Mathilde Panot

Mathilde Panot
Illustration.
Mathilde Panot en 2021.
Fonctions
Présidente du groupe LFI à l’Assemblée nationale
En fonction depuis le
(2 ans, 6 mois et 12 jours)
Élection
Réélection
Vice-président Clémence Guetté
Alexis Corbière (2022-2023)
Législature XVe et XVIe (Cinquième République)
Prédécesseur Jean-Luc Mélenchon
Députée française
En fonction depuis le
(6 ans, 10 mois et 3 jours)
Élection 18 juin 2017
Réélection 19 juin 2022
Circonscription 10e du Val-de-Marne
Législature XVe et XVIe (Cinquième République)
Groupe politique NUPES-LFI
Prédécesseur Jean-Luc Laurent
Vice-présidente du groupe LFI à l’Assemblée nationale

(2 ans, 3 mois et 24 jours)
Élection
Président Jean-Luc Mélenchon
Législature XVe (Cinquième République)
Prédécesseur Fonction créée
Successeur Alexis Corbière et Clémence Guetté (indirectement)
Biographie
Date de naissance (35 ans)
Lieu de naissance Tours (Indre-et-Loire, France)
Nationalité Française
Parti politique PG (depuis 2012)
LFI (depuis 2016)
Diplômée de IEP de Paris
Profession Coordinatrice de projets associatifs

Mathilde Panot, née le à Tours, est une femme politique française. Membre de La France insoumise, elle est députée de la 10e circonscription du Val-de-Marne depuis juin 2017, et depuis octobre 2021, présidente du groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale.

Biographie

Origines et formation

Mathilde Panot, dont le père est formateur en agronomie[1] et la mère professeure de mathématiques[2], est originaire de la banlieue d'Orléans[3]. Elle passe son enfance et adolescence à Saint-Pryvé-Saint-Mesmin[4].

Elle est titulaire d'un master en relations internationales de l'Institut d'études politiques de Paris (« Sciences Po », promotion 2013)[5],[6]. Durant ses études, elle commence à militer à l'Union nationale des étudiants de France (UNEF)[7].

Parcours associatif et professionnel

Après avoir été bénévole d'ATD Quart monde à 18 ans[8], elle est salariée, jusqu'en 2016, de l'association VoisinMalin, où elle travaille comme manager d'équipe[9]. L'association, qui emploie 11 intervenants rémunérés 12 heures par mois au smic en 2015[10], s'apparente à du « community organizing », une méthode de mobilisation conçue aux États-Unis[11] et a des missions diverses : information sur le dépistage du cancer du sein, accompagnement bancaire à La Poste, lutte contre les punaises de litetc.[10] L'association est notamment active dans le « quartier sensible » de La Grande Borne, à Grigny[12],[13].

Parcours politique

Son premier acte militant est sa participation au mouvement contre le contrat première embauche (CPE), en 2005[12],[11].

En 2012, à l’approche de la campagne présidentielle, on lui propose d'intégrer le bureau du Front de gauche à Sciences Po[1].

En , elle participe à la création de l’association L’Ère du peuple avec Laurent Mafféïs et Bastien Lachaud. L'association a pour objectif de « servir de support technique et logistique à toutes les initiatives prises au service des idées développées par Jean-Luc Mélenchon pour réaliser la révolution citoyenne ». Mathilde Panot en est la secrétaire et Bastien Lachaud son trésorier. Elle est alors la salariée de l'association L'Ère du Peuple qui la rétribue selon France info 11 040 euros bruts pour 1 725 heures de travail (soit 2 208  brut/mois)[14] et selon LFI « près de 40 000 euros tous frais compris sur 9 mois »[15], travail facturé 87 150  au candidat Jean-Luc Mélenchon.

Au lancement de la campagne de Jean-Luc Mélenchon dans le cadre de l'élection présidentielle française de 2017, Mathilde Panot devient coordinatrice des groupes d'appui de La France insoumise. Elle est également à l'initiative des « caravanes pour l'égalité des droits » dont le but est d'aller dans les quartiers populaires, là où le taux d'abstention est le plus élevé[16],[17].

Députée depuis 2017

Lors des élections législatives de 2017, elle est élue députée de la dixième circonscription du Val-de-Marne[18] face à la candidate de La République en Marche Sheerazed Boulkroun, avec 52,2 % des suffrages exprimés[19]. À l'Assemblée nationale, elle est membre de la Commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire[20]. Le , après la nomination de François de Rugy au gouvernement, elle se présente[21] à l'élection pour la présidence de l’Assemblée nationale, face notamment à Richard Ferrand, qui est élu[22].

En 2018, elle est membre de la commission d'enquête parlementaire sur la sûreté et la sécurité des installations nucléaires, qui met notamment en lumière des difficultés chez les 160 000 sous-traitants du secteur. En , elle fait une proposition de loi pour protéger ces travailleurs[23],[24].

Le , elle est élue à l'unanimité vice-présidente du groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale, une fonction qui n'existait pas jusque-là[25].

Le , lors d'une visite en Algérie pour rencontrer des personnalités politiques et des militants participant au Hirak[26], Mathilde Panot est interpellée par la police à Béjaïa, un foyer de la contestation. Elle est reconduite à Alger[27].

Le 2 février 2021, alors qu'elle va prendre la parole à l'Assemblée nationale, le député Pierre Henriet la qualifie de « poissonnière », une invective qu'elle qualifie d'« injure sexiste »[28],[29],[30]. Pierre Henriet est sanctionné une semaine plus tard d'un rappel à l'ordre avec inscription au procès verbal, entraînant la privation d'un quart de son indemnité parlementaire pendant un mois[31].

Elle préside en 2021 une commission d’enquête « relative à la mainmise sur la ressource en eau par les intérêts privés et ses conséquences » en Guadeloupe, alors qu'un quart des habitants ne disposent plus d’un accès quotidien à l’eau potable[32]. Le mardi 29 juin, elle interpelle le gouvernement sur la situation constatée sur place[33]. Le 15 juillet 2021, elle présente le rapport final de la commission d'enquête, adopté à l'unanimité des membres de la commission[34].

Le média en ligne Blast relève que la commission « a abattu un travail considérable » mais « n’est pas parvenue véritablement à répondre à la question, chacun [des acteurs de la distribution de l'eau] rejetant les responsabilités sur les autres… »[35] Le principal responsable de l’effondrement du système guadeloupéen étant la gestion « abracadabrantesque », selon la chambre régionale des comptes, du SIAEAG, le syndicat intercommunal de l’eau et de l’assainissement, sur la période 2005/2011[36]. Quelques mois plus tard, en décembre 2021, elle saisit avec deux autres députés la défenseure des droits pour « violation du droit à l'eau » des Guadeloupéens, ce qui impliquerait l'État français si la violation était avérée[37],[38].

Présidente de groupe parlementaire

Le 12 octobre 2021, elle succède à Jean-Luc Mélenchon comme présidente du groupe parlementaire La France insoumise, et devient ainsi la plus jeune à avoir présidé un groupe parlementaire dans l'histoire de l'Assemblée nationale[39].

Lors des législatives de 2022, elle figure parmi les quinze candidats à avoir dépassé 50 % au premier tour, dont onze de LFI, et a obtenu un des meilleurs scores nationaux de son parti[40].

Le 21 juin 2022, Mathilde Panot est réélue à l’unanimité à la présidence du groupe La France insoumise (LFI) à l’Assemblée nationale[41].

Depuis octobre 2022, Mathilde Panot est secrétaire de l’association La France insoumise avec Manuel Bompard comme président et pour trésorier Maxime Charpentier, un membre de LFI[42],[43].

Prises de position

Mathilde Panot (deuxième en partant de la gauche) à la marche des fiertés de Paris en 2017. À sa droite : Éric Coquerel, à sa gauche : Danièle Obono.

En octobre 2017, elle demande la création d’une commission d’enquête sur l'action des pouvoirs publics vis-à-vis de l'ouragan Irma[44], puis une seconde sur les circonstances de l’assassinat du président du Conseil national révolutionnaire du Burkina Faso, Thomas Sankara[45].

Engagée sur le thème de l'« écologie populaire »[46],[47], elle est chargée en 2018 par La France insoumise de la campagne « Sortir du nucléaire pour le 100% renouvelable »[48],[49]. Et elle organise une votation citoyenne sur le thème du nucléaire en France. 314 530 personnes votent entre le 11 et le , en ligne ou dans l'un des 2 000 points de votation. La sortie du nucléaire obtient 93 % des suffrages[48]. À la suite des résultats de cette votation, elle présente une proposition de loi coécrite avec les citoyens pour la sortie du nucléaire et le développement des énergies renouvelables[50][source secondaire souhaitée].

Le 4 juin 2019, elle se bâillonne avec un foulard à la tribune de l'Assemblée nationale pour dénoncer la réforme du règlement de l’Assemblée nationale, qui réduit le temps de parole et le droit d'amendement des groupes politiques minoritaires[51].

En , elle lance avec Gaspard D'Allens[52], journaliste chez Reporterre, une « commission d'enquête citoyenne pour une gestion alternative des forêts », associant parlementaires, syndicalistes forestiers et membres d'associations de protection des forêts[53]. Le 22 juillet 2020, une proposition de loi interdisant les coupes rases de plus de 2 hectares est déposée, cosignée par des députés des groupes Écologie démocratie solidarité, Communiste, Agir ensemble et Libertés, indépendants, outre-mer et territoires[54] (LIOT).

En 2021, elle met en place avec plusieurs organisations politiques, associatives et syndicales, une votation citoyenne sur l'eau[55]. 294 912 personnes votent entre le 22 mars et 13 avril 2021, en ligne ou dans l'un des 20 132 points de votation. L'inscription du droit à l'eau et à l'assainissement dans la Constitution, ainsi que la protection de l'eau et l'interdiction de son accaparement par les multinationales obtiennent 99,61 % des suffrages[56][source insuffisante].

Selon une étude de l'association Agir pour l'environnement, reprise par plusieurs médias[57],[58],[59] mais critiquée par L'Express[60], elle est de par ses votes — avec Delphine Batho — la députée la plus impliquée[61] dans la préservation de la planète et la lutte contre le dérèglement climatique de la XVe législature[62],[63].

En , elle dépose une proposition de loi visant à inscrire l'accès à l'IVG dans la Constitution[64],[65]. En , son initiative aboutie lorsque le Congrès inscrit dans la Constitution « la liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse » après le travail qu'elle a menée avec la députée Aurore Bergé et les sénatrices Mélanie Vogel et Laurence Rossignol[66],[67].

Controverses

Le , elle déclenche une vive polémique en publiant, à l'occasion de la commémoration du 80e anniversaire de la rafle du Vél d'Hiv, un tweet dans lequel elle affirme qu'Emmanuel Macron « rend honneur » au maréchal Pétain[68]. Elle fait là référence à une polémique de novembre 2018, lorsque le président de la République avait, avant d'y renoncer, décidé d'inclure Philippe Pétain, en tant que général victorieux de la Première Guerre mondiale, dans l'hommage rendu par l'État aux chefs militaires de la Grande Guerre[69]. Malgré la réprobation d'une grande partie de la classe politique, y compris au sein de la NUPES à laquelle elle appartient, elle maintient ses propos[70].

Le , après l'attaque du Hamas contre Israël, Mathilde Panot désigne le Hamas comme étant « la branche armée qui est aujourd’hui responsable de crimes de guerre ». Cette déclaration suscite des critiques d'opposants politiques envers Panot et LFI, notamment des socialistes au sein de la NUPES[71],[72]. Le député Jérôme Guedj déplore ses propos en affirmant que « depuis samedi, en ne nommant pas le Hamas comme groupe terroriste, mais comme force armée qui commet des crimes de guerre, LFI légitime le Hamas et ses modes d’action. Et décide délibérément de s’isoler[73]. ».

Le , elle est convoquée par la police dans le cadre d'une enquête pour « apologie du terrorisme » à la suite d'un communiqué du groupe LFI à l'Assemblée nationale publié le 7 octobre 2023, jour de l'attaque du Hamas contre Israël[74],[75].

Notes et références

  1. a et b Alban de Montigny, « Revue Charles, "Graine de Star" : [Mathilde Panot :] "Je n'appartiendrai jamais à leur monde" (mai 2018) » (consulté le ).
  2. Mathilde Panot, l’insoumise en cheffe, nouvelobs.com, 17 octobre 2022, par Lucie Alexandre
  3. Yann Thompson, « Infographies. Législatives : l'Assemblée prend un coup de jeune historique avec l'arrivée de 28 députés vingtenaires », sur France Info, .
  4. Centre France, « C'est off ! - Cette députée La France insoumise qui a passé sa jeunesse dans un fief de la droite orléanaise… », sur larep.fr, (consulté le ).
  5. « Mathilde Panot », sur L'Association des Sciences po (consulté le ).
  6. « Qui sont les députés de La France insoumise ? », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  7. Thibaud Le Meneec, « Universités d'été de La France insoumise : Mathilde Panot, une militante devenue "générale d'armée" », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  8. Graulle 2017.
  9. « Ville inclusive - Le "community building" : recréer une solidarité de proximité », sur ville-inclusive.millenaire3.com (consulté le ).
  10. a et b « A Grigny, une « solidarité de palier » », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. a et b « "Mes colocs m'appellent 'madame la députée'…" », sur L'Obs, (consulté le ).
  12. a et b Jannick Alimi, « LFI : Panot et Quatennens, les hologrammes de Mélenchon », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  13. Cerdan et Noyon 2017.
  14. Sylvain Tronchet et Elodie Guéguen « Campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon : L’Ère du peuple, petite association et grosses factures », France Info, 22 février 2018.
  15. « Comptes de campagne : accusée de surfacturation, l'équipe de Mélenchon détaille ses explications », Marianne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. La France insoumise, « Lancement de la caravane insoumise pour l'égalité des droits », (consulté le ).
  17. La France insoumise, « Conférence de presse de lancement de la caravane de la France insoumise », (consulté le ).
  18. L. M., « Législatives 2017 : Mathilde Panot (FI), la seule élue insoumise, est la benjamine des députés du Val-de-Marne », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
  19. « Val-de-Marne - 10e circonscription : Liste des résultats - Elections législatives 2017 - Assemblée nationale », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
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  21. Voir sur L'Opinion du 12 septembre 2018.
  22. Voir sur Le Figaro du 12 septembre 2018.
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  24. « Au Tricastin, la grève timide des sous-traitants du nucléaire », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  28. « Cette députée LFI accuse un collègue LREM d'injure sexiste dans l'hémicycle », sur Le HuffPost, (consulté le ).
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  30. Julia Hamlaoui, « Sexisme Victime d’insultes à l’Assemblée, Mathilde Panot (FI) exige une sanction », sur L'Humanité, (consulté le ).
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  36. Guadeloupe, l’île sans eau : La faillite d'une autorité, blast-info.fr, 28 janvier 2022
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Voir aussi

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Bibliographie

Liens externes