Musée d'Orsay

Musée d'Orsay
Logo du musée d'Orsay.
Vue du musée d’Orsay.
Informations générales
Nom local
Musée d’OrsayVoir et modifier les données sur Wikidata
Type
Musée d'art, musée national (d), société de production (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Ouverture
Gestionnaire
Présidents
Surface
57 400 m2 de surface utile
Visiteurs par an
3 651 616[2] (2019)
Site web
Collections
Collections
Art français et européen de 1848 à 1914
Nombre d'objets
96 553[1] dont 5 272 œuvres en dépôt
4 000 œuvres présentées en permanence
Label
Bâtiment
Architecte
Protection
Localisation
Pays
Commune
Adresse
Coordonnées
Carte

Le musée d'Orsay (officiellement « établissement public du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie – Valéry Giscard d'Estaing » depuis 2021) est un musée national français inauguré en 1986.

Situé dans le 7e arrondissement de Paris le long de la rive gauche de la Seine, en surplomb de la promenade Édouard-Glissant, il est installé dans l'ancienne gare d'Orsay, construite par Victor Laloux de 1898 à 1900 et réaménagée en musée sur décision du président de la République Valéry Giscard d'Estaing. Ses collections présentent l'art occidental de 1848 à 1914, dans toute sa diversité : peinture, sculpture, arts décoratifs, art graphique, photographie, architectureetc. Il est l'un des plus grands musées d'Europe pour cette période.

Le musée possède la plus importante collection de peintures impressionnistes et postimpressionnistes au monde, avec près de 1 100 toiles[3] au total sur plus de 3 650 en sa possession. Le public peut y voir des chefs-d'œuvre de la peinture et de la sculpture comme Le Déjeuner sur l'herbe et l'Olympia d'Édouard Manet, une épreuve de La Petite Danseuse de quatorze ans de Degas, L'Origine du monde, Un enterrement à Ornans, L'Atelier du peintre de Courbet, Les Joueurs de cartes de Cézanne ou encore cinq tableaux de la Série des Cathédrales de Rouen de Monet et Bal du moulin de la Galette de Renoir.

Des expositions temporaires monographiques ou thématiques concernant périodiquement l'œuvre d'un artiste, un courant ou une question d'histoire de l'art sont souvent mises en place. Un auditorium accueille des manifestations diversifiées, concerts, cinéma, théâtre d'ombres, conférences et colloques et des spectacles spécifiquement destinés à un jeune public.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Le musée, ainsi que tous les bâtiments qui le précèdent à cet emplacement, tient son nom du quai adjacent : le quai d'Orsay. Celui-ci est nommé en l'honneur de Charles Boucher d'Orsay, le prévôt des marchands qui le fait construire[4].

Sur le plan juridique, le musée de l'Orangerie, alors service à compétence nationale, est rattaché en 2010 à l'établissement public du musée d'Orsay, les deux entités formant dès lors l'« établissement public du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie »[5]. Le nom de l'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing, à l’origine du lancement du musée d’Orsay, est accolé à cette dénomination en 2021[6].

Historique[modifier | modifier le code]

Galerie du musée d'Orsay.

Le musée est situé à l'emplacement du palais d'Orsay, édifié à partir de 1810 et décoré de fresques de Théodore Chassériau[7], qui accueille en 1840 le Conseil d'État au rez-de-chaussée puis, deux ans plus tard la Cour des comptes au premier étage. Il est incendié en 1871 pendant la Commune de Paris et laissé à l'état de ruines jusqu'à la construction par Victor Laloux de la gare d'Orsay, ancien terminus de la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans, pour accueillir les visiteurs et les délégations étrangères de l'exposition universelle de 1900. Son parvis a été aménagé en 1985 et doté de plusieurs statues en fonte de fer autrefois dorées, dont le groupe dit Statues des six continents, initialement installé sur la terrasse du palais du Trocadéro, et 3 des 4 statues d'animaux qui étaient autour de la fontaine, à partir de l'exposition universelle de 1878[8].

Le musée d’Orsay a ouvert ses portes dans la gare reconvertie, le . Afin de permettre sa transformation en un musée des arts du XIXe siècle, selon la volonté du président de la République Valéry Giscard d'Estaing, le bâtiment a été reconfiguré de 1983 à 1986 par les architectes Renaud Bardon, Pierre Colboc et Jean-Paul Philippon (agence ACT Architecture), lauréats d'un concours d’architecture organisé en 1979, rejoints ensuite par l’architecte d’intérieur italienne Gae Aulenti.

Dans la nuit du , lors de la Nuit Blanche, des individus s’introduisent dans le musée et endommagent gravement un tableau de Claude Monet, Le Pont d'Argenteuil, datant de 1874, qu'ils déchirent sur 10 cm[9]. Le tableau a depuis été restauré.

Tokujin Yoshioka, Water Block (2002).

Un réaménagement partiel des espaces du musée décidé par son ancien directeur Guy Cogeval a été inauguré le à l'occasion des 25 ans du musée d'Orsay, après deux ans de travaux et un budget total de 20 millions d'euros. Il comprend la création du Pavillon Amont sur cinq niveaux supplémentaires de 2 000 m2 destinés aux arts décoratifs classés par affinité de pays, la rénovation de la galerie impressionniste dotée de bancs en verre massif du designer japonais Tokujin Yoshioka, celle du Café de l'horloge entièrement redésigné par les frères Campana et une nouvelle salle d’exposition temporaire[10].

L'importante collection de 293 œuvres (187 en et 106 en ), donnée sous réserve d'usufruit par les collectionneurs américains Spencer et Marlene Hays, ajoutée aux donations de Philippe Meyer et de Zeïneb et Jean-Pierre Marcie-Rivière a entraîné le lancement de nouveaux travaux. Le projet Orsay Grand Ouvert, qui prévoit de consacrer l'intégralité du musée aux collections et au public, bénéficie également d'une donation anonyme d'origine américaine de 20 millions d'euros pour créer en 2024 des ateliers pédagogiques de 650 m2 au 4e étage et en 2026 une nouvelle galerie de 1 200 m2 côté rue de Lille, qui permettra une présentation plus approfondie des chefs-d’œuvre impressionnistes et postimpressionnistes de Monet, Manet, Degas, Cézanne Van Gogh, Gauguin, Bonnard ou Vuillard, en occupant des bureaux et les locaux actuels de la bibliothèque et de la documentation du musée[11]. Au préalable, avec l'aide d'une donation de 5 millions d'euros de Daniel Marchesseau, fruit de la vente d'une collection de 18 sculptures de François-Xavier et Claude Lalanne[12], des travaux ont été engagés fin 2018 pour relocaliser en 2024 le Centre de ressources et de recherche du musée d'Orsay, avec le futur Centre d’études des Nabis et du Symbolisme, dans la partie ouest de l’hôtel de Mailly-Nesle située dans l'îlot voisin au 31 quai Voltaire, qui était occupée jusqu’alors par la Documentation française[13],[14].

Façade du musée d’Orsay

Collections[modifier | modifier le code]

Arts décoratifs[modifier | modifier le code]

Alexandre Charpentier, boiseries de la salle à manger d'Adrien Bénard, acajou, chêne, peuplier, bronze doré et grès émaillé (1900-1901).

Le musée des Arts décoratifs, inauguré au pavillon de Marsan du Louvre en 1905, avait initialement été envisagé en 1879 sur l’emplacement attribué à la gare d’Orsay en 1897, qui retrouvera finalement cette vocation de musée en 1986. La Porte de l'Enfer de Rodin, dont le plâtre est visible au niveau médian - terrasse Rodin, devait en constituer l'entrée monumentale.

Dès 1977, une collection d’objets d’arts décoratifs de la période 1848-1914 a été constituée pour le musée d’Orsay. Hormis la salle à manger Charpentier de 1900, reconstituée dans un espace propre (period room), les meubles et les objets sont montrés hors de leur contexte. Constituée d’œuvres représentatives de la production de céramique, de verrerie, de joaillerie et de mobilier, cette collection témoigne de la mutation de la production d’objets d’art liée à la révolution industrielle, celle des beaux-arts appliqués à l’industrie. Elle compte quelques chefs-d’œuvre longtemps méconnus ou mal considérés et présente aussi des pièces attestant l’exceptionnelle qualité des industries de luxe de cette époque. Le découpage muséographique des collections d’objets d’art distingue par leur localisation ceux produits sous le Second Empire (1852-1870) et dans les deux premières décennies de la Troisième République (1870-1940) de ceux correspondant au style Art nouveau (à partir de 1890).

Peinture[modifier | modifier le code]

Le musée d'Orsay expose et conserve la plus grande collection de peintures impressionnistes (plus de 480 toiles)[15] et post-impressionnistes (plus de 600 toiles[3] cloisonnistes, néo-impressionnistes, symbolistes, nabis...) au monde, ainsi que de remarquables ensembles de peintures de l'école de Barbizon, réalistes, naturalistes, orientalistes et académiques, y compris des écoles étrangères. Près de 5 190 peintures composent la collection, mais de nombreuses œuvres, dont près de 1 690 peintures, incluant une centaine non localisées, volées ou détruites, ont été déposées dans des musées de province ou édifices publics sur un total de 5 272 dépôts[16], telles que 24 des 70 peintures de Maurice Denis[17] 22 des 95 peintures de Vuillard, 21 des 88 peintures de Bonnard, 19 des 83 peintures de Renoir ou 17 des 87 peintures de Monet.

Cette liste non exhaustive répertorie les principaux peintres représentés au musée d'Orsay avec le nombre de leurs peintures conservées dans les collections ainsi que le titre des principales d'entre elles, qu'elles soient ou non exposées, compte tenu du renouvellement régulier des accrochages. Cette liste mentionne également les pastels, pour les artistes concernés : en effet, bien que n'appartenant pas au département des peintures, un certain nombre de pastels sont exposés dans les collections permanentes du musée. La collection comprend également 22 985 dessins d'architecture et d'art décoratifs et 45 003 photographies, depuis 2010, un petit nombre de dessins d'artistes (154 au ), notamment pour ne pas être séparés de peintures offertes par certains donateurs, alors que jusqu'alors ils étaient tous déposés au département des arts graphiques du musée du Louvre, qui au conserve 55 723 dessins du « Fonds des dessins et miniatures, collection du musée d'Orsay »[18].

Artistes[modifier | modifier le code]

Sculpture[modifier | modifier le code]

La collection de sculptures compte 1 592 oeuvres, outre 695 dépôts en France et à l'étranger.

Néoclassicisme[modifier | modifier le code]

Romantisme[modifier | modifier le code]

Éclectisme du Second Empire[modifier | modifier le code]

Éclectisme de la IIIe République[modifier | modifier le code]

  • Jean-Paul Aubé (Longwy, 1837-Cap Breton, 1916)
    • Dante Alighieri, 1879, bronze
  • Théophile Barrau (Carcassonne, 1848-Paris, 1913)
    • Suzanne, 1895, marbre
  • Louis-Ernest Barrias (Paris, 1841-1905)
    • Buste de Georges Clairin, peintre, 1875, terre cuite
    • Les nubiens (Les chasseurs d'alligators), 1894, haut-relief en plâtre
    • La Nature se dévoilant à la Science, 1899, marbre, onyx, granit, malachite, lapis-lazuli
  • Frédéric Auguste Bartholdi (Colmar, 1834-Paris, 1904)
  • Jules Coutan (Paris, 1848-1939)
    • Les Chasseurs d’aigles, 1900, plâtre
  • Alexandre Falguière (Toulouse, 1831-Paris, 1900)
    • Asie de la série des six continents, 1878, fonte, parvis du musée
    • Danseuse, Cléo de Mérode, vers 1896, plâtre moulé sur nature
  • Emmanuel Frémiet (Paris, 1824-1910)
    • Jeune éléphant pris au piège, 1878, fonte, parvis du musée
    • Saint-Michel terrassant le dragon, 1897, agrandissement en cuivre martelé
  • Jean-Léon Gérôme (Vesoul, 1824-Paris, 1904)
    • Gérôme exécutant "Les Gladiateurs", 1878-1909, bronze
    • Tanagra, 1890, marbre polychrome
    • Buste de Sarah Bernhardt, vers 1895, marbre teinté
    • Corinthe, avant 1903, plâtre polychrome, cire, métal
  • Alfred Gilbert (Londres, 1854-Londres, 1934)
    • Saint Georges, 1901–1910, bronze et ivoire
  • Jean-Baptiste Hugues (Marseille, 1849-Paris, 1930)
    • Œdipe à Colone, 1885, marbre
    • La Muse de la source, 1900, fonte, marbre, bronze
    • Buste de Mlle Rateau, 1915-1930, plâtre patiné
    • La Vigne, sans date, terre-cuite
  • Denys Puech (Gavernac, 1854-Rodez, 1942)
    • Sirène, 1889, marbre
    • L’Aurore, 1900, marbres blanc et rose
  • René de Saint-Marceaux (Reims, 1845-Paris, 1915)
    • Génie gardant le secret de la tombe, 1879, marbre

Réalisme[modifier | modifier le code]

  • Honoré Daumier (Marseille, 1808-Valmondois, 1879)
    • Célébrités du Juste Milieu, vers 1832, 36 bustes caricatures en terre crue coloriée
    • Ratapoil, vers 1851, bronze
  • Jules Dalou (Paris, 1838-1902), 91 sculptures dont :
    • Le Forgeron, 1886, étude, plâtre patiné
    • La République, 1879, esquisse en terre cuite
    • Le Grand paysan, 1904, bronze
  • Vincenzo Gemito (Naples, 1852-1929)
    • Meissonier, 1878-1879, buste en cire
    • Porteur d'eau, 1881, bronze
  • Ernest Meissonier (Lyon, 1815-Paris, 1891)
    • Le Voyageur, 1878-1890, cire, tissu, cuir et bois
    • Muse dansant, 1893, bronze
  • Constantin Meunier (Etterbeek, 1831-Ixelles, 1905)
    • L'Industrie, 1892-1896, relief en bronze
    • La Moisson, 1895, relief en bronze
  • Henri Bouchard (Dijon, 1875-Paris, 1960)
    • Le Débardeur, 1905, bronze
  • Bernhard Hoetger (Hörde, 1874-Beatenburg, 1949)
    • La Machine humaine, 1902, bronze
  • Herbert Ward (Londres, 1863-Neuilly-sur-Seine, 1919)

Impressionnisme et Auguste Rodin[modifier | modifier le code]

  • Edgar Degas (Paris, 1834-1917), 76 sculptures dont :
    • La Petite Danseuse de quatorze ans, 1921-1931 d’après l’original de 1881, bronze, tulle, satin
    • Danseuse regardant la plante de son pied droit, 1921-1931, bronze
    • Danseuse, grande arabesque, troisième temps, 1921-1931, bronze
    • Femme assise dans un fauteuil s'essuyant l'aisselle gauche, 1921-1931, bronze
    • Jockey, 1921-1931, bronze
    • Cueillette des pommes, 1921-1931, bas-relief en bronze
    • Le tub, 1921-1931, bronze
  • Auguste Renoir (Limoges, 1841-Cagnes-sur-Mer, 1919) et Richard Guino (Gérone, 1890-Antony, 1973), 8 sculptures et objet d'art dont :
    • Venus Vitrix, 1914-1916, plâtre patiné gomme-laqué
    • Jugement de Pâris, 1914, plâtre
    • Madame Renoir, 1916, mortier polychrome
    • Eau, 1916, bronze
    • Feu, après 1916, bronze
  • Auguste Rodin (Paris, 1840-Meudon, 1917), 26 sculptures dont :
    • L'Hiver, 1890, marbre
    • Buste de Madame Vicuna, 1917, bronze
    • Buste de Jules Dalou, 1917, bronze
    • L'Âge d'airain, 1877, bronze
    • Buste de Jean-Paul Laurens, 1917, bronze
    • La Pensée (portrait de Camille Claudel), 1886-1889, marbre
    • Fugit amor, circa 1881, petit groupe en bronze
    • Monument à Balzac, 1898, modèle en plâtre
    • Saint Jean-Baptiste, 1878, bronze
    • l'homme qui marche, 1905, bronze
    • La Porte de l'Enfer, 1880-1917, Haut-relief en plâtre
  • Camille Claudel (Fère-en-Tardenois, 1864-Avignon, 1943)
    • L'Âge mur, vers 1902, bronze
    • Torse de Clotho, vers 1893, plâtre
    • Tête de vieille femme, étude pour L'Âge mûr, vers 1890, plâtre
    • Étude II pour Sakountala, vers 1886, terre cuite
  • Medardo Rosso (Turin 1858-Milan, 1928)
    • Aetas Aurea, 1886, bronze
    • Ecce puer, 1906, bronze
  • Anders Zorn (Mora, 1860-1920)
    • Figure pour une fontaine II, 1910, bronze

Primitivisme[modifier | modifier le code]

  • Paul Gauguin (Paris, 1848-Atuana, îles Marquises, 1903), 31 sculptures et objets d'art dont :
    • Soyez mystérieuses, 1890, bois de tilleul polychrome
    • Masque de Tehura, 1891-1893, bois de pua polychrome
    • Idole à la coquille, 1892-1893, bois de fer, nacre et os
    • Idole à la perle, 1892-1893, bois peint et doré, perle et chaînette en or
    • Oviri (Sauvage), 1894, grès partiellement émaillé
    • Maison du jouir, 1901, 5 reliefs en bois peint de sequoia gigantéa.
  • Georges Lacombe (Versailles, 1868-Saint-Nicolas des Bois, 1916), 6 sculptures dont :
    • La Naissance, 1894-1896, bois de noyer
    • L'Existence, 1894-1896, bois de noyer
    • Isis, vers 1895, acajou polychrome

Symbolisme[modifier | modifier le code]

  • Albert Bartholomé (Thiverval, 1848-Paris, 1928)
    • Fillette pleurant, 1894, bronze.
  • Marie Bashkirtseff (Gawronzi, 1860-Paris, 1884)
    • La douleur de Nausicaa, 1884, bronze.
  • Boleslas Biegas (Koziczyn, 1877-Paris, 1954)
    • Le Sphinx, 1902, relief en plâtre.
  • Leonardo Bistolfi (Casale Monferrato, 1859-Turin, 1933)
    • Le Berceau, 1906, plâtre,
  • Arnold Böcklin (Bâle, 1827-San Domenico, 1901)
    • Bouclier avec le visage de Méduse, 1897, papier mâché peint.
  • Rupert Carabin (Saverne, 1862-Strasbourg, 1932)
    • La Légende savernoise, 1914, bois de poirier.
  • Jean Carriès (Lyon, 1855-Paris, 1894)
    • Évêque, 1883-1889, bronze.
    • Loyse Labé, vers 1990, grès.
    • Faune, 1893, bronze.
  • Alexandre Charpentier (Paris, 1856- Neuilly, 1909)
    • Louis Welden Hawkins, 1893, bronze.
  • Henry Cros (Narbonne, 1840-Sèvres, 1907)
    • L'histoire de l'eau, 1894, bas-relief en pâte de verre.
  • Jean Dampt (Venarey, 1853-1946)
    • Vers l’idéal par la souffrance, 1900-1906, marbre rosé de Comblanchien.
  • Paul Dardé (Olmet, 1888-Lodève, 1963)
    • L’Éternelle Douleur, 1913, gypse.
  • Alfred Drury (Londres, 1859-Wimbledon, 1944)
    • L'Esprit de la nuit, 1898-1905, bronze.
  • Fernand Khnopff (Montigny-le-Bretonneux, 1858-Bruxelles, 1921)
    • Futur, 1898, marbre, laiton et cuivre.
  • Max Klinger (Leipzig, 1857-Grossjena, 1920)
    • Cassandre, 1886-1900, bronze.
  • Maurice Maignan (Beaumont-sur-Sarthe, 1845-Saint-Prix, 1908)
    • Un gueux, 1897, statuette assise, bronze.
  • Pierre-Félix Masseau, (Lyon, 1869-Paris, 1937)
    • Le Secret, 1894, acajou polychrome et ivoire.
  • Franz Metzner (Wscherau, 1870-Berlin, 1919)
    • Le poids du Chagrin, vers 1912, plâtre patiné noir
  • Carl Milles (Lagga, 1875-Lidingö, 1955)
    • Jeune fille avec un chat, vers 1900, bronze.
    • Mendiante, vers 1900, bronze.
    • La Lutte pour la vie, avant 1929, bronze et marbre
  • George Minne (Gand, 1866-Laethem-Saint-Martin, 1941)
    • Le Maçon, 1897, marbre
    • Porteur d'outre, 1897, bronze
    • Agenouillé à la fontaine, vers 1898, bronze.
  • Pierre Roche (Paris, 1855-1922)
  • Augustus Saint-Gaudens (Dublin, 1848-Cornish, 1907)
    • Amor caritas, 1885-1898, bronze.
  • Franz von Stuck (Tettenweis, 1863-Munich, 1928)
    • Ludwig van Beethoven, 1900, plâtre polychrome
  • Ville Vallgren (Porvoo, 1855-Helsinki, 1940)
    • La Douleur, vers 1893, calcaire oolithique polychrome.
    • Mendiante et son enfant ou Misère, 1892, bronze.
    • Christ, circa 1889, plâtre patiné.
  • Félix Vallotton (Lausanne, 1865-Neuilly-sur-Seine, 1925)
    • Femme retenant sa chemise, 1904, bronze
  • Adolfo Wildt (Milan, 1868-1931)
    • Vir temporis acti, 1921, bronze.

Sculpture animalière[modifier | modifier le code]

  • Antoine-Louis Barye (Paris, 1795-1855), 34 sculptures dont :
    • Lion la patte levée sur un serpent, 1832, bronze
    • Deux ours se battant, 1833, bronze
    • Guerrier tartare à cheval, 1845, bronze
    • Lion assis, 1847, plâtre gomme-laqué
    • L'ordre, 1854-1855, plâtre, bois
    • La guerre, 1855, plâtre, bois
  • Émile-Coriolan Guillemin (Paris, 1841-1907)
  • Henri-Alfred Jacquemart (Paris, 1824-1896)
    • Rhinocéros, 1878, fonte, parvis du musée
  • Rembrandt Bugatti, (Milan, 1884-Paris, 1916), 61 sculptures dont :
    • Panthère marchant, vers 1904, plâtre
    • Eléphant blanc, 1907, bronze
    • Girafes, 1907, plâtre
    • Lion de Nubie, vers 1911, plâtre
    • Deux lamas, 1911, bronze
  • François Pompon, (Saulieu, 1855-Paris, 1933), 131 sculptures dont :
    • Ours blanc, 1925, pierre de Lens[22]
    • Ours blanc, 1920, ébauche en plâtre
    • Ours blanc, 1927, bronze
    • Hippopotame, 1918-1931, bronze
    • Grue cendrée, 1920, bronze
    • Chouette, 1923, bronze
    • Grand cerf, 1929, plâtre
  • Pierre Louis Rouillard, (Paris, 1820-1881)
    • Cheval à la herse, 1878, fonte de fer, parvis du musée

Retour au style[modifier | modifier le code]

  • Antoine Bourdelle (Montauban, 1861-Le Vésinet, 1929)*/
    • Apollon, 1909, bronze doré
    • Pénélope, (1907-1926), bronze
    • La Force de la volonté, (1914-1915), bronze, parvis du musée
    • La Victoire, (1914-1915), bronze, parvis du musée
    • Héraklès archer, 1909, bronze et dorure, d'après la deuxième version de 1923, fondue par Eugène Rudier en 1924
    • Baigneuse sur un rocher, bronze
    • L’Offrande, bronze
  • Albert Bartholomé (Thiverval, 1848-Paris, 1928)
    • Buste de Federico Zandomenighi, peintre, 1890, plâtre
  • Joseph Bernard (Vienne, 1866-Boulogne-Billancourt, 1931)
    • Porteuse d’eau, 1912, bronze
    • La Danse, 1911-1913, relief en marbre
  • Aristide Maillol (Banyuls-sur-Mer, 1861-1944)
    • Eve à la pomme, (1899), bronze
    • Baigneuse debout, (1900), bronze
    • Méditerranée ou la Pensée, 1905-1927, marbre
    • Île-de-France, 1925-1933, pierre
    • Baigneuse aux bras relevés, 1900, bronze
    • Le Désir, 1905-1907, relief en plomb
    • L'Ile-de-France , 1925, pierre

Photographie[modifier | modifier le code]

La collection de photographie du musée d'Orsay, qui a été entièrement constituée ex nihilo à partir de la fin des années 1970, compte 45 003 œuvres fin 2020. Lorsque le projet de transformer l'ancienne gare d'Orsay en musée du XIXe siècle a été prise, aucun musée des beaux-arts en France ne possédait encore de section consacrée à la photographie.

Il est en effet apparu que cette invention majeure du XIXe siècle devait avoir sa place dans le futur musée[23].

Les œuvres de nombreux photographes sont ainsi conservées dans les collections du Musée d'Orsay, parmi lesquelles celles d'Hippolyte Bayard, Édouard Baldus, Christian Bérard, Louis-Jacques-Mandé Daguerre, Céline Laguarde, Félix Nadar, Nicéphore Niépce, Constant Alexandre Famin

Depuis , la photographie des œuvres exposées dans le musée est autorisée, mais la prise de photo avec un flash ou un trépied n'est en revanche pas permise[24],[25].

Statut et direction[modifier | modifier le code]

Le musée d'Orsay était un service à compétence nationale du ministère de la culture (Direction des Musées de France) jusqu'à sa transformation en établissement public administratif en 2004[26], au sein duquel est également regroupé le musée Hébert.

Jusque-là également service à compétence nationale, le musée de l'Orangerie est rattaché en à l'établissement public du musée d'Orsay : le nouveau nom est « établissement public du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie »[5],[27]. En 2021, le gouvernement ajoute à ce nom celui de l'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing, mort l’année précédente[28], sans que cette décision ne modifie la dénomination des musées eux-mêmes[6].

La direction est assumée par le président du conseil d'administration, ce dernier étant chargé de voter le budget et de déterminer la politique de gestion (tarifs, emplois). Le conseil scientifique et la commission des acquisitions valident quant à eux la politique culturelle du musée[29].

Directeurs / présidents[modifier | modifier le code]

Expositions temporaires et accrochages[modifier | modifier le code]

Expositions temporaires[modifier | modifier le code]

2023

2022

2021

  • Signac collectionneur, - [62],[63],[64]
  • Enfin le cinéma ! Arts, images et spectacles en France (1833-1907), - [65],[66],[67]
  • Les origines du mondes. L'invention de la nature au XIXe siècle, - [68],[69]
  • Girault de Prangey photographe (1804-1892), - [70],[71]
  • Modernités suisses (1890-1914), - [72],[73]

2020

Accrochages[modifier | modifier le code]

2024

2023

  • Gustave Eiffel, bâtisseur de ponts, 31 octobre 2023 - 4 février 2024[227]
  • Un modèle et ses images. Les albums de Lili Grenier, 3 octobre 2023 - 14 janvier 2024[228]
  • Blanche Derousse, 19 septembre 2023 - 14 janvier 2024[229]
  • Soyer, une lignée d’émailleurs parisiens, vers 1867-1914, 14 juillet 2023 - 22 octobre 2023[230]
  • Accro-chat-ge, 20 mai 2023 - 10 septembre 2023[231]
  • Un nouveau regard sur la ville, 31 mars 2023 - 9 juillet 2023[232]
  • Victor Albert Prout photographe. Panoramas de la Tamise, 16 mars 2023 - 27 août 2023[233]
  • Maurice Denis. Les Amours de Marthe, 10 janvier 2023 - 14 mai 2023[234]

2022

  • Architecture de la santé et de la bienfaisance, 16 décembre 2022 - 28 mars 2023[235]
  • Dans les coulisses de l’atelier. Jacques de Lalaing, peintre, sculpteur et… photographe, 28 septembre 2022 - 08 janvier 2023[236]
  • Paul Helleu (1859-1927) : portraits et intimité, 20 septembre 2022 - 1er janvier 2023[237]
  • Les pavillons nationaux aux expositions universelles. Un musée de plein-air des identités, 9 septembre 2022 - 13 décembre 2022[238]
  • Don en mémoire de Bruno Foucart (1938-2018), 8 juin 2022 - 6 novembre 2022[239]
  • Glasgow 1870, Thomas Annan. Photographie et salubrité publique, 8 juin 2022 - 4 septembre 2022[240]
  • Mariano Fortuny y Marsal, la mémoire de l'Orient, 24 mai 2022 - 11 septembre 2022[241]
  • Les expositions universelles, un terrain de jeu architectural, 17 mai 2022 - 4 septembre 2022[242]
  • Les années heureuses. Denise photographiée par son père Émile Zola, 3 février 2022 - 29 mai 2022[243]

2021

2020

  • Le chantier du Nouvel Opéra (II), 20 septembre 2020 - 21 janvier 2021[248]
  • Les Halles centrales de Paris, 23 juin 2020 - 23 octobre 2020[248]
  • Jardins pour tous, jardins pour soi : l’emprise humaine sur la nature au XIXe siècle, 23 juin 2020 - 9 octobre 2020[248]
  • Ruptures, 14 janvier 2020 - 16 mars 2020[248]
  • Le chantier du Nouvel Opéra (I), 21 janvier 2020 - 20 avril 2020[248]

Lectures contemporaines[modifier | modifier le code]

2023

  • Peter Doig, reflets du siècle, 17 octobre 2023 - 21 janvier 2024[261]
  • Claude Rutault, d'après les maîtres, la porte de la peinture, 18 avril 2023 - 16 juillet 2023[262]

2022

2021

Expositions hors-les-murs[modifier | modifier le code]

2023

  • Renoir. Le peintre et ses modèles, 22 septembre 2023 - 7 janvier 2024[284], musée des beaux-arts, Budapest, Hongrie
  • Autoportraits. De Cézanne à Van Gogh. Collections du musée d’Orsay et des musées d’Auvergne-Rhône-Alpes, 29 avril 2023 - 17 septembre 2023, musée Crozatier, Puy-en-Velay[285],[286]

2022

  • Impressionnisme. La modernité en mouvements, 12 octobre 2022 - 5 février 2023, Louvre Abu Dhabi, Abou Dabi, Émirats arabes unis[287]
  • Les Arpenteurs de rêves. Dessins du musée d'Orsay, 2 juillet 2022 - 1er novembre 2022, Palais Lumière, Évian[288],[289] ; 13 décembre 2022 - 13 mars 2023, musée des beaux-arts, Quimper[290]

Sociétés d'amis du Musée d'Orsay[modifier | modifier le code]

Créée en 1980, la Société des Amis du Musée d’Orsay et de l'Orangerie est une association régie par la loi de 1901, reconnue d'utilité publique. Elle regroupe des amateurs d’art de la seconde moitié du XIXe siècle (1848-1914) et compte plus de 650 membres actifs. Elle a pour but d’enrichir les collections du Musée d’Orsay et de favoriser son rayonnement ainsi que celui du musée de l'Orangerie à travers le monde[403].

En 2009 a été créée la Société des American friends of the Musée d'Orsay[404]. Cette organisation caritative à but non lucratif, a pour vocation de promouvoir auprès du public américain la richesse et la connaissance des arts de la fin du XIXe siècle en soutenant les collections, les expositions et les programmes du Musée d'Orsay et du Musée de l’Orangerie, en particulier quand ces actions présentent un rapport direct avec les États-Unis. La société des AFMO compte à ce jour plus de 250 adhérents.

Les musées d'Orsay et de l'Orangerie ont créé le Cercle des Femmes Mécènes en [405]. Cette initiative est le fruit de la mobilisation de plus de 120 femmes et du soutien de 7 réseaux influents. Le Cercle a pour but, via la contribution de particuliers ou d'entreprises, de financer des projets issus de la programmation des musées d'Orsay et de l'Orangerie, dédiés aux femmes. Il s'agit également de sensibiliser les acteurs économiques à différents enjeux autour de la place des femmes dans la société (parité, égalité professionnelle, éducation…) et de créer, sur le long terme, une véritable plateforme d'échanges de référence.

Les musées d'Orsay et de l'Orangerie et la Chambre de Commerce Italienne pour la France ont créé le Cercle Italien des Mécènes. Ce Cercle réunit des entreprises italiennes désireuses de soutenir les projets engagés par les musées. Cette fondation s'inscrit dans une relation étroite entre l'Italie et le musée d'Orsay.

Musées partenaires[modifier | modifier le code]

Depuis 2009, le musée d'Orsay a signé quatre partenariats avec des musées en province, ce rôle de parrain est de bâtir un partenariat scientifique et d'obtenir plus facilement des prêts du musée[406].

Publications[modifier | modifier le code]

Le musée d'Orsay est également coéditeur d'ouvrages.

Bande dessinée[modifier | modifier le code]

  • Christophe Chabouté, Musée, coédition Vents d'Ouest et Musées d'Orsay et de l'Orangerie, 2023.
  • Catherine Meurisse, Moderne Olympia, coédition Futuropolis et Musées d'Orsay et de l'Orangerie, 2014.
    L'ouvrage fait référence au célèbre tableau d'Édouard Manet de 1863 Olympia[407], conservé au musée d'Orsay. Cet album est la première bande dessinée publiée par le Musée d'Orsay, autour du fonds de ses œuvres. Son coéditeur Futuropolis le mentionne aussi sur sa notice de l'album : « À l’instar de celle qui existe avec le Louvre, une nouvelle collection est initiée avec le musée d’Orsay, et c’est Catherine Meurisse qui l’inaugure[408] ».
  • Manuele Fior, Les Variations d'Orsay, coédition Futuropolis et Musées d'Orsay et de l'Orangerie, 2015.
  • Stéphane Levallois, Les Disparues d'Orsay, coédition Futuropolis et Musées d'Orsay et de l'Orangerie, 2017.

Album[modifier | modifier le code]

Clip vidéo[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

En 2006, à l'occasion du vingtième anniversaire du musée d'Orsay, le président du musée, Serge Lemoine, commande au producteur François Margolin quatre films avec pour contrainte de faire apparaître le prestigieux édifice[412],[413] :

Accessibilité[modifier | modifier le code]

Le site est desservi par la gare du Musée d'Orsay (ligne C du RER) qui se trouve au sous-sol et par la station de métro Solférino (ligne 12) distante de 300 m. Il est possible d'accéder au Musée d'Orsay en Batobus par le Quai de Solférino.

Fréquentation[modifier | modifier le code]

Millions de visiteurs par an[2]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Au . La rubrique des 10 932 objets divers du catalogue en ligne inclut des documents d'archives comprenant de nombreux échantillons, photographies et dessins, anciens comme contemporains.
  2. a et b Quelques chiffres, la fréquentation, site musee-orsay.fr.
  3. a et b Non compris les 414 peintures, esquisses et études du fonds d'atelier du peintre symboliste Alphonse Osbert.
  4. Charles Duplomb, La rue du Bac : monographie parisienne, J. Mersch (Paris), , 192 p. (lire en ligne).
  5. a et b « Décret n° 2010-558 du 27 mai 2010 relatif à l’Établissement public du musée d’Orsay et du musée de l’Orangerie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur musee-orsay.fr, (consulté le ).
  6. a et b Philippe Baverel, « Paris : vrai faux changement de nom au musée d'Orsay », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
  7. Le musée du Louvre conserve une partie des fresques de Chassériau détachées du grand escalier, notamment dans les dernières salles du département des sculptures françaises.
  8. Statues devant le musée d'Orsay sur le site Paris 1900, consulté le .
  9. Ivres, ils endommagent un Monet TF1.
  10. Les nouveaux espaces du musée d'Orsay, ministère de la culture, , site culture.gouv.fr.
  11. Lancement du projet de transformation Orsay Grand Ouvert grâce à un don anonyme de 20 millions d’euros, Musée d'orsay, communiqué de presse du 5 mars 2020, site epmo-musees.fr.
  12. 5 millions, Le don de Daniel Marchesseau au Centre de recherches du musée d’Orsay, Le quotidien de l'art, Jade Pillaudin, 31 mars 2022, site lequotidiendelart.com.
  13. Rapport annuel d'activité 2018 de l'OPPIC, direction de la communication de l'OPPIC, , p. 25, site oppic.fr.
  14. Deuxième donation Hays à la France, site musee-orsay.fr.
  15. En incluant les 65 toiles de Gauguin, Van Gogh et Toulouse Lautrec.
  16. 5 670 œuvres de toutes catégories étaient en dépôt en province ou à l'étranger selon le rapport annuel d'activité 2018 du musée, p. 93.
  17. Lors d'une recherche des « peintures » d'un artiste dans le catalogue en ligne du musée, il y a lieu de déduire les quelques dépôts de collections particulières (Picasso), ainsi que la « désignation : dessin », car depuis 2010 certains dessins d'artistes sont conservés au musée d'Orsay et non plus seulement au Louvre.
  18. Les collections du département des arts graphiques du musée du Louvre, puis sélectionner le "Fonds", sur arts-graphiques.louvre.fr.
  19. 49 peintures en comptant tous les panneaux du paravent L'Éternel Été.
  20. « Odilon Redon. Le Char d'Apollon », sur musee-orsay.fr.
  21. « Vincent Van Gogh : L'Arlésienne en 1888 », sur musee-orsay.fr (consulté le ).
  22. Selon un nouvel exemplaire du plâtre original de 1922, « retravaillé en 1927-1928 » et aujourd'hui exposé au musée de l'Homme.
  23. Voir l'historique de la constitution de la collection de photographie sur le site officiel du musée d'Orsay.
  24. « Le musée d’Orsay autorise les photos... grâce à un tweet de Fleur Pellerin ? », sur metronews.fr/, (consulté le ).
  25. « Le musée d'Orsay interdisait les photos... jusqu'à Fleur Pellerin », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  26. Décret reproduit sur le site du musée d'Orsay.
  27. Article du site Artclair.
  28. « Dénomination de l'Etablissement public du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie - Valéry Giscard d'Estaing : Communiqué de presse du ministère de la culture », sur gouvernement.fr, .
  29. Statut sur le site du musée d'Orsay.
  30. Arrêté du ministre de la culture et de la communication en date du , publié au Journal officiel de la République française le (nomination du directeur de l’établissement public du musée du XIXe siècle à compter du ).
  31. Décret du portant nomination du directeur du musée d'Orsay.
  32. Décret du portant nomination du directeur du musée d'Orsay.
  33. Arrêté du portant nomination par intérim du directeur du musée d'Orsay.
  34. Décret du portant nomination du directeur du musée d'Orsay.
  35. Décret du portant nomination du président de l'Établissement public du musée d'Orsay.
  36. Décret du portant nomination du président de l'Établissement public du musée d'Orsay - M. Lemoine (Serge).
  37. Décret du portant nomination du président de l'Établissement public du musée d'Orsay - M. Cogeval (Guy).
  38. Décret du portant nomination du président de l'Établissement public du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie - M. Cogeval (Guy).
  39. « Laurence Des Cars à Orsay : la nouvelle présidente, c'est elle ! », sur France Culture, (consulté le ).
  40. « Christophe Leribault prend la tête du Musée d'Orsay », sur LEFIGARO (consulté le ).
  41. « Van Gogh à Auvers-sur-Oise, les derniers mois », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  42. « Louis Janmot. Le Poème de l'âme », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  43. « Manet / Degas », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  44. Elisabeth Santacreu, « Manet et Degas, l’attraction des contraires », Le Journal des arts,‎ (lire en ligne, consulté le )
  45. Guillaume Morel, « Manet et Degas au musée d’Orsay : « Jamais autant de chefs-d’œuvre de l’un et de l’autre n’ont été réunis ». Entretien avec les commissaires de l’exposition », Connaissance des arts,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le )
  46. « Pastels du musée d'Orsay », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  47. Guy Boyer, « Le musée d’Orsay célèbre la couleur pure et ses chimères en 100 chefs-d’œuvre », Connaissance des arts,‎ (lire en ligne, consulté le )
  48. « Rosa Bonheur (1822-1899) », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  49. Aude Lorriaux, « Musée d’Orsay : Pourquoi la peintre Rosa Bonheur « parle à notre époque » », 20 Minutes,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  50. (en) Elaine Sciolino, « Rich, Famous and Then Forgotten: The Art of Rosa Bonheur », The New York Times,‎ (lire en ligne, consulté le )
  51. (en) Chloë Ashby, « A legendary woman artist and her beautiful beasts: show on Rosa Bonheur's naturalist paintings opens in Paris », The Art Newspaper,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  52. « Edvard Munch. Un poème d'amour, de vie et de mort », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  53. Itzhak Goldberg, « Le symbolisme expressif d’Edvard Munch », Le Journal des arts,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  54. « Derrière "Le Cri", les femmes vampires et l'œuvre cyclique d'Edvard Munch à Paris », L'Express,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  55. Valérie Oddos, « Edvard Munch, un peintre de la vie, de l'amour et de la mort, au musée d'Orsay », franceinfo,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  56. « Munch à Paris : l’exposition qui vous emporte entre terreurs nocturnes et éblouissement solaire », Connaissance des arts,‎ (lire en ligne Accès limité)
  57. « Gaudí », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  58. « Aristide Maillol (1861-1944). La quête de l'harmonie », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  59. « Présentation exceptionnelle : James McNeill Whistler (1834-1903), Chefs-d’œuvre de la Frick Collection, New York », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  60. « Yves Saint Laurent aux musées », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  61. Charley Zaragoza, « « Yves Saint Laurent aux musées » : 6 musées parisiens organisent une immense exposition dédiée au couturier ! », Paris Secret,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  62. « Signac collectionneur » (consulté le ).
  63. « Signac, collectionneur hors pair », Les Échos,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  64. « La peinture de Signac, une aventure en bande », L'Obs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  65. « Enfin le cinéma ! Arts, images et spectacles en France (1833-1907) », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  66. Jean-Claude Seguin, « Le Musée d’Orsay remonte aux origines du cinéma », Le Monde.fr, Institut de recherches et d’études sur les mondes arabes et musulmans,‎ , p. 6–11 (lire en ligne, consulté le ).
  67. Stéphanie Belpeche, « Le musée d'Orsay rend hommage au cinéma à travers 400 œuvres », Le Journal du dimanche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  68. « Les origines du monde. L’invention de la nature au XIXᵉ siècle », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  69. Valérie Oddos, « "Les origines du monde" : les artistes et la science au XIXe siècle, au musée d'Orsay », sur France Infos Culture (consulté le ).
  70. « Girault de Prangey photographe (1804-1892) » (consulté le ).
  71. « Girault de Prangey, voyageur intrépide et pionnier du daguerréotype », sur Connaissance des Arts, (consulté le ).
  72. « Modernités suisses (1890-1914) », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  73. Étienne Dumont, « Le Musée d'Orsay met en valeur à Paris les "Modernités suisses" entre 1890 et 1914 », Bilan,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  74. « Léon Spilliaert (1881-1946). Lumière et solitude », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  75. « Léon Spilliaert et Martin Parr, deux expositions à voir quand les musées rouvriront », sur France Culture (consulté le ).
  76. « Aubrey Beardsley (1872-1898) », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  77. Harry Bellet, « Expo : la comète Aubrey Beardsley visible à Orsay », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le )
  78. Guy Boyer, « Orsay révèle les fantasmes décadentistes d’Aubrey Beardsley », Connaissance des arts,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  79. Antoine Oury, « L'illustrateur Aubrey Beardsley au cœur d'une exposition au Musée d'Orsay », ActuaLitté,‎ (lire en ligne, consulté le )
  80. « James Tissot (1836-1902), l'ambigu moderne », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  81. « Le musée d'Orsay rouvre avec James Tissot, peintre dandy inclassable et moderne », sur Franceinfo, (consulté le ).
  82. « Au pays des monstres. Léopold Chauveau (1870-1940) », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  83. « Joris-Karl Huysmans critique d'art. De Degas à Grünewald, sous le regard de Francesco Vezzoli », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  84. « "Joris Huysmans, critique d'art. De Degas à Grünewald, sous le regard de Francesco Vezzoli" au Musée d'Orsay / France Culture », sur France Culture (consulté le ).
  85. « Degas à l'Opéra », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  86. Condé Nast, « L'exposition "Degas à l'Opéra" ouvre au Musée d'Orsay », sur Vogue France, (consulté le ).
  87. « Berthe Morisot (1841-1895) », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  88. « Berthe Morisot, sauvage impressionniste », La Croix,‎ (lire en ligne).
  89. « Le Modèle noir, de Géricault à Matisse », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  90. Anahit Miridzhanian, « "Le modèle noir", une exposition qui a su trouver son public », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  91. « Black Models : De Géricault à Matisse, Exposition, Musée dOrsay, Paris: 26 mars 2019 - 14 juillet 2019 », sur Divento (consulté le ).
  92. « Le "Talisman" de Sérusier, une prophétie de la couleur », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  93. « Renoir père et fils. Peinture et cinéma », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  94. « Picasso. Bleu et rose », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  95. Mwood et Daphné Bétard, « "Picasso. Bleu et rose" au musée d’Orsay en 180 secondes chrono », Beaux Arts,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  96. « En couleurs, la sculpture polychrome en France 1850-1910 », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  97. « Âmes sauvages. Le symbolisme dans les pays baltes », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  98. Letizia Dannery, « Âmes sauvages. Le symbolisme dans les pays baltes », L'Express,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le )
  99. « Degas Danse Dessin. Hommage à Degas avec Paul Valéry », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  100. « Exposition « Hommage à Degas avec Paul Valéry » au musée d'Orsay, à Paris », sur france.fr (consulté le ).
  101. Yves Jaeglé, « L'autre visage de Cézanne exposé au Musée d'Orsay », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  102. « Portraits de Cézanne », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  103. « Des vies et des visages, portraits d'artistes du musée d'Orsay », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  104. « Au-delà des étoiles. Le paysage mystique de Monet à Kandinsky », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  105. « Manet et le Paris moderne », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  106. « Frédéric Bazille (1841-1870). La jeunesse de l'impressionnisme. », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  107. « Exposition "Frédéric Bazille (1841-1870). La jeunesse de l’impressionnisme" / France Culture », sur France Culture (consulté le ).
  108. « Spectaculaire Second Empire, 1852-1870 », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  109. « Conférence inaugurale : ‘’ Spectaculaire Second Empire. 1852-1870’’ », sur YouTube (consulté le ).
  110. « Charles Gleyre (1806-1874). Le romantique repenti », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  111. « Musée d'Orsay: Charles Gleyre, la victime de l'impressionnisme », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  112. « Le Douanier Rousseau. L'innocence archaïque », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  113. Condé Nast, « Les toiles du Douanier Rousseau exposées au Musée d'Orsay », Vogue,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  114. « Qui a peur des femmes photographes ? 1839 à 1945 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  115. « Splendeurs et misères. Images de la prostitution, 1850-1910 », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  116. « "Splendeurs et misères" : la prostitution exposée au musée d'Orsay », sur Franceinfo, (consulté le ).
  117. « Dolce vita ? Du Liberty au design italien (1900-1940) », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  118. Valérie Oddos, « Les arts décoratifs en Italie avant le design industriel, au Musée d'Orsay », Franceinfo,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  119. « Pierre Bonnard. Peindre l'Arcadie », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  120. Alexis Ferenczi, « PHOTOS. "Pierre Bonnard: peindre l'Arcadie" au musée d'Orsay », Huffington Post,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  121. « 7 ans de réflexion. Dernières acquisitions », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  122. « Sept ans de réflexion, dernières acquisitions du musée d’Orsay », Valeurs Actuelles,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  123. « Sade. Attaquer le soleil », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  124. « Sade prend corps au Musée d'Orsay », sur France Culture, (consulté le ).
  125. « Charles Lameire (1832-1910), familièrement inconnu », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  126. « Carpeaux (1827-1875), un sculpteur pour l'Empire », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  127. « Carpeaux (1827-1875), un sculpteur pour l'Empire », sur franceinter.fr, (consulté le ).
  128. « Van Gogh / Artaud. Le suicidé de la société », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  129. « Van Gogh / Artaud - Le suicidé de la société », sur slash-paris.com (consulté le ).
  130. « Gustave Doré (1832-1883). L'imaginaire au pouvoir », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  131. « Gustave Doré - l'Imaginaire au pouvoir », sur slash-paris.com (consulté le ).
  132. « Allegro Barbaro. Béla Bartók et la modernité hongroise 1905-1920 », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  133. « Jazz Culture : Allegro Barbaro. Béla Bartók et la modernité hongroise », sur Radio France (consulté le ).
  134. « Masculin / Masculin. L'homme nu dans l'art de 1800 à nos jours. », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  135. « Le nu masculin vu par ORLAN : c'est la guerre », sur TV5MONDE, (consulté le ).
  136. « Félicie de Fauveau. L'amazone de la sculpture », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  137. « Félicie de Fauveau l'Amazone de la sculpture », sur slash-paris.com (consulté le ).
  138. « Une passion française. La collection Marlene et Spencer Hays », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  139. « La collection Hays, une passion française », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  140. « L'ange du bizarre. Le romantisme noir de Goya à Max Ernst », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  141. Dominique Poiret, « Au musée d'Orsay, «l'Ange du bizarre» a attiré 337 000 visiteurs », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  142. « La médaille en France aux XIXe et XXe siècles. Au creux de la main », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  143. « Félix Thiollier (1842-1914), photographies », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  144. « La beauté de la pollution », sur Amateur d'art, (consulté le ).
  145. « Félix Thiollier ou la mécanique du pittoresque », L'Usine nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  146. « Victor Baltard (1805-1874). Le fer et le pinceau », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  147. « Le Fer et le Pinceau », sur slash-paris.com (consulté le ).
  148. « L'impressionnisme et la mode », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  149. « "L'impressionnisme et la mode" au musée d'Orsay », sur Franceinfo, (consulté le ).
  150. « Misia, reine de Paris », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  151. Sabrina Dufourmont, « Misia, "reine de Paris" », Le Point Magazine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  152. « Degas et le nu », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  153. Élodie Drouard, « Degas se met à nu au musée d'Orsay », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  154. « Akseli Gallen-Kallela (1865-1931). Une passion finlandaise », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  155. « Exposition - Akseli Gallen-Kallela - Une passion finlandaise (1865-1931) », Le Journal des arts,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  156. « Beauté, morale et volupté dans l'Angleterre d'Oscar Wilde », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  157. Le Point magazine, « Au musée d'Orsay, la beauté comme art de vivre », Le Point Magazine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  158. « La nature prise sur le fait.Photographies de Charles Aubry (1811-1877) », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  159. « Manet, inventeur du Moderne », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  160. « Manet, inventeur du moderne », sur franceinter.fr, (consulté le ).
  161. « Gustav Mahler », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  162. « Au bonheur de Malher au Musée d'Orsay », Charente libre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  163. « Une ballade d'amour et de mort : photographie préraphaélite en Grande Bretagne, 1848-1875 », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  164. « Clichés romantiques dans un jardin anglais », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  165. « Jean-Léon Gérôme (1824-1904). L'Histoire en spectacle », sur Musée d'Orsay (consulté le ).
  166. « Jean-Léon Gérôme au musée d'Orsay », sur Connaissance des Arts, (consulté le