
Élevage[49]
Cheptel (UGBTA[Note 9]) 70 131 99

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Just-et-Saint-Hubert.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Just-et-Saint-Hubert, XIIe et XVIe siècle[52].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Saint-Just-en-Brie », p. 1119–1120

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Zones ZNIEFF de Saint-Just-en-Brie » sur Géoportail (consulté le 15 janvier 2021)..
  2. « Saint-Just-en-Brie - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Vallière (F4737000) » (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Bois du Chatel (F4731000) » (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 des Bouleaux (F4731200) » (consulté le ).
  5. 77416 Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 24 février 2019
  6. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  7. « SAGE Yerres - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  8. site officiel du Syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  11. « Orthodromie entre Saint-Just-en-Brie et Grandpuits-Bailly-Carrois », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Nangis » (commune de Grandpuits-Bailly-Carrois) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Station Météo-France « Nangis » (commune de Grandpuits-Bailly-Carrois) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Just-en-Brie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF la « forêt domaniale de Jouy » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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  28. Pertz, Diplomata, I, p. 119 ; cf. Longnon. Examen critique).
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