Mathieu Bastareaud

Mathieu Bastareaud
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Mathieu Bastareaud, au début de la saison 2018-2019 au RC Toulon, le .
Fiche d'identité
Naissance (35 ans)
Créteil (France)
Taille 1,85 m (6 1)
Surnom Bastarocket[1]
Poste Centre, troisième ligne centre
Carrière en junior
PériodeÉquipe 
1995-2004
2004-2006
Rugby Créteil-Choisy
RC Massy
Carrière en senior
PériodeÉquipeM (Pts)a
2006-2007
2007-2011
2011-2019
2019
2020
2020-2022
2022-2023
RC Massy
Stade français
RC Toulon
Lyon OU
RU New York
Lyon OU
RC Toulon
14 (25)[2]
99 (103)[2]
183 (105)[2]
7 (5)[2]
5 (10)[2]
13 (10)[2]
20 (10)
Carrière en équipe nationale
PériodeÉquipeM (Pts)b
2006-2007
2008
2009-2019
France -19
France -20
France
10 (15)[2]
4 (5)[2]
54 (25)[3]

a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.
Dernière mise à jour le 31 mai 2023.

Mathieu Bastareaud, né le à Créteil (Val-de-Marne), est un joueur international français de rugby à XV, évoluant au poste de centre.

Formé au RC Massy et au Stade français, il passe huit saisons au Rugby club toulonnais avec qui il remporte trois Coupe d'Europe en 2013, 2014 et 2015 et un championnat de France en 2014. À partir de 2019, il est repositionné au poste de troisième ligne centre avec le Lyon olympique universitaire pour une saison. En 2020, il part pour les États-Unis où il joue pour le Rugby United New York, avant de revenir à Lyon où il il remporte la Challenge Cup en 2022. Il revient à Toulon l'année suivante où il termine sa carrière à l'issue de la saison 2022-2023. Il remportera lors de cette saison une seconde fois la Challenge Cup.

Il remporte le Tournoi des Six Nations 2010 et participe à la Coupe du monde 2015 avec l'équipe de France.

Biographie[modifier | modifier le code]

Ses débuts[modifier | modifier le code]

D'ascendance guadeloupéenne, Mathieu Bastareaud est formé au Rugby Créteil-Choisy dans le Val-de-Marne ainsi que dans le pôle espoir du lycée Lakanal (Sceaux). Il évolue ensuite au RC Massy Essonne en Fédérale 1 où il joue notamment avec Michel Denêtre et Sidney Galopin. Très proche des jeunes, il est le parrain de la section sportive rugby du collège Georges Braque de Paris qui a vu éclore quelques joueurs devenus professionnels et internationaux, tels Wesley Fofana et Félix Le Bourhis[4].

En professionnel[modifier | modifier le code]

À la fin de la saison 2006-2007, il signe un contrat avec le Stade français Paris pour l'année suivante. À l'occasion de la tournée estivale 2007 en Nouvelle-Zélande, il est appelé par Bernard Laporte à seulement 18 ans, sans avoir jamais disputé un match de championnat professionnel. Blessé au genou, il est contraint de déclarer forfait.

« C'est un garçon qui a de l'avenir, on a envie de le voir. Il a la maturité d'un gars de 25 ans et toutes les qualités pour jouer au niveau pro. »

— Bernard Laporte, dans L'Équipe, le 14 mai 2007[5]

Il n'est pas retenu pour la Coupe du monde 2007 et joue environ la moitié des matchs du Stade français lors de la saison 2007-2008 au poste de centre Durant cette même saison, il est appelé en équipe de France des moins de 20 ans pour participer au Championnat du monde junior 2008[6]. L'année suivante, il est titulaire en club et est appelé par Marc Lièvremont pour le match France-pays de Galles lors du Tournoi des six nations 2009 en remplacement de Maxime Mermoz, blessé. Sa prestation lui permet d'être à nouveau titulaire pour le match suivant contre l'Angleterre puis il remplacera Florian Fritz lors du dernier match face à l'Italie.

Polémique en Nouvelle-Zélande[modifier | modifier le code]

Après la défaite du Stade français en demi-finale du championnat de France face à l'USAP, il est sélectionné pour la tournée d'été 2009 en Nouvelle-Zélande et en Australie. Titulaire lors de la victoire à Dunedin, il est remplaçant à Wellington le mais n'entre pas en jeu. Le lendemain, il prétend avoir été agressé dans la nuit par des Néo-Zélandais[7] et rentre en France. Après que le premier ministre néo-zélandais, John Key, a présenté ses excuses à l'équipe de France et que la police locale a ouvert une enquête, Bastareaud revient sur ses accusations le [8]. L'affaire prend alors une tournure politique et le Premier ministre français François Fillon envoie à son tour, le , ses excuses à son homologue néo-zélandais[9]. Le , Mathieu Bastareaud est hospitalisé pour de « graves troubles psychologiques »[10]. Entre-temps, la fédération néo-zélandaise de rugby à XV envoie ce communiqué : « La Fédération néo-zélandaise de rugby a été scandalisée par la révélation selon laquelle le centre français Mathieu Bastareaud avait inventé de toutes pièces cette histoire d'agression », en mettant en avant la « publicité négative faite à la Nouvelle-Zélande et à la ville de Wellington »[11],[12].

Retour à la compétition[modifier | modifier le code]

Bernard Laporte, ici en 2014, est le manager de Mathieu Bastareaud à Toulon de 2011 à 2016.

Il fait son retour à la compétition en Top 14 le face au RC Toulon. En , il est suspendu pour trois mois par la Fédération française de rugby, cette sanction est ramenée à l'obligation d'accomplir 18 activités d'intérêt général[13]. Il n'est donc pas sélectionné pour la tournée d'automne en . Il fait son retour en équipe de France en remportant le Tournoi des six nations 2010 y compris le Grand chelem, le premier de sa carrière. Il marque même deux essais lors du premier match face à l'Écosse.

Mathieu Bastareaud avec le RC Toulon le .

En , il est invité avec les Barbarians français pour jouer un match contre les Tonga au Stade des Alpes à Grenoble[14]. Ce match est aussi le jubilé de Jean-Baptiste Elissalde. Les Baa-Baas s'inclinent 27 à 28[15].

Il n'est pas sélectionné par Marc Lièvremont pour la tournée d'automne 2010 ni pour le Tournoi des six nations 2011, ni pour la Coupe du monde. Il quitte alors son club pour le RC Toulon.

Il ne fait pas non plus partie des 33 joueurs sélectionnés par Philippe Saint-André pour la tournée d'automne 2012. Il revient pour le Tournoi 2013, et il est retenu pour la tournée de juin en Nouvelle-Zélande[16]. À la suite de ce retour, il est fréquemment aligné au centre de l'attaque tricolore, aux côtés de Wesley Fofana, notamment dans les Tournois des Six nations 2014 et 2015. Il joue alors sa première Coupe du monde, qu'il aborde comme titulaire. Il est toutefois écarté au bénéfice d'Alexandre Dumoulin pour le 1/4 de finale perdu face à la Nouvelle Zélande.

Il n'entre pas dans les plans de Guy Novès, successeur de Philippe Saint-André. A son arrivée à Toulon, en 2017, Fabien Galthié, nouvel entraîneur, lui confie le brassard de capitaine. Ce palier franchi, ainsi que l'élection de son ancien entraîneur, Bernard Laporte, à la présidence de la Fédération française de rugby, environnent son retour en équipe de France. Guy Novès l'aligne en effet contre la Nouvelle Zélande et l'Afrique du Sud, aux côtés d'un néophyte, Geoffrey Doumayrou[17]. A la suite de mauvais résultats, le sélectionneur est licencié.

Son successeur Jacques Brunel le sélectionne pour le Tournoi des Six Nations 2018. Il est cependant suspendu dans un premier temps à la suite de propos insultants à l'encontre de Sebastian Negri lors d'un match contre Trévise[18], et ne peut être aligné que dès le troisième match, contre l'Italie. Il s'impose alors comme un leader naturel aux côtés de Doumayrou. À la suite du forfait de Guilhem Guirado, il est nommé capitaine de l'équipe pour le dernier match, contre le pays de Galles.

Non sélectionné par Jacques Brunel pour la Coupe du monde 2019 au Japon, il décide de mettre fin à sa carrière internationale le [19]. Il choisit aussi de quitter le RC Toulon pour rejoindre le Lyon olympique universitaire rugby en tant que Joker Coupe du monde, avant de rejoindre le Rugby United New York en Major League Rugby en fin d'année comme prévu avant sa non-sélection[20]. Il accepte alors le défi proposé par l'entraîneur lyonnais, Pierre Mignoni, qu'il a connu à Toulon, de le repositionner au poste de troisième ligne centre.

Le , il annonce son retour au LOU Rugby pour les deux prochaines saisons, après son expérience écourtée, à New York, en raison de la pandémie de Covid-19[21]. Après avoir joué deux matchs, il se blesse gravement aux deux genoux, en , et après une longue rééducation, il annonce mettre fin à son contrat en [22],[23].

Dans l'espoir de pouvoir continuer sa carrière, il suit alors son manager Pierre Mignoni au RC Toulon, où il participe aux entraînements au début de la saison 2022-2023[24],[25]. Sa signature est officialisée le , en amont de la 3e journée de championnat[26].

En novembre 2022, il est appelé avec les Barbarians français, dans un groupe de 23 joueurs, pour affronter les Fidji au Stade Pierre-Mauroy[27].

Il dispute 20 rencontres en 2022-2023, dont neuf en tant que titulaire, avant de mettre un terme à sa carrière[28]. En 2023, il intègre l'encadrement de l'équipe du RCT en tant que Team Manager, chargé d'accompagner les entraîneurs et de gérer le lien entre l'équipe et les services administratifs du club, les sponsors ou les organisateurs de compétitions[29].

Famille[modifier | modifier le code]

Mathieu Bastareaud est le cousin du footballeur William Gallas[30]. Son frère Lenny a également joué au rugby au Rugby Créteil-Choisy, club des débuts de Mathieu[31].

Le , sa femme Aurélie met au monde un garçon, prénommé Lymah[32].

Style[modifier | modifier le code]

Mathieu Bastareaud est connu pour sa puissance physique due à un fort gabarit pour un centre (1,85 m, pour plus de 125 kg)[33]. Son autre grande qualité est sa capacité à contester, à « gratter » le ballon dans les regroupements, à la manière d'un avant[34]. Il est néanmoins critiqué pour son jeu trop physique et basé sur la percussion et ses difficultés à passer le ballon après contact[35]. Ses qualités lui permettent d'être repositionné en troisième ligne centre en fin de carrière.

Carrière[modifier | modifier le code]

En club[modifier | modifier le code]

En sélection nationale[modifier | modifier le code]

Statistiques et palmarès[modifier | modifier le code]

En club[modifier | modifier le code]

Mathieu Bastareaud remporte à trois reprises la Coupe d'Europe avec le Rugby club toulonnais, en 2013 face à l'ASM Clermont Auvergne le , il est élu homme du match[36], en 2014 face aux Saracens et 2015, de nouveau face à Clermont. Il est également finaliste à deux reprises du Challenge européen, en 2011 avec le Stade français face aux Harlequins, puis en 2012 avec Toulon, face au Biarritz olympique. Il remporte finalement cette compétition en 2022 avec le LOU Rugby face à Toulon. Il remporte de nouveau cette compétition en 2023 avec Toulon face aux Glasgow Warriors.

En Championnat de France, il remporte le titre en 2014 avec le RC Toulon face au Castres olympique. Il a auparavant été finaliste à deux reprises, en 2012, battu avec Toulon par le Stade toulousain et en 2013, toujours avec Toulon face à Castres.

En sélection nationale[modifier | modifier le code]

Avec le XV de France Mathieu Bastareaud remporte le Tournoi des Six Nations 2010 où il réalise le Grand Chelem.

Au , Mathieu Bastareaud compte 47 sélections avec l'équipe de France, dont 31 en tant que titulaire, inscrivant 20 points, quatre essais[3]. Il obtient sa première sélection le au Stade de France lors du match face au pays de Galles au terme il sera élu homme du match[3]. Il compte 3 sélections en tant que capitaine[37].

Il participe à sept Tournois des Six Nations, en 2009, 2010, 2013, 2014, 2015, 2018 et 2019[38]. Il compte 27 sélections dans le tournoi et inscrit trois essais[38].

Il participe à une édition de la coupe du monde, en 2015, où il joue quatre rencontres, contre l'Italie, le Canada, l'Irlande et la Nouvelle-Zélande[39]

Avant ses sélections avec l'équipe de France, Mathieu Bastareaud porte le maillot bleu avec d'autres sélections. Il joue ainsi avec l'équipe de France des moins de 18 ans, puis celle des moins de 19, disputant le championnat du monde junior lors des éditions 2006 à Dubaï, cinq rencontres (Afrique du Sud, Irlande, Argentine, Australie, Angleterre), et 2007 en Irlande, cinq matchs (Écosse, Afrique du Sud, Australie, Samoa, Angleterre) où il inscrit trois essais. Avec l'Équipe de France des moins de 20 ans, il participe au Championnat du monde 2008 au pays de Galles, obtenant quatre sélections (Japon, Italie, Argentine, Australie), et inscrivant un essai.


Liste des essais inscrits en équipe de France
Essai Adversaire Lieu Stade Compétition Date Résultat
1 Écosse Édimbourg, Drapeau de l'Écosse Écosse Murrayfield Stadium Tournoi des Six Nations 2010 Victoire
2
3 Italie Rome, Drapeau de l'Italie Italie Stade olympique de Rome Tournoi des Six Nations 2015 Victoire
4 Italie Marseille, Drapeau de la France France Orange Vélodrome Tournoi des Six Nations 2018 Victoire
5 Drapeau d'Afrique du Sud Afrique du Sud Paris, Drapeau de la France France Stade de France Test match Défaite

Tournoi des Six Nations[modifier | modifier le code]

Détail du parcours de Mathieu Bastareaud dans le Tournoi des Six Nations
Édition Rang Résultats France Résultats Bastareaud Matchs Bastareaud
Six Nations 2009 3 3 v, 0 n, 2 d 2 v, 0 n, 1 d 3/5
Six Nations 2010 1 5 v, 0 n, 0 d 5 v, 0 n, 0 d 5/5
Six Nations 2013 6 1 v, 1 n, 3 d 1 v, 1 n, 3 d 5/5
Six Nations 2014 4 3 v, 0 n, 2 d 3 v, 0 n, 2 d 5/5
Six Nations 2015 4 2 v, 0 n, 3 d 2 v, 0 n, 3 d 5/5
Six Nations 2018 4 2 v, 0 n, 3 d 2 v, 0 n, 1 d 3/5
Six Nations 2019 4 2 v, 0 n, 3 d 2 v, 0 n, 2 d 4/5

Légende : v = victoire ; n = match nul ; d = défaite ; la ligne est en gras quand il y a Grand Chelem.

Coupe du monde[modifier | modifier le code]

Édition Rang Résultats France Résultats Atonio Matchs Atonio
Angleterre 2015 Quart de finaliste 3 v, 0 n, 2 d 2 v, 0 n, 2 d 4/5

Légende : v = victoire ; n = match nul ; d = défaite.

Distinctions personnelles[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « « Basta-Rocket » », Les Échos, (consulté le ).
  2. a b c d e f g et h « Fiche de Mathieu Bastareaud », sur itsrugby.fr (consulté le ).
  3. a b c et d (en) « Fiche de Mathieu Bastareaud », sur espnscrum.com (consulté le ).
  4. College Georges Braque.
  5. Une tournée panachée sur le site de L'Équipe
  6. « Bastareaud avec les -20ans », sur rugbyrama.fr, Midi olympique, (consulté le ).
  7. (fr) Mathieu Bastareaud agressé, lequipe.fr, 21 juin 2009.
  8. « Bastareaud: un mensonge qui devient une affaire d'État »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  9. « François Fillon s'excuse auprès de la Nouvelle-Zélande ».
  10. « Le rugbyman Mathieu Bastareaud hospitalisé pour "troubles psychologiques" ».
  11. Mensonge de Bastareaud: les Néo-Zélandais très choqués, 20minutes.fr, 26 juin 2009, consulté le 31 janvier 2011.
  12. Clément Garioud, « Ces sombres affaires qui ont entaché la réputation du rugby français », sur actu.fr, (consulté le ).
  13. « Sanction par la FFR », sur ffr.fr.
  14. « Barbarians vs Tonga - Composition des Baabaas », sur lerugbynistere.fr, (consulté le ).
  15. « Barbarian Rugby Club vs Tonga », sur barbarianrugbyclub.com, Barbarians français, (consulté le ).
  16. « Saint-André dévoile sa liste pour la Nouvelle-Zélande », sur lexpress.fr, avec AFP, 14 mai 2013.
  17. « XV de France : Avec Bastareaud, Novès mange son chapeau », sur Sports.fr (consulté le ).
  18. « Mathieu Bastareaud suspendu trois semaines pour ses propos insultants et remplacé par Jonathan Danty », sur lequipe.fr, L'Équipe, (consulté le ).
  19. « Pau: Bastareaud annonce sa retraite internationale », sur rugbyrama.fr, Rugbyrama, .
  20. Julien Plazanet, « Bastareaud : "À Lyon, je vais tenter le pari de jouer en 8 !" », sur rugbyrama.fr, Rugbyrama, (consulté le ).
  21. « Mathieu Bastareaud de retour à Lyon », sur lequipe.fr, (consulté le ).
  22. Mathieu Bastareaud gravement blessé « aux deux genoux » lors de Toulon-Lyon
  23. Mathieu Bastareaud quitte le LOU Rugby
  24. « Top 14 : Toulon «officialise» le retour de Bastareaud... sans l'officialiser », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  25. « Mathieu Bastareaud, son ultime combat pour rejouer avec Toulon », L'Équipe, (consulté le ).
  26. Karim Ben-Ismail, « Mathieu Bastareaud de retour à Toulon, c'est officiel », L'Équipe, (consulté le ).
  27. Maxime Gutierrez, « Le groupe des Barbarians pour affronter les Fidji », sur Rugbyrama, .
  28. « Mathieu Bastareaud, une carrière en 10 actes », sur L'Équipe, (consulté le ).
  29. « Top 14. Mathieu Bastareaud bientôt dans le staff du RC Toulon ? », sur ouest-france.fr, Ouest France.
  30. « William Gallas cousin de Mathieu Bastareaud », sur rmcsport.bfmtv.com, (consulté le ).
  31. Mathieu Bastareaud, Tête Haute, Paris, Robert Laffont, , 208 p. (ISBN 978-2-221-15791-6), p. 33.
  32. Mathieu Bastareaud devient papa d'un petit Lymah, né à Toulon ce dimanche, Var-Matin, 23 juin 2019.
  33. Brice Recotillon, « Quel avenir pour le rugbyman français Mathieu Bastareaud ? », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
  34. Philippe Kallenbrunn, « Tournoi des Six Nations : Mathieu Bastareaud sauve le XV de France »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lejdd.fr, (consulté le ).
  35. Alexandre Pedro, « Tournoi des six nations : Mathieu Bastareaud, le retour en grâce d’un joueur qui fait débat », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  36. Christophe Monteil, « La conférence de presse de Laporte, Wilkinson et Bastareaud », sur provence-alpes.france3.fr, 18 mai 2013.
  37. (en) « Mathieu Bastareaud : As captain », sur espn.co.uk (consulté le ).
  38. a et b (en) « Mathieu Bastareaud : Five/Six Nations », sur en.espn.co.uk (consulté le ).
  39. (en) « Mathieu Bastareaud : IRB Rugby World Cup », sur en.espn.co.uk (consulté le ).
  40. Anthony Tallieu, « Oscars Midol 2018 - Quelle soirée ! », sur rugbyrama.fr, Rugbyrama, (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]

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