Mswati II
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
| Mswati II | |
 | |
| Titre | |
|---|---|
| Roi du Swaziland | |
| – (28 ans) | |
| Couronnement | |
| Prédécesseur | Lojiba Simelane (régente) Sobhuza Ier |
| Successeur | Tsandzile Ndwandwe (régente) Dlamini IV |
| Biographie | |
| Dynastie | Dlamini |
| Date de naissance | |
| Date de décès | |
| Père | Sobhuza Ier |
| Mère | Tsandzile Ndwandwe |
| Héritier | Prince Mbandzeni Dlamini |
| Monarques du Swaziland | |
| modifier | |
Mswati II (aussi appelé Mouazi, Mavuso II ou Mdvuso), né vers 1820 et mort en 1868, est roi du Swaziland entre 1840 et 1868.
Biographie[modifier | modifier le code]
Ingwenyama Mswati est le fils de Sobhuza Ier et de Tsandzile Ndwandwe, qui fit office de régente après sa mort, fille de Zwide Ndwandwe, le chef du puissant clan Ndwandwe au sud de la rivière Pongola. Les clans swazis sous la direction de Sobhuza étaient constamment en conflit avec les Ndwandwe. En conséquence, Sobhuza a fait une offre pour épouser l'une des filles de Zwide et établir la paix avec ses voisins. Cela a abouti à l'envoi d'une fête dans la capitale Ndwandwe et Tsandzile a été choisie comme épouse pour porter le successeur de Sobhuza. La jeunesse de Mswati après la mort de Sobhuza est marquée par des disputes sur la royauté avec ses frères. À la suite de cela, Mswati et sa mère ont été installés dans leurs positions avant que l'un d'eux ne soit correctement préparé. De telles circonstances au début de sa vie sont parfois considérées comme le prédisposant à être féroce et décisif plus tard dans son règne. Quand Mswati est monté sur le trône, son prédécesseur lui a laissé un pays qui prétendait atteindre le Barberton moderne au nord, la Caroline à l'ouest, la rivière Pongola au sud et les montagnes Lubombo à l'est. Appelé par l'anthropologue Hilda Kuper « le plus grand des rois combattants du Swazi », il permit à l'Eswatini auquel il donne son nom, en remplacement de celui de Ngwane, d'atteindre sa plus grande extension territoriale.
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- (en) Kuper, Hilda (1980). An African Aristocracy. Rank Among the Swazi Africana Publishing Company for the International African Institute.
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
