Mohamed Hardi
Mohamed Hardi, né le à Tébessa et assassiné le à Oued Smar (Alger), était un homme politique algérien.
Biographie[modifier | modifier le code]
Ancien cadre supérieur de la Société Nationale de Sidérurgie (SNS) et du ministère de l'industrie, il occupe à 34 ans le poste de secrétaire-général du ministère de l'information et de la culture avant d'entamer une brillante carrière de consultant international au sein des Nations unies avant d'être nommé ministre de l'intérieur aux lendemains de l'assassinat du président Mohamed Boudiaf en . Il sera lui-même assassiné le à Oued Smar. La presse nationale algérienne a salué son courage face à ses assassins. Connu pour ses opinions nationales et internationales, une foule nombreuse lui a rendu hommage lors de son enterrement le au cimetière El Alia.
Carrière dans l'administration algérienne[modifier | modifier le code]
- 1977-1981, Secrétaire Général du ministère de l'information et de la culture;
- 1981-1992. Haut fonctionnaire des Nations unies (CCI, ONUDI, UNESCO, etc.);
Postérité[modifier | modifier le code]
- La promotion 2008 de l'École Nationale d'Administration porte son nom[1].
- Un lycée à Tébessa porte son nom
- L'office du bac de Batna porte son nom
- Un centre de formation professionnel à Ain Sefra porte son nom
- Une résidence à Alger porte son nom
