Notre-Dame-de-Gravenchon

Notre-Dame-de-Gravenchon
Notre-Dame-de-Gravenchon
La zone industrielle en bord de Seine.
Blason de Notre-Dame-de-Gravenchon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Caux-Vallée de Seine
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Virginie Carolo
2014-2020
Code postal 76330
Code commune 76P05
Démographie
Gentilé Gravenchonnais
Population 8 138 hab. (2013)
Densité 434 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 24″ nord, 0° 34′ 19″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 138 m
Superficie 18,74 km2
Élections
Départementales Notre-Dame-de-Gravenchon
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Port-Jérôme-sur-Seine
Localisation
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Notre-Dame-de-Gravenchon est une ancienne commune française située dans le département de la Seine-Maritime en Normandie. Elle a fusionné avec trois autres communes le pour former la commune nouvelle de Port-Jérôme-sur-Seine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Notre-Dame-de-Gravenchon est située au bord de la Seine, entre Le Havre et Rouen.

La rivière du Télhuet y prend sa source et traverse la ville, et la rivière du Commerce y passe sur une courte distance.

La ville est construite sur le coteau du pays de Caux.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Cravencon vers 1050[Note 1], Gravenchon vers 1060 [1].

Du celte grava, gravier[2] et du gaulois ou nordique chon signifiant lieu.

Histoire[modifier | modifier le code]

La paroisse Saint-Georges-de-Gravenchon et sa succursale Notre-Dame faisaient partie du domaine royal en relevant du domaine de Lillebonne. Les comtes d'Évreux y ont fait construire au Moyen Âge le château fort de la Fontaine-Saint-Denis. Les deux communes sont réunies en 1823 sous le nom de Notre-Dame-de-Gravenchon.

L'empereur Napoléon III inaugure Port-Jérôme, du nom du frère de Napoléon Ier, décédé l'année précédente. Une borne commémorative rappelle sa visite le , lors des travaux d'endiguement de la Seine.

Notre-Dame-de-Gravenchon est une ville agricole (rôle éminent de la famille Le Duc de Lillers jusqu'à l'installation vers 1930 de deux raffineries de pétrole avec deux cités pour les employés : la « Standard » (pour Esso) et la « Vacuum » (pour Mobil-Oil). Horace Finaly directeur général de la Banque de Paris et des Pays-Bas[3] de 1919 à 1937 participe à la création de la Standard franco-américaine (et de la Compagnie française des pétroles).

Le , à 11 h 55, le pétrolier La Girafe explose, 13 membres d'équipage sont portés disparus, y compris Joseph de Lochounoff porté disparu par erreur car, n'écoutant que son courage, il est monté à bord en plein incendie[4],[5].

Les raffineries sont en partie détruites en 1940 et reconstruites après 1945. Notre-Dame-de-Gravenchon est occupée par les Allemands à partir du et est libérée le conjointement par l'armée britannique et l'armée belge (brigade Piron) ; cette dernière traverse la Seine à Port-Jérôme[6],[7].

La ville-centre de Gravenchon et trois villages dont Auberville-la-Campagne ont décidé en 2015 de s'unir car ils sont situés dans le même bassin de vie et afin de bénéficier d'une incitation financière de l'État, qui leur permet soit d'éviter une forte augmentation des impôts, soit de devoir supprimer des services aux habitants[8],[9].
La commune nouvelle de Port-Jérôme-sur-Seine, qui fusionne les quatre anciennes communes d'Auberville-la-Campagne, Notre-Dame-de-Gravenchon, Touffreville-la-Cable et Triquerville, devenues des communes déléguées, est créée par un arrêté préfectoral du [10] à la demande des quatre conseils municipaux et après une consultation de la population[11],[12],[13],[14].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

En 2010, la commune de Notre-Dame-de-Gravenchon a été récompensée par le label « Ville Internet @@@@@[15] ».

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires et maires délégués successifs[16]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1825 1838 Jean Baptiste Bouvier    
1838 1846 Augustin Isidor Maridor    
1846 1848 Pierre Jacques Armand Guilbert    
1848 1871 Edmond de Lillers    
1871 1885 Jean Stanislas Helouis    
1885 1892 Eustache Amand Lebaillif    
1892 1896 Auguste Helouis    
1896 1908 Emmanuel de Lillers    
1905 1941 Edmond de Lillers    
nd nd Gaston Daize    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1965 mars 1983 François Deveaud DVD  
mars 1983 avril 2014 Jean-Claude Weiss DVD  
avril 2014[17],[18],[19] En cours
(au 19 janvier 2020)
Virginie Carolo DVD Maire de Port-Jérôme-sur-Seine

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune est jumelée avec les villes de :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21],[Note 2].

En 2013, la commune comptait 8 138 habitants, en diminution de −0,85 % par rapport à 2008 (Seine-Maritime : 0,48 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
454300482463740708757780757
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
780716720669714705757803716
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7157397406066045552 0302 3683 655
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 -
5 4886 2738 3358 9638 9018 6188 2088 138-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

D’après le recensement Insee de 2007, Notre-Dame-de-Gravenchon compte 8 254 habitants (soit une diminution de 4 % par rapport à 1999 la commune occupe le 1 130e rang au niveau national, alors qu'elle était au 1 038e en 1999, et le 30e au niveau départemental sur 745 communes.

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,7 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (20,7 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,7 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 49,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,7 %, 15 à 29 ans = 19,2 %, 30 à 44 ans = 19 %, 45 à 59 ans = 21,4 %, plus de 60 ans = 20,8 %) ;
  • 50,7 % de femmes (0 à 14 ans = 17,5 %, 15 à 29 ans = 16,4 %, 30 à 44 ans = 19,3 %, 45 à 59 ans = 22,2 %, plus de 60 ans = 24,6 %).
Pyramide des âges à Notre-Dame-de-Gravenchon en 2007 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90  ans ou +
1,1 
6,2 
75 à 89 ans
9,0 
14,5 
60 à 74 ans
14,5 
21,4 
45 à 59 ans
22,2 
19,0 
30 à 44 ans
19,3 
19,2 
15 à 29 ans
16,4 
19,7 
0 à 14 ans
17,5 
Pyramide des âges du département de la Seine-Maritime en 2007 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90  ans ou +
1,1 
5,6 
75 à 89 ans
9,1 
12,0 
60 à 74 ans
13,2 
20,9 
45 à 59 ans
20,2 
20,5 
30 à 44 ans
19,5 
20,9 
15 à 29 ans
19,2 
19,9 
0 à 14 ans
17,8 

Sports[modifier | modifier le code]

  • Activités sportives.
  • Club de basket-ball évoluant en Nationale 2.
  • Tir à l'arc.
  • Piscine olympique.
  • Bowling.

Économie[modifier | modifier le code]

Les industries pétrolières jouent un rôle important dans la commune, du fait de :

  • La raffinerie de Port-Jérôme-Gravenchon, appartenant à une filiale d'ExxonMobil[26], est une des plus importantes de France. Elle peut traiter jusqu'à 12 millions de tonnes de pétrole brut par an.
  • L'usine de Total Petrochemicals, qui produit du butanol. Le , dans un communiqué officiel, Total annonce : « À la suite de la dénonciation définitive, par le client unique, du contrat de fourniture de butanol secondaire produit à Notre-Dame-de-Gravenchon (Seine-Maritime), Total Petrochemicals France se verra contraint de fermer ce site dédié à cette seule fabrication[27] ».

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments existants[modifier | modifier le code]

  • Vestiges du château fort Saint-Denis[28] dit Château fort des comtes d'Évreux (rue de Fontaineval)[29]. Le site archéologique est inscrit au titre des monuments historiques[30]. Fondée en terre et en bois au XIe siècle, l'enceinte de Gravenchon est accessible au public sous conditions, mais facilement observable depuis la route qui circule en contrebas[31].
  • Motte féodale[32] lLieu-dit Le Manoir Château), XIe siècle.
  • Le colombier[33] : construit au XVIIe siècle, il est le seul vestige d'un manoir[34] détruit en 1957. Le colombier a été intégré au conservatoire de musique.
  • Église Notre-Dame[35]: l'église paroissiale Notre-Dame était à l'origine une chapelle dépendant de l'église paroissiale Saint-Georges de Gravenchon. Elle a été construite au XIIe siècle. Elle était à trois vaisseaux, mais les bas-côtés ont été détruits. La flèche de la tour a été édifiée au XVIIe siècle. Dans le premier quart du XIXe siècle, le chœur a été reconstruit en conservant le pignon d'origine. La sacristie a été construite de 1851 à 1852. Le bas-côté sud a été élevé en 1899 par Constant Martin.
  • Église Saint-Georges: L'église actuelle[36] fut construite en 1958 par l'architecte André Robinne .
  • Cité de la petite Campagne[37],[38]: architectes Pierre Chirol et Georges Peulevey. Pour loger le personnel de la raffinerie ESSO, plusieurs centaines de maisons néo-normandes (maisons individuelles pour les ingénieurs, maisons groupées pour les contremaîtres et ouvriers) et un hôtel appelé « Hôtel des Célibataires » (actuel hôtel Saunier) :
    • écoles (école des garçons devenue école maternelle de la Petite Campagne, école des filles devenue école Marie-Curie) ;
    • salle des fêtes, place de Normandie ;
    • chapelle (temple protestant aujourd'hui)[39] ;
    • club house avec tennis ( à l'emplacement d'une ferme du XVIIe siècle bombardée pendant la Seconde Guerre mondiale).

Lieux et monuments disparus[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Georges: La première église[40], détruite en 1826, fut fondée au XIIIe siècle: tour carrée en silex avec contreforts et flèche en pierre découpée en essente (connue par un dessin des archives départementales de la Seine-Maritime ). Nef de 36 pieds de long sur 22 de large et 16 de haut en pignon. Chœur de 36 pieds de long sur 22 de large et 16 de haut. Il subsiste le presbytère du XVIIIe siècle [41] une croix.
  • Ferme du Vieux Manoir ou ferme Joly: Manoir du XVIIe siècle et grange du XIIIe siècle laissés à l'abandon dans les années 1990. La ferme est rachetée par la mairie qui fait tomber le manoir et rénove la grange pour en faire une salle à louer.
  • Château des Lillers : le marquis de Lillers fait construire en 1840 le château en brique et calcaire, dont la décoration intérieure est due à son épouse, fille du banquier Collot[42] des archives départementales. Incendié en [43], reconstruit peu après et démoli en 1970 (opération immobilière du «Bois du Parc»).
  • Ferme rue de la République ( à l'emplacement du Club Esso) détruite en 1944 .

Équipements sportifs et culturels[modifier | modifier le code]

  • Gymnase Comont dans lequel s'entraîne l'équipe du CS Gravenchon basket qui évolue en Nationale 2.
  • Conservatoire de Musique et de Danse à Rayonnement Départemental (C.R.D.) de la Communauté de communes Caux vallée de Seine (plusieurs annexes, dont Lillebonne et Bolbec).
  • Théâtre et cinémas «Le Colombier».
  • Salle de spectacles «l'Arcade».

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Notre-Dame-de-Gravenchon

Les armes de la commune de Notre-Dame-de-Gravenchon se blasonnent ainsi :
Tiercé ondé en fasce: au 1er de gueules au léopard d'or, au 2e d'azur au drakkar habillé d'argent accosté de deux dauphins affrontés du même, celui de dextre posé en barre et celui de senestre en bande, au 3e de sinople à deux tours de craquage du pétrole d'argent, celle de senestre plus haute, soutenues de deux épis de blé d'or, les tiges passées en sautoir ; à la trangle ondée d'or brochant sur le second trait de partition [44].



Le léopard d'or sur champ de gueules rappelle les armes de la Normandie.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Le résistant Bernard Courtault (1923-1943) y est né.
  • Le syndicaliste Emile Robinet (1906-1944) a travaillé à la raffinerie Vacuum de 1933 à 1939, en résistance de 1941 à 1943 puis déporté et exécuté en 1944 au camp de Sachsenhausen [45].
  • Le syndicaliste Henri Messager (1913-1942) a travaillé à la raffinerie Standart de 1933 à 1939, en résistance de 1940 à 1942 puis arrêté et exécuté en 1942 au Mont-Valérien .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le nom apparaît, le plus souvent, jusque dans la première partie du XIIIe siècle avec un C initial.
  2. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Adigard des Gautries - Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite) [article] page 151.
  2. J. Le Maho, « Vers une nouvelle identification de Gravinum », Annales de Normandie,‎ (lire en ligne)
  3. La Banque de Paris et des Pays-Bas a été renommée Paribas en 1982.
  4. « La catastrophe de Port-Gérôme : Les morts et les blessés », Ouest-Éclair,‎ (lire en ligne).
  5. « L'explosion à bord du pétrolier La-Girafe », Le Matin,‎ (lire en ligne).
  6. « Seconde Guerre mondiale ».
  7. « La brigade Piron ».
  8. Arnaud Rouxel, « Gravenchon et trois villages lèvent le voile sur les objectifs de leur projet de fusion : Avant le vote sur leur projet de regroupement, les maires de Gravenchon, Triquerville, Touffreville-la-Cable et Auberville-la-Campagne lèvent le voile sur leur philosophie et leurs objectifs. », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  9. Sandra Beaufils, « Commune nouvelle en Seine-Maritime. Gravenchon, Auberville, Touffreville et Triquerville y travaillent », Normandie 76 hebdo,‎ (lire en ligne).
  10. « Arrêté préfectoral du 30 novembre 2015 portant création de la commune nouvelle de Port-Jérôme-sur-Seine », Recueil des actes administratifs de Seine-Maritime, nos 76-2015-122,‎ , p. 194-197 (lire en ligne [PDF]).
  11. O. G., « Caux Vallée de Seine : la commune nouvelle s’appellera Port-Jérôme-sur-Seine, si elle est actée : Les quatre communes de Gravenchon, Auberville-la-Campagne, Touffreville-la-Cable et Triquerville ont choisi le nom de leur commune nouvelle... si elle est actée », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  12. Solène Bertrand, « Notre-Dame-de-Gravenchon intègre Port-Jérôme-sur-Seine : Notre-Dame-de-Gravenchon, en Seine-Maritime, devrait fusionner avec trois communes, en 2016. La commune nouvelle devrait être baptisée Port-Jérôme-sur-Seine. Explications », Normandie 76 hebdo,‎ (lire en ligne).
  13. « Une nouvelle commune est née : Port-Jérôme-sur-Seine : Les quatre conseils municipaux de Notre-Dame-de-Gravenchon, Auberville-la-Campage, Touffreville-la-Cable et Triquerville ont voté lundi soir leur fusion en une commune nouvelle », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  14. « Port-Jérôme-sur-Seine : la nouvelle donne : Commune nouvelle. Si le préfet donne son assentiment à la commune nouvelle de Port-Jérôme-sur-Seine, quels seront les changements au quotidien pour les habitants ? », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  15. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 17/12/2009.
  16. « Les maires de Notre-Dame-de-Gravenchon », sur francegenweb.org (consulté le ).
  17. F. M., « Notre-Dame-de-Gravenchon : Virginie Carolo-Lutrot succède à Jean-Claude Weiss », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
  18. « Liste des maires élus en 2014 » [PDF], Liste des élus, Préfecture de Seine-Maritime, (consulté le ).
  19. « Virginie Carolo-Lutrot », Célébrités, sur seine76.fr, (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
  24. « Évolution et structure de la population à Notre-Dame-de-Gravenchon en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  25. « Résultats du recensement de la population de la Seine-Maritime en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  26. « Notre-Dame de Gravenchon - Lillebonne », sur exxonmobilchemical.com via Internet Archive (consulté le ).
  27. « Search », sur Total.com (consulté le ).
  28. Notice no IA00075982.
  29. Photographie de 1929 de l'Ancienne chapelle Saint-Denis à Fontaine-Val
  30. « Ancienne enceinte féodale », notice no PA00101096, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Stéphane William Gondoin, « Les châteaux forts au temps de Guillaume le Conquérant », Patrimoine normand, no 94,‎ juillet-août-septembre 2015, p. 44 (ISSN 1271-6006).
  32. Notice no IA00075985.
  33. Photographie de 1946 du colombier de la ferme Ferrand
  34. Notice no IA00075980.
  35. Notice no IA00075973.
  36. Notice no IA00075979.
  37. Notice no IA00075981.
  38. plaquette éditée par La maison de l'architecture de Normandie - le Forum
  39. Photographies de l'édifice
  40. Notice no IA00075977.
  41. photographie
  42. Photographie du début du XXème siècle
  43. « Excelsior : journal illustré quotidien : informations, littérature, sciences, arts, sports, théâtre, élégances », sur Gallica, (consulté le ).
  44. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
  45. Jean-Paul Nicolas, « ROBINET Émile, Georges », dans Le Maitron, Maitron/Editions de l'Atelier, (lire en ligne)