Saint-Gervais-sur-Mare

Saint-Gervais-sur-Mare
Saint-Gervais-sur-Mare
Vue depuis le clocher de Neyran
Blason de Saint-Gervais-sur-Mare
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes de Grand Orb
Maire
Mandat
Jean-Luc Falip
2020-2026
Code postal 34610
Code commune 34260
Démographie
Gentilé Saint-Gervaisiens
Population
municipale
843 hab. (2021 en diminution de 1,17 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 10″ nord, 3° 02′ 27″ est
Altitude Min. 280 m
Max. 940 m
Superficie 24,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bédarieux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Clermont-l'Hérault
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web stgervaissurmare.free.fr

Saint-Gervais-sur-Mare est une commune française située dans l'ouest du département de l'Hérault en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Mare, le Casselouvre, le ruisseau de Narbounis et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « crêtes du Mont Marcou et des Monts de Mare ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Gervais-sur-Mare est une commune rurale qui compte 843 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 2 620 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans les Hauts cantons de l'Hérault, entre les communes de Castanet-le-Haut et Graissessac.

Elle est intégrée au sein du parc naturel régional du Haut-Languedoc.

Carte

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la Mare et par le ruisseau du Casselouvre qui se jette dans la Mare. En 1760, le Casselouvre en crue a détruit une des deux études de notaire du village (étude Portalon), emportant toutes les archives. Les inondations de ont provoqué de gros dégâts dans le village, la route D 922 a été emportée.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 204 mm, avec 8,8 jours de précipitations en janvier et 3,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Castanet-le-Haut à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 687,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].

Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[9]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[10],[11].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « crêtes du Mont Marcou et des Monts de Mare »[13], d'une superficie de 1 481 ha, abritant quatre espèces de chauves-souris d'intérêt communautaire (Rhinolophus ferrumequinum, R. hipposideros, Miniopterus schreibersi), et plus particulièrement le Minioptère de Schreibers[14].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[15] : les « crêtes du Mont Cabane au Mont Marcou » (484 ha), couvrant 4 communes dont une dans l'Aveyron et trois dans l'Hérault[16] et la « rivière de la mare et ruisseau de Bédès » (20 ha)[17] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[15] :

  • les « crêtes du Mont Marcou et des Monts de mare » (3 441 ha), couvrant 7 communes dont une dans l'Aveyron et six dans l'Hérault[18] ;
  • le « massif de l'Espinouse » (20 035 ha), couvrant 19 communes du département[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Gervais-sur-Mare est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[20],[I 1],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %), zones urbanisées (2,4 %), prairies (1,7 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La partie la plus ancienne du village de Saint-Gervais est construite au pied d'un château et le long d'un cours d'eau; le casselouvre. Une urbanisation cohérente s'est poursuivie sur la rive opposée mais sans atteindre les rives de la Mare, les rues y sont plus larges que la partie ancienne du village.

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

  • Mècle
  • Rongas
  • Castanet le Bas
  • Les Nières
  • Le Buis

Logement[modifier | modifier le code]

En 2012 le nombre total de logement dans la commune est de 720, soit 62 de plus qu'en 2009. Parmi eux 8 % sont vacants, 49,7 % sont des résidences principales, 42,4 % sont des résidences secondaires. Ces logements étaient pour 79,6 % des maisons individuelles, et pour 16,7 % des appartements[a 1]. La proportion des résidences principales appartenant à leur occupant était de 65,5%[a 2].

Projets d'aménagements[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est accessible en arrivant de Castanet-le-Haut à l'Ouest et Saint-Étienne-Estréchoux à l'Est par la D922, et Hérépian au Sud par la D180 en passant par le col des Treize Vents. Une ligne de bus dessert la commune, en partance de Bédarieux ou de Andabre[23].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Gervais-sur-Mare est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques particuliers : le risque minier et le risque de radon[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Mare. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1995, 1996, 1997, 2014 et 2016[26],[24].

Saint-Gervais-sur-Mare est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6],[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Gervais-sur-Mare.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 32 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 567 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 486 sont en aléa moyen ou fort, soit 86 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2016[24].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains[30]. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[31].

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Gervais-sur-Mare est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune est attesté sous les formes : ecclesia S Gervasii en 966; de S. Gervasio en 1204 / 1404; Sainct Gervys en 1579; etc.[33]. Le nom de la communauté sous l'Ancien régime était Saint-Gervais-Ville pour la différencier de celle de Saint-Gervais-Terre (ou Saint-Gervais-Terre-Foraine) qui est devenue après redécoupage la commune de Rosis. Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Mont-Taillis[34]. La commune a pris son nom actuel par le décret du [35].

Histoire[modifier | modifier le code]

Saint-Gervais-sur-Mare appartenait au diocèse de Castres (sauf pour les hamaux des Nières et de Castanet qui dépendaient du diocèse de Béziers) et à la sénéchaussée de Béziers. La commune était rattachée au Tarn, district de Lacaune lors de la création des départements. En vertu de la loi du 3 brumaire an X (1801) qui échangeait les cantons d'Anglès et de Saint-Gervais, la commune a été rattachée à l'Hérault[36]..

En 2014, le canton de Saint-Gervais-sur-Mare a disparu. La commune a été rattachée au canton de Clermont-l'Hérault.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[37].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juillet 1819 septembre 1830 Joseph Gervais d'Estoriac   propriétaire, avocat au Parlement de Toulouse[38]
septembre 1830 1836 Barthélémi Moulinier   propriétaire
septembre 1836 ? Barthélémi Mas    
1989 1995 Jean-Luc Falip    
mars 2001 En cours Jean-Luc Falip PS Représentant de commerce
Conseiller général puis départemental
président de la communauté de communes
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

Saint-Gervais-sur-Mare relève du tribunal d'instance de Béziers, du tribunal de grande instance de Béziers, de la cour d'appel de Montpellier, du tribunal pour enfants de Béziers, du conseil de prud'hommes de Béziers, du tribunal de commerce de Béziers, du tribunal administratif de Montpellier et de la cour administrative d'appel de Marseille[39].

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Au , Saint-Gervais-sur-Mare n'est jumelée avec aucune commune[40].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].

En 2021, la commune comptait 843 habitants[Note 7], en diminution de 1,17 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9901 0131 3071 2582 5052 6052 5732 5232 620
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2972 2562 3282 1972 0532 0692 0301 7801 690
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6601 6151 5941 5141 5201 3941 3381 2381 255
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 096873860859813789813805861
2015 2020 2021 - - - - - -
853849843------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Saint-Gervais-sur-Mare dépend de l'académie de Montpellier. Elle administre une école maternelle et une école élémentaire communales regroupant 57 élèves en 2015-2016, et un collège public[44].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

La commune compte une maison de retraite ainsi qu'un parcours de santé; L'ancienne ligne de chemin de fer latour-plaisance.

Sports[modifier | modifier le code]

Des associations proposent des activités sportives. Les abrupts proches dits "falaises d'Olques" ou " falaises d'Orques" permettent la pratique de l'escalade.

Cultes[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune dépend de la paroisse catholique Notre-Dame des Lumières au sein du secteur missionnaire « Béziers -Biterrois » de l'archidiocèse de Montpellier[45].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 406 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 739 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 970 [I 4] (20 330  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 7,1 % 11,3 % 15 %
Département[I 7] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 408 personnes, parmi lesquelles on compte 71,5 % d'actifs (56,4 % ayant un emploi et 15 % de chômeurs) et 28,5 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Bédarieux, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 257 emplois en 2018, contre 264 en 2013 et 236 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 236, soit un indicateur de concentration d'emploi de 108,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 39 %[I 10].

Sur ces 236 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 109 travaillent dans la commune, soit 46 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 63,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 8,5 % les transports en commun, 18,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

49 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Gervais-sur-Mare au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 49
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
3 6,1 % (6,7 %)
Construction 9 18,4 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
16 32,7 % (28 %)
Information et communication 1 2 % (3,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
2 4,1 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
7 14,3 % (14,2 %)
Autres activités de services 11 22,4 % (8,1 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 32,7 % du nombre total d'établissements de la commune (16 sur les 49 entreprises implantées à Saint-Gervais-sur-Mare), contre 28 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

La médiane du revenu disponible par unité de consommation en 2012 est de 16 105 €[a 3].

Agriculture[modifier | modifier le code]

1988 2000 2010 2020
Exploitations 41 13 11 4
SAU[Note 12] (ha) 154 260 404 162

La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 4]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (41 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 162 ha[48],[Carte 5],[Carte 6].

Emploi[modifier | modifier le code]

La population active ayant un emploi était de 55,6 % en 2012 contre 61,4 % en 2007. Le taux de chômage était de 11,3 % en 2012 contre 12,6 % en 2007[a 4].

Le nombre d'emplois dans la zone était de 271 en 2012 contre 214 en 2007, les actifs ayant un emploi résidant dans la zone étaient de 266 en 2012 contre 246 en 2007. En 2012 l'indicateur de concentration d'emploi était de 102,0; ce qui signifie que la zone d'emploi offre plus d'emplois qu'il n'y a d'actifs[a 5].

Les actifs travaillant dans la commune de résidence représentent 49,8 % de l'ensemble des actifs de la commune[a 6].

En 2013 l'ensemble des secteurs d'activités (sauf l'Administration publique, l'enseignement, la santé, et l'action sociale) emploient entre 1 et 9 salariés[a 7].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Au le nombre d'établissements actifs par secteur d'activité était de 70; 3 en agriculture, sylviculture et pêche, 3 dans l'industrie, 12 dans la construction, 38 dans le commerce, les transports, et services divers dont 12 en commerce et réparation automobile, et 14 dans l'Administration publique, l'enseignement, la santé, et l'action sociale[a 8].

En 2014 l'ensemble de créations d'établissements (activités marchandes hors agriculture) s'élève à 4; dont 1 dans la construction et 3 dans le commerce, les transports, et services divers[a 9].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Gervais-sur-Mare Blason
D'or à un trident renversé d'azur, la partie supérieure du manche potencée, accompagné de trois pattes de lion de gueules celles du chef affrontées.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Gérard Alzieu, « Les paroisses de la haute vallée de la Mare sous l'Ancien régime », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 22,‎ , p. 37-43
  • Albert Cayssac, « Saint-Gervais-Sur-Mare », Revue historique du diocèse de Montpellier,‎ 1909-191, p. 291-295
  • André Favard, « La dernière demeure de Tristan Guilhem II à Saint-Gervais », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 31,‎ , p. 73-78
  • Audrey Lafourcade, Neyran : un site médiéval à Saint-Gervais-sur-Mare (Hérault), S.l., s.n., , 105 p.
  • Marie Pintre, « Embellissements des chœurs d'églises du Languedoc du XVIIIe au début du XIXe siècle : cas de la cathédrale de Béziers et de l'église de Saint-Gervais-sur-Mare », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 37,‎ , p. 139-146
  • Claudine Sabatier, « La population de la commune de Saint-Gervais-sur-Mare de l'an V à nos jours », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 6,‎ , p. 121-132
  • Michel Scanzi et André Favard, « Les particularités des stèles discoïdales de la vallée de la Mare (Hérault) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 35,‎ , p. 79-92
  • André Signoles, « Le décor lombard de l'ancienne église Saint-Pierre-de-Neyran à Saint-Gervais-sur-Mare », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 6,‎ , p. 70-83

Fonds d'archives[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

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  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Gervais-sur-Mare » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
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  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Gervais-sur-Mare » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  2. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  3. REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2012.
  4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  5. EMP T5 - Emploi et activité.
  6. ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
  7. CEN T2 - Postes salariés par secteur d'activité au 31 décembre 2013.
  8. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2013.
  9. DEN T4 - Créations d'établissements par secteur d'activité en 2014.
  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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